تقي زاده

تقي زاده

À l'occasion du nouvel an iranien, le Leader de la Révolution islamique a adressé ses vœux à la nation iranienne qui a achevé une année 1399 du calendrier de l'hégire solaire, pleine d'épreuve et qui entre dans un siècle nouveaux plein de promesses. Le Leader de la Révolution islamique a qualifié l'année 1399 d'année de démonstration des capacités de la nation iranienne, tant dans la confrontation avec le Coronavirus qu'avec la pression maximale de l'ennemi précisant : « Aujourd'hui, nos ennemis, avec à leur tête les États-Unis et leurs amis européens, disent explicitement que la politique de pression maximale a échoué". Signe de cette victoire, cette année de 1400 de l'hégire, l'Ayatollah Khamanei l'a baptisée  année de "Production, Soutiens er Éliminations des obstacles. »   

Voici le texte intégral du message de Son Eminence :

« Au nom d’Allah, le tout Miséricordieux, le très Miséricordieux 

Louange à Allah, Seigneur de l’univers, et paix et salutations à notre Maître, Muhammad, et à sa Lignée pure !

Ô Toi qui fais évoluer les cœurs et les regards !

Ô Toi qui administres l’alternance du jour et de la nuit !

Ô Toi qui transformes les circonstances et les états d’âme !

Change notre état en le meilleur des états !

Je tiens à féliciter tous nos chers compatriotes, en particulier les honorables familles des martyrs et des invalides de guerre, les invalides de guerre eux-mêmes et toutes les personnes dévouées et altruistes, à l’occasion de l’arrivée du Norouz et du Nouvel An. Je tiens également à féliciter toutes les nations qui célèbrent le Norouz, pour l’arrivée de cette fête. Cette année, notre fête du Nouvel An coïncide avec les occasions bénies du mois de Cha’aban. J’espère que cette coïncidence sera à l’origine de nombreuses bénédictions, dans ce monde et au niveau spirituel, pour notre nouvelle année. L’année 1400 aura deux célébrations du 15è Jour du mois de Cha’aban, et notre peuple célébrera donc deux fois, l’anniversaire de la naissance de l’Imam du Temps (Que nos âmes lui soient sacrifiées).

L’année 1399 du calendrier iranien touche à sa fin et malgré les menaces et les sanctions qui l’ont marquée, l’industrie de la défense du pays se porte bien.

Nouveaux armements et exercices militaires de grande envergure des forces armées iraniennes ont suscité des réactions à l’intérieur et à l’extérieur du pays. L’industrie balistique a fait des pas de géant. Dans cet article, nous passons en revue les évolutions de cette industrie par ordre de dévoilement ou d’essais opérationnels.

L’un des développements marquants de l’année s’est produit le 22 avril 2020 avec la mise en orbite du premier satellite militaire iranien baptisé Nour (Lumière en persan). Il a été lancé depuis le lanceur à trois étages Qassed (Messager) dans le désert de Markazi, au centre de l’Iran. Le satellite a « orbité autour de la Terre à 425 km ».

Le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Amir Hatami, a souligné la détermination du pays à progresser vers ses objectifs dans des domaines tels que la défense et la puissance des missiles.

S’exprimant lors d’une réunion des hauts responsables du ministère de la Défense le jeudi 18 mars, le général de brigade Hatami a déclaré que l’Iran avait réussi à atteindre ses objectifs dans tous les domaines au cours de l’année iranienne qui se termine le 21 mars, en dépit des inimitiés de ses adversaires.

« Cette année, l’administration américaine dirigée par Trump a fait de son mieux pour exercer une pression maximale sur l’Iran islamique, mais à la fin, il a été évincé du pouvoir », a-t-il noté.

Déclarant que les évolutions dans la région sont centrées sur l’objectif de vaincre la République islamique, M. Hatami a annoncé la poursuite de la politique régionale de l’Iran, mais aussi des efforts visant à renforcer la capacité défensive du pays et atteindre de grands objectifs dans le domaine de missile.

Cela fait très exactement deux mois que Biden arrivé au terme d’un hold-up électoral à la Maison-Blanche cherche éperdument sa guerre celle qui devrait sauver une Amérique totalement en faille de la prédiction. (Link Austin a perdu sa guerre)

Aussitôt arrivé au Pentagone, LIyod Austin son chef de guerre a jeté son choix sur l’Irak en faisant exploser deux kamikazes en pleine place Tayaran et en provoquant la mort des dizaines de civils.

Parallèlement, le duo Biden-Austin a mis les bouchées doubles en Syrie entre des convois militaires qui arrivent en dizaine par semaine pour y décharger armes et munitions, puis charger à leur bord, blé et pétrole de contrebande à destination de l’Irak d’une part, et ces terroristes daechistes que les officiers US et israéliens relâchent de la prison d’al-Hol à Hassaké avant de les héliporter à Hauran à l’ouest d’al-Anbar de l’autre.

Mais ces agissements servent à quoi ? À al-Anbar, les forces US - agents daechistes - ne cessent de se heurter au rempart d’acier des Hachd al-Chaabi. Idem à Salaheddine à Kirkouk et Diyala. Ce jeudi le quatrième convoi logistique US a été ciblé en l’espace de quelques heures et face aux salves de 24 et de 10 roquettes Arash-4 ayant visé en janvier et février les bases US au Kurdistan et à Ain al-Asad, la frappe ratée du 26 février contre la base de l’Imam Ali de Kateb Hezbollah où 5 des 7 missiles tirés ont été neutralisés par les systèmes de cyber défense de la Résistance ne pèse pas. Surtout que les roquettes de la Résistance ont bien mis au pas les missiles Patriot et C-Ram des troupes US au point que les Yankees ont été forcés de déterrer les vieux Avenger. Mais là encore sans grand succès.

Alors que les convois militaires US arrivent en masse dans les zones kurdes en Syrie, l’Union internationale des Savants musulmans (oulémas) à Diyala en Irak, révèle que trois équipes du Mossad opèrent dans le camp de réfugiés d’al-Hawl, dans le nord-est de la Syrie.

« Nous avons des informations sur les activités de trois équipes du Mossad dans le camp syrien d’al-Hawl », a déclaré Jabbar al-Mamouri, président de l’Union internationale des Oulémas à Diyala en Irak.

Cité par Al-Maloumah le jeudi 18 mars, al-Mamouri précise que les trois équipes opèrent dans le camp sous les auspices d’organisations humanitaires, mais sont en fait des éléments de renseignement dont la mission principale est d’attirer et de soutenir les jeunes de divers gangs.

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Il a déclaré que la présence du Mossad dans le camp syrien d’al-Hawl indique l’existence d’autres plans contre la région, en particulier l’Irak. Les informations obtenues révèlent, selon lui, l’implication du Mossad dans les récentes agressions par le biais des soutiens portés aux terroristes présents dans le camp.

En Irak, alors qu’une troisième explosion, en une journée, vient de prendre pour cible deux convois militaires US, le président Barham Salih annonce sa décision de procéder à la mise en œuvre de la loi parlementaire approuvée en janvier 2020 pour expulser les forces étrangères d’Irak.

Deux convois logistiques militaires américains ont été ciblés près de la ville d’al-Samawah, chef-lieu de la province d’al-Muthanna dans le sud de l’Irak, a rapporté Saberine News, le jeudi 18 mars, soulignant qu’il s’agit d’une troisième attaque au cours des dernières 24 heures.

Plus tôt dans la journée, un autre convoi logistique de la coalition américaine a été touché par un engin explosif improvisé dans la province de Diwaniyah toujours dans le sud de l’Irak.

Les explosions similaires se sont produites au cours de ces derniers mois sur le trajet des convois militaires américains en Irak ; la coalition américaine ayant sollicité l’aide d’entreprises irakiennes locales pour survivre aux explosions et transférer ses équipements militaires.

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Les attaques contre les convois logistiques américains se poursuivent alors que le Parlement irakien a approuvé une loi exigeant l’expulsion de toutes les forces étrangères d’Irak en décembre 2020 à la suite de l’assassinat des deux hauts commandants de la Résistance, le général Soleimani et Abu Mahdi al-Mohandes par un drone américain près de l’aéroport de Bagdad.

C’est dans ce contexte que le président irakien, Barham Salih, a annoncé aujourd’hui la décision de son gouvernement de mettre fin à la présence des troupes américaines et étrangères dans le pays, dont le nombre se chiffre, selon lui, à 2 500.

Avertissant que les relations entre l’Irak et les États-Unis doivent être fondées sur les intérêts communs, le président irakien a indiqué que le dialogue stratégique entre Bagdad et Washington porterait sur les questions politiques, économiques et sécuritaires.

Plutôt samedi, Nasr al-Shemmari, le porte-parole du mouvement irakien al-Nujaba, a rappelé l’expiration du délai donné au gouvernement irakien pour le retrait des troupes américaines.

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Il affirmé que l’un des objectifs américains dans l’est de la Syrie est d’établir des points de passage sécurisés pour les organisations terroristes sur les frontières syro-irakiennes. Or la Résistance a, selon lui, toujours mis en garde qu’elle prenait l’initiative et qu’elle avait la capacité à riposter aux actions des forces d’occupation et nuire sérieusement à leurs intérêts de manière à assurer la dissuasion face à l’ennemi et à le forcer à se retirer d’Irak avec humiliation et défaite. 

Le coup lancé contre Aïn al-Asad relève de cette logique qui a largement contribué à établir un équilibre de la terreur USA/Résistance irakienne. 

Le porte-parole d’al-Nujaba a affirmé que les États-Unis ont déjà goûté aux offensives de la Résistance à l’époque où le nombre de leurs forces déployées en Irak s’élevait à plus de 300 000 ; ce chiffre réduit aujourd’hui à quelques milliers est largement insuffisant pour faire face à la Résistance qui est sur le point de mettre en place une nouvelle stratégie, selon laquelle aucune position des forces d’occupation ne sera à l’abri jusqu’à ce que le dernier soldat d’occupation quitte la terre d’Irak.

Al-Shemmari est allé encore plus loin en évoquant l’intention de l’Occident d’augmenter le nombre de ses forces sur le sol irakien dans le cadre de la présence de l’OTAN qui selon lui, suit deux objectifs. Soit l’OTAN cherche à dissimuler le retrait des Américains et à assumer la défaite en Irak plutôt que laisser Washington la subir seul, soit il s’agit d’une intention malveillante des États-Unis d’enflammer la situation intérieure et conduire à la fédéralisation de l’Irak. Et puis l’hypothèse d’une combinaison des deux objectifs n’est pas exclue : les États-Unis sèment le chaos dans le pays et en imputent la responsabilité aux forces européennes. Bref, ils les utilisent comme cible expiatoire. Mais, quels que soient leurs objectifs, une chose est sûre : l’escalade militaire anti US est irréversible, car la Résistance irakienne ne laissera ni l’Amérique ouvrir des passages pour Daech, ni couper la route stratégique Irak-Syrie-Méditerranée, ni bloquer le transit par voie terrestre du pétrole, du gaz irakien vers la Syrie, puisque la Résistance a fait un choix stratégique en intégrant la Route de la Soie.

Cette guerre imposée par Saddam qu'avait instrumentalisée l'Amérique contre l'Iran a fait comprendre à l'axe US-Israël et les Golfiens que le détroit d'Hormuz est le coeur du monde :  près de 500 vaisseaux ont été endommagés ou envoyés au fond des océans et la principale artère énergétique par où transite le "pétrole pillé" du Moyen-Orient vers le "far west", fut menacé. Depuis, le camp US-Cie cherche à contourner le détroit d'Hormuz par mille et un plan, voire, à le substituer. Rien de rien, cette voie stratégique est irremplaçable, ces projets s'avérant trop coûteux ou trop irréalistes. Cette quête d’indépendance envers le détroit d'Hormuz ou ce qui revient au même envers l'Iran a connu une terrible dérive quand l'axe US-Israël-Golfiens en est venu à déclencher la guerre contre le Yémen, puis à arriver à avoir à céder très bientôt à la Résistance "Maarib". C'est depuis que la coalition est poussée à quitter cette province que les Américains, pris soudain de compassion, ont déblacklisté Ansarallah, ont sorti de leur sacoche de prétendus plan de paix et ont cessé apparemment de vendre des armes aux Saoudiens. Mais que cache Maarib ?

Suite à l’annulation de la visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Abou Dhabi, le gouvernement émirati a suspendu la prochaine réunion avec les autorités de Tel-Aviv et de Washington.

Selon le Jerusalem Post, la réunion devait avoir lieu en avril en présence de Netanyahu, des représentants du gouvernement américain et des pays arabes qui ont signé un accord de compromis avec Tel-Aviv.

Annonçant la suspension de la réunion, Anwar Gargash, le conseiller diplomatique du président des Émirats arabes unis, a écrit sur Twitter : « Pour les Émirats arabes unis, l’accord de normalisation avait pour objectif de renforcer la paix avec Israël et dans toute la région. Les Émirats arabes unis ne feront pas partie de la campagne électorale interne d’Israël, ni maintenant ni à aucun autre moment. »

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L’agence de presse palestinienne Quds News a rapporté que les Émirats arabes unis en adressant un message à Tel-Aviv avaient fait part du mécontentement de Mohammed ben Zayed Al Nahyane, le prince héritier d’Abou Dhabi suite à l’annulation répétée de la visite de Netanyahu dans ce pays.

 

La Seconde Guerre mondiale, les USA l’ont fait sur le dos de l’Europe. La Guerre froide, ils l’ont mené contre les intérêts de l’Europe et leur guerre nucléaire qu’ils disent vouloir conduire à l’aide des bombes tactiques nucléaires et pour laquelle ils ont même fait des essais à Ramstein en Allemagne, essais secrets bien sûr ils iront le commencer sur le territoire de « SmallBrother » ? Probable vu la concentration de bombes nucléaires tactiques à travers tout le vieux continent et ces divers prétextes qu’ils trouvent pour faire remonter l’Europe orientale contre la Russie tout comme l’Europe Nord. Le ministère russe de la Défense confirme qu’il est prêt à agir avec fermeté en cas de déploiement du MRBM en Europe.

Le ministre de la Défense de la Fédération de Russie, Sergueï Choigou, a déclaré que la partie russe était prête à agir avec fermeté au cas où l’armée américaine déploierait des missiles balistiques à moyenne portée et d’autres armes de missiles en Europe. La déclaration est intervenue sur fond d’informations diffusées par Washington sur ses intentions de commencer à déployer ses missiles balistiques à moyenne portée en Europe.

Ce terme de « tueur qui devrait rendre des comptes », le président US ne l’a pas utilisé par hasard, interrogé qu’il était par le journaliste de NBC pour qualifier Poutine. Évidemment, un concours de mobilisation anti Russie est visible sur la quasi-totalité des fronts classiques de guerre depuis que Biden s’est emparé du pouvoir et qu’il sait que l’Amérique agonise et que le seul moyen de retarder la disparition passe par la guerre : en Ukraine, le Donbasse s’embrase ; en mer Noire, et aux îles Kourîles, les premiers incidents navals se produisent. Dans le Haut-Karabakh, les Otaniens soudoient Pachiniyan déjà et le Wall Street Journal parle des États-Unis qui ont l’intention de renforcer leur présence en Asie centrale et négocier déjà activement avec le Kazakhstan et l’Ouzbékistan sur une coopération conjointe contre la Russie : « En tant que plus grand État d’Asie centrale en termes de superficie et de volume de production économique, le Kazakhstan est le leader naturel de la région.