
تقي زاده
LA LANGUE, PLUS GRANDE SOURCE DE PÉCHÉS
La langue est un bienfait éminent par lequel Dieu a honoré l’être humain et lui en a fait grâce.
Sourate la cité (Al balad) versets 8 à 10 :
« 8 Ne lui avons Nous pas assigné deux yeux,
9 et une langue et deux lèvres ?
10 Ne l'avons-Nous pas guidé aux deux voies ? »
Quand Dieu a créé l’homme il l’a créé avec la meilleure image en mettant tout dans un ordre parfait.
Les yeux sont une création extraordinaire et nous permettent de voir, les lèvres nous permettent de parler et prononcer des mots de même que la langue.
Toutefois cet organe peut constituer un grand danger le prophète saws nous a mis en garde contre les péchés qu’elle peut commettre
Dieu s’adresse aux enfants d’Adam
Dans un Hadith saint (qudsi) dont voici l’explication : oh fils d’Adam si tu veux dire quelque chose je t’ai empêché de parler initialement mais je t’ai fait miséricorde en te donnant deux lèvres pour pour pouvoir ouvrir la bouche donc ferme les pour te protéger du haram et de même pour les yeux je t’ai mis 2 stores (paupières) pour fermer les yeux quand ta vue tombe sur quelque chose de haram. Alors ferme les quand il y a besoin.
Abu tharr grand compagnon du Prophète saws lui demanda : Dieu va nous juger sur ce qui sort de notre bouche? Le prophète saws lui a répondu en lui disant : y a t il plus de raisons que la langue pour faire entrer les gens en enfer ?
Le prophète saws conclut en lui disant tu seras en sécurité tant que tu te tais.
Le prophète saws lui dit aussi celui qui dit une bonne parole ça sera noté pour lui le jour du jugement. Et celui qui parle et ment et invente des histoires sur les gens pour les faire rire en mentant. malheur, malheur, malheur à lui.
Qu’aucun mensonge ne sort de ta bouche.
Abu tharr demanda alors : quel est le remède de celui qui a menti en connaissance de fait ?
Le prophète saws lui dit : la demande de pardon et les 5 prières lavent cela…
A méditer : Dieu nous a créé avec 2 oreilles grandement ouvertes. Et une langue enfermée. Dans la bouche. Il faut donc beaucoup plus écouter que parler….
Parmi les raisons c’est la médisance et rapporter les paroles pour semer la discorde.
Celui qui cite un frère musulman pour un défaut qu’il n’aime pas qu’on dévoile aura commis la médisance. C’est un énorme péché.
Parmi les péchés de la langue il y a la mécréance, le mensonge dans la plaisanterie en jouant ou dans le but de porter atteinte à la personne
Si une personne commet une médisance devant nous il faut lui dire d’arrêter.
Dieu dit dans le verset 12 de la sourate les appartements :
« 12 Ô vous qui avez cru ! Evitez de trop conjecturer [sur autrui] car une partie des conjectures est péché. Et n'espionnez pas; et ne médisez pas les uns des autres. L'un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort ? (Non ! ) vous en aurez horreur. Et craignez Allah. Car Allah est Grand Accueillant au repentir, Très Miséricordieux. »
Préservons nous du péché de la langue car la plupart des péchés de l’homme provient de la langue. Le Musulman responsable est celui qui contrôle sa langue et pèse ses paroles avant d elles prononcer
En effet les anges scribes notent tout ce qu’on dit :
Verset 18 sourate Qaf (50)
« 18 Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire. »
Le Noble Prophète d'Allah sawas:
Israël/Lattaquié: riposte-choc d’Assad!
C’est le choc puissance 1000 en Israël : dans la nuit de vendredi à samedi le premier janvier, alors même que le MAE sioniste, interrogé par la chaîne 12 que suivent de nombreux colons, continuaient à bluffer encore et encore, en menaçant l’Iran d’une « action unilatérale israélienne » qui pourrait intervenir «sans ou avec le feu vert américain »,
si les pourparlers de Vienne échouaient à contrer l’émergence d’une bombe nucléaire iranienne et qu’il le faisait en faisant sournoisement l’impasse sur ces quelques surprises de taille apparues en plein exercice Grand Prophète 17, genre, la reconstitution de l’attaque contre le réacteur nucléaire de Dimona à coup d’une salve de 16 missiles balistiques pour certains « hypersonisés » et d’une vitesse Mach 20 et ce, conjuguée à un essaim de 10 drones à sens unique de type Shahed-136, les ports de Tel Aviv et de Yafa, situés non loin du métropole hi-tech de l’entité, avec ses 3.5 millions d’habitants et son PIB équivalent à celui de Vienne, Gush Dan, s’est mise à trembler.
A trembler sous l’impact d’un double missile antinavires tiré depuis Gaza qui avait le plus allègrement du monde percé le bouclier anti missile côtière d’Israël sans qu’aucun sirène d’alarme ni radar appartenant à la dite DCA multicouche israélienne qui compte dans la foulée de l’Epée de Qods pas mal de gadgets, et on pense au Dôme de fer mais ou encore à Fronde de David et Arrow ne s’en alarment le moins du monde. Ce qui a fait que l’élite de l’entité s’est trouvée soudain devant deux colonnes de fumée qui s’élevaient dans le ciel que des fuites affirment ce dimanche avoir été au moins pour l’un d’entre elles, liée à un cargo en feu.
Le samedi du premier janvier au soir, Olivier Levy, journaliste de Yediot Aharonot qui commentait la réaction paniquée des familles fortunées de Gush Dan écrivait :
« Avec toutes les bonnes foies du Monde vous ne saurait me convaincre que ce double tir de missile est chose normale ; le Hamas dispose de quoi frapper Gush Dan et il ne l’a montré pendant son opération du mois de mai et il ne pourrait pas viser la mer de Gush Dan. Ceci ressemble à une frappe au missile contre une zone ouverte, un port, que je sache, un site gazier offshore. La partie qui est derrière ce coup avait un message à faire passer et il l’a fait passer de la façon la plus angoissante qui soit ? "
Et le journaliste sioniste poursuit : "Car si la fortification antimissile que l’armée israélienne a implantée tout au long de 40 km de bande côtière entre Gaza et Tel-Aviv et dont le nombre dépasse une dizaine, DCA qui opère en synchronie avec les batteries de missiles THAAD et Patriot américains déployés sur notre territoire, n’a rien vu ni su sur ces deux engins antinavires, c’est que les ports israéliens, les cargos et les navires, les parcs à conteneurs qui s’y trouvent et dont Israël dépend pour plus de 85% de son commerce exclusivement maritime, sont en grave danger et que le camp d’en face qui en Syrie nous a poussés par attaques aux drones et aux roquettes interposés contre al-Tanf et d’autres bases US combinées à une surprenante et nette optimisation de la DCA à renoncer au ciblage des sites militaires à Homs, à Damas, à Hama… puisque nos ciblages à JIDAM et ADMs devenaient de moins en moins efficaces, de plus en plus chers, à frapper le port syrien de Lattaquié et à prendre un si énorme risque comme celui de fâcher les Russes, nous laisse voir un début de riposte".
Et le journaliste d'ajouter : " En frappant les ports de Yafa et Tel-Aviv ou en faisant semblant de le faire, c’est du coup toute notre stratégie de guerre des ports que l’ennemi remet en cause car si nous comptions sur nos liens avec Moscou pour qu’il tolère au moins un certain temps nos attaques anti-Lattaquié, quitte à mettre son veto à une riposte « portuaire » anti israélienne de Damas, cette « garantie à vie russe » n’existe guère à Gaza ! Une nouvelle règle d’engagement semble émerger qui veut que le ciblage de Lattaquié déclenche le ciblage des régions côtières israéliennes avec tout ce que cela comporte en risque majeur pour notre économie » !
Et le Sioniste Oliver Levy ne croit pas si bien dire et voir : A peine 24 heures après la frappe à double missiles antinavires que les médias israéliens ont tenté d’attribuer au seul Jihad islamique, dans une stérile tentative de diviser pour régner, frappe qui avait curieusement l’air de la reproduction de quelque chose, la panique à Gush Dan où vivent les Sionistes d’en haut, a été au point tel qu’il a fallu une série de frappes-placebo contre Gaza pour les calmer. Sauf que seuls les Sionistes se sont laissés berner par cette parodie.
Toute la nuit de samedi à dimanche 2 janvier les médias mainstream ont rapporté des coups d’artillerie et des raids aux missiles « trop lourds », « trop violents » qui auraient visé d’abord le nord de Gaza, « une base du Hamas dans l'est de Jabalia » ou peut-être « un poste de contrôle dans la zone d'al-Ghoul au nord de Beit Lahiya » pour se diriger ensuite vers le sud de Gaza où la chaîne saoudienne Al Arabiya a même vu une frappe à « 12 missiles » des hélico sionistes de type AH-64 "Apache contre la base de « Al-Qadessiyah » appartenant aux brigades militaires « Al-Qassam à l'ouest de Khan Younes.
ICBM iranienne contre Dimona!
Peu d'officiels israéliens, pourtant si férus ces jours-ci à décrire très haute en couleur et avec détails une guerre Israël/Iran, se donnent la peine de s’arrêter sur ce qui s'est passé le 25 décembre,
sur les côtes sud de l'Iran dans le cadre d'un ultime scène de guerre reconstruit dans le cadre de l'un des plus grands exercices militaires qu'ait jamais réalisée l'Iran, scène connu désormais sous le nom d'attaque à 16 missiles. Même le Sioniste Yoaz Handel, ministre des communication et romancier de formation n'ose s'y attarder pas plus que quelques secondes. Interrogé ce dimanche par le journal Zaman Ysrael, l'intéressé auteur d'un roman il y a dix ans où il a imaginé à quoi pourrait ressemble le choc direct Israël/Iran ne fait pas l'exception à la règle.
Pour ceux et celles des analystes qui suivent depuis des années les coups d bluff israéliens contre l'Iran, et ils sont désormais même très nombreux aux Etats unis d’Amérique par se trouver agacés par ces fanfaronnades, une question se pose tout de suite : Peut on imaginer réellement un "après frappe anti Dimona" pour Israël?
Le 25 décembre vers midi, une réplique grandeur nature du réacteur nucléaire israélien à base de plutonium a été pris pour cible de 12 des 16 missiles Sol-Sol iraniens de type Sejjil, Emad, Zelzal, Ghadr, Zulfekar et Dezful dont la portée varie entre 350 et 2200 km. En un temps de records de 57 secondes le cœur du réacteur a été atteint par des les missiles qui se suivaient l'un après l'autre et d'où s’échappent une fumée orangée, faisant découvrir un phénomène encore jamais vu côté des missiles iraniens. Au demeurant, ces images n'ont pas tardé à s'accompagner d'un curieux commentaire du commandant en chef de la Force aérospatiale du CGRI? le général Hajjizadeh qui a affirmé à la presse :
" ... les missiles balistique tactique iranienne aurait une vitesse de Mach 15 à Mach 20 en phase finale, ... ce que rendra trop difficile la tache des missiles intercepteur, ... d'autant plus que la manœuvrabilité de nos missiles leur permet désormais de s'abattre sur les cible suivant le mécanisme Multiple Rounds Simultaneous Impact ". Trop d'analystes mais pas israéliens ont cru voir à travers cette précision apportée par le général Hajizadeh, précision qui allait si merveilleusement avec les images des engins iraniens laissant échapper une fumée orangée, la confirmation du fait que le monde se trouvait face à l'émergence des capacités hypersoniques en Iran. Quelques jours plus tard, cette impression s'est trouvée confirmée quand l'Iran a lancé avec succès " trois objets scientifiques" à 470 km de la terre à l'aide de Simorgh ou un porte-satellite iranien. Simorgh est-ce l'ICMB à l'iranienne?
Là encore aucun commentaire n'est venu dui côté d’Israël. Et pourtant certaines publications spécialisées américaines ont relevé la simultanéité des deux événements, l'épisode à 16 missiles et le lancement de Simorgh pour conclure que "l'avertissement balistique iranien contre Israël prend désormais une allure hypersonique". Ce qui revient à dire que cette troisième guerre mondiale à quoi rêve Handel pourrait ne pas forcément suivre une action militaire israélienne contre l'Iran. Car un peu comme le cas de l'Ukraine, quel pays ouest européen membre de l'OTAN ou quel porte-avions US aimerait se faire frôler par des missiles hypersoniques d'une portée de plus de 2200 km et qui porte en plus la signature de l'Iran?
Mais Israël et ses parrains n'en ont pas été au bout de leur surprise: Au fait outre la participation à cette simulation d'attaque hybride contre Dimona de 10 drones Shad-136, alias le tueur de Mercer Street, qui eux avaient pour charge de bousiller les bâtiments annexes du réacteur, quatre des 16 missiles semblaient avoir visé avec précision non pas Dimona lui même mais un centre militaire de recherches dans la miniaturisation des ogives nucléaires situé à treize kilomètre du fameux complexe nucléaire de Dimona dans le désert du Néguev au sud d’Israël.
Le fait qu'il s'agissait du missiles Dezful ou Ghadr n'est pas clair, mais cela prouve que l'Iran suit attentivement l’évolution de l’arsenal non-conventionnel israélien, considéré comme l’un des plus prolifique au monde mais qu’il dispose de données sensibles sur certains aspects de ce programme nucléaire militaire datant de la fin des années 50 comme le programme de miniaturisation des têtes nucléaires et l’emplacement de certains laboratoires secret y afférents. Handel ne le sait peut pas, mais le ciblage d'un centre de production de mini bombe nucléaire ne laissera pas grand à l'entité d'inscrire son attaque contre l'Iran dans la durée.
Même un quotidien allemand comme, Frankfurter Rundschau l'a compris : " les responsables israéliens ont cependant parlé à plusieurs reprises d'une action militaire contre le programme nucléaire iranien. Mais les détracteurs avertissent que le gouvernement de Joe Biden considère cette prise de position d'Israël comme plus destructrice. D'autant que le président américain est extrêmement intéressé par le redémarrage de l’accord nucléaire avec l'Iran.
« Mais on dit que Washington soutiendrait les menaces verbales de Tel-Aviv parce que, d'une part, les pourparlers de Vienne semblent être au point mort, et en 2015, ils ont abouti en raison d’une pression d’envergure », ajoute le journal. Et de poursuivre : « Les rodomontades d’Israël ne sont qu’un jeu avec le feu, et elles ne sont probablement rien de plus qu'un bluff. À elle seule, même l'armée de l'air moderne d'Israël ne peut pas briser les centrifugeuses souterraines iraniennes. Cela nécessiterait des bombes spéciales ayant une puissance de pénétration énorme dont l'armée israélienne ne dispose pas. Washington ne semble pas intéressé par une véritable intervention armée. L'expert de la défense et ancien député de la Knesset Ofer Shelah conseille de mettre fin à la rhétorique, que personne ne prend au sérieux, au lieu de présenter l'Iran comme une menace existentielle pour Israël. L'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak partage une évaluation similaire : « Les Iraniens sont pratiquement invulnérables, ils parviendront à un équilibre stratégique avec Israël et élargiront leur liberté d'action dans la région ».
Les F-35 frapperont la Crimée ?
Les médias chinois ont confirmé que Washington et l'OTAN seraient exposés à une catastrophe majeure s'ils attaquaient la Russie, équipée de systèmes de défense aérienne russes S-300PM-2 installés en Crimée.
Selon le site web chinois Sohu les systèmes de défense aérienne russes sont dotés d'une station radar multifonctionnelle et d'un système de détection et de suivi de cibles cachées.
« Le S-300PM-2 peut détecter et attaquer les chasseurs furtifs de cinquième génération, à une distance de 200 à 250 kilomètres », ajoute la même source. Et de poursuivre : « Dès que les avions américains "F-35" violeront l'espace aérien russe, ils seront abattus par ces systèmes de défense aériens russes».
Récemment, les pays occidentaux et Kiev ont prétendu que la Russie envisagerait d’attaquer l’Ukraine. Cependant, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov a qualifié d’infondées ces allégations qui ont but de mettre de l’huile sur le feu des tensions.
« La Russie ne représente aucune menace pour n’importe quel pays », a-t-il souligné précisant que toute tentative de résoudre la crise dans le sud-est de l'Ukraine par la force aurait les conséquences les plus graves.
Poutine met Biden en garde contre des sanctions majeures contre la Russie (Kremlin)
Le président russe, Vladimir Poutine est «satisfait» de son entretien téléphonique jeudi avec Joe Biden et a mis en garde le président américain contre des sanctions massives contre Moscou liées à l'Ukraine qui seraient une «erreur colossale», a indiqué le Kremlin.
«Nous sommes satisfaits des discussions qui ont eu lieu aujourd'hui, jeudi 30 décembre », a déclaré à la presse le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov, à l'issue de cet entretien qu'il a qualifié de «franc», «concret» et «constructif».
L'échange téléphonique entre Poutine et Biden, le deuxième en moins d'un mois, intervient avant des pourparlers entre responsables américains et russes à Genève le 10 janvier, en pleines tensions autour de l'Ukraine.
Kiev et ses alliés occidentaux accusent en effet la Russie d'avoir massé des dizaines de milliers de militaires à la frontière de l'Ukraine en prévision d'une éventuelle invasion.
Lors d'un précédent entretien téléphonique début décembre, Biden avait menacé Poutine de sanctions «comme il n'en a jamais vu» en cas d'attaque contre l'Ukraine.
«Ce serait une erreur colossale qui pourrait avoir des conséquences les plus sérieuses », a déclaré Ouchakov, ajoutant que de telles mesures punitives constitueraient une «rupture» dans les relations.
La Russie a récemment présenté deux projets d'accord visant, selon elle, à apporter des «garanties» pour sa sécurité en excluant notamment tout futur élargissement de l'OTAN en Europe de l'Est, notamment à l'Ukraine.
Lors des pourparlers à Genève en janvier, «nous avons besoin d'un résultat, et nous nous efforcerons d'obtenir un résultat sous la forme d'une garantie pour la sécurité de la Russie», a ajouté Ouchakov.
"Aïn al-Asad n'a été qu'un début..."
Signé par Abdel Bari Atwan, l’éditorial du Jour de l’an de Rai al-Youm était consacré au deuxième anniversaire de la mort en martyr de l’ancien commandant de la force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général de corps d’armée Qassem Soleimani, et ses camarades de combat dont notamment le numéro 2 des Hachds al-Chaabi d’Irak, Abou Mahdi al-Mohandes.
« Lorsque le leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei, reçoit la famille du général Soleimani à l’occasion du deuxième anniversaire de son assassinat, et souligne que ceux qui sont à l’origine de cet assassinat paieront très cher leur crime terroriste, cela signifie que les attaques de missiles ayant visé les bases militaires américaines à l’aéroport d’Erbil, ou Ain al-Assad dans la province d’Anbar, ne suffisent pas. Même si ces bases sont démantelées, même si toutes les forces américaines partent, une plus grande vengeance finira par tomber et cela est inévitable ».
Ultimatum de la Résistance expiré; première méga-opération, imminente
« Il n’y a aucun signe que les forces américaines soient vraiment en train de quitter l’Irak », a affirmé un membre du bureau politique du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, une composante de la Résistance irakienne, dénonçant la « tromperie » de Washington à ce sujet.
« Le retrait américain d’Irak n’est qu’une ruse », a affirmé dimanche 2 janvier Ahmed Abdel-Hossein, membre du bureau politique du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, cité par l’agence de presse Tasnim.
« Nous n’avons constaté aucun signe d’un retrait des forces américaines d’Irak ; les militaires américains ne se sont pas reculés vers leurs bases en Jordanie ou les pays du golfe Persique », a-t-il ajouté.
Ce membre du mouvement Asaïb Ahl al-Haq a précisé : « Les États-Unis insistent sur le maintien de leurs forces et pour le faire, ils avancent comme prétexte la défense de leurs intérêts en Asie de l’Ouest. Le retrait d’Irak ou de Syrie serait le dernier souci des Américains.
440 attaques aux missiles contre l'Arabie et Cie
Yahya Sarre, porte-parole des forces armées yéménites, a expliqué dimanche 2 janvier les bilans des opérations de l’armée yéménite et des Comités populaires en 2021.
Selon la chaîne de télévision Al-Masirah l’opération des forces conjointes yéménites en 2021 a conduit à la libération de 12 000 kilomètres carrés du territoire yéménite.
Évoquant le passage de l’armée yéménite de la phase défensive à la phase offensive en 2021 Yahya Saree a déclaré que les forces armées yéménites avaient repoussé plus de 223 attaques de la coalition agresseur saoudo-émiratie en 2021.
Faisant référence à l’abattage de 12 drones américains Scan Eagle au Yémen le porte-parole des forces armées yéménites a déclaré que les forces yéménites avaient mené 194 opérations offensives contre les mercenaires de la coalition saoudienne.
Quand bâton et carotte changent de camp...
Le huitième tour des pourparlers de Vienne pour lever les sanctions illégales imposées à l’Iran a commencé tandis que le septième cycle s’est terminé par faire valoir les positions de principe de l’Iran exigeant la levée de toutes les sanctions. À cet égard, Mohammad Hossein Mohtaram, analyste iranien, a écrit une note sur les perspectives des pourparlers de Vienne et les impacts du récent exercice iranien Grand Prophète 17 sur ces négociations.
« Lors du dernier tour de pourparlers à Vienne, l’Iran a pris le dessus dans les négociations et a contraint les parties occidentales d’accepter presque 80 % des exigences iraniennes, et ce, malgré les tentatives destructives des responsables israéliens et des médias occidentaux en dehors de la salle des négociations », a-t-il indiqué.
Dans ce droit fil, le représentant russe a également tweeté : « Bien que les pays occidentaux s’y soient initialement opposés, ils ont accepté les exigences iraniennes qui sont, en fait, les droits inaliénables de la nation. »
Concernant l’avenir des pourparlers de Vienne, l’analyste a indiqué : « Bien que la levée des sanctions illégales américaines contre l’Iran soit tout à fait possible, les négociations à Vienne pourraient être confrontées à des défis majeurs par le manque de garanties solides de la part des Européens lors des tours précédents, ainsi que le mauvais bilan des États-Unis et leur approche destructive de négocier pour négocier à laquelle l’Iran s’est fortement opposé ».
MO: les USA n'arrivent plus à barrer la route à la Chine
Les États-Unis tentent d’abuser de leur influence sur les pays du golfe Persique, afin d’empêcher la Chine de renforcer son influence dans la région du Moyen-Orient. Cette approche aura-t-elle une chance de réussir ?
L’escalade de tensions entre les États-Unis et les Émirats arabes unis au sujet du rapprochement entre Abou Dhabi et Pékin a conduit les responsables émiratis à revoir leurs pourparlers avec Washington sur l’achat d’avions de chasse F-35 et d’autres armements sophistiqués américains. Le cadre général de cet accord d’un montant de 23,4 milliards de dollars a été approuvé par l’ancien gouvernement américain peu de temps après la signature du soi-disant accord d’Abraham entre les EAU et le régime sioniste.
Cet accord transformerait les EAU en premier pays arabe qui dispose d’avions furtifs F-35, de drones MQ-9B Reaper et d’autres équipements militaires dernier cri américains. Cependant, l’ambassade des EAU à Washington a annoncé le 15 décembre que certaines restrictions surtout les études analytiques sur l’équation qualité-prix ont fait qu’Abou Dhabi revienne sur son plan d’achat de quelque 50 avions F-35.
La Russie barricade la côte est contre les USA
À peine quelque jour après l’attaque israélienne contre le port de Lattaquié, l’apparition provocatrice d’un avion de reconnaissance américain près des frontières de la Syrie et de la base navale russe à Tartous s’est terminée par des conséquences extrêmement désagréables pour l’US Navy.
Concernant la réaction de la Russie, les forces aérospatiales russes ont fait voler un chasseur russe et un avion de reconnaissance russe depuis de la base aérienne de Hmeimim pour l’intercepter, perturbant finalement la mission de l’avion américain.
Selon Avia.pro, un avion de reconnaissance militaire américain anti-sous-marin Boeing P-8A Poseidon ayant décollé d’une base aérienne de l’île de Sicile et a tenté de mener une opération de reconnaissance à côté de la base militaire russe de Tartous.
Quelques minutes seulement après le début de la mission, le conseil militaire a été contraint de fuir, car il a été intercepté par un chasseur des forces aérospatiales russes, pris dans le ciel depuis la base aérienne de Hmeimim.