
تقي زاده
Nobles Hadiths
Le Prophète (sawas): «Le pire des gens auprès de moi est celui qui est très dur avec la famille”.
Jaami ul-Saqira, v. 2; p. 77
Celui qui travaille dur pour nourrir sa famille, est pareil à un combattant (Mujahid) pour la Cause d'Allah.
Bihar ul Anwar, 103/13
L’homme ne doit pas se fier à deux choses précaires : la Santé et la Fortune ; alors qu’il paraissait sain le voilà soudain malade et de riche qu’il était, il devient pauvre.
Le combattant qui trouve la mort au service de Dieu n’a point plus de mérite que celui qui pardonne tout en étant puissant : sa clémence le rend comparable aux anges.
Lors d’une fête l’Imam dit : ce n’est point une fête sauf pour celui dont Dieu agrée le jeûne et la prière ; mais toute journée est fête tant que Dieu n’y est pas désobéi.
Le plus grave des péchés est celui que sous-estime son auteur.
Parole de l imam Ali (as), La voix de l éloquence
Les revenus des entreprises technologiques iraniennes dépassent les 5 milliards de dollars en un an
Il a déclaré que bien que les entreprises nationales aient été aux prises avec plusieurs problèmes, notamment les sanctions cruelles et la pandémie COVID-19, leurs revenus ont augmenté.
Selon Esmaeil Ghaderifar, responsable du bureau vice-présidentiel pour la science et la technologie, les unités technologiques iraniennes ont principalement travaillé dans les domaines de la médecine, des cellules souches, de la médecine régénérative, du laser et de la science photonique.
"Ils utilisent des technologies de pointe, dont certaines sont des versions développées localement d'articles précédemment importés. Cela a permis d'endiguer la fuite des capitaux", a-t-il déclaré.
Les responsables estiment qu'étant donné le potentiel national et l'enthousiasme des équipes techniques, les exportations atteindront bientôt 5 quadrillions de rials (environ 23 milliards de dollars).
Le sénateur républicain fixe 4 conditions au retour de Biden au PAGC
Revenir au PAGC est une terrible erreur car les États-Unis ne concluront jamais cet accord imparfait, a déclaré le sénateur Jim Einhoff, affirmant que si lui et nombre de ses collègues du Congrès américain soutiennent les efforts diplomatiques visant à mettre fin à l'impasse dans laquelle se trouvent les États-Unis depuis des décennies avec le gouvernement iranien, un nouvel accord considérablement amélioré doit être négocié pour qu'ils envisagent de le soutenir.
Soutenant le retrait unilatéral de l'ancien président américain Donald Trump du PAGC, il a affirmé qu'il n'était pas logique de revenir à l'accord et de lever les sanctions contre l'Iran.
L'accord a levé des sanctions majeures sur Téhéran tout en ne restreignant que partiellement ses activités nucléaires - et ces restrictions commencent à expirer en 2025. L'accord ne tient pas compte non plus du développement continu de missiles balistiques par le pays, ni du soutien aux groupes régionaux contre les partenaires américains, a-t-il également affirmé.
Tout nouvel accord américain avec l'Iran doit respecter quatre grands principes, a-t-il noté dans un article d'opinion publié dans Foreign Policy. Premièrement, le nouvel accord avec Téhéran doit être complet et s'adresser aux groupes régionaux de l'Iran, limiter son programme de missiles balistiques et fermer toute voie vers une capacité d'armement nucléaire, a-t-il affirmé tout en répétant les accusations sans fondement des responsables américains contre Téhéran.
Toute négociation [avec l'Iran] doit prendre en compte les vues et les préoccupations du régime sioniste et des partenaires arabes des Etats-Unis dans la région, a-t-il affirmé, alors que l'Iran affirme que les parties au PAGC sont déterminées et qu'aucune autre partie ne peut être ajoutée à l'accord.
Troisièmement, a poursuivi le sénateur, une résolution devrait être permanente. Il ne peut y avoir de dispositions de temporisation qui permettraient à terme à l'Iran de posséder une capacité d'armes nucléaires, comme c'est le cas dans l'accord actuel.
Quatrièmement, la mise en œuvre de tout accord doit être transparente, en permettant des inspections régulières et inconditionnelles du programme nucléaire iranien, ainsi qu'en obligeant l'Iran à révéler toutes ses activités nucléaires antérieures.
Cette affirmation intervient alors que Téhéran a réduit ses engagements envers le PAGC afin de créer un équilibre en réponse au retrait unilatéral des États-Unis de l'accord en 2018. L'Iran affirme que ces mesures sont réversibles dès que les autres parties auront rempli leurs engagements, ce qui inclut la levée des sanctions et la normalisation des relations commerciales et bancaires.
Soulignant que son programme nucléaire est entièrement pacifique, Téhéran affirme que la production d'armes de destruction massive n'est pas à l'ordre du jour du pays en tant que telle a été interdite par une fatwa du Guide de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei.
De nouvelles centrifugeuses installées à Natanz et Fordo
Le représentant permanent de l’Iran auprès de l’Agence internationale de l’énergie atomique a fait part de l’installation de nouvelles centrifugeuses IR2m et IR6 à Natanz et à Fordo.
Kazem Gharibabadi a écrit, mardi 2 février, sur son compte Twitter : « Grâce aux efforts inlassables de nos scientifiques nucléaires, deux cascades de 348 centrifugeuses IR2m, ayant une capacité multipliée par quatre par rapport au type IR1, ont été installées à Natanz et fonctionnent actuellement par UF6. Aussi, l’installation de deux cascades de centrifugeuses IR6 a déjà commencé à Fordo. Il y a plus à venir bientôt ».
Et d’ajouter : « L’Agence internationale de l’énergie atomique est toujours en mesure de vérifier et est au courant de tous les progrès comme prévu ».
L'arroseur arrosé : 1ère manif « téléguidée » chez Salmane
Après ses lourds échecs à l’échelle nationale et internationale, le régime des Saoud a eu beau les compenser, lors de la tenue du sommet des membres du CCGP, les tensions remontent cependant à l’intérieur et à l’extérieur du royaume saoudien. La tenue des manifestations anti-gouvernementales au nord de l’Arabie Saoudite, ainsi que l’échec de l’initiative saoudienne de réconciliation avec le Qatar sont des exemples clairs des plans échoués du prince héritier Mohammed ben Salmane.
Hier soir, le district d’al-Qassim en Arabie saoudite était la scène de nombreuses manifestations de protestation contre la politique économique du gouvernement saoudien et d’accrochages entre les forces de sécurité et les manifestants.
Les utilisateurs des réseaux sociaux ont partagé des images et des reportages des protestations des habitants de Buraidah, chef-lieu d’al-Qassim dans le nord de l’Arabie saoudite. Les manifestants ont exprimé leur protestation contre les politiques économiques des Saoud, n’ayant eu pour conséquence que la croissance de la pauvreté et du chômage.
Le tropisme pro-Ben Salmane de Macron ne plaît pas à l’UE
L’Union européenne reste engagée à l’accord nucléaire et rejette les récents propos d’Emmanuel Macron.
L’Union européenne a réagi, lundi 2 février, à la récente proposition du président français selon laquelle les négociations sur le nucléaire iranien doivent inclure l’Arabie saoudite. L’Union européenne a annoncé que la proposition d’Emmanuel Macron relevait de son « opinion personnelle » et a rappelé son engagement à l’actuel accord nucléaire.
Le Hamas possède une technologie à abattre les drones de "Tsahal" (Walla)
Israël a annoncé ce mardi qu’un deuxième drone s’était écrasé dans la bande de Gaza en deux jours. Hier, le Hezbollah a également annoncé qu’il avait abattu un quadricoptère de l’armée israélienne au sud du pays. L’augmentation du nombre des aéronefs abattus de l’armée israélienne révèle que le potentiel militaire de l’armée israélienne était en déclin. En revanche, l’axe de la Résistance possède déjà des technologies de pointe à affronter toute agression éventuelle de l’armée israélienne.
Ce mardi, l’armée israélienne a annoncé dans un tweet qu’un drone s’était écrasé dans le sud de la bande de Gaza et qu’il n’y avait aucune inquiétude quant aux fuites d’informations.
Une source de sécurité a également déclaré à Gaza que le service de sécurité affilié au Hamas avait saisi le drone écrasé.
Nouvelle menace US contre la Russie: une série de bombardiers B1-B déployés en Norvège
Dans le cadre de sa nouvelle stratégie, l’armée américaine a annoncé le déploiement de ses bombardiers dans l’ouest de la Norvège sous le prétexte de faire face aux menaces éventuelles de la Russie et de la Chine.
Pour la première fois, l’armée de l’air américaine stationne un certain nombre de bombardiers stratégiques sur sa base aérienne à l’ouest de la Norvège.
Selon le site Star and Stripes, cette initiative américaine est due à l’importance croissante de la région Arctique dans la stratégie militaire. Plus de 200 membres de l’armée de l’air de la base aérienne de Dyess, au Texas, devraient arriver à la base aérienne d’Orland avec un escadron expéditionnaire de bombardiers B1-B Lancer pour soutenir les missions éventuelles contre la Russie et la Chine dans la région, a déclaré mardi le Commandement américain en Europe dans un communiqué.
Syrie : du sang "américain" va couler...
Cet aveu d'échec de l'ex numéro deux du département d'état, Jeffry Feltman, où il reconnait que les Etats Unis d’Amérique ont "militairement " perdu les dix ans guerre en Syrie, et que par conséquent, il conviendrait que Biden opte pour une nouvelle approche à savoir "réduire à l'extrême famine" les Syriens, ce n'est pas par la Loi César que le nouveau président US veut l'appliquer : le corridor maritime anti sanction que l'axe de la Résistance a mis en place depuis des années et qui alimente la Syrie en essence et denrées alimentaires et qui s'est même étendue depuis mai 2020 aux Caraïbes pour faire intégrer le Venezuela, a fait de la Loi César, une loi bien creuse, même si les Américains ont tout fait pour que le contraire se produise, y compris, au Liban où ainsi que le reconnait Feltman, la cible des hostilités US est à la fois le Hezbollah mais encore les banques puisqu'elles sont les poumons de l'économie syrienne.
Les GI’s espionnent l’armée irakienne au profit de Daech
Un analyste irakien a révélé l’infiltration américaine au sein du service de sécurité d’Irak pour fournir des informations aux terroristes de Daech. Dans le même temps, un autre convoi militaire américain a été pris pour cible des forces de la Résistance dans le sud de l’Irak.
Kamel al-Bayati, analyste politique irakien, a déclaré dans un entretien avec l’agence de presse al-Maalomah que les États-Unis tentaient d’imposer leur diktat aux Irakiens et de collecter des informations délicates auprès des services de renseignement pour en fournir aux terroristes de Daech dont la réapparition garantirait et justifierait la présence illégale des forces américaines en Irak.
Kamel al-Bayati a déploré que le gouvernement irakien ne passe pas à l’acte pour expulser les militaires américains bien que les États-Unis continuent de s’ingérer dans les affaires militaires et sécuritaires de l’Irak.