
تقي زاده
"Erdogan rêve de faire renaître l’Empire ottoman"
Zülfü Livaneli, un intellectuel turc de grand renom, estime que la Turquie s’enfonce dans le bourbier du Moyen-Orient, soulignant que le président turc rêve de rétablir l’Empire ottoman.
«Après les récents attentats terroristes, perpétrés à Ankara, la crainte, qui est le résultat de cet événement, va s'emparer, pour longtemps, de la nation, la plongeant dans un profond désespoir. Ce que nous entendons est, encore, pire. Il y a un bourbier, appelé Moyen-Orient, où nous nous sommes enfoncés», a commenté Zülfü Livaneli, intellectuel, écrivain turc de renom, et politicien aux brillants antécédents, dans une interview avec le quotidien suisse, "Tages Anzeiger".
En rappelant que la Turquie s'est transformée en une partie de la crise, au Moyen-Orient, Zülfü Livaneli a continué : «Le groupe terroriste Daech a organisé, en Turquie, un grand réseau terroriste. La crise syrienne n’est pas, bien sûr, la seule raison de la création de ce bourbier ; la prise de position turque envers les autres pays voisins, dans l’Est du pays, en est une autre. C’est pourquoi nos divergences de vue avec les Kurdes se sont, cosnidérablement aggravées. Le responsable principal et fauteur de troubles est Erdogan. Le Parti de la Justice et du Développement, (PJD), de Recep Tayyip Erdogan, a ignoré l’un des principes fondamentaux de cette République : la Turquie ne devait pas intervenir, politiquement, dans les affaires du Moyen-Orient. Ce principe fondamental a été établi, après l’effondrement de l’Empire ottoman, accompagné de guerres sanglantes. Malheureusement, le gouvernement actuel ne respecte pas ce principe, et à sa place, Recep Tayyip Erdogan rêve d’établir un nouvel Empire ottoman tout puissant».
Aux yeux de M. Zülfü Livaneli, le gouvernement turc a perdu tout réalisme.
Dans une autre partie de ses propos, cet écrivain et intellectuel de grand renom turc a réitéré que la société kurde s’était vue confrontée à plus d’incohérence et de division, sous le règne du gouvernement du Parti de la Justice et du Développement.
Les Religions monothéistes
Nous nous efforcerons de donner une étude sur les similitudes et les divergences entre le Judaïsme, le Christianisme et L’Islam. Cette étude portera sur différents aspects de ces trois religions monothéistes. Une critique constructive tant au niveau de la pratique, que des écrits, à savoir La Torah, L’Evangile et Le Coran, sera faite avec le plus de rigorisme possible. L’Histoire de ces trois religions sera incorporée dans notre étude. Ces religions ont depuis leur apparition, professé le culte d’Un Dieu Unique, mais la déformation de la révélation Biblique opérée par la main de l’Homme, nous a mené à la situation dans laquelle nous nous trouvons. Beaucoup disent croire en Dieu, mais leurs actes et leurs pensées ne le reflètent guère ; car ils ne connaissent pas Leur Créateur. Et comment Le connaître sans chercher à faire la lumière sur notre passé.
Le premier sujet de notre étude portera sur les Livres Saints des trois religions monothéistes citées plus haut, comme il ne s’agira pas d’une étude exhaustive, j’invite les lecteur à approfondir leurs connaissances sur le sujet grâce aux auteurs que j’aurai le plaisir de régulièrement citer.
Dieu dit dans le Coran :
« Dis : nous croyons en Dieu, et en ce qui a été révélé, et en ce qui a été révélé à Abraham, à Ismaël, à Isaac, à Jacob [Israël] et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus et aux autres Prophètes de la part leur Seigneur. Nous ne distinguons entre aucun d’eux et nous lui somme soumis »
Coran 3; 84
« Avec les Juifs et les Chrétiens, ne discutez que de la manière la plus [affable] sauf [quand il s’agit] de ceux qui commettent des injustices parmi eux. Dites-[leur] : « Nous croyons en ce qui nous a été révélé et en ce qui vous a été révélé. Notre Dieu et le votre est Le même Dieu et nous Lui sommes soumis » Coran 29;46
Les Juifs appellent TaNaK leur grande Ecriture sacrée. Elle contient vingt-quatre livres répartis en trois sections.
TaNaK est une abréviation qui signifie : Torah – Nebiim –Ketoubim, c'est-à-dire : Loi, Prophète, Ecrits. Ce sont les trois sections de la Bible Hébraïque. C’est l’Ancien Testament Juif, excluant absolument le Nouveau Testament Chrétien.
La Première des trois sections est la Torah qui comprend cinq livres et que les Chrétiens appellent Pentateuque, attribués au Prophète Moïse, sur lui la Paix.
Ces cinq livres sont la Genèse, l’Exode, le Lévitique, Les Nombres, le Deutéronome.
La seconde section, Nebiim contient huit livres : Josué, Juges, Samuel, Rois, Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et un dernier livre intitulé : les douze prophètes. Les Chrétiens divisent ce dernier livre en douze livres.
La troisième et dernière section de la Bible Hébraïque rassemble onze livres : Les Psaumes, Job, Proverbes, Ruth, Cantique des Cantiques, Qôhélet (Ecclésiaste), Lamentations, Esther, Daniel, Esdras Néhémie, Actes des Jours (Chroniques).
Cette liste des Ecritures Hébraïque est ancienne, elle est citée par des sources anciennes au cinquième siècle avant Jésus Christ. Mais sa rédaction s’est étalée sur plusieurs siècles, par compilation de plusieurs sources différentes.
Les résultats de l’étude scientifique des cinq premiers livres semble confirmer les hypothèses avancées par plusieurs chercheurs, et ce depuis le Moyen Age, puis par Spinoza et par Jean Astruc, et à la fin du dix-neuvième siècle par Graf et Wellhausen. Finalement, c’est l’hypothèse « des quatre document », qui s’est imposée à la plupart des exégètes actuels de la Bible.
La Torah serait donc un savant mélange de quatre documents initiaux : Yaviste, Elohiste, Deutéronomique et Sacerdotal. Chacun de ces quatre documents possèderait ses caractéristiques propres : noms divins, style, expressions fréquentes, etc.…
Ce mélange se serait opère en plusieurs phases, depuis l’époque de la sortie d’Egypte, jusqu'au retour de la déportation à Babylone et notamment durant l’installation progressive des tribus juives en terre sainte, leur unification sous David et Salomon, sur eux La Paix, puis la scission en deux royaumes ennemis : Juda et Israël.
Ainsi le Deutéronome avait carrément disparu durant ces troubles à l’époque du Roi Manassé, puis redécouvert sous le règne du Roi Josias dans une cave du Temple de Jérusalem. La compilation définitive des documents s’opère au cinquième siècle avant Jésus Christ.
La tradition juive, en séparant ces textes en trois sections bien précises, indique l’importance décroissante qu’elle attache à chacun de ces livres. Ils son tous sacrés, mais la première section est le fondement, elle contient la révélation faite à Moïse, sur lui la Paix. La deuxième section rassemble des écrits d’autres prophètes ultérieures et des chroniques historiques. La troisième section vient en complément, avec les Psaumes, Les Proverbes, des livres de sagesse, quelques prophètes et également des chroniques des règnes.
Ainsi, pour simplifier, la Torah est la véritable fondatrice de la religion d’Israël, qui durant le séjour en Egypte, n’était étayée que par une tradition orale. La section des Prophètes vient en appui de la Torah, pour revivifier, de génération en génération, sa valeur absolue. Puis les Ecrits de la troisième section viennent en complément et exégèse de l’ensemble. Les autres écrits du Judaïsme, comme le Talmud, ne sont pas inclus dans la Bible. Ils sont de rédaction tardive, échos de la Tradition orale parallèle au TaNaK, oeuvres de rabbins et théologiens, et constituent principalement des commentaires du texte de base : le TaNaK, agrémentés de récits plus ou moins légendaires.
Les Bibles Chrétiennes
Les Bibles Chrétiennes rassemblent l’Ancien Testament et le Nouveau Testament. Il y a la Bible Grecque ou Septante, on dit qu’elle s’appelle ainsi parce que septante scribes juifs l’ont traduite de l’hébreu en grec. La plus ancienne chez les Chrétiens, et qui est devenue par la suite la Bible de l’Eglise Orthodoxe. Le canon des Ecritures orthodoxes
Dans l’accord entre la Grande-Bretagne et l’UE il n’y a aucune dérogation (Hollande)
Le président français François Hollande s'est félicité qu'il n'y ait "pas de dérogation aux règles" européennes dans l'accord conclu avec le Royaume-Uni au sommet de Bruxelles.
"Aujourd'hui, le Royaume-Uni a une place particulière en Europe mais il n'y a pas eu de dérogation aux règles du marché unique, il n'y a pas de révision prévue des traités et pas de droit de veto sur la zone euro", a énuméré M. Hollande lors d'une conférence de presse à l'issue du Conseil européen.
« Les 28 dirigeants européens sont parvenus à un accord, vendredi soir, pour garder le Royaume-Uni dans l'UE », a annoncé le président du Conseil européen Donald Tusk sur Twitter.
Accord. Soutien unanime pour un nouveau pacte pour le Royaume-Uni dans l'UE, a indiqué M. Tusk.
« Cet accord tout en préservant les valeurs de l’UE, renforce la place particulière du Royaume-Unis au sein de cette Union dissipant toutes les difficultés de ce pays », a précisé Tusk, lors d’une conférence de presse.
Le 2ème jour du sommet des chefs d’Etat ou de gouvernement européens sur le maintien ou pas de la Grande-Bretagne dans l’UE a eu lieu, Vendredi, à Bruxelles.
Les dirigeants européens disent, selon Reuters, que les deux parties sont parvenus, à Bruxelles, à un accord sur un plan d’action permettant l’amélioration des relations de Grande-Bretagne avec l’UE.
Le Groupe international du soutien à la Syrie se réunit à Genève
« Le Groupe international de soutien à la Syrie tiendra, ce samedi, une réunion, à Genève, au niveau des experts », a annoncé une source diplomatique russe.
« Il est convenu le Groupe international de soutien à la Syrie tienne, aujourd’hui, à Genève, une réunion d’expertise » a fait part cette source cité par l’agence de presse russe Itar Tas.
Selon ce rapport, les responsables américains et russes se sont rencontrés, à Genève, pour discuter de la possibilité du cessez-le-feu qui devait être instauré, cette semaine, en Syrie.
Le 11 février, le Groupe international du soutien à la Syrie a tenu, à Munich, une réunion au niveau des ministres des affaires étrangères pour mettre à son ordre du jour les questions du cessez-le-feu, de la situation humanitaire et le début d'un processus politique en Syrie.
Brut iranien : premières cargaisons en route vers l’Europe
Le directeur général du Département des affaires politiques au ministère iranien des AE a déclaré que les premières cargaisons du brut iranien d’une capacité de 4 millions de barils avaient été exportées vers l’Europe.
« L’Iran a l’intention d’élever ses exportations de brut à 1.5 millions de barils par jour, a-t-il ajouté.
Hamid Baidinejad, directeur général du Département des affaires politiques au ministère iranien des AE a écrit sur sa page d’Instragram : « L’une des sanctions cruelles contre l’Iran était celle imposée au secteur pétrolier qui a réduit l’exportation du brut iranien de 2.5 millions de baril par jour à 1 million. L’exportation du brut iranien à destination des pays européens a été donc réduit à zéro ».
Hamid Baidinejad a aussi souligné : « Finalement les premières cargaisons du brut iranien ont été exportées mercredi vers l’Europe. Ce succès est le résultat d’un travail acharné pendant les négociations ».
Bombe atomique : "la magie de Nasrallah perdure"
Cela fait d’ailleurs bien longtemps qu’un discours de Sayed Hasan Nasrallah n’a soulevé autant de répliques, et contraint toute la classe politique israélienne à se mobiliser. Sans compter la couverture médiatique qui en a découlé, confirmant que les menaces sont bel et bien fondées.
« Nasrallah est très subtile dans le choix de ses paroles. Il semble qu’il a une unité scientifique qui analyse les données et déduit des conclusions. Ils sont bien conscients de leurs résultats », a indiqué le professeur Amos Noteg qui travaille pour l’Institut Altakhione à Haïfa, Selon lui, le bombardement d’un seul réservoir et la fuite du cinquième de son contenu provoquera la mort de 17 mille personnes. « Le bombardement de tous ses réservoirs provoquera la mort de 70 milles », a-t-il indiqué de plus, confirmant la présence de ce gaz dangereux dans cette ville, rapporte le journal libanais al-Akhbar.
Lors de son discours prononcé le mardi dernier, e secrétaire général du Hezbollah avait menacé de bombarder les réservoirs de gaz d’ammoniac qui s’y trouvent, au cas où l’armée israélienne met à exécution sa nouvelle théorie militaire pour le Liban, en cas de troisième guerre. Baptisée « Doctrine de la banlieue-sud », celle-ci consiste à éradiquer ces quartiers situés au sud de Beyrouth, où habitent la base populaire du Hezbollah.
Pour le moment, ce sont les habitants de Haïfa qui pâtissent. « Ces menaces sont passées très durement pour les habitants de Haïfa. Ils ont passé une très mauvaise nuit après avoir écouté les menaces de Nasrallah », a rapporté le journal israélien Maariv, d'après al-Akhbar.
Pour le Yediot Aharonot, Sayed Nasrallah a su frapper sur le bat qui blesse, en semant la panique parmi les Israéliens. Les habitants de cette ville sondés par le journal israélien ont demandé que ces menaces soient prises très au sérieux.
Les députés de la Knesset du Camp sioniste se sont emparés de cette affaire. Selon Yaël Cohen-Bart, il est clair que les habitants de Haïfa sont désormais dans la banque de cibles du Hezbollah lors de la prochaine guerre. Un autre député de la même formation, Hilik Bar a imputé au ministre de la guerre israélien Moshé Ya’alon la responsabilité d’une telle catastrophe si elle a lieu. « Netanyahou se préoccupe de la bombe (nucléaire) iranienne et il oublie qu’il y a près d’un million d’Israéliens qui vivent sur une bombe à retardement ici », a-t-il également dénoncé.
Face à cette situation, le chef de l’Etat-major israélien s’est trouvé dans le devoir de répondre aux menaces de Sayed Hassan Nasrallah.
« Le Hezbollah possède des capacités qui sont de loin les plus importantes dans l’entourage de l’Etat d’Israël. Il est le plus menaçant de tous pour lui. Il a bâti ses capacités dans un environnement villageois pour développer la balance stratégique face a Israël. Malgré cela, l’armée israélienne a réussi à réaliser sa force de dissuasion et le front libanais a été le plus calme durant ces 10 dernières années », a dit Gadi Eisenkot lors d’une visite dans la vite Bat-Yam.
Les observateurs constatent que cette réplique qui se veut rassurante ne va pas droit au but, et surtout ne dissipe pas les appréhensions qui ont été alimentées par le discours du commandant de la Résistance libanaise.
« La magie de Nasrallah perdure. Le voilà qu’il menace de frapper Israël dans son talon d’Achille » , c’est ainsi qu’a écrit le site d’informations israélien Walla. Avec un ton presque admiratif !!
L'ONU qualifie irréaliste la reprise des discussions syriennes le 25 février
Nous avons besoin de 10 jours pour nous préparer et envoyer les invitations. Les discussions (...) peuvent être couronnées de succès si l'aide humanitaire se poursuit et si nous obtenons un cessez-le-feu, a-t-il ajouté.
Les discussions entre les délégations de Damas et de l'opposition syriens avaient été suspendues le 3 février, jusqu'au 25, faute d'avancées après moins d'une semaine d'échanges dans un hôtel genevois.
M. de Mistura doit rendre compte mercredi prochain au Conseil de sécurité de l'ONU de ses efforts de médiation.
À Munich la semaine dernière, le Groupe international de soutien à la Syrie (ISSG) qui rassemble 17 pays et trois organisations multilatérales -- dont les États-Unis, la Russie, l'Iran, l'Arabie saoudite, la Turquie, l'Union européenne et l'ONU -- était parvenu à un accord sur une cessation des hostilités d'ici à une semaine.
Un Palestinien mène une attaque de vengeance et est abattu
Ce dernier avait 20 ans et venait de Jérusalem-Est, la partie palestinienne de Jérusalem occupée et annexée illégalement par Israël.
L'attaque s'est produite porte de Damas, principal accès à la Vieille ville du côté de Jérusalem-Est.
Les Territoires palestiniens sont en proie à une vague de violences qui a fait 173 morts palestiniens, 27 israéliens, depuis le 1er octobre où l'armée israélienne ont procédé à une incursion contre la Mosquée d'Al-Aqsa, selon un décompte de l'AFP.
Palestine/Cisjordanie: un Palestinien tué par des soldats israéliens
Deux Palestiniens ont été le cible des tirs israéliens.
Un des Palestinien évacué vers l'hôpital israélien a succombé à ses blessures, tandis que le deuxième a été transporté vers un hôpital palestinien, a ajouté la porte-parole.
Par ailleurs, dix Palestiniens qui manifestaient près de la barrière de sécurité israélienne le long de la bande de Gaza ont été blessés par tirs de soldats israéliens, selon le ministère palestiniens de la Santé.
L'Iran fait nettement rebondir le pétrole
Déjà en hausse à l'ouverture new-yorkaise, le marché pétrolier a accéléré après des propos de l'Iran, membre de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui s'est dit prêt à soutenir toute mesure visant à stabiliser le marché, au lendemain d'un accord de gel de la production entre les deux plus gros producteurs mondiaux, l'Arabie saoudite et la Russie.
Le marché récompense l'Opep de parvenir à se rassembler un minimum, même si l'on ne sait toujours pas ce que l'Iran va accepter de faire, a jugé John Kilduff, d'Again Capital.
Bijan Namadar Zanganeh, ministre iranien du Pétrole, a tenu ces propos à l'occasion d'une réunion à Téhéran avec ses homologues irakiens, vénézuélien et qatari, au moment où les doutes règnent sur l'attitude que va prendre la République islamique face à l'accord de mardi, également conclu par Caracas et Doha.
Le simple fait qu'il puisse y avoir cette réunion, cela ouvre la voie à un accord plus ambitieux à l'avenir, a commenté M. Kilduff. C'est pourquoi on a assisté à ce rebond même si, pour le moment, on ne voit pas de vraie réponse à la surabondance de pétrole.
Le niveau élevé de la production, que ce soit aux Etats-Unis, au sein de l'Opep dominée par l'Arabie saoudite, ou en Russie, a largement contribué à faire baisser les cours de deux tiers depuis la mi-2014 pour les faire tomber au plus bas depuis 2003 lors des dernières semaines.
Dans ce contexte, la position de l'Iran est cruciale, car le pays a peu de raison d'accepter de geler - sans parler de réduire - sa production au moment où il s'apprête à faire son retour sur le marché pétrolier international à la suite de la levée de sanctions sur son programme nucléaire.
Ce sont également des déclarations faites auparavant par Mehdi Asali, représentant de l'Iran au sein de l'Opep, qui semble appropriées à la situation, a jugé Tim Evans de Citi.
Il rapportait que le responsable iranien avait déclaré que son pays n'avait pas à participer à un processus de réduction de l'offre, puisqu'il n'avait pas joué de rôle dans la surabondance actuelle.