
تقي زاده
Quel impact ont les bonnes mœurs sur l'homme ?
Dans le livre al-Khissal, il est rapporté que le Messager d'Allah (sawas) a dit : « Les bonnes mœurs représentent la moitié de la religion » .
L'une de grandes missions qu'Allah a confiées à Ses Messagers et Ses Prophètes, est de rappeler à Ses serviteurs d'acquérir les bonnes mœurs. Elles sont la balance avec laquelle nous pouvons juger de la conduite de telle ou telle personne. Nous pouvons donner un exemple concret : Parfois lorsque un de nous voyage dans un pays, une des premières questions sur laquelle il sera interrogée à son retour, est la morale des habitants de ce pays.
Les bonnes mœurs guident l'homme au bonheur perpétuel et au bien absolu, alors que les mauvaises mœurs le mènent vers la perdition. L'homme, durant toute sa vie, se doit de s'efforcer pour acquérir les bonnes mœurs et de se débarrasser de ses mauvaises mœurs.
Nous voyons que lorsque l'homme est atteint d'une maladie, il se précipite chez le médecin pour le soigner, alors qu'il ne se précipite pas pour soigner tout ce qui est corrompu dans ses mœurs. Le fait de soigner les maladies de l'âme est plus exigible que celles du corps, car l'importance provient de la supériorité de l'âme sur le corps. Même les anciens sages n'ont accordé l'appellation de ''Élixir '' que sur la sagesse, qui est considérée le remède à toutes les mœurs.
Pourquoi est-il nécessaire d'acquérir de bonnes mœurs ? Tant que l'homme cherche à acquérir les bonnes mœurs, il se trouvera une spiritualité sublime qui le rendra susceptible de recevoir les émanations divines. Ces émanations sont comme une lumière qui brille dans le cœur. De plus elle accorde à l'homme une infaillibilité de ne pas commettre les péchés.
Autrement dit, c'est comme le miroir de l'âme qui reflète les images face à lui. Tant que le cœur est pur, cette pureté se manifeste sur son comportement, nonpour montrer son affectation, mais pour montrer la vérité de son Intérieur.
Il exige de l'homme qu'il cherche à réparer la corruption qui a touché ses mœurs, avant que celle-cisoit irréversible et impossible. Si les mauvaises mœurs s'enracinent dans l'âme, le fait de les enlever sera alors difficile.
De plus, il faut toujours nourrir les bonnes mœurs par les valeurs qui sont juste, jusqu'à ce que l'homme s'habitue à les accomplir, et perd ses défauts. La colère, le mensonge, la médisance, la diffamation et encore d'autres maux moraux se doivent d'être évités, car ils représentent les penchants pour un mauvais comportement.
De son côté, l'Islam a accordé à cette question une grande importance. Il ordonne à ses fidèles de suivre ses prêches et d'agir selon ses instructions pour transmettre au monde une image véridique et pure encadrée de bonnes mœurs.
Le département du Trésor de Biden maintient un mécanisme anti-iranien
Le département du Trésor de l’administration Biden maintiendra le mécanisme anti-iranien que Washington avait adopté sous Trump.
Le 25 octobre 2019, le département du Trésor a annoncé un mécanisme pour placer l’Iran parmi ses principales sources de préoccupation en matière de blanchiment d’argent.
Attaque contre l'ouest de Hama en Syrie
Voiture piégée explose au centre de Tel-Aviv. À peine 24 heures après le double attentat kamikaze contre la capitale irakienne Bagdad commis selon les sources irakiennes par deux terroristes saoudiens, les F-16 israéliens prennent pour cible la localité de Hama. Selon SANA, le régime israélien n'a pas risqué tout comme ces derniers raids le prouvent de s'aventurer dans le ciel du Golan depuis que les batteries de missiles Khordad 3 y sont installées.
Le raid de ce matin aurait été lancé depuis le ciel de Tripoli au nord du Liban. Cette attaque intervient 3 jours après que le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov a mis en garde Israël contre toute reconduction des frappes contre la Syrie. Lavrov faisait clairement allusion au raid du mois de novembre contre Maysaf, le centre de recherche de l'ouest de Hama où des batteries de S-300 russes avaient alors été activées.
Deux des terroristes de la place al-Tayran étaient des Saoudiens
Les États-Unis, Israël et l’Arabie saoudite étaient derrière les attentats terroristes de Bagdad, a déclaré le Kataeb Hezbollah en réaction aux deux explosions qui ont ensanglanté jeudi Bagdad.
Le groupe de Résistance irakien, Kataeb Hezbollah a qualifié d’« axe du mal », les États-Unis, le régime israélien et l’Arabie saoudite, affirmant que ces derniers avaient orchestré les explosions de Bagdad.
« L’axe du mal américano-israélo-saoudien a repris ses crimes abominables contre la nation irakienne en visant un marché fréquenté par les Irakiens pauvres », a annoncé le Kataeb Hezbollah.
Et d’ajouter : « La simultanéité de ce crime avec la prise de fonction de la nouvelle administration américaine prouve comment l’axe du mal reste déterminé à mettre à exécution ses plans qui veulent faire renoncer les Irakiens à leur décision d’expulser les militaires étrangers de l’Irak ».
Des milliers de drones remplacent des chasseurs et bombardiers (Moussavi)
Le commandant en chef de l’armée iranienne, le général de division Abdolrahim Moussavi, a visité différentes parties de la base aérienne Shahid Abdul Karimi à Bandar Abbas - le poste de commandement, les abris, unités de vol - et a évalué la puissance opérationnelle de la base.
Lors d’une rencontre avec les pilotes et le personnel de la base, le général de division Abdolrahim Moussavi a déclaré que l’armée de l’air de la République islamique d’Iran était devenue une puissance unique dans le domaine des drones. Il a apprécié les efforts des pilotes et du personnel de cette unité.
Carnage à Bagdad: le Hezbollah condamne fermement
Une fois de plus, les convois militaires de la coalition internationale ont été la cible d’explosions ; la Résistance libanaise s’interroge sur les attentats terroristes à Bagdad, tout en les condamnant fermement.
Ce jeudi 21 janvier, une explosion s’est produite sur le trajet d’un convoi logistique de la coalition internationale alors qu’il passait sur l’autoroute à Abu Ghraib, à l’ouest de la capitale irakienne, Bagdad, a rapporté Shafaq News faisant état d’un blessé.
Plus tôt dans la journée, un autre convoi militaire appartenant à la coalition internationale a été visé par un engin explosif alors qu’il passait sur l’autoroute de Samawah dans le sud de l’Irak.
Réparation des relations avec Téhéran: Riyad fait appel à Moscou
Terrifiée par une Amérique sans Trump, l’Arabie saoudite a demandé à Moscou, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, de réparer les relations de Riyad avec Téhéran et Ankara.
Faisal ben Farhan al-Saoud, le ministre saoudien des Affaires étrangères, qui a succédé à Adel al-Jubeir depuis un an, s’est rendu pour la première fois en Russie, principale adversaire des États-Unis. Coïncidant avec le départ de Trump, le choix de la Russie comme première destination de l’Arabie saoudite a suscité de nombreuses questions.
De nombreux analystes estiment que la visite de Faisal ben Farhan al-Saoud à Moscou à la veille du départ de Trump de la Maison-Blanche reflète l’inquiétude de Riyad face à une Amérique sans Trump.
En d’autres termes, Riyad redoute la prise de fonction d’un Joe Biden qui n’a pas hésité à s’en prendre à l’Arabie saoudite lors de son discours de campagne coïncidant avec l’anniversaire du meurtre du journaliste dissident saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul en octobre 2018.
Missiles anti-navires, torpilles, drones marins, l'Iran prêt à mener une longue bataille en mer
La capacité défensive et militaire de l’Iran et les dernières technologies dévoilées lors de l’exercice militaire Grand Prophète-15 du CGRI et du récent exercice Eqtedar-99 (Autorité) de l’armée, ont été largement relayés par les médias occidentaux.
Au sujet de l’exercice militaire Grand Prophète-15, Reuters a rapporté que cet exercice mené vendredi dernier par le CGRI « a suivi un autre exercice des missiles navals à courte portée qui a été effectué le mercredi ». L’Iran a développé une technologie militaire avancée et possède le programme balistique le plus puissant du Moyen-Orient, conçu à des fins défensives, précise l’agence de presse.
Chasseur chassé ou comment Caracas a eu raison de la pression maximale
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré mercredi que son pays avait été en mesure de résister et de gagner face à la politique de l’ex-président américain Donald Trump.
Selon Sputnik, Maduro a écrit dans un communiqué après l’investiture du nouveau président américain Joe Biden : « Aujourd’hui 20 janvier, Donald Trump est parti... nous l’avons vaincu. C’est une victoire pour le Venezuela. Il est parti seul. C’est une victoire pour nous. »
Maduro a également déclaré dans un message télévisé : « J’appelle le gouvernement américain à cesser de diaboliser la révolution bolivarienne et Nicolas Maduro et à cesser la propagation du mensonge et de la haine contre le Venezuela. »
Antony Blinken, le candidat du président élu Joe Biden au poste de secrétaire d’État, a déclaré mardi au Congrès américain qu’il reconnaissait toujours le président autoproclamé et chef de l’opposition vénézuélienne, Juan Guido. Il a également déclaré que les États-Unis devraient imposer des sanctions plus lourdes au gouvernement de Maduro.
A quoi rime l'appel lancé par Damas à la Chine?
Bachar Jafari n’apprécie pas la langue de bois : son appel bien direct à l’adresse de la Chine et les pays du G 77 à qui il a demandé une intervention censée mettre un terme au pillage des ressources syriennes par les États-Unis mérite bien réflexion. En effet, le représentant permanent de la Syrie auprès de l’ONU a souligné que la Syrie comptait sur le précieux soutien du Groupe des 77 (G77) et de la Chine pour mettre fin au pillage de ses ressources naturelles et à l’occupation étrangère de ses terres. Dans son discours lors de la première visioconférence au niveau des ambassadeurs du Groupe des 77 et de la Chine pour l’année 2021, présidée par la Guinée, Jaafari a déclaré que les défis auxquels notre monde était confronté aujourd’hui étaient énormes, comme dans un temps très court la pandémie de coronavirus a paralysé les efforts déployés pour réaliser le programme de développement durable pour 2030 alors que l’épidémie avait révélé la fragilité de notre monde et montré à quel point nous étions interconnectés.