
تقي زاده
Caucase : Poutine accuse les Etats-Unis
Le président russe Vladimir Poutine a accusé les Etats-Unis d'avoir des contacts directs avec les rebelles du Caucase du Nord et de leur fournir de l'aide notamment logistique, dans un documentaire diffusé dimanche par la télévision russe.
Au début des années 2000, "les services spéciaux russes ont détecté des contacts directs" entre des rebelles du Caucase du Nord et des représentants des services secrets américains en Azerbaïdjan", a affirmé M. Poutine, dans le documentaire "Président".
Tourné par la chaîne de télévision publique Rossia 1 à l'occasion des 15 ans au pouvoir de Vladimir Poutine, qui a été élu en 2012 pour un troisième mandat présidentiel, après avoir été président de 2000 à 2008 et Premier ministre en 2008-2012, le film a déjà été diffusé dans l'Extrême-Orient russe, avant de l'être à 18H30 GMT dans la partie centrale de Russie.
Les Américains "aidaient même avec du transport, tout simplement", a précisé le président russe, dont les propos ont été publiés sur le site officiel de la chaîne.
Il a affirmé en avoir informé le président américain de l'époque qui a répondu "Je vais leur botter les fesses".
"Mais dix jours après, mes subordonnés, les dirigeants du FSB (service de sécurité russe, ex-KGB) ont reçu une lettre de leurs collègues de Washington qui disaient: +Nous avons eu et nous allons poursuivre les relations avec toutes les forces de l'opposition en Russie. Nous estimons que nous avons le droit de le faire et nous le ferons", a indiqué M. Poutine.
Après la première guerre de Tchétchénie (1994-1996), qui a affronté la Russie pour son indépendance, la rébellion s'est progressivement islamisée et a débordé les frontières de cette petite république caucasienne pour se transformer au milieu des années 2000 en un mouvement islamiste armé actif dans tout le Caucase du Nord.
"Il y a des gens, surtout dans les services secrets des pays occidentaux, qui croyaient que si on déstabilisait leur principal rival géopolitique -- et maintenant nous comprenons que pour eux, c'était la Russie -- cela serait à leur profit", a indiqué M. Poutine.
"Mais il s'est avéré que ce n'était pas le cas", a-t-il estimé.
"Dans aucun cas, jamais et nulle part, il ne faut même pas essayer d'utiliser les terroristes pour résoudre ses tâches politiques et même géopolitiques transitoires", a-t-il souligné.
Qalamoun: Israël craint la riposte du "Hezb"!!
Israël a-t-il bombardé le Hezbollah, ce lundi, à Qalamoun? Les sources sionistes ont démenti les raids menés contre les positions du Hezbollah, sur les frontières syro-libanaises. Quelques heures après les attaques, menées dimanche soir, contre le Golan occupé, Al-Jazeera et Al-Arabiya ont rapporté des frappes israéliennes contre Qalamoun. Les chaînes saoudienne et qatarie prétendent que ces raids ont détruit les rampes de lancement du Hezbollah et de l'armée syrienne. Une source israélienne, citée par "Haaretz", dément, toutefois, cette information. Le porte-parole d'Israël a, de son côté, refusé de confirmer ou d'infirmer cette information. Il s'agirait du troisième raid aérien attribué à Israël, ces deux derniers jours, contre les frontières syro-libanaises. Les deux premières attaques ont été confirmées, tandis que la troisième reste à confirmer. Une source proche du ministère de la Guerre sioniste a annoncé, toutefois, qu'Israël n'a aucune intention de s'ingérer, à Qalamoun, où " le Hezbollah et Assad se battent contre Al-Nosra". Selon Al-Jazeera, des raids sionistes auraient visé, vendredi soir, le siège des bataillons 155 et 65, soit des arsenaux balistiques de Damas. Hier soir, un groupe de 3 ou 4 combattants du Hezbollah aurait été visé, dans la région de Qalamoun.
"Yediot Aharonot", qui refuse de reconnaître, lui aussi, cette troisième attaque, affirme qu'Al-Nosra cherche à tirer des bénéfices psychologiques des attaques précédentes d'Israël, pour, ainsi, pousser le Hezbollah et l'armée syrienne à se retirer de Qalamoun.
Tous nos programmes sont réalisés avec la coopération des sunnites
Le développement du contenu concernant le rapprochement islamique dans le monde virtuel constitue une priorité pour le vice-secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques chargé des affaires intérieures.
Dans un entretien avec le journaliste de l'agence de presse Taghrib (APT), cheikh Hamed Alam al-Hoda, vice-secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques chargé des affaires intérieures a expliqué les programmes accomplis lors de l'année dernière et ceux de l'année prochaine.
Au cours de l'année précédente, l'ayatollah Araki a participé aux séminaires tenus dans les provinces iraniennes. Il y a pris des discours. Ces séminaires sont tenus en présences des oulémas sunnites et chiites, a-t-il souligné.
Tenu des cours d'enseignement nommés ''Ambassadeurs du rapprochement islamique''
Après la tenue d'une cours d'enseignement ''Ambassadeur du rapprochement (islamique)'' pour les oulémas sunnites, ce programme est réalisé pour les enseignants en coopération avec le ministère de l'Education et l'Organisation de Tabligh islamique en présence des enseignants chiites et sunnites à Qom, a-t-il indiqué.
Envoyer des missionnaires est l'un des programmes de notre section. La question du rapprochement islamique exige l'activité des gens ayant certaines caractéristiques. Donc, nous avons besoin des gens qui sont présents parmi les sunnites et leurs déclarations doivent renforcer l'unité islamique. Auparavant, nous avons utilisé les responsables du Conseil et de l'Université des Ecoles islamiques. Mais aujourd'hui, il y des missionnaires à Qom qui peuvent faire des discours parmi les sunnites, a-t-il expliqué.
Soutenir la tenue des séminaires régionaux dans les régions sunnites, équiper les bibliothèques des écoles religieux et des régions frontalières, coopérer avec la chaîne 2 de la télévision iranienne pour la réalisation des documentaires dont ''Vérité'', renforcer la relation du Conseil avec les organisations d'enseignement et soutenir la section du Conseil qui est chargé d'inviter les oulémas étrangers à la Conférence de l'Unité islamique font partie des programmes de notre section, a-t-il suivi.
Des accords d'entente entre le Conseil et des universités dont l'université Azad islamique et celle de Payam-et-Noor sont en train d'être préparés. Ces universités nous demandent de préparer des cours intenses d'enseigner le rapprochement islamique, a-t-il poursuivi.
Dans le monde virtuel, il y a une espace favorable aux activités du rapprochement islamique. On peut utiliser les réseaux sociaux pendant 24h pour discuter sur les questions liées au rapprochement islamique. Nous profitons de cette occasion pour présenter le rapprochement islamique. L'activité dans ce domaine est commencée il y a deux ou trois mois, a-t-il dit.
Tous nos programmes sont réalisé avec la coopération des sunnites pour que nos discours ne soient par unilatéraux. Cela a entraîné la participation des oulémas sunnites dans les domaines du rapprochement islamiques, a-t-il martelé.
Marquant la relation entre la section des affaires intérieures du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques avec l'université des Ecoles islamiques, cheikh Alam al-Hoda a ajouté: actuellement, la situation est préparée pour la tenue des dialogues libres pour aborder les questions du rapprochement islamique.
Des rebelles tuent 30 civils dans le nord-ouest de la Syrie
Des groupes de militants ont commis un massacre dans une ville dont ils se sont emparés dans le nord-ouest de la Syrie, tuant plus de 30 civils, des femmes et des enfants pour la plupart, a rapporté l'agence de presse SANA.
Les groupes "terroristes" ont commis un "massacre épouvantable" dans la ville de Jisr al-Choughour située en campagne près de la ville d'Idleb (nord-ouest), après l'avoir prise d'assaut samedi, a affirmé SANA.
L'armée syrienne a lancé des raids de nuit contre les postes militaires du Front al-Nosra, lié à al-Qaïda, et des groupes similaires, dans la ville-clé située près de la frontière turque, causant de lourdes pertes du côté des militants, selon la même source.
Par ailleurs, la chaîne de télévision panarabe Al-Mayadeen a indiqué que l'armée syrienne a débuté dimanche une contre-offensive pour reprendre Jisr al-Choughour, qui se trouve sur la route principale reliant la région syrienne bordant la frontière turque et la ville d'Alep.
Au moin 44 morts dans des intempéries dans le nord-ouest du Pakistan
Des pluies torrentielles et des vents violents ont fait au moins 44 morts et 200 blessés depuis dimanche soir dans le nord du Pakistan, ont annoncé lundi les autorités. La tempête a frappé le secteur de Peshawar.
Cette grande ville se trouve au nord-ouest du pays près de la frontière afghane. Des toits de masures se sont effondrés et des routes ont été coupées par des arbres déracinés ou fracassés.
"Au moins 44 personnes ont perdu la vie et 202 autres ont été blessées. Les vents violents et les pluies torrentielles ont sévèrement endommagé les vergers et les champs de blés", a déclaré à l'AFP Mushtaq Ghani, le ministre de l'Information du Khyber Pakhtunkhwa, province dont Peshawar est la capitale.
Des pylônes électriques se sont aussi effondrés, ont indiqué les autorités. Elles tentaient lundi de rétablir le courant à Peshawar et dans les districts voisins de Nowshera et Charsadda.
Lundi matin, des fortes pluies se sont aussi abattues sur la province voisine du Pendjab, la plus peuplée du Pakistan, avec des chutes abruptes de grêlons dans la région de la capitale nationale Islamabad.
L'an dernier, plus de 200 personnes avaient perdu la vie au Pakistan dans les pluies torrentielles de la mousson, qui sévissent normalement en août et septembre. En 2010, les flots de la mousson avaient affecté 20 millions de personnes, soit environ 10% de la population de ce pays de près de 200 millions d'habitants.
Syrie: l'armée bombarde les poisitions stratégique des rebelles
L'aviation militaire syrienne a multiplié dimanche les raids contre la ville stratégique de Jisr al-Choughour, prise par al-Qaïda et les rebelles, selon une ONG.
Selon l'ONG pro-rebelles, au moins quatre raids ont visé cette ville située dans le nord-ouest du pays et qui revêt un caractère stratégique car située sur une éminence proche de la Turquie et ouverte sur les régions de Lattaquié, à l'ouest, et de Hama au centre qui sont sous le contrôle de l'armée syrienne.
Aucun bilan n'était disponible dans l'immédiat, les raids de la vielle ont causé la mort d'au moins 27 rebelles.
Développement de la coopération religieuse entre l’Iran et la Turquie
Hassan Safar Khani, attaché culturel iranien en Turquie, a rencontré le vice-président de la Direction des affaires religieuses de l'État turc (Diyânet), pour examiner les possibilités de développement de la coopération religieuse entre l’Iran et la Turquie.
Hassan Safar Khani a loué les efforts de ce centre et faisant allusion à l’accord conclu entre ce centre et le Centre iranien de la culture et des relations islamiques, a déclaré que les prochaines fêtes pouvaient être l’occasion d’une plus grande coopération entre les deux pays et de l’organisation de réunions des ulémas sur les particularités morales du Prophète (PSL), ou d’une exposition commune pendant le mois de ramadan, sur le Coran.
« Dans la période sensible que nous traversons, les pays islamiques ont besoin d’union », a-t-il déclaré.
Le vice-président de la Direction des affaires religieuses de l'État turc a déclaré que les religieux du monde de l’islam devaient être clairvoyants.
« Il ne se passe pas un jour dans les pays islamiques, sans que des centaines de femmes et d’enfants soient victimes de violences de la part de gens qui se réclament de l’islam mais ne cherchent en fait, qu’à développer l’islamophobie dans le monde. Nous avons rencontré Ghazi Asgar, représentant du Vali-e-faghi dans les affaires du pèlerinage, qui avait rassemblé des hadiths sur la nécessité de protéger les musulmans et les lieux saints, que nous pouvons publier en Turquie. Nous sommes prêts à travailler davantage dans le cadre de l’accord conclu entre les deux pays, dans les domaines religieux et culturels », a-t-il dit.
La flotte iranienne à Bab el Mandeb, "Roosvelt" s'enfuit !!
Depuis son départ du port iranien Bandar Abas, la flotte iranienne a traversé quelques 2000 miles!! les navires iraniens se trouvent ainsi à quelques lieux du détroit stratégique de Bab el Mandeb , portant un discredit total aux fausses informations diffusées ces quelques jours comme quoi la flotte iranienne aurait été repoussée par les navires us!! En ce même sens, Debkafile, le site proche des milieux du renseignement de l'armée sioniste prétend à un retour des navires iraniens qui auraient "rebroussé le chemin par crainte d'avoir à faire face aux navires US". Debka qui oublie de signaler de fréquents face à face des navires US/iraniens dans les eaux du golfe Persique ajoute :" USS Roosvelt et d'autres navires US ont quitté le Yémen vendredi pour regagner le golfe Persique" la flotte iranienne qui continue sa traversée vers les eaux territoriales yéménites est composée de 9 navires et destroyers . la marine iranienne a affirmé ne permettre à aucun pays de restreindre sa liberté de manoeuvre et d'action.
La Chine se range-t-elle du côté des antagonistes d’un accord nucléaire avec l’Iran ?
Le dossier du programme nucléaire iranien est devenu un dossier très sensible, auquel s’intéresse chacun des acteurs de la politique régionale ou internationale, pour en tirer un avantage, dans le cadre de ses propres intérêts.
Selon le site d’information iranien, «Tabnak», tandis que les Républicains radicaux du Congrès des Etats-Unis redoublent, ces derniers jours, leurs efforts, pour perturber le processus de la normalisation des affaires liées au dossier du programme nucléaire de l’Iran, il y a des indices, qui laissent croire que la Chine y est, également, intervenue, en remettant aux autorités américaines, certaines informations, qui semblent donner un nouvel élan aux discussions, à Washington, autour le processus du dialogue avec l’Iran, autour du programme nucléaire civil de Téhéran.
Dans ce sens, le quotidien américain, "Wall Street Journal", a écrit, dans un article, qu’au mois de février 2015, une réunion a eu lieu entre les experts chinois et américains du renseignement et de la sécurité nucléaire. Au cours de cette rencontre, les experts chinois ont dit à leurs confrères américains, qu’ils s’étaient trompés, à Pékin, dans leurs estimations concernant la capacité du nucléaire militaire de la Corée du Nord. Les experts chinois ont dit qu’ils croyaient que le gouvernement de Pyongyang aurait disposé d’une vingtaine d’ogives nucléaires. Or, les agences de sécurité des Etats-Unis pensaient que l’arsenal nucléaire de la Corée du Nord ne disposerait que de 10 à 16 bombes atomiques. En outre, les experts chinois de la sûreté nucléaire ont dit à leurs confrères américains que la Corée du Nord aurait, aussi, la capacité de doubler le nombre de ses ogives nucléaires, en l’espace d’un mois, pour augmenter le nombre de ses bombes atomiques à quarante.
La remise de ces informations, par les responsables chinois, aux autorités du gouvernement des Etats-Unis, a eu un effet particulier, à Washington, tandis que la Maison Blanche s’est engagée, de manière très sérieuse, dans le processus du dialogue nucléaire entre l’Iran et les 5+1, (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne). Maintenant, des milieux politiques, à Washington, qui s’opposaient, fortement, au processus du dialogue nucléaire avec l’Iran, disent qu’au cas de la conclusion d’un accord nucléaire, et même si les inspections très sévères étaient imposées à la partie iranienne, Téhéran serait, probablement, en mesure de fabriquer des bombes atomiques, s’il le désire, comme l’a, déjà, fait la Corée du Nord, autrefois. Ils rappellent que la Corée du Nord a accepté, pendant une dizaines d’années, les inspections de l’Agence internationale de l’Energie atomique, (AIEA), mais que, plus tard, Pyongyang est sorti, unilatéralement, de l’AIEA, et a entamé, aussitôt, ses essais, pour fabriquer sa première bombe atomique.
Les nouvelles informations que les experts chinois ont révélées, à propos du programme nucléaire militaire de la Corée du Nord, ont attisé le feu des débats, aux Etats-Unis, et ailleurs, au sujet des négociations nucléaire avec l’Iran. Ceux qui s’opposent au processus de la conclusion d’un accord avec l’Iran, au sujet de son programme nucléaire civil, disent qu’il est, donc, possible que les Iraniens coopèrent, comme avant, avec les inspecteurs de l’Agence internationale de l’Energie atomique, (AIEA), mais qu’ils s’approchent, peu à peu, du seuil qui leur permettrait de se doter de l’arme atomique. Autrement dit, ils disent qu’il est possible qu’à une étape décisive, les Iraniens mettent fin à leur coopération avec l’AIEA, pour se débarrasser des inspections internationales et fabriquer, en très peu de temps, leur première bombe nucléaire. Les débats autour de cette inquiétude ont obligé les responsables officiels de l’administration américaine à prendre position, à ce sujet.
La porte-parole de Département d’Etat américain, Mme Marie Harf, a déclaré : «Dans le cadre de l’accord que les grandes puissances veulent conclure avec la République islamique d’Iran, les contraintes, les interdictions et les inspections, ainsi que d’autres mesures de vérification, qui seront imposées à la partie iranienne, vont au-delà de ce que la communauté internationale avait imposées au gouvernement de la Corée du Nord, dans les années 1990 et 2000. Par conséquent, nous essayons d’arriver au terme des négociations avec la partie iranienne, à la conclusion d’un accord global, qui sera très très différents de ce qui s’était passé avec la Corée du Nord, dans les années 1990 et 2000. En ce qui concerne l’Iran, il s’agit d’un processus, complètement, différent».
La porte-parole du Département d’Etat américain a ajouté : «En réalité, dans l’accord que nous voulons conclure avec l’Iran, il y a des détails techniques très très subtiles, qui sont le résultat des leçons que nous avons tirés de l’expérience des négociations, autrefois, avec les responsables du gouvernement de la Corée du Nord».
En tout état de cause, il paraît que, dans les jours et les mois à venir, les Républicains et les Démocrates radicaux useront de tous leurs leviers, pour faire pression sur l’administration de Barack Obama, afin de pousser la Maison Blanche à essayer d’obtenir un maximum de concessions possibles, au cours des négociations nucléaires entre l’Iran et les grandes puissances. Leur but est d’obtenir d’Obama, ce qu’il avait refusé au Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu, au sujet des négociations nucléaires avec la République islamique d’Iran.
Dans ce contexte très sensible, l’Iran s’attend à ce que les pays amis, comme la Chine, qui sont concernés, directement, par les négociations nucléaires, (la Chine est membre du groupe 5+1), n’offrent pas de nouveaux prétexte aux radicaux américains ou israéliens, pour perturber le processus des négociations nucléaires. Dans le même temps, les responsables du pays doivent veiller, avec beaucoup de vigilance, à ce que les informations sensibles du pays, tant au sujet du programme nucléaire que de la sécurité nationale, ne soient mis à la disposition des pseudo-amis, qui pourraient changer de position, d’un jour à l’autre, dans le cadre de leurs intérêts en tout genre.
Les médias chinois reflètent largement les déclarations du leader iranien
La Confédération syndicale internationale (CSI) dans un rapport publié que l'Ayatollah Khamenei, lors d'une réunion avec les hauts commandants de l'armée iranienne, a rejeté des États-Unis allégations au sujet de la prétendue menace posée par le programme nucléaire en Iran dans le monde.
Les médias chinois, a déclaré que l'Ayatollah Khamenei a encore moins confiance en la Occident dans les négociations nucléaires entre l'Iran et le groupe 5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie et Chine, plus d'Allemagne).
Il fait valoir que le dirigeant iranien a rejeté les menaces militaires de l'Occident contre l'Iran, mais a insisté sur l'importance de maintenir l'état maximal d'alerte.
Que la moitié chinoise rappelle le ferme soutien du leader iranien à la délégation nucléaire iranienne dirigée par le ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif , responsable de l'exécution du processus, cependant, a dit 9 Avril dernier, dans la dernière déclaration conjointe entre l'Iran et le G5 + 1 ne garantit pas la réalisation d'un accord global ou la poursuite des pourparlers nucléaires.
Il a également souligné les demandes excessives de l'Ouest au moment de demander l'autorisation d'inspecter les installations militaires en Iran, comme condition préalable à un accord définitif nucléaire avec l’Iran.
L'ayatollah Khamenei a exprimé son opposition catégorique à l'ingérence des pays occidentaux en Iran sous le tissu des inspections, a déclaré le CSI, citant le dirigeant iranien.
Un autre journal chinois Renmin a noté que l'Ayatollah Khamenei condamne avec fermeté les menaces proférées par Washington et a exhorté toutes les forces armées qui faire tout en son pouvoir afin d'accroître l'état de préparation militaire du pays.
Le leader perse s'assure que les demandes faites à la nature menaçante des activités nucléaires pacifiques du pays persan, à proximité ont été inventés par les États-Unis et le régime israélien, qui « pose une importante menace pour la paix et la sécurité dans le monde », a déclaré Renmin.
Ce rapport suggère que le leader iranien a souligné que la nation va donner une forte réponse à toute violation de la souveraineté de son pays.
Le chef de la US Joint Chiefs of Staff, le général Martin Dempsey, a déclaré jeudi que si la diplomatie ne résout pas les questions liées au programme nucléaire de l’Iran, les installations nucléaires d'attaque de Washington dans le pays perse.
Le 10 Avril, secrétaire américain à la Défense Ashton Carter, a menacé d'attaquer Téhéran, indiquant que les armes de ses bustiers pays sont prêtes à détruire les installations nucléaires de l'Iran si nécessaire.
Près d'un mois avant cette date, l'ancien chef du renseignement militaire israélien, Amos Yadlin, a appelé un pacte avec USA pour lancer une attaque contre l'Iran si celui-ci viole les termes de l'accord final sur son programme nucléaire.
Un an et demi négociations nucléaires entre l'Iran et six puissances mondiales, après avoir signé un accord préliminaire en Novembre 2013, clos le 2 Avril dernier, d'abord d'accord sur le programme d'énergie nucléaire de l'Iran dans la ville suisse Lausanne.
Et, la capitale de l’Autriche, Vienne, sera l'hôte du 22 Avril prochain et 23, la prochaine série de pourparlers pour définir les détails et de faciliter la réalisation d'un accord final avant la date limite du 30 Juin.