تقي زاده

تقي زاده

Les médias et les hommes politiques européens affirment de plus en plus souvent que la Russie souhaite l’affaiblissement et la désintégration de l’Union Européenne et qu’elle y contribue.

Selon eux, la preuve en est que la Russie cherche à régler une série de problèmes au niveau bilatéral et non européen et qu’elle finance des partis de droite. Toutefois, même si dans les conditions actuelles la Russie préfère effectivement s’entendre avec les pays et les forces politiques de l’UE qui aspirent à une coopération constructive, cela ne signifie pas que Moscou souhaite l’affaiblissement et la désagrégation de l’UE. Au contraire: aussi paradoxal que celui puisse paraître, une telle évolution des événements serait loin de servir les intérêts pragmatiques de la Russie. Qui plus est, Moscou considère que les problèmes actuels dans ses relations avec l’UE découlent de l’affaiblissement de celle-ci et non de sa consolidation. L’état actuel déplorable des relations russo-européennes résulte dans une grande mesure des processus de désintégration et de fragmentation en cours dans l’UE depuis le milieu des années 2000.

Un partenaire dans le domaine de la sécurité

La Russie a besoin avant tout d’une UE forte en tant que partenaire dans le domaine de la sécurité européenne. Une Union Européenne puissante sera capable d’influencer l’Ukraine et de participer à l’examen des problèmes de « sécurité dure » (défense antimissile, armes nucléaires tactiques, missiles à portée courte et intermédiaire, forces armées conventionnelles en Europe, contrôle de l’ensemble des armements, extension des infrastructures de l’Otan en Europe orientale). Elle pourra devenir un véritable partenaire dans l’élaboration et la mise en place d’un système de sécurité européenne en général, et dans l’établissement des règles du jeu pour les pays de voisinage commun en particulier. Une Union Européenne fonctionnelle et sûre d’elle sera moins encline à considérer la Russie comme un danger extérieur ou à hypertrophier cette image pour s’en servir en tant qu’un « élément unificateur ».

Une Union Européenne faible représente au contraire un problème pour la sécurité européenne. Elle tend les bras aux Etats-Unis et exhorte les Américains à tenir un rôle plus important dans la sécurité européenne, et à intensifier leur présence militaire en Europe orientale. Ce qui ne fait en fin de compte qu’approfondir la scission géopolitique et politico-militaire du continent. Scindée et incapable de pratiquer une politique étrangère commune, les Vingt-Huit ne peuvent ni exercer de pression sur l’Ukraine pour la contraindre à appliquer les accords de Minsk, ni s’entendre avec la Russie au sujet des règles du jeu dans leur voisinage commun. Qui plus est, dans les conditions actuelles, Bruxelles se révèle incapable d’élaborer une nouvelle politique sur l’axe oriental, malgré l’échec évident de la politique actuelle.

Il est erroné de croire qu’une Union Européenne faible et divisée se montre plus bienveillante envers la Russie qu’une UE forte et consolidée. Au contraire, une UE fragile cherche à faire de la Russie un « élément unificateur » et à la présenter comme une menace. Ce qui s’est manifesté avec force pendant la crise ukrainienne de 2014-2015. En outre, dans une Union Européenne fragmentée et désunie, les membres affichant des tendances antirusses prononcées, avant tout la Pologne et les pays baltes, influencent davantage la prise de décisions et la recherche d’un dénominateur commun qu’au sein d’une UE puissante où ils ne jouent qu’un rôle secondaire.

Pouvoir disciplinaire

Une puissante Union Européenne rendrait également service à la Russie dans la résolution des problèmes que traverse le Proche-Orient. Ce n’est qu’en qualité d’acteur global capable de mener une politique étrangère commune que Bruxelles peut exercer un pouvoir disciplinaire sur la Turquie, l’Arabie Saoudite et l’Iran et garantir la mise en place d’un nouvel ordre politique international au Proche-Orient en assurant leur digne participation. Une UE fragile et incapable d’appliquer une politique efficace dans le domaine des migrations et de la lutte antiterroriste ne fait que raviver le feu proche-oriental, ce dont témoignent les événements de 2011-2015.

En outre, une Union Européenne apte à devenir un centre de force global pourrait freiner la tendance du monde à la scission en deux grandes communautés politiques et économiques et le rendre plus équilibré. Des Vingt-Huit parlant d’une seule voix consolidée formeront une partie plus sûre d’elle lors des négociations avec les Etats-Unis sur le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) et un partenaire plus intéressant pour la Chine. Une Union Européenne soumise politiquement et économiquement à Washington n’est qu’un facteur de scission globale.

Pour ce qui est de l’attraction de l’UE pour les pays qui avaient fait partie de l’Union Soviétique, c’est une question à adresser plutôt à la Russie et à l’Union Economique Eurasienne qu’à l’UE. Si, après avoir réalisé les réformes nécessaires à l’intérieur du pays, la Russie réussit à devenir un modèle pour ses voisins et à instrumentaliser la dépendance objective de ces pays vis-à-vis d’elle-même et de l’intégration eurasienne, l’UE ne constituera pas un obstacle pour elle.

A l'issue d'une évaluation rapide de l'état du site du patrimoine mondial de Palmyre, en Syrie, cette semaine, des experts ont estimé dans leurs conclusions préliminaires que ce site avait conservé en grande partie son intégrité, a indiqué mercredi l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
 
 
La mission d'évaluation était conduite par la directrice du Centre du patrimoine mondial, Mechtild Rössler, du 24 au 26 avril 2016. Les experts de l'UNESCO ont effectué une visite détaillée du musée de Palmyre et du site Archéologique, sous escorte du personnel de sécurité des Nations Unies, a précisé l'UNESCO dans un communiqué de presse.

"La mission a estimé qu'en dépit de la destruction de plusieurs structures emblématiques, le site archéologique de Palmyre conserve en grande partie son intégrité et son authenticité. L'UNESCO va travailler avec l'ensemble des partenaires pour adopter les mesures de sauvegarde d'urgence", a déclaré l'agence onusienne.

Le site du patrimoine mondial de Palmyre, oasis dans le désert syrien au nord-est de Damas, contient les ruines monumentales d'une ville qui fut l'un des centres culturels les plus importants du monde antique. Du 1er au 2ème siècle, l'art et l'architecture de Palmyre, au carrefour de plusieurs civilisations, ont mariés les techniques gréco-romaines et les traditions locales et les influences perses.

Lors de leur visite, les experts de l'UNESCO ont pu mesurer les dommages considérables dans le musée de Palmyre, dont l'essentiel des statues de grande taille, les sarcophages et les sculptures qui n'avaient pas pu être mises à l'abri ont été défigurées, pilonnées et décapitées - la plupart de leurs morceaux jonchent encore le sol.

Les experts ont identifié les mesures de consolidation et de sécurisation d'urgence du bâtiment, ainsi que le travail très important qui doit être entrepris pour documenter, évacuer, sauvegarder et restaurer les objets lorsque c'est possible. Ce travail de sélection et de documentation des fragments des sculptures a déjà commencé.
Le bombardement par l'armée américaine de l'hôpital de Médecins sans frontières (MSF) à Kunduz en Afghanistan en octobre n'était pas un "crime de guerre". Il s'agit d'une succession d'"erreurs", a affirmé vendredi un haut gradé américain.
"L'enquête, menée par l'armée américaine, a conclu que certains membres du personnel (militaire) n'avaient pas respecté les règles de l'engagement et le droit des conflits armés. En revanche, l'enquête n'est pas parvenue à la conclusion que ces erreurs constituent un crime de guerre", a déclaré le général Joseph Votel, en présentant un rapport très attendu devant la presse au Pentagone.


"Le terme de crime de guerre est typiquement réservé aux actes intentionnels, au fait de prendre pour cible de manière délibérée des civils, des lieux ou des objets protégés", a argumenté le patron du centre opérationnel de l'armée américaine (Centcom).


"Encore une fois, l'enquête américaine a déterminé que l'incident a résulté d'une combinaison d'erreurs humaines, d'erreurs dans le processus, de ratés techniques et qu'aucun des membres du personnel (militaire) ne savait qu'ils étaient en train de frapper un hôpital", a insisté le haut gradé.


Le 3 octobre, un avion des forces spéciales américaines avait bombardé l'hôpital de MSF. Le raid avait fait 42 morts.


Le Pentagone avait reconnu en novembre que les frappes avaient "avant tout" été le résultat "d'erreurs humaines". Une version rejetée par MSF pour qui il y a eu "une grossière négligence des troupes américaines et des violations du droit de la guerre". L'ONG réclame depuis l'ouverture d'une enquête internationale et indépendante.
L'Autorité nationale palestinienne (ANP) a fustigé jeudi le rejet israélien de la proposition française d'une conférence internationale de paix au Moyen-Orient.
Nabil Abu Rdineh, un assistant de Mahmoud Abbas, a déclaré dans un communiqué officiel que le rejet israélien de l'initiative française "est un rejet du processus de la paix".

Plus tôt jeudi, le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a indiqué que la seule solution au conflit avec les Palestiniens "ne peut que passer par les négociations bilatérales direcetes avec Israël".

"Israël objecte toujours à toute initiative visant à résoudre les conflits israélo-palestiens et défie toujours la volonté de la communauté internationale et ses principes basés sur la solution pacifique", a souligné M. Abu Rdineh.

Il a poursuivi que "l'Etat palestinien continuera à soutenir l'initiative française et à tenter de joindre tous les traités et agences internationaux afin de préserver les droits légitimes des Palestiniens".
la Russie a promis d'apporter son soutien aérien aux opérations de l'armée syrienne pour la libération de Raqqa, ville utilisée par les terroristes de Daech comme centre principal de commandement, et de Deir Ezzor qui est en fait un lieu d'affluence des terroristes du front Al-Nosra .
Damas a l'intention de déployer ses troupes vers les deux villes Deir Ezzor, ville syrienne proche des frontières syro-irakiennes et Raqqa qui est en fait une ville frontalière à proximité de la frontières turques, un déploiement qui sera largement soutenu par les forces aérospatiales russes.

La ville de Raqqa est considérée comme la capitale des Daechistes et la ville de Deir Ezzor est connue comme étant la base militaire des terroristes takfiristes du Front al- Nosra. Les deux villes ne sont pas concernées par le cessez-le feu mise en place en Syrie.

Depuis septembre dernier, les forces aérospatiales russes ont pu réduire en fumée des milliers de campements des terroristes soutenus par certains pays arabes ou occidentaux dont et surtout les Etats-Unis et l'Arabie saoudite.
Un groupe de musulmans se sont réunis devant les centres de presse en Suède pour annoncer leur opposition à la vague d'islamophobie attisée par la presse locale et le regard négatif des médias suédois sur les musulmans.
Selon l'Agence de Presse Anatoly, à la suite de l'accentuation des prises de position négatives des médias suédois à l'égard des musulmans résidant dans le pays, un groupe d'activistes sociaux et de musulmans se sont rassemblés devant les locaux des médias à Stockholm, capitale de la Suède.
Les protestataires ont annoncé que les médias suédois diffusaient des émissions de nature anti-islamique et qu'ils provoquaient les citoyens suédois contre les musulmans, ce qui est à l'origine d'une nouvelle vague d'islamophobie dans le pays.
Un manifestant a expliqué : "Les médias et la presse qualifient ouvertement les musulmans de terroristes, sans penser aux répercussions d'une telle politique dans la société."
Les syndicats et les organisations d'étudiants qui manifestent depuis plus d'un mois contre le projet de loi Travail, sont descendus jeudi dans les rues pour protester à nouveau contre ce projet de loi. Une manifestation émaillée d'incidents qui ont causé plusieurs blessés à Paris et à l'intérieur du pays.
 
 
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à nouveau, à Paris et dans les régions pour le retrait du projet de loi Travail également appelé loi El Khomri.
 
Ils étaient au nombre de 14.000 à 15.000 manifestants à Paris selon la préfecture de police. 60.000 manifestants à Paris et 500.000 dans toute la France, estiment les syndicats.
 
La manifestation de ce jeudi est caractérisée par de violents affrontements à Paris, Marseille, Rennes, Nantes et Lyon entre forces de l'ordre et des jeunes militants.
 
La préfecture de police annonce sur son compte tweet à la fin de la manifestation dans la capitale, un bilan de "8 policiers blessés dont 1 grièvement et 8 interpellations ainsi que des dégradations et jets de projectiles".
 
Au total 124 interpellations ont lieu ce jeudi dans toute la France et 24 membres de forces de l'ordre blessés lors de cette manifestation, a déclaré le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve qui a dressé un bilan général depuis le début de la manifestation contre la loi du Travail.
 
"124 personnes ont été interpellées sur le territoire national, ce qui porte à 382 le nombre d'interpellations depuis le début des manifestations. Aujourd'hui, 24 policiers et gendarmes ont été blessés à l'occasion de ces manifestations dont trois très grièvement à Paris. Il y a un policier qui est actuellement en urgence absolue", a indiqué sur BFMTV, M. Cazeneuve.

Lennart Karlsson, un élu islamophobe membre du parti d’extrême droite des démocrates de Suède, est soupçonné d’avoir menacé de commettre un attentat-suicide contre une mosquée. Le conseiller municipal de la commune de Habo est accusé d’avoir écrit sur internet descommentaires violemment islamophobes sous le pseudonyme « UNObserver ».

« Je vais construire une bombe et me faire exploser dans une mosquée », « Je vais aller en personne dans une mosquée avec une veste chargée », avait affirmé Lennart Karlsson.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei a souligné, lors d’une audience accordée aux membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien, le lundi 25 avril, que l’objectif de la Révolution islamique est la réalisation de la civilisation islamique. En allusion aux références erronées et inefficaces de modèles de progression mondiale et à la nécessité de présenter un nouveau modèle islamo-iranien, il a vu en un travail révolutionnaire, l’exploitation de riche et de puissante capacité des sources islamiques et des howza [les écoles théologiques ndt] et en le dialogue les moyens nécessaires à la production et l’élaboration du modèle islamo-iranien de progrès.
L’honorable Ayatollah Khamenei a ensuite expliqué les cinq phases de la réalisation des objectifs de la Révolution islamique et leur ascendance avec le modèle de progrès. « La première étape dans ce processus est la formation de la Révolution islamique ; suivie immédiatement par la mise en place de l’Ordre islamique, ce qui était la précieuse initiative de l’Imam Khomeiny. », a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution islamique.
« La troisième étape, celle dans laquelle nous nous trouvons, est la mise en place du gouvernement islamique, autrement dit un gouvernement basé sur les modèles et les critères purement islamiques », a précisé le Guide suprême de la Révolution islamique, et d’ajouter : tant que cette étape n’est pas entièrement réalisée, le tour n’arrivera pas à l’instauration de la société islamique ; dans ce cas, le mode de vie islamique se confinera uniquement au niveau de dialogue au sein de la société.
L’ultime pas dans le cadre des cinq phases des objectifs de la Révolution islamique est la réalisation de la civilisation islamique, a rappelé le Guide suprême de la Révolution islamique, précisant : la civilisation islamique ne signifie pas la conquête des pays, elle consiste à imprégner intellectuellement les peuples par l’Islam.
Pour l’honorable Ayatollah Khamenei, la production du modèle de progrès islamo-iranien est la condition sine qua none à la réalisation de la civilisation islamique. « Pourquoi les modèles existants et expérimentés dans le monde ne peuvent-ils pas être ceux qui seraient adéquats ? », s’est-il interrogé. « Parce que, a-t-il répondu, les modèles de progrès qui sont fréquents, reposent sur des bases erronées et puisent dans l’humanisme et des principes profanes d’autant qu’ils n’ont pas pu réaliser les promesses qu’ils avaient données à propos des valeurs telles que la liberté et l’équité ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé que l’état défavorable de certains pays qui suivent ces modèles au niveau des critères tels que les dettes colossales des gouvernements, le chômage, la pauvreté, le grand fossé entre les couches sociales sont des signes de l’inefficacité de tels modèles. « Quoique ces sociétés aient enregistré des progrès, toutefois le progrès n’est pas arrivé aux couches profondes de la société et n’a pas abouti à l’éthique, à la justice, à la spiritualité et à la sécurité, par conséquent il nous incombe de définir et de présenter notre propre modèle de progrès sur les bases des principes islamiques et de la culture iranienne. », a noté le Guide suprême de la Révolution islamique.
Pour l’honorable Ayatollah Khamenei, la réalisation de cela est subordonnée aux recherches islamiques, à une relation constante et solide avec les écoles théologiques et aux penseurs érudits, lucides qui maîtrisent la philosophie et le fiqh.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a également jugé importante la dimension iranienne du modèle islamo-iranien de progrès, et d’ajouter : l’Iran est le terrain de la réalisation de ce modèle ; si l’on ne tient pas compte des capitaux du pays au niveau humain et naturel, le modèle de progrès ne serait qu’un document irréalisable et futile.
Après avoir évoqué l’importance et la nécessité que revêt le modèle de progrès islamo-iranien, le Guide suprême de la Révolution islamique s’est penché sur les moyens indispensables de sa production.
« La régulation et l’élaboration scientifique », « la préparation du terrain favorable aux débats et échanges de vue à propos de ce modèle », « la démarcation des frontières et des distinctions du modèle avec les nombreux modèles présentés par les différentes écoles de pensée dans le monde » et « la force et la résistance scientifiques face aux idées dissidentes et opposées » comptent parmi les moyens nécessaires à l’élaboration du modèle islamo-iranien de progrès.
L’honorable Ayatollah Khamenei a ensuite tenu à donner des conseils à l’adresse des membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès
« Eviter la précipitation dans la préparation et l’élaboration du modèle », « procéder à la pathologie du bilan de cinq ans de ce Centre », « critiquer sérieusement les modèles de progrès en cours dans le monde », « un travail sérieux et révolutionnaire, tout en employant les jeunes chercheures, doués, croyants et révolutionnaires », « communiquer avec les appareils directionnels du pays » et « favoriser le dialogue », étaient des conseils du Guide suprême de la Révolution islamique aux membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès. « Il faut édifier le dialogue, en employant les appareils et les moyens, de sorte que le modèle islamo-iranien de progrès se transforme en un dialogue souverain dans l’esprit et le cœur des jeunes c'est-à-dire la future génération des directeurs et administrateurs du pays. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique, pour qui la foi ferme est la condition sine qua none au succès de toutes les démarches. Il a également tenu à remercier le président et les membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès pour le travail assidu.
Avant les propos du Guide suprême de la Révolution islamique, le président du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès, M. Vaez-Zadeh a présenté un compte-rendu des activités et des programmes du Centre ainsi que des étapes de la préparation et de l’élaboration du modèle de base du progrès islamo-iranien.

A l'approche de la journée de l'Ouvrier, le Guide suprême de la Révolution islamique a accordé une audience mercredi matin à des milliers d'ouvriers venant des quatre coins de l'Iran. 

Lors de cette audience, l’honorable Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a affirmé que les ouvriers sont une couche de la société, fidèle à la Révolution et à l’Ordre islamique, présente sur la scène de tous les événements importants de la Révolution et post-Révolution.

A cette occasion, il a tenu à remercier les ouvriers iraniens. Plus loin dans ses propos, il a ajouté :

« Les Etats-Unis ourdissent des complots et puis après ils  nous reproches de ne pas leur faire confiance. Sur papier, ils autorisent les banques à entrer en transaction avec l’Iran mais en pratique, ils avancent leur projet d’iranophobie  afin d’entraver les négociations avec l’Iran. »

Selon lui, la production nationale est une question sacrée, la vente et la consommation des marchandises étrangères devant être considérées comme une « contre-valeur ».

« Quiconque  dans la société exerce un métier est ouvrier…  un directeur, un professeur d’université , tous sont des ouvriers », a-t-il dit. 

S’attardant sur le second tour des élections législatives dans les provinces, le Guide suprême a appelé les ouvriers à se rendre aux urnes pour élire leurs députés au Parlement.