
تقي زاده
Pourquoi la fin d'Israël est proche? Le général Jafari répond..
Le commandant en chef des Pasdarans, le général Jafari, vient de le souligner : "Lla Palestine occupée est exposée, dans ses moindres recoins, aux missiles du Hezbollah et de ceux de Gaza, et ceci ne signifie qu'une chose : l'effondrement d'Israël est tout proche. C'est de cette crainte originelle, dont Israël tente, désormais, de se dégager !!" On est témoin, ces temps-ci, d'une nouvelle vague de complots, tramés par nos ennemis traditionnels : des sanctions se poursuivent, des menaces sécuritaires se multiplient, et l'ennemi fait tout, pour semer le doute et la suspicion, dans nos coeurs. .. Or, les parties qui s'opposent à un Iran indépendant et souverain, n'ont jamais été capables de nous mettre au pas, aussi bien, en temps de guerre, qu'en temps de paix. .. Daesh est né d'un projet, celui d'empêcher les nations iranienne, irakienne, syrienne et libanaise, de s'unir, Chiites comme Sunnites. Or, le projet Daesh a, lamentablement, échoué, dans la mesure où il a servi de ciment à consolider l'unité entre nos peuples, et le premier pays à se sentir terrorisé, par cette unité et cohésion renforcées, demeure Israël. Muni de tous les armements possibles et imaginaires, d'une technologie de pointe, Israël se démène, pour pouvoir franchir les frontières de Gaza et du Liban et faire irruption, dans ces régions. Or, il en est, totalement, incapable!! Quelle est cette puissance absolue, qui a barré la route à l'une des plus fortes armées de la région? Pourquoi Israël n'ose-t-il pas faire irruption à Gaza? Il va sans dire qu'il y a là, dans cette forme hérorique de la résistance du peuple Gaza, une empreinte iranienne. Les Gazaouis ont tiré leçon de notre résistance contre les grandes puissances, et ils bénéficient de notre soutien en armement, de notre appui matériel et moral, et c'est cela qui leur a permis de faire bloc contre le régime d'occupation. .. Ni les Etats Unis, ni Israël, n'osent lorgner en notre direction. Ils n'osent même pas penser à nous attaquer, car ....tout Israël est exposé aux missiles de la Résistance libanaise et palestinienne ...."
Attaque contre la Syrie : la Russie met en garde les USA
Le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a mis en garde les Etats-Unis contre une éventuelle attaque contre les positions des forces de l’armée syrienne.
"L’avertissement lancé par les Etats-Unis d’attaquer les forces syriennes est inquiétant et un acte illégal", a affirmé, jeudi, Alexander Lukashevich. "La destination finale des armes américaines et des alliés de Washington ,pour les opposants syriens, qui sont qualifiés de «modérés», est une question importante, qui est évoquée, actuellement, dans les milieux politiques", a ajouté M. Lukashevich. Les Etats-Unis ont averti que si l’armée syrienne attaquait les terroristes appelés, par Washington, «les forces syriennes modérées», la voie à une attaque américaine contre les forces gouvernementales syriennes serait, alors, aplanie. "La Russie poursuit ses efforts, pour faire avancer le dialogue national, en Syrie", a précisé Lukashevich, en soulignant l’importance de la reprise des négociations syro-syriennes.
La démission de 800 pilotes turcs
Simultanément à la mort de 6 pilotes de l'armée de l'air turque, lors du crash de 3 avions de combat "phantom", pendant la semaine, on a annoncé que, durant ces 5 dernières années, 800 pilotes turcs ont quitté les forces armées turques.
La mort de 6 pilotes de la force aérienne a suscité des discussions sur la modernisation de ces avions, par Israël, et le pourquoi de leur utilisation.
"L'incident d'Uludere était, en effet, un piège du renseignement, pour empêcher les opérations de l'armée de l'air turque contre le siège de commandement du PKK, dans la montagne de Qandil, un piège dans lequel nous sommes tombés", a déclaré un ancien pilote.
A la suite de cet incident, plusieurs pilotes turcs ont été taxés de meurtriers, de criminels, ce qui les a amenés à démissionner, avant de poursuivre leur carrière, dans l'aviation privée.
Victoires syro-irakiennes: pourquoi ce silence occidental?
Le black-out qu'ont fait les médias arabes et occidentaux,en ce qui concerne les récentes victoires des armées irakienne et syrienne, ne peut pas être considéré, dans le cadre d'un "boycott", mais plutôt, d'une "atonie" médiatique. Selon l'agence de presse Fars, les médias partiaux de la région ne parlent pas beaucoup de ce qui se passe, ces jours-ci, en Irak et en Syrie, autrement dit, des victoires qu'enregistrent l'armée et les forces de la défense populaire, sur les différents fronts, face aux groupes terroristes, dont Daesh. A présent, les succès et les victoires des armées syrienne et irakienne, face aux groupes terroristes, dont Daesh sont passées sous silence par les médias partiaux et partiels, régionaux et internationaux.Dans cette affaire, il y a deux points à considérer:
1- Lorsque l'armée syrienne a lancé un nouveau tour d'opérations militaires, sur le front du Nord, dans l'objectif de boucler le siège des terroristes installés à Alep, la partie américaine a commencé de vastes agissements, sur le plan politique, ainsi que sur le terrain.
Sur le terrain, la Turquie a apporté un soutien vaste et indéfectible aux terroristes d'Alep, si bien qu'elle a procédé à l'envoi de milliers de terroristes à Alep, en plus de ses aides militaires et logistiques, qu'elle ne cesse d'accorder aux terroristes. Dans le même temps, les terroristes, déployés dans le Sud de Syrie, ont intensifié leurs attaques, sous la houlette des Etats-Unis, de l'Arabie saoudite et du régime sioniste, afin de détourner l'attention de l'armée du Nord et d'alléger la pression, qui se faisait sentir sur les terroristes déployés dans cette région.
Sur le plan politique, l'émissaire spécial des Nations unies, en Syrie, Staffan De Mistura, a multiplié ses ballets diplomatiques et ses visites régionales, afin de présenter son plan destiné à geler les affrontements, à Alep, et à instaurer un cessez-le-feu entre les terroristes et l'armée.
Nombreux sont les observateurs et les experts de la Syrie qui étaient d'avis que le plan de De Mistura vise, seulement, à sauver les groupes terroristes, qui se voient de plus en plus cernés par les militaires de l'armée. En réalité, la libération d'Alep signifie, pour les terroristes et leurs alliés régionaux et internationaux, la fin d'une grande partie de la crise sévissant en Syrie.
2- En Irak, l'opération de libération de Tikrit est en cours, depuis lundi, alors que personne ne parle de la présence des Américains, qui dirigent la Coalition internationale anti-Daesh. Le fait que l'armée irakienne n'ait pas demandé d'aide aux Etats-Unis s'explique dans la révélation faite, jeudi dernier, par un commandant des Forces centrales de l'armée américaine. "Entre 20 et 25.000 forces irakiennes se sont préparées à lancer une opération de libération de Mossoul, durant les mois d'avril et de mai de l'année en cours", a-t-il révélé.
Cette révélation a eu un grand impact négatif, chez les Irakiens, qui sont terriblement fâchés de la révélation de leur plan à Daesh. En réalité, en annonçant la date de l'opération de libération de Mossoul, le responsable américain a mis au grand jour le plan de l'armée irakienne.
C'est la raison pour laquelle, les militaires de l'armée régulière et les forces de la défense populaire ont lancé l'opération de libération de Tikrit, sans faire appel aux Américains. La colère des Américains de cette décision de Bagdad est à l'origine de la géante guerre médiatique qu'ont déclenchée les médias occidentaux et arabes hostiles à ces opérations. Pour ce faire, lesdits médias ont tenté de donner un aspect intercommunautaire et interethnique aux opérations de libération de l'armée, selon lequel les Chiites auraient attaqué une ville sunnite. Et cela, dans l'objectif d'attiser les divergences intercommunautaires et interethniques, en Irak, de minimiser les grands acquis de l'armée et d'allumer la mèche d'une guerre interethnique.
Sur ce point, un commandant des forces de la défense populaire précise: "Nous avons mené l'opération, sans la contribution des Américains, parce que nous n'avons pas confiance sur eux".
Ceci dit, comment négliger la vraie nature de la Coalition internationale anti-Daesh? Comment considérer les Etats-Unis comme étant un ennemi de Daesh et des groupes terroristes, alors qu'ils volent au secours de ces mêmes terroristes, dès qu'ils les voient sous pression?
" Israël ne se matérialisera jamais son rêve de faire pression sur l'Iran "
" Netanyahu pense un accord ne est pas atteint, l'Iran devra faire face à des problèmes. Le régime d'Israël ne verra jamais concrétisé son rêve de faire pression sur l’Iran. Le pays Persique a prouvé que sa position est basée sur la logique et ne jamais perdre, même si elles ne le font pas un résultat des pourparlers sur le nucléaire “, a souligné l'ayatollah Emami Kashani Mohamad.
À cet égard, il a indiqué que le projet de budget du gouvernement iranien pour la nouvelle année persane (qui commence le 21 Mars) a été entièrement développé indépendamment de l'issue de négociations nucléaires avec G5+1 (Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Russie et la Chine, plus l’Allemagne).
Emami Kashani de l'ayatollah a également dénoncé les efforts de Netanyahou de présenter l'Iran comme une menace à la fois le régime israélien à tous les pays.
" Vous devez demander aux dirigeants sionistes ce qu'ils veulent dire quand ils parlent de la menace alléguée de l’Iran. La véritable menace sont l'agression militaire des puissances hégémoniques contre les peuples du monde, " a-t-il ajouté.
À cet égard, il a rappelé que lors de l'histoire contemporaine, en particulier les années après la Révolution islamique d'Iran (1979), le pays perse n'a engagé aucune guerre contre d'autres pays.
Enfin, il a critiqué la récente vague d'islamophobie dans les pays occidentaux, s’assurer que les peuples du monde ne seront jamais laissés par des campagnes de propagande en Occident contre l'Islam et les musulmans.
Lors de son discours controversé sur mardi devant le Congrès américain, Netanyahu s’oppose à nouveau à un accord final nucléaire Iran-Sextet et a soulevé trois conditions pour la levée des sanctions antiranis l'Occident sur le programme nucléaire de l’Iran.
" Avant de lever ces restrictions, le monde doit exiger que l'Iran fait trois choses. D'abord, pour arrêter son agression contre ses voisins du Moyen-Orient. Deuxièmement, de cesser de soutenir le terrorisme dans le monde entier. Et troisièmement, pour arrêter menacent d'anéantir " le régime d’Israël, Netanyahou a déclaré.
Selon les analystes politiques, l'absence de toute relation entre les conditions définies par le premier ministre israélien des questions nucléaires est la preuve que les préoccupations annoncées de l'régime sur une tendance militaire présumé de programme pacifique de l'énergie nucléaire de l'Iran ne sont que des stratégies à la pression la nation perse.
" Dialogues nucléaires sont très proches d'un accord final "
"Nous pensons que nous sommes très proche, très proche. Et nous pourrions être très loin. Mais nous sommes très proches, si une décision politique peut prendre pour atteindre si, comme l'a dit le Président (USA) Obama", a souligné Zarif, dans un entretien exclusif avec le réseau américain "NBC".
Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré que le plus grand obstacle aux pourparlers nucléaires visage est l'absence d'une décision politique de choisir entre la pression et de l’accord.
Je pense qu'il a continué, " le principal obstacle est la portée d'une décision politique, ce est à dire le choix entre la pression et de l’accord, il semble que dans l'Amérique il y a une grande pression de différents côtés, pour empêcher un accord avec l’Iran. "
À cet égard, a-t-il ajouté, cette décision de politique doit être faite par tous et pas seulement pour un pays; et en même temps, tout le monde devrait éviter d'imposer des pressions qui entravent la réalisation d'une décision politique à un accord final.
Après avoir été interrogé si " pointage au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu " Zarif a dit « suis pointer du doigt quiconque voit la paix comme une menace existentielle. "
" Certaines personnes voient tout simplement leur espoir et leur avenir politique dans le conflit, de tension et de crise. Il fournit une telle situation, je ai un environnement très difficile de prendre des décisions politiques “, a-t-il dit.
Toutefois, selon Zarif, les parties ont déjà convenu sur certaines questions techniques, mais il y a encore résoudre d'autres de son genre en plus les politiciens." Nous avons fait de bons progrès, mais il reste encore un long chemin ", a-t-il dit.
Dans ce contexte, il a rappelé que jusqu'à ce qu'un accord sur toutes les questions ne soit pas atteint, il y aura un accord final : " Ce est un casse-tête. Toutes les pièces doivent être mises ensemble pour nous donner une image de ce qui est à venir. "
En ce qui concerne les dialogues intensifs qui maintiennent les parties, Zarif a déclaré que c’est le signe de la gravité des deux côtés et leur détermination à obtenir des résultats.
" Nous avons proposé d'augmenter le niveau des discussions techniques et donc apporté la tête de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OEAI), Ali Akbar Salehi, et les États-Unis a apporté son secrétaire à l'Énergie Ernest Moniz. Toutes deux ont physiciens dans le secteur nucléaire. Nous cherchons à parvenir à une compréhension technique (...) a été une étape très importante et utile “, a-t-il expliqué.
Irak: l'armée encercle Tikrit, la bataille se rapproche de sa phase cruciale
Les forces gouvernementales irakiennes tentaient mercredi d'encercler les rebelles de Daech dans les environs de Tikrit, en coupant notamment leurs lignes d'approvisionnement, au troisième jour d'une vaste offensive appelée à durer pour reprendre cette ville stratégique.
Appuyées par des miliciens chiites et sunnites, les forces armées étaient à plus d'une vingtaine de km de la ville de Tikrit, située à 160 km au nord de Bagdad.
Les "opérations se poursuivent conformément au plan préparé", a déclaré un officier à Samarra, la deuxième ville de la province de Salaheddine. "Nos forces avancent lentement et méthodiquement", en raison des tireurs embusqués et des bombes placées en bord des routes.
Les forces gouvernementales progressent depuis trois fronts: de la cité de Samarra au sud, du camp militaire de Speicher au nord et de la province de Diyala à l'est.
"L'objectif est d'empêcher Daech de commettre des attaques, de couper ses lignes d'approvisionnement, de l'empêcher d'être en liaison avec ses combattants (hors de la ville) et de l'encercler totalement avant de l'attaquer", a détaillé le général Abdel Amir Al-Zaidi, commandant des opérations dans le secteur de Diyala.
Les troupes veulent commencer par prendre deux localités toutes proches de Tikrit, Al-Alam au nord et Al-Dour au sud, a-t-il ajouté. Elles ont réussi "à détruire la première ligne de défense" de Daech, poussant les rebelles à se retirer à l'intérieur des localités.
Depuis le début de l'opération lundi, il n'"y pas eu de confrontation directe". Le porte-parole de la police Mohammed Ibrahim a expliqué que les rebelles avaient surtout recours aux attentats à la voiture piégée contre les forces en progression.
Située entre Bagdad et Mossoul, Tikrit, berceau de l'ex-président Saddam Hussein, est la deuxième ville la plus importante conquise par Daech en Irak, après celle de Mossoul, à 350 km au nord de Bagdad.
Pour les autorités, la prise de Tikrit représenterait "un tremplin sur le chemin de la libération de Mossoul", deuxième ville d'Irak.
Bachar al-Assad dit avoir le soutien des Syriens
Le président Bachar al-Assad a assuré mercredi qu'il bénéficiait du soutien des Syriens et que les institutions de l'Etat fonctionnaient toujours en dépit de près de quatre ans de guerre, dans un entretien à la chaîne portugaise RTP.
Il a affirmé que l'image que l'on donne de lui en Occident -que le "peuple est contre lui, que les pays de la région sont contre lui, que l'Occident est contre lui"- était biaisée. Il a souligné que s'il avait "résisté à quatre ans" de guerre, c'était "uniquement parce qu'il a le soutien du peuple".
Déclenché le 15 mars 2011, le conflit syrien s'est transformé en une guerre entre forces gouvernementales et rebelles. Il s'est complexifié avec la montée en puissance d'extrémistes.
"Nous avons toujours des institutions qui fonctionnent, nous avons toujours des subventions, nous continuons à payer les salaires (...) même dans certaines régions sous le contrôle des terroristes". "La Syrie n'est pas finie et nous ne sommes pas un Etat failli". Il a précisé qu'il soutenait une solution "politique" au conflit mais qu'une grande partie de l'opposition était liée à des pays tiers y compris du Golfe Persique, et qu'il préférait parler à "des gens représentant les Syriens en Syrie".
Syrie: au moins 14 rebelles et 20 membres de la force syrienne tués dans l'attaque d'Alep
Au moins 20 membres des forces gouvernementales syriennes et 14 rebelles ont été tués dans une attaque menée mercredi contre un QG des services de renseignement de l'armée de l'air dans la ville d'Alep (nord), a rapporté une ONG pro-rebelles.
Selon l'ONG, les rebelles ont déclenché une puissante charge explosive souterraine contre un bâtiment abritant des bureaux du service de renseignement de l'armée de l'air. Puis des combats ont éclaté avec les forces syriennes.
Les affrontements se poursuivaient dans la soirée et les deux camps ont envoyé des renforts, d'après la même source.
Les insurgés ne sont pas parvenus à conquérir le bâtiment, a précisé l'ONG basée à Londres.
Yémen: libération d'un diplomate iranien enlevé au en 2013
Un diplomate iranien enlevé au Yémen en 2013 a été libéré et rapatrié jeudi à Téhéran, ont annoncé les médias iraniens.
Sa libération est intervenue trois jours après celle d'un diplomate saoudien, qui avait été kidnappé par le réseau Al-Qaïda au Yémen en mars 2012.
Le diplomate iranien Nour-Ahmad Nikbakht avait été enlevé le 21 juillet 2013 alors qu'il quittait son domicile à Sanaa, par des membres du réseau Al-Qaïda, selon des sources tribales yéménites.
La télévision d'Etat a montré des images en direct du diplomate à son arrivée jeudi à l'aéroport Mehrabad de Téhéran.
J'ai été kidnappé par des inconnus armés alors que je quittais mon domicile pour aller au travail, a déclaré M. Nikbakht à la télévision d'Etat. J'ai été retenu en otage et beaucoup d'efforts ont été déployés les services secrets iraniens au sein du ministère du Renseignement, au ministère des Affaires étrangères et dans d'autres instances.
Il a été détenu par des militants d'Al-Qaïda dans une région éloignée entre les provinces de Chabwa (sud) et Baïda (centre), selon des sources tribales et de sécurité yéménites.
En janvier 2014, un autre diplomate iranien, Ali Asghar Assadi, avait été tué par balles par des inconnus dans une attaque menée dans un quartier abritant plusieurs ambassades à Sanaa.
Il s'agissait du premier assassinat d'un diplomate iranien au Yémen.