تقي زاده

تقي زاده

Aujourd’hui, le 3 octobre 2023 tombe la date anniversaire du Prophète de l'Islam (que le salut de Dieu soit sur Lui et sur ses descendants) et de l'Imam Sadegh (imam des chiites) et à cette occasion, le Leader de la RII a reçu en audience un échantillon représentatif de la nation ainsi que les responsables gouvernementaux, les ambassadeurs des pays musulmans et les participants à la Conférence de l'Unité.

Le Leader de la Révolution islamique a rappelé tout d’abord que Le Grand Prophète de l’Islam (PSL) avait offert à l’humanité le remède à toutes ses souffrances, le Coran.

Le Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, affirme que l'hostilité envers l'islam est plus évidente que jamais, citant comme preuve la profanation du Saint Coran en Occident.

« La profanation du saint Coran n’est pas l’œuvre d’une seule personne ignorante, il faut identifier tous ceux qui sont derrière cette série d’actes ignobles », a ensuite affirmé le Leader très touché par ce qui se passe depuis plusieurs mois en Occident et qui portent atteinte à notre prophète et à nos profondes croyances.

« Un exemple en est l'insulte au Saint Coran - ce qu'un idiot ignorant fait et un gouvernement soutient. Le problème n'est pas seulement l'insulte au Coran ou le lieu où cela est survenu ; notre problème concerne les planificateurs de ce crime et de cet acte haineux. Ils pensent pouvoir affaiblir le saint Coran, mais ils se trompent. Ils ne font que se ridiculiser », a-t-il déclaré.

L'Ayatollah Khamenei a déclaré que justifier la profanation du Coran au prétexte de la liberté d'expression ne ferait que déshonorer ceux qui tentent de légitimer cet acte ignoble.

« Les pays qui autorisent les insultes au Coran au prétexte de la liberté d'expression, autorisent-ils également les attaques contre les symboles sionistes ? Quel langage peut-on utiliser pour prouver plus clairement que les pays en question sont sous la domination des sionistes cruels, criminels et pilleurs du monde ? »

L'Ayatollah Khamenei a abordé la question à l'occasion de la Semaine de l'unité islamique, appelant les dirigeants et les hommes politiques des pays islamiques ainsi que les experts et les élites du monde islamique à réfléchir à la question suivante : qui est l'ennemi de l'unité des pays islamiques et à qui L'unité des musulmans nuit-elle en empêchant plus précisément leur ingérence et leur pillage de nos ressources?

Le Leader a appelé les pays islamiques d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord à s’unir pour empêcher le vol, la coercition et l’ingérence américains.

« L'Amérique frappe politiquement et économiquement les pays de la région, vole le pétrole syrien, protège et maintient dans ses camps, le cruel, le barbare et le sanguinaire Daech afin qu'elle puisse ramener le groupe sur le terrain chaque fois que cela est nécessaire et afin qu’elle s'immisce dans les affaires des pays de la région »,

« Cependant, si tout le monde est uni et si l’Iran, l’Irak, la Syrie, le Liban, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Jordanie et les pays du golfe Persique adoptent une politique unique sur les questions fondamentales et générales, les puissances tyranniques ne pourront pas et n’oseront pas s’immiscer dans leurs affaires intérieures et dans leur politique étrangère », a expliqué le Leader.

L'Ayatollah Khamenei a affirmé par aussi : « Comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, nous n'encourageons personne à la guerre et à l'action militaire et, nous évitons nous-même de recourir à la guerre. C'est pourquoi l'invitation à serrer les rangs et à s'unir vise à empêcher le bellicisme de l'Amérique car, c’est bien elle qui déclenche des guerres et même toutes les guerres. »

Plus loin dans ses propos, le Leader de la Révolution islamique a réprimandé les pays cherchant à normaliser leurs relations avec Israël, déclarant que « le régime sioniste est périssable ».

« La position définitive de la République islamique est que les gouvernements qui font le pari de la normalisation avec le régime sioniste qu’ils prennent pour modèle pour eux-mêmes perdront au final et cette perte les attend [pour sûr] », a déclaré mardi l'Ayatollah Khamenei.

« Ils font une erreur et, comme le disent les Européens, ils misent sur le mauvais cheval », a-t-il affirmé.

L’Ayatollah Khamenei a rappelé aussi que la situation actuelle en Israël n’est pas de nature à encourager un quelconque rapprochement avec ce régime et que les pays candidats à la normalisation « ne devraient pas commettre cette erreur ».

« Aujourd’hui, le mouvement palestinien est plus en forme que jamais, depuis ces 70 voire 80 dernières années et la jeunesse palestinienne et le mouvement anti-usurpation, anti-oppression et antisioniste sont plus joyeux, plus vivants et plus prêts que jamais, comme vous vous même le constater ».

« Et si Dieu le veut, ce mouvement portera ses fruits, et comme le regretté imam [Khomeini] a décrit le régime usurpateur comme un cancer, si Dieu le veut, ce cancer sera éradiqué par le peuple palestinien et par les forces de résistance de toute la région. »

L'Ayatollah Khamenei a rappelé aussi qu'Israël avait toujours été malveillant envers les pays musulmans.

« Le régime sioniste est plein de haine et de colère, non seulement envers nous, mais aussi envers les autres pays. Ce n’est pas comme si le régime sioniste était satisfait des pays lointains. Ils [les Sionistes] détestent également l’Égypte, l’Irak et la Syrie ; Pourquoi? Parce que leur objectif était du Nil à l’Euphrate et parce que cela ne s’est pas produit. Ces pays [musulmans et non voisins du régime] ne l’ont pas autorisé pour différentes raisons », a expliqué le Leader.

« Eh bien, bien sûr, le Coran dit : « Soyez en colère et mourez de colère ». Ce sera le cas. Ils meurent maintenant et, par la grâce de Dieu, « soyez en colère et mourez de colère » est en train de se réaliser dans le cas du régime sioniste », a-t-il ajouté.

L'exercice conjoint de drones de l'armée de la République islamique d'Iran a débuté ce mardi 3 octobre.

« Avec la participation de près de 200 types de drones des unités sélectionnées des quatre forces de l'armée, l'exercice conjoint de drones a débuté ce mardi matin dans la zone géographique de la République islamique d'Iran, s’étendant des eaux chaudes du golfe Persique et de la mer d'Oman au sud vers l'est, l'ouest, le nord et le centre du pays », a déclaré le contre-amiral Habibollah Sayyari, commandant de l’exercice.

Selon ce dernier, aux premières heures de cet exercice conjoint, les drones de surveillance et de reconnaissance des quatre forces de l'armée ont mené avec succès des opérations de surveillance des frontières du pays. Ils ont procédé à l'identification des cibles qui ont été visées au cours de l’exercice et ils ont pris des photos de la zone sur laquelle se déroule cet exercice.

 

L'aviation israélienne a mené une nouvelle agression contre la Syrie, ciblant cette fois des positions proches de la ville orientale de Deir ez-Zor.

Une source militaire syrienne, citée par l’agence de presse officielle SANA, a déclaré que l'attaque de lundi soir 2 octobre avait eu pour cible des positions militaires à proximité de Deir ez-Zor et qu’elle avait fait au moins deux blessés parmi les soldats syriens et causé des dégâts matériels.

Israël a fréquemment attaqué les positions de l'armée syrienne et de ses alliés au cours de ces dernières années. Les actes d'agression du régime se sont multipliés depuis 2011. La Syrie est en proie à de la violence et du terrorisme généralisés soutenus par l'étranger.

Les raids du régime ciblent principalement les positions des alliés de la Syrie, ceux mêmes qui aident le pays dans sa lutte contre les groupes terroristes soutenus par les États étrangers.

« Nous avons un problème de sécurité partout dès que nous n'avons pas de présence des autorités », affirme Emmanuel Macron.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré lundi 2 octobre que la France connaît des problèmes de sécurité sur l'ensemble du territoire en raison du manque de personnels faisant partie des groupes de métiers destinés à assurer le maintien de l’ordre sur le sol français.

« Il y a un besoin de sécurité et d'ordre dans tout l'État. Ces dernières années, nous avons considérablement réduit le nombre de policiers et, aujourd'hui nous avons des problèmes de sécurité partout parce qu'il n'y a pas assez de présence [de gendarmes] », a déclaré Macron sur le plateau du journal télévisé de France 3.

La normalisation syro-turque est dans une impasse: Ankara refuse toujours de retirer ses troupes du nord de la Syrie et il se demande même pourquoi il devrait le faire...

Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Bassam Sabbagh a exclu la possibilité d’un accord de normalisation avec la Turquie à moins que les forces d’occupation d’Ankara ne quittent le territoire syrien.

Sabbagh a déclaré lundi 2 octobre dans une interview accordée au service arabe de l'agence de presse russe Sputnik que la Turquie devait ordonner à ses forces militaires de se retirer de Syrie, faute de quoi elle éliminerait tout effort visant à rétablir les relations Ankara-Damas.

La Turquie doit retirer ses forces militaires, a rappelé Sabbagh qui a ajouté que la Turquie était prête à discuter de tout autre sujet avec la Syrie mais pas du retrait des troupes turques qui devait se faire impérativement : Il a souligné que la présence militaire turque était illégale et qu’elle empêchait toute normalisation.

De l’autre côté, Yasara Guler, le ministre turc de la défense a pris un communiqué vendredi dans lequel il explique qu’Ankara est pour la poursuite des négociations mais qu’il refuse catégoriquement de retirer ses troupes du nord de la Syrie.

Allant même jusqu’à qualifier la position syrienne d’illogique, Guler a affirmé : « Nous sommes toujours prêts à nous asseoir et à engager un dialogue, mais les exigences de la partie syrienne ne peuvent pas être acceptées immédiatement. »

Le ministre turc de la Défense a ajouté : « Ils veulent que la Turquie quitte le territoire syrien, mais pourquoi la Turquie devrait-elle le faire ? »

Les États-Unis ont occupé les gisements pétroliers dans le sud et à Rumeilan dans le nord-est de la province de Hassaké ainsi que le puits de pétrole d'al-Omar, le plus grand puits du pays et ils dérobent ce pétrole depuis bien trop longtemps.

L’occupant américain a intensifié ses opérations pour voler davantage du pétrole d’al-Jazira et a transporté, au cours des dernières vingt-quatre heures, plus de 95 camions-citernes chargés de pétrole volé des gisements d’al-Jazira vers ses bases sur les territoires irakiens.

Une source dans la banlieue de Yaaroubiyah a déclaré à la correspondante de l'agence de presse officielle syrienne, SANA qu’un convoi de l’occupant américain composé de 70 camions-citernes chargés de pétrole est sorti ce matin via le poste illégal de Mahmoudiyah.

 

La cérémonie de clôture de la 5e édition du Prix Mustafa a eu lieu lundi 2 octobre dans la province d’Ispahan au cours de laquelle l’un des prix des non-résidents a été remis au professeur Omid Farrokhzad, producteur de la première nanomédecine sur les cellules cancéreuses.

Le deuxième lauréat non-résidents du Prix Mustafa est Égyptien Ahmad Hassan, professeur à l’Université Queen’s au Canada, dont le travail consiste à explorer les référentiels de logiciels (MSR) dans les domaines dont les sciences, la technologie, l’information et la communication.

Le secrétaire général du mouvement de résistance islamique libanais, Hezbollah, a prononcé un discours lundi 2 octobre au soir à la veille du jour anniversaire de la bienheureuse naissance du prophète de l’islam, Mohammad (Que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants).

Remerciant la foule pour sa participation à cette cérémonie de discours télévisé, Seyyed Hassan Nasrallah a appelé à accorder une importance digne de son nom à la célébration des fêtes musulmanes.

Dans son discours, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah a évoqué plusieurs importantes questions d’ordre régional ou international.

Entre autres, Nasrallah a tenu à apprécier le peuple yéménite qui, « pour sa résilience dans des conditions de vie des plus difficiles, mérite de passer pour l’exemple parfait à suivre au sein du monde musulman ».

Par la suite, Hassan Nasrallah a condamné les attentats terroristes survenus le 29 septembre dernier au Pakistan.

« Le Saint Coran nous le dit ; ils (les ennemis) veulent éteindre la lumière de Dieu pour que l’humain se dégrade jusqu’au rang des animaux », a déploré Nasrallah.

Hassan Nasrallah n’a pas manqué non plus de parler de la guerre médiatique des ennemis, « une guerre plus dangereuse et plus destructrice que la guerre militaire ».

Nasrallah a affirmé que pour réaliser les objectifs auxquels ils n’ont pas réussi à parvenir par la guerre, les ennemis ont recours à la guerre médiatique ; « et leur méthode de faire consiste à semer la sédition auprès du monde de l’islam ».

Déplorant les processus de normalisation déclenchés par certains pays dans le sens de la normalisation avec le régime israélien, Nasrallah a évoqué la grande responsabilité de l’Oumma islamique dans les conditions actuelles par rapport à la défense de la cause palestinienne, la mosquée Al-Aqsa et la noble Qods.

Un haut commandant de l'armée iranienne affirme que la puissance des drones iraniens a atteint un niveau suffisant pour contrer toute menace posée par les ennemis. Le contre-amiral Habibollah Sayyari, chef adjoint de l’armée iranienne pour la coordination, a fait ces remarques lundi 2 octobre avant un exercice conjoint de grande envergure impliquant des drones des quatre unités de l’armée iranienne (force terrestre, marine, armée de l’air et force de défense aérienne) sur de grandes zones du centre et du sud de l’Iran.

Sayyari, qui est également le commandant de l’exercice conjoint de drones, a déclaré que l’exercice serait mené sur plus de la moitié du territoire iranien et dans la partie nord de l’océan Indien, soulignant qu’une partie de la puissance des drones de l’armée serait évalué dans le jeu de guerre à grande échelle.

Le Niger a déclaré, lundi après-midi 2 octobre, qu’il acceptait l’initiative de l’Algérie pour sortir de la crise interne et que le ministre algérien des Affaires étrangères se rendrait prochainement à Niamey, capitale nigérienne.

« Le gouvernement algérien a reçu une correspondance officielle du ministère des Affaires étrangères du Niger, faisant état de l'acceptation de la médiation de l'Algérie visant à développer une solution politique à la crise qui prévaut dans ce pays frère », a indiqué le ministère algérien des Affaires étrangères, dans un communiqué, cité par Anadolu.

Après que le Niger a accepté cette initiative, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a chargé le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Ataf, de se rendre dans les plus brefs délais à Niamey, la capitale du Niger, afin de préparer les négociations entre toutes les parties au Niger.

Alger a estimé que « l’acceptation de l’initiative algérienne conforte l’option de la solution politique à cette crise et ouvre la voie à la réunion des conditions devant permettre de la surmonter pacifiquement dans l’intérêt du Niger et de l’ensemble de la région », a ajouté le ministère algérien des Affaires étrangères.