
تقي زاده
France : promesse à répétition de Valls, sur une baisse du chômage, d'ici à 2017
Le Premier ministre français a, encore, une fois, répété ses promesses non-tenues, sur la création d’emplois.
Le «chômage baissera», en France, avant la présidentielle de 2017, le Premier ministre Manuel Valls s'en est dit convaincu.
Le Premier ministre a souligné : «Le chômage baissera». «Je suis convaincu qu'avec le niveau de croissance que nous avons» et «la mobilisation», notamment, pour la formation, «nous aurons des résultats». Il a insisté sur «la mobilisation de l'État, des régions et des partenaires sociaux», qu'il va recevoir, lundi prochain.
Le chef de l'État avait décrété, lors de ses vœux télévisés, «l'état d'urgence» contre le chômage, et annoncé un «plan massif» de formation de 500.000 chômeurs supplémentaires, en 2016. La formation de 500.000 chômeurs supplémentaires, annoncée, lors de ses vœux, jeudi dernier, par François Hollande, devrait coûter "près d'un milliard d'euros"
Le gouvernement n'a toujours pas réussi à inverser la courbe du chômage. En avril 2014, François Hollande avait affirmé que, si le chômage ne baissait pas, il n'aurait «aucune raison» d'être candidat, pour un second mandat.
Jésus, le grand Prophète de Dieu
Les musulmans comme les chrétiens, croient à la grandeur de Jésus en tant que grand Prophète de Dieu. Il serait injuste de dire que Moïse appartient aux juifs et à personne d’autre.
Tous les chrétiens dans le monde, acceptent Moïse, de même que tous les musulmans.
Il en est de même pour Jésus qui n’appartient pas seulement aux chrétiens, mais aussi à tous les musulmans. L’honorable nation musulmane d’Iran respecte et aime beaucoup ce grand Prophète.
Les Chrétiens en Iran, y compris les Assyriens et les chrétiens du nord et d’Orumieh, pensent que le christianisme et l’enseignement de Jésus ont commencé ici et ils ont peut-être raison du point de vue historique.
Source: Khamenei.ir
L'Occident s'oppose à ce que le mandat du mécanisme de l'OIAC s'étende à l’Irak
«Vu son parti pris contre Damas, l'Occident refuse d'étendre à l'Irak le mandat du mécanisme d'enquête de l'Organisation, pour l'interdiction des armes chimiques, (OIAC), sur l'utilisation d'armes chimiques, en Syrie», estime un diplomate russe haut placé.
L'OIAC a découvert que plusieurs Syriens auraient pu, à un moment donné, être exposés à du gaz sarin ou à "une substance similaire", a annoncé le Directeur général de l'organisation, Ahmet Üzümcü, insistant sur une enquête, pour établir le temps, la localisation et les circonstances des incidents.
"Le rapport de M.Üzümcü constate que des traces du sarin ou d'une substance similaire ont été découvertes, dans le sang de plusieurs Syriens, et que les circonstances de cette contamination nécessitaient un examen ultérieur. Il ne faut, toutefois, pas oublier que la mission de l'OIAC établit des faits, mais pas les coupables, cela ne faisant pas partie de son mandat", a déclaré Mikhaïl Oulianov, Directeur du département de la non-prolifération et du contrôle des armements du ministère russe des Affaires étrangères.
Et de rappeler que, pour enquêter sur des rumeurs d’utilisation d’armes chimiques, l'ONU et l'OIAC ont mis en place un mécanisme conjoint, qui s'est mis à fonctionner récemment.
L'Occident ne cesse d'insister sur l'implication de Damas, dans les attaques chimiques, en Syrie.
"C'est toujours la même rengaine. Quoi qu'il arrive, en Syrie, Bachar el-Assad et les troupes gouvernementales en sont accusés. On leur impute, notamment, l'usage de substances chimiques (…) Je ne pense pas que cela change, car nos partenaires occidentaux ont un parti pris contre le président syrien", a indiqué le diplomate.
Selon ce dernier, c'est, justement, la raison pour laquelle ils ont, longtemps, fermé les yeux sur les crimes, perpétrés par le groupe terroriste Daech, y compris, sur l'utilisation de substances chimiques, à des fins militaires.
"C'est, aussi, la raison pour laquelle, l'Occident refuse d'étendre le mandat d'enquête évoqué du territoire syrien à celui de l'Irak, bien que le fait d'utilisation, par Daech, d'armes chimiques, contre les Kurdes irakiens, ait été établi", a souligné M. Oulianov.
La résolution, prévoyant la mise en place d'un mécanisme conjoint de l'Organisation, pour l'interdiction des armes chimiques et des Nations unies, pour enquêter, sur l'utilisation d'armes chimiques, en Syrie, a été adoptée, à l'unanimité, le 7 août dernier.
Cette structure est chargée d'identifier les personnes, les organisations, les groupes et les gouvernements, coupables d'avoir utilisé ou financé l'utilisation d'armes chimiques, en Syrie.
Après une attaque à l'arme chimique, près de Damas, en août 2013, la Syrie a accepté de déclarer et de remettre son arsenal chimique, dans le cadre d'un accord, supervisé par l'OIAC.
Faisant le bilan du programme d'élimination des armes chimiques syriennes, l'OIAC indique que 99,6% de l'arsenal, déclaré par Damas, ont été détruits. Néanmoins, l'organisation se déclare, "gravement, inquiète" de l'utilisation continue d'armes chimiques, en Syrie.
Le « New York Times » dénonce la restriction des libertés françaises
Pour le New York Times, ces opérations touchent principalement une catégorie de Français, les musulmans. « La majorité de ces raids ont visé des maisons, des entreprises, des mosquées et salles de prières de musulmans », souligne le quotidien.
« Le Parlement devrait rejeter ces changements constitutionnels »
« Le profilage des minorités en France par la police – condamné comme discriminatoire par la cour d’appel de Paris en juin – est de retour, et les crimes contre les musulmans ont augmenté », proteste le journal. Le New York Times, rappelle ensuite que, durant l’état d’urgence, institué jusqu’au 26 février, « les personnes perquisitionnées peuvent porter plainte contre le gouvernement, seulement après les faits. Et beaucoup ne savent pas pourquoi elles ont été visées ».
Le journal américain s’en prend ensuite à la révision de la Constitution souhaitée par François Hollande. Pour le New York Times, l’extension de la déchéance de nationalité à l'ensemble des binationaux « vise en particulier les musulmans nés français ».
« Le Parlement devrait rejeter ces changements constitutionnels qui ne sont pas nécessaires et qui entraînent la discorde, conclut le quotidien. L’effort mené pour diminuer les libertés civiles et mettre fin à la surveillance judiciaire ne fera qu’augmenter les risques d’abus de pouvoir, sans que cela assure la sécurité de la population. »
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Kirby : Département d'État américain prépare de nouvelles sanctions antiranies
"Nous sommes prêts à appliquer des sanctions contre cet essai de missile balistique récente (et) nous travaillons encore sur certains aspects techniques", a déclaré Kirby mardi.
Lors d'une conférence de presse, il a déclaré que les consultations se poursuivent entre les départements gouvernementaux à travers les États-Unis pour promouvoir les nouvelles antiranies sanctions si elle constate que l'Iran a violé une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU).
Il a également nié les rapports de certains médias qui disent qu'il y a un conflit entre le Département d'Etat et le Département du Trésor des États-Unis du pays prétendument émergé lors du débat sur les sanctions contre l'Iran.
Ses remarques interviennent après le Corps des Gardiens de la révolution islamique d'Iran (CGRI) a déposé le même jour mardi sa deuxième base de missiles et a affirmé que parmi les missiles stockés base souterraine en ce que le missile balistique est longue gamme (1700 km) "Emad" de fabrication domestique.
Dernière 14 Octobre le commandant de la Division Aéronautique CGRI, le général de brigade Amir Ali Hajizade, présentant des images d'une base de missiles pour la première fois, dit le CGR a une base similaire dans la plupart des villes le pays, à partir de 500 mètres de profondeur sont prêts à repousser toute attaque ennemie.
30 Décembre, 2015, le journal américain The Wall Street Journal a rapporté que le gouvernement de Washington se prépare un nouveau train de sanctions contre le pays perse pour son programme de défense.
Cependant, à l'indignation et les protestations de Téhéran, le journal, citant des responsables américains, il a signalé un jour après que la Maison Blanche a retardé l'imposition de nouvelles sanctions contre l'Iran, mais maintient toujours l'embargo "sur la table".
Cette décision a également provoqué la dissidence de certains membres du Congrès, qui ont fait valoir que plus de sanctions contre l'Iran nuirait à la capacité des États-Unis pour mettre en œuvre le Plan d'action global conjoint (JCPOA, pour son sigle en anglais) a accepté le 14 Juillet entre l'Iran et Groupe 5 + 1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l'Allemagne).
Comme indiqué par les autorités iraniennes, la doctrine militaire de la République islamique est un moyen de dissuasion. Téhéran a jamais eu l'intention de produire des missiles capables de transporter des ogives nucléaires, mais continuera à produire et à tester des missiles balistiques comme un outil important pour l'auto-défense.
Le Conseil de sécurité se penche sur le dossier turc
Le Conseil de sécurité des Nations Unies tiendra une réunion à huis clos pour examiner les exportations d’armes via la Turquie aux groupes opposés au gouvernement central syrien.
Selon l’agence de presse russe Itartass, le représentant d’Uruguay à l’Onu, qui assument également la présidence par exercice du Conseil de sécurité de l’Onu a annoncé que le Conseil organiserait une réunion pour se pencher sur la question de l’envoi d’armes via la Turquie aux opposants au gouvernement du président Bachar al-Assad.
Cette réunion à huis clos se tiendra à la demande d’un membre permanent du Conseil de sécurité de l’Onu, soit la Russie. On ignore encore si l’aide d’Ankara à envoyer des armes aux groupes terroristes sera prise en compte ou pas. Deux hauts journalistes du journal turc Cumhuriyet, se trouvent en prison pour avoir publié des images sur le transfert d’armes vers la Syrie par des camions de l’armée turque.
Le Hamas étudie les initiatives pour l’ouverture du passage de Rafah
Le mouvement de la résistance islamique Hamas a assuré qu’il a formé une délégation pour suivre et étudier les propositions avancées par plusieurs parties à propos de l’ouverture du passage frontalier de Rafah.
Le porte-parole du Hamas, Sami Abou Zohri, a déclaré lors d’un point de presse ce mardi, 05/01, que son mouvement entamera des consultations afin d’apaiser la souffrance du peuple palestinien et de concrétiser le principe du partenariat national.
Abou Zohri a indiqué que le Hamas œuvrera avec toutes les parties nationales ainsi que les frères égyptiens pour arriver à une résolution égyptienne d’ouvrir le passage.
Notons que des factions palestiniennes ont présenté au gouvernement consensuel de Rami al-Hamd Allah et au mouvement du Hamas, une initiative pour résoudre la crise du passage de Rafah.
Iran : l’éligibilité de 10.954 candidats aux Législatives confirmée
De l’ensemble de 12.123 inscriptions aux élections législatives, l’éligibilité de 10.954 candidats a été confirmée tandis que 814 candidats ont été refusés par les délégations exécutives.
L’examen de l’éligibilité de 12.123 candidats au 10ème tour de Législatives en Iran s’est achevé mardi soir. Dès mercredi, les responsables concernés dans chaque province vont annoncer le nombre exact des candidats confirmés et refusés ainsi que le nombre des abstentions.
Le processus de l’examen de l’éligibilité des candidats aux Législatives a eu lieu du 26 décembre 2015 au 4 janvier 2016, par des délégations exécutives après quoi l’examen de l’éligibilité se poursuit, selon les règles déterminées par les délégations de supervision provinciale, la délégation centrale de supervision ainsi que le Conseil des Gardiens de la Constitution ; ce Conseil a également la tâche d’examiner l’éligibilité des candidats aux élections de l’Assemblée des experts du Leadership (du 27 décembre 2015 au 4 février 2016).
Mali: l'état d'urgence prorogé jusqu'au 31 mars
Le gouvernement malien et l'Assemblée nationale du Mali ont autorisé la prorogation jusqu'au 31 mars de l'état d'urgence déjà instauré à deux reprises depuis l'attentat jihadiste contre un grand hôtel de Bamako en novembre.
Le gouvernement a présenté lundi en conseil des ministres extraordinaire un projet de loi autorisant la prorogation de l'état d’urgence "en raison des menaces graves sur la sécurité des personnes et de leurs biens", selon un communiqué officiel.
Ce texte a été voté mardi par l'Assemblée nationale, a indiqué une source parlementaire, précisant que "le projet de loi a été voté à l'unanimité par les députés présents à l'hémicycle lors des discussions"."Si le gouvernement a pris cette mesure, avant la fin de l’état d’urgence qui est en cours, c'est pour prendre les devants et éviter toute surprise désagréable", a déclaré à l'AFP un responsable malien sous couvert d'anonymat.L'opposition parlementaire, qui a voté le projet de loi, a cependant demandé "plus de rigueur" dans son application afin d'éviter "une banalisation de la mesure".L'état d'urgence avait été proclamé une première fois pour dix jours au soir de l'attaque contre l'hôtel Radisson Blu de Bamako le 20 novembre. Il avait de nouveau été imposé le 22 décembre pour une nouvelle période de dix jours.
L'attentat a été revendiqué le jour même par le groupe Al-Mourabitoune du terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar, en coordination avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), les deux formations annonçant ensuite avoir scellé à cette occasion leur alliance. Il a également été revendiqué par le Front de libération du Macina (FLM), formation terroriste apparue récemment dans le centre du Mali, "avec la collaboration d'Ansar Dine", groupe terroriste de l'ex-chef rebelle touareg Iyad Ag Ghaly.
L'Irak exige le retrait des troupes turques et menace de prendre une action militaire
Il a toutefois nié tout "délai vers un mouvement (pacifique) contre la violation de la souveraineté irakienne", admettant des "intérêts communs avec la Turquie".
La crise entre les deux pays a éclaté au début de décembre, lorsque la Turquie a déployé des troupes de renfort, équipées des véhicules blindés, dans un camp dans la région de Bashiqa près de la ville irakienne de Mossoul.
Mossoul, la capitale de la province irakienne de Ninive, a été sous le contrôle de Daech depuis juin 2014.
Bagdad a insisté que les troupes turques n' avaient pas l'autorisation du gouvernement irakien et a donc exigé leur retrait, tandis qu' Ankara a appelé les troupes comme une rotation de routine des formateurs.