تقي زاده

تقي زاده

dimanche, 10 mai 2015 23:03

Golfe d'Aden: l'Iran avertit USA/France

Le 34e groupe naval de la marine iranienne a lancé un avertissement à l’adresse des hélicoptères, des navires et des avions américains et français, voulant passer à une distance de moins de 5 miles dans le golfe d’Aden.Selon l’agence de presse Tasnim, le 34e groupe naval de la marine iranienne a accosté au détroit de Bab el-Mandeb. Ce n’est pas la première fois que la Flotte 34 de l’armée de la RII a traversé 400 miles du golfe d’Aden pour protéger les intérêts économiques iraniens dans les eaux internationales, se mettant à escorter les bateaux de commerce iraniens et accomplir ses missions. Hier soir où le 34e groupe naval de la marine iranienne traversait à une distance de 30 miles du port d’Aden, un port stratégique au Yémen, les pays de la Coalition dont les Etats-Unis et la France se sont montrés sensibles envers la présence des navires de la marine iranienne dans le golfe d’Aden, précipitant leurs avions et hélicoptères vers le destroyer « Alborz » et le navire logistique « Bouchehr », mais ils se sont heurtés à un avertissement sérieux du commandant du destroyer « Alborz », ils ont fini par s’excuser auprès de la Flotte iranienne et changé de trajet. A présent la coalition arabo-occidentale a été créée pour bombarder diverses villes du Yémen et les destroyers des pays de cette coalition s’occupent de leurs propres crimes au Yémen et ils ne vont pas au secours des bateaux victimes d’incident ou de piraterie.

En Syrie, l’armée régulière et les forces de la Résistance ont progressé vers la région de Qalamoun, et ont infligé de lourds dégâts aux terroristes.
L’armée régulière syrienne et les combattants du Hezbollah libanais ont entamé, ces derniers jours, des offensives surprises dans la région du Qalamoun, près de la frontière libanaise. Les forces de l’armée régulière syrienne sont entrées sur le champ d'opération depuis le secteur oriental, et les forces de la Résistance islamique libanaise se sont dirigées de l’Ouest vers l’Est. Les groupes terroristes ont été pris en tenaille des deux côtés de la frontières entre la Syrie et le Liban, et ils se sont désintégrés face aux attaques de l’armée régulière syrienne et de la Résistance. Or, les médias occidentaux et arabes qui s’opposent à l’axe de la Résistance, s'étaient focalisés depuis des semaines sur ces opérations pour affecter le moral des combattants de l'axe de la Résistance.

Le chef de l'édition Avaye-islam a insisté sur le respect mutuel des écoles islamiques pour réaliser concrètement l'unité dans le monde islamique.
Les ennemis de l'islam programment des complots pour créer des divisions au sein de l'umma islamique. Les ennemis veulent créer des discordes entre les chiites et les sunnites pour en profiter, a dit Abdo al-Rahman Salimi dans un entretien avec le journaliste de l'agence de presse Taghrib (APT) en marge de la 28e Foire internationale du livre de Téhéran.

Nous devons être conscients de ce complot et respecter les opinions de l'autrui. Parce que les avis et les opinions de chacun sont respectables à ses yeux. Le respect mutuel peut créer concrètement l'unité islamique, a-t-il souligné.

Des activités ont été réalisées dans le domaine du rapprochement islamique, mais toutes ces activités n'ont pas touché leur fin. Et, un long chemin reste à parcourir, a-t-il indiqué.

A propos des sujets et des titres présentés par cette édition pendant la Foire, le chef du stand de l'édition a suivi: 120 titres de différents sujets religieux dont les contes des prophètes depuis Adam au noble prophète de l'islam Mohammad (SAWA), des remarques de la vie Imam Abou Hanifa ont attiré l'attention des visiteurs.

Un des livres qui aborde la question du rapprochement islamique est un livre de sept volumes qui vérifie la tolérance en islam, a-t-il marqué.

L'édition Vavaye-islam est le représentant de la province Tourbât-e-Jam dans la 28e Foire internationale du livre de Téhéran.

Roberta Kini, invitée spéciale de la 28ème foire du livre de Téhéran, a visité le stand du Centre de la culture et des relations islamiques, et a déclaré que la lettre du Guide suprême aux jeunes occidentaux et son invitation à un dialogue et à une connaissance exacte des religions, étaient louables et étaient des priorités.

Elle a aussi annoncé la date de la foire internationale du livre pour enfants du 4 au 7 avril 2016 à Bologne, et a invité les responsables du Centre de la culture et des relations islamiques.
Mohamad Reza Pakravan, responsable du stand du Centre de la culture et des relations islamiques, a présenté les activités de ce centre dans le domaine littéraire, la traduction et la publication, et l’organisation d’expositions en Iran et à l’étranger, et a remis à Roberta Kini, le texte de la lettre de l’Ayatollah Khamenei traduite en anglais.

A l’occasion de la conférence internationale sur Hafez organisée par l’université Azad Islamique, l’Agence iranienne de presse coranique a interrogé trois professeurs de littérature persane, sur l’influence du Coran sur les œuvres de Hafez.

Rouhollah Hadi, de l’université de Téhéran, a déclaré que dans le passé, ceux qui avaient mémorisé le Coran ou des centaines de hadiths étaient appelés « les sauvés ou les bien guidés».
« Comme l’a dit le professeur Khoramshahi, dans son livre « La pensée et la langue de Hafez», l’œuvre de Hafez est profondément imprégnée par le Coran dans son style et son contenu, les hadiths sont par contre peu cités peut-être à cause des divergences sur leur fiabilité. Cette présence du Coran s’est accentuée au 7ème et 8ème siècles de l’hégire avec l’évolution littéraire et la naissance du style ‘Araghi, et chez des poètes comme Hafez, Attar, Saadi et Molawi », a-t-il dit.
Mahdi Mazhusi, responsable scientifique de cette conférence, a insisté sur l’influence du Coran sur les œuvres de Hafez et l’aspect métaphysique de ses poèmes, ajoutant que Hafez l’avait lui-même déclaré dans des vers qui prouvent ses connaissances coraniques et islamiques.

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ISF , un menace ou un occasion ?

 (Mai 2013) Les Musulmans représentent environ un cinquième de la population mondiale—soit 1,6 milliard de personnes. Ils forment la majorité de la population dans près de 50 pays et territoires concentrés en Asie et en Afrique (voir Tableau 1).1 Les Musulmans sont très divers, par la race, la langue et le degré de leur conservatisme religieux. Certains Musulmans vivent dans des pays où le gouvernement est influencé voire dominé par la loi islamique , tandis que d’autres vivent dans des pays à gouvernement séculier.

Tableau 1
Pays avec plus de 50% de Musulmans

% de Musulmans

Afrique

Asie

Europe

90% ou plus

Algérie

Afghanistan                    

Kosovo

 

Comores

Azerbaïdjan

 
 

Djibouti

Bangladesh

 
 

Égypte

Iran

 
 

Gambie

Irak

 
 

Libye

Jordanie

 
 

Mali

Maldives

 
 

Mauritanie

Territoirepalestinien

 
 

Mayotte

Pakistan

 
 

Maroc

Arabiesaoudite

 
 

Niger

Syrie

 
 

Sénégal

Tadjikistan

 
 

Somalie

Turquie

 
 

Tunisie

Turkménistan

 
   

Ouzbékistan

 
   

Sahara occidental

 
   

Yémen

 

70% - 89%

Guinée

Bahreïn

Albanie

 

Sierra Leone

Indonésie

 
 

Soudan

Kuweït

 
   

Kirghizistan

 
   

Oman

 
   

Qatar

 
   

Émiratsarabesunis

 

50% - 69%

Burkina Faso

Brunei

 
 

Tchad

Kazakhstan

 
   

Liban

 
   

Malaisie

 

Notes: Le Territoire palestinien inclut la population arabe de Gaza et de Cisjordanie. Les populations de Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar et des Émirats arabes unis comprennent des résidents non-nationaux.
Source: Pew Forum on Religious & Public Life, The Future of the Global Muslim Population, Projections for 2010-2030 (Washington, DC: Pew Research Center's Forum on Religion and Public Life, 2011).

L’Indonésie abrite la plus grande population musulmane du monde—les Musulmans y représentent 212 millions des 241 millions d’habitants (88 pour cent). Les 184 millions de Musulmans en Inde forment près de 15 pour cent de la population du pays. En Europe, le Kosovo et l’Albanie sont les deux seuls pays à majorité musulmane. La France a la plus grande population musulmane en Europe de l’Ouest (8 pour cent). Les Musulmans forment près de 5 pour cent de la population du Royaume-Uni ; ils sont moins d’1 pour cent dans la population des États-Unis. Environ 18 pour cent de la population d’Israël est musulmane.

On dit souvent que l’Islam est la religion du monde qui augmente le plus vite. C’est fort probable, à cause du rythme de la transition démographique dans les pays à majorité musulmane par rapport au reste du monde. Le processus de transition démographiquecomportetroisétapes :

  • Dans le premier stade, tant les taux de mortalité que les taux de natalité sont élevés, ce qui résulte en un taux d’accroissement faible.
  • Au cours du deuxième stade, la mortalité baisse suivie par le déclin ultérieur de la fécondité, ce décalage produisant une croissance démographique rapide.
  • Dans la troisième et dernière étape de la transition, les taux de mortalité et de natalité sont tous les deux faibles, et à nouveau la croissance démographique est faible.

Si l’on examine dans un contexte global la croissance démographique des pays à majorité musulmane, c’est au Moyen Orient et en Afrique du Nord (dans la région MENA) que l’on trouve la plus forte concentration de pays qui ont plus de 90 pour cent de Musulmans dans leur population. La région a connu une baisse rapide de la mortalité durant la seconde moitié du XXe siècle, tandis que la fécondité demeurait relativement élevée. Le résultat a été qu’entre 1950 et 2000, la région MENA a connu la croissance démographique la plus rapide de toutes les grandes régions du monde. La croissance démographique de MENA a atteint un pic de 3 pour cent par an aux alentours de 1980, tandis que la croissance démographique du monde avait atteint un maximum de 2 pour cent par an plus d’une décennie auparavant.2

Aujourd’hui, l’Iran, le Liban, la Tunisie et la Turquie (tous dans la région MENA) ont terminé leur transition démographique, arrivant à des indices synthétiques de fécondité (ISF, le nombre moyen d’enfants par femme) de l’ordre de 2,1 enfants par femme (c’est le niveau de remplacement des générations), voire même en-dessous de ce niveau. L’Indonésie et le Maroc sont presque là également. Mais à cause de leurs taux de fécondité élevés dans le passé, ces pays ont une structure par âge « jeune », et leurs populations vont continuer à s’accroître. Par exemple, on s’attend à ce que la population iranienne s’accroisse de 79 à 100 millions  entre 2012 et 2050; celle de l’Indonésie pourrait passer de 241 à plus de 300 millions. Dans les deux cas, la population va augmenter d’environ 25 pour cent.

La vitesse d’accroissement sera plus rapide dans les pays qui se trouvent dans les stades initiaux ou intermédiaires de leur transition démographique, en particulier dans les pays concernés en Afrique subsaharienne. L’ISF du Niger, qui est de 7,1, amènera un triplement de la population, qui atteindra 54 millions en 2050. De même, l’ISF du Mali, qui est de 6,3 enfants par femme, fera augmenter la population de 16 millions en 2012 à 45 millions en 2050. La population du Nigéria—le pays le plus peuplé d’Afrique—devrait plus que doubler d’ici 2050, pour atteindre plus de 400 millions d’habitants. Aujourd’hui, près de la moitié (48 pour cent) de la population du Nigéria est musulmane, suivant les estimations du Pew Forum on Religion & Public Life, mais dans deux décennies les Musulmans devraient devenir la majorité là aussi. Le Tableau 2 présente deux indicateurs importants de transition démographique, à savoir l’espérance de vie à la naissance et l’ISF, pour les pays qui abritent les 10 populations musulmanes les plus importantes dans le monde.

 

 

 

Tableau 2
Les 10 populations musulmanes les plus importantes

Pays

 

Population musulmane, mi-2012 (millions, est.)

Population totale, mi-2012 (millions)

 

 

 

% Musulmans,

2010

 

 

Espérance de vie à la naissance, Deux Sexes (années)

ISF (enfants par femme)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Indonésie

 

212,3

241,0

 

88,1

 

72

2,3

Inde

 

183,9

1.259,7

 

14,6

 

65

2,5

Pakistan

 

173,9

180,4

 

96,4

 

65

3,6

Bangladesh

 

138,2

152,9

 

90,4

 

69

2,3

Nigéria

 

81,5

170,1

 

47,9

 

51

5,6

Iran

 

78,7

78,9

 

99,7

 

70

1,9

Égypte

 

77,9

82,3

 

94,7

 

72

2,9

Turquie

 

73,9

74,9

 

98,6

 

73

2,0

Algérie

 

36,7

37,4

 

98,2

 

73

2,9

Maroc

 

32,6

32,6

 

99,9

 

72

2,3

 

Il est difficile de prévoir le rythme de la transition démographique d’un pays. L’Iran a surpris le monde quand son ISF est tombé de 5,6 en 1985 à 2,0 en 2000—la baisse la plus rapide jamais enregistrée.3 Par ailleurs, les baisses de fécondité qui avaient commencé en Égypte et en Jordanie se sont maintenant arrêtées; l’Égypte a un ISF de 2,9 et la Jordanie, de 3,8 (3,5 selon la dernière enquête4), toujours loin du niveau de remplacement.

Pendant la transition démographique, les pays connaissent une transformation de leur structure par âge et doivent faire face à un phénomène connu sous le nom de « surplus des jeunes »—quand les jeunes constituent une proportion importante de leur population, ce qui a pour effet d’alimenter le momentum de croissance démographique. À ce jour, près d’un tiers des populations en Égypte et au Pakistan sont âgées de 15 à 29 ans.

Si l’on tient compte de la place des pays à majorité musulmane dans le schéma de la transition démographique, on remarque que la plupart des pays à majorité musulmane (plus le Nigéria) ont toujours des indices de fécondité au-dessous de la moyenne mondiale de 2,4 enfants par femme. Pour les années à venir, l’Islam pourrait en effet rester la religion qui connaît la croissance la plus rapide.

Avec ce schéma il faut faire attention que l, avenir des pays musulmans dépend de la niveaux d , ISF .

La bataille de Qalamoune parle d’elle-même. Lancée mercredi dernier en ripostant aux attaques menées par la branche d'al-Qaïda en Syrie le front al-Nosra et ses alliés, contre les positions de l’armée syrienne et du Hezbollah, ces deux derniers poursuivent leur avancée, pour le troisième jour consécutif.Alors que dans les rangs des miliciens, c’est l’effondrement total et l’évasion en masse. L’avancée s’effectue dans le jurd de Jebbeh, aux confins Ouest du jurd de la région syrienne de Aassal al-Wared qui a été totalement libérée mercredi dernier, explique le correspondant de notre chaine de télévision al-Manar.Plusieurs hauteurs sont désormais conquises et se trouvent entre les mains des soldats syriens et des combattants du Hezbollah : dont entre autre Sir Ezzeddine, Wadi al-Dib,Chmeis Eïn al-Wared, et Kornet Jor al-Inab.Nosra: fuite, capitulationDu côté de la milice du front al-Nosra, cette progression semble avoir exacerbé les divergences entre ses miliciens, qui se lancent des accusations de trahison. Certains tentent un compromis avec les autorités syriennes pour se rendre.Leur effondrement total s’est traduit par une évasion en masse vers le jurd de la localité de Flita, dont les voies sont toujours ouvertes en direction du jurd de la localité libanaise de Aarsale.Elle s’est aussi illustrée par la façon avec laquelle ils ont pris la fuite, laissant tout derrière eux dans les repaires où ils étaient installés et où d’après lesimages diffusées par notre télévision ils ne semblaient manquer de rien.« C’est leur volonté de combat qui a totalement été brisée », commente notre correspondant. « Il n’y a pas eu de combats », ont confié des résistants pour le correspondant de la chaine de télévision pan arabe al-Mayadeen. Des missiles français Pourtant, ce ne sont pas les armes qui leur manquaient. Des missiles de fabrication française de type Milan ont aussi été retrouvés entre autre auprès des tentes et des casernes où étaient retranchés les dirigeants du Nosra, indique cette télévision , avec images à l’appui (voir photo). On y voit aussi s’entasser d’importantes quantités de provisions alimentaires made in Lebanon datant de plusieurs mois.Dans certaines tentes, des produits explosifs destinés à la fabrication d’engins explosifs ont été retrouvés. La résistance en a désamorcé ou fait exploser de nombreux dans les régions libérées. Selon le quotidien libanais al-Akhbar, la prochaine bataille devrait se faire dans la montagne de Moussa, où sont retranchés des miliciens qui disposent d’une voie de ravitaillement de la part de la localité libanaise de Aarsale, ainsi que dans la region de Khachaate. « La Résistance n’a pas encore utilisé la force qu’elle avait prévue pour cette bataille », assurent des sources pour al-Akhbar. al manar

Le Premier ministre de l'Entité sioniste demande à ce que les "régimes arabes s'allient à Israël", "pour faire face" au danger que représente l'Iran. Al-Ahed, qui rapporte cette information, souligne que, pour Netanyahu, "d'après ses propres aveux", "l'Iran constitue le plus grand défi auquel se trouve confronté le cabinet israélien". Netanyahu, qui a arraché aux forceps un cabinet que certains donnent pour "mort-né", n'a pas eu peur du ridicule, en comparant, pour la énième fois consécutive, le "danger iranien" à celui "du nazisme" : "A l'époque de la seconde guerre, les Juifs ont subi beaucoup de torts, puisqu'ils n'avaient pas de pays. à présent, nous avons notre pays et des soldats, qui sont prêts à le défendre, coûte que coûte, face à nos ennemis", a dit Netanyahu, à peine six mois après la défaite cuisante de l'armée sioniste, face aux combattants de la Résistance palestinienne, à Gaza. Il y a quelques jours, unn avion de ligne saoudien déposait le prince héritier, à l'aéroport de Tekl-aviv. Selon des informations concordantes, les chasseurs israéliens prennent, directement, part aux raids aériens contre les zones civiles. Plus de 3.555 civils yéménites ont été massacrés, en plus de 40 jours de bombardements des zones civiles.

"L'année dernière, nous croyions, à tort, que la puissance des opposants syriens s'accroît, et que la situation d'Assad est en déclin, mais les conditions se sont inversées, et nous en avons tiré une bonne leçon", a reconnu le secrétaire américain à la Défense, en reconnaissant l'échec des Etats-Unis, en Syrie.

"Le groupe des soi-disant rebelles syriens "modérés", formé par l'armée américaine, ne s'est pas encore frotté à l'armée de Bachar al-Assad, mais a, seulement, combattu Daesh", a précisé Carter Ashton, le secrétaire américain à la Défense. La formation des opposants syriens a commencé mercredi.

"Le processus du recrutement est difficile et prend du temp"s, a-t-il précisé.

Mondafrique est en mesure de révéler, d’après des sources bien informées, que la France vient d’engager quelques forces sur le front de la guerre du Yémen. Depuis quelques jours, venus de Djibouti et d’Abu Dhabi, où ils ont des bases permanentes, des soldats des Forces Spéciales tricolores appuient leurs collègues saoudiens à la frontière avec le Yémen. On trouve donc, dans cet engagement, des membres de la 13ème Demi-brigade de Légion étrangère implantée à « Zayed Military City », à 65 km d’Abou Dhabi. Quant aux militaires venus de Djibouti ils appartiennent au 5e Régiment interarmes outre-mer (5e