تقي زاده

تقي زاده

Pour s’entretenir des questions importantes du monde avec les hautes autorités, le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, se rendra, en Europe, en Asie et au Moyen-Orient.

"La semaine prochaine, John Kerry commencera sa tournée, en Europe, en Asie et au Moyen-Orient", a annoncé le département d’Etat américain, vendredi.

Kerry tiendra sa première réunion, en Suisse. Le 20 janvier, il s’entretiendra avec son homologue russe, Sergueï Lavrov, à Zurich, des évolutions syriennes et ukrainiennes.

Le secrétaire d’Etat américain a choisi Pékin, comme sa dernière halte. Le 27 janvier, il discutera avec les autorités chinoises de certaines questions régionales et internationales.

La cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini a rencontré samedi matin à Vienne le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif. Tous deux vont "finaliser le travail" en vue d'une mise en oeuvre de l'accord nucléaire.
La haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères a publié sur Twitter deux photos de son entrevue avec M. Zarif. Ce dernier a présidé les négociations ayant abouti en juillet à la signature d'un accord historique entre les grandes puissances et l'Iran sur son programme nucléaire controversé.


Le secrétaire d'Etat américain John Kerry est également attendu à Vienne samedi pour y finaliser la mise en oeuvre de ce texte. Celui-ci prévoit la levée des lourdes sanctions internationales contre Téhéran depuis une décennie.


A son arrivée dans la capitale autrichienne samedi matin, M. Zarif a estimé que les sanctions seraient levées le jour même. "Aujourd'hui, c'est un bon jour pour le peuple iranien et les sanctions seront levées", a-t-il déclaré à l'agence officielle Isna.


Outre M. Kerry et Mme Mogherini, M. Zarif doit aussi rencontrer le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano. Ce dernier doit formellement attester que Téhéran a bien rempli ses engagements préalables à l'entrée en vigueur de l'accord.
Les cours du pétrole ont poursuivi leur déclin vendredi en fin d'échanges européens, s'installant en dessous des 30 dollars le baril alors que le marché s'attend à ce que les sanctions pesant sur les exportations iraniennes de pétrole soient levées dans les jours qui viennent.
Vers 17H30 GMT (18H30 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, valait 29,11 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,92 dollar par rapport à la clôture de jeudi et son niveau le plus bas depuis le 9 février 2004.


Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février perdait 1,67 dollar à 29,53 dollars. Le pétrole échangé à New-yorkais a atteint vers 13H30 GMT 29,28 dollars, un minimum depuis le 5 novembre 2003.


Le pétrole est le seul produit dans le monde dont le prix est désigné par les acheteurs.
En Iran, la plus grande centrale solaire du monde, avec une capacité de mille mégawatts, sera mise en service, avec la coopération de la partie allemande.
 Ashton J. Floring, représentant d’une société d’investissement allemande, à Ispahan, a déclaré, jeudi, lors de la cérémonie de clôture du Forum international intitulé «Opportunités d’investissements, à Ispahan», que l’Allemagne jouissait d’une riche expérience, dans la production des énergies pures, et qu’elle s’intéressait à les partager avec les autres pays.

«L’Iran soutient la loi des énergies pures, bien qu’il ait accès aux combustibles fossiles. Le soutien de l’Iran aux énergies pures nous aide à exploiter cette sorte d’énergie», a continué le représentant allemand.

Les centrales solaires produisent 2.000 kilowatts d’énergie pure, à partir d’un kilowatt de radiation du soleil, et empêchent l’émission de 1.200 kilogrammes de CO2, dans l’environnement.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Ainsi il l'a consolidé pendant une réunion maintenue le lundi d'un groupe de fonctionnaires d'une conférence sur la relation entre l'art et la jurisprudence islamique.

Dans le rendez-vous, l'ayatollah Khamenei a exprimé sa complaisance par le fait que les écoles théologiques décidaient de jouer un actif rôle dans les questions relatives à la jurisprudence et à l'art, et il a remarqué que, en fait, entre les ulémas et les académiciens se trouvent un nombre distingué d'artistes dans l'enceinte de la poésie et de la littérature.

La jurisprudence accueille toutes les dimensions de la vie humaine, il a ajouté pour tout de suite détacher l'art comme l'un des sujets importants à traiter dans ce contexte.

Au cours d’une attaque menée par les éléments d’Al Qaeeda contre une hôtel où sont installés les employés de l’ONU et des ressortissants occidentaux à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, au moins 20 personnes ont trouvé la mort et une quinzaine de personne ont été blessés.

Selon PressTV, la majorité des personnes se trouvant à l’hôtel ont été prises en otage et d’après le rapport des forces gouvernementales, jusqu’à présent 63 d’entre eux ont été libérées.

Un ministre burkinabé compte parmi les personnes libérées.

Les éléments armés dépendants d’Al Qaeeda ont pris d’assaut l’hôtel Splendide dans le secteur commercial d’Ouagadougou, mettant le feu à de nombreuses voitures.

Selon les témoins occulaires, 4 ou 5 hommes armés participaient à cette opération.

L’ambassadeur français à Ouagadougou a parlé d’une opération terroriste et de la prise des mesures de sécurité renforcées autour de l’hôtel.

Il a fait état de la formation d’une unité de secours pour aider les ressortissants français dans le pays.
L’ayatollah Ali Sistani, référence chiite basée en Irak, a dénoncé l’explosion de bombes dans les mosquées sunnites dans le gouvernorat de Diyala en Irak.

Selon PressTV, l’ayatollah Sistani a indiqué le vendredi 15 janiver: «Les forces de sécurité irakiennes ont la responsabilité de protéger les mosquées et de prévenir la répétition de ces attaques.»

Le communiqué publié par l’ayatollah Sistani en dénonciation des attaques contre les mosquées sunnites à Al Meqdadia, a été lu par le cheikh Abdul Mahdi al Kabalaï, son représentant dans la sainte ville de Karbala, lors de la prière du vendredi.

 

Le mardi, au moins 7 mosquées et des dizaines de boutiques ont été détruites à Al Meqdadia dans le gouvernorat de Diyala, à cause des explosions de bombe.
Ce alors que la veille de ces explosions, deux autres explosions ont fait dans cette ville, plus de 23 morts.

 

 

Haydar al Ebadi, premier ministre irakien s’est rendu jeudi à Al Meqdadia pour rencontrer les responsables sécuritaires de la ville.
Abdoul Rahman Mihalfi, religieux bulgare responsable du bureau des fatwas au centre européen de commerce halal, situé à Vienne, a déclaré qu’en Europe, les musulmans étaient d’origines différentes et avaient des pratiques différentes.

Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique (IQNA), il a indiqué: « En Europe, nous n’avons pas une définition commune de l’islam et dans ces pays laïcs, la religion n’est pas une priorité. En Autriche et en Allemagne, les musulmans en majorité, sont d’origine turque et seule la quatrième génération a obtenu la nationalité allemande. Certains sont devenus de riches commerçants ou des industriels.»

« En France, a-t-il ajouté, les immigrés algériens, tunisiens et marocains, constituent la population musulmane alors qu’en Angleterre, les musulmans sont originaires de l’Inde et du Pakistan. D’un autre côté, les pays scandinaves ont été l’hôte de réfugiés venus spécialement d’Irak.»

Le traducteur du Saint Coran en bulgare a souligné: « Les courants salafistes et wahhabites, depuis les années 80 se sont renforcés comme c’est le cas des frères musulmans qui prétendent agir dans une région précise mais sont présents partout. Il y a des musulmans qui ont abandonné leur pratique religieuse de peur de tomber dans ce genre de groupe.»

«Les États-Unis qui sont confrontés à la baisse du dollar et à la montée de nouveaux pays, cherchent à créer des conflits pour éviter la concurrence. A mon avis, l’islamophobie est un instrument utilisé par les USA pour contrôler l’Europe à leur profit», a-t-il ajouté.

Abdoul Rahman Mihalfi a précisé: «Le régime sioniste veut prouver que son combat contre les musulmans est légitime et pousser l’union européenne à ne pas reconnaître la légitimité de la Palestine. A mon avis, l’islamophobie va s’accroître ainsi que les attentats en Europe, avec le concours de groupes affiliés aux réfugiés. Les musulmans doivent jouer un rôle et l’islam doit apporter des réponses aux jeunes.»

« Pourquoi les règles islamiques en économie par exemple, ne sont-elles pas appliquées ? Les musulmans qui défendent leurs terres sont toujours présentés comme des coupables, pour les sionistes, les terres, les biens et les lois leur appartiennent et aucune de nos lois ne sont là pour nous défendre. Les groupes takfiristes ont pour but de déformer l’image de l’islam et agissent exactement dans le sens des intérêts sionistes. Tant que leurs lois dirigeront, rien ne changera, et ce sont eux qui décideront de ce qui est permis et interdit. Notre centre a été créé pour une coopération avec les centres régionaux islamiques, et pour organiser la coopération des musulmans », a-t-il dit.

Le total des victimes civiles reconnues par la coalition américaine contre le groupe Daech depuis le début de ses bombardements en Irak et en Syrie s'élève désormais à 14, après que l'armée américaine a reconnu vendredi huit nouvelles victimes.
 
date de publication : Saturday 16 January 2016 13:20
Code d'article: 218527
 
L
 
Le Centcom, le commandement militaire américain au Moyen-Orient, a indiqué vendredi dans un communiqué que cinq bombardements en Irak et Syrie entre avril et juillet dernier avaient provoqué la mort de huit civils et blessés trois autres personnes.

La coalition américaine ne reconnaît les victimes civiles de bombardements qu'après des mois d'enquête.
samedi, 16 janvier 2016 21:38

Irak :une base américaine à Al-Iraqya

«Les militaires américains sont, actuellement, en train de créer une base opérationnelle,...

dans la localité d’Al-Iraqya, non loin des frontières avec la Syrie», a annoncé une haute source irakienne digne de foi.

"Quelque 250 militaires américains sont, actuellement, présents, sur cette base, et ces opérations devront être partagées entre les sols irakien et syrien".