تقي زاده

تقي زاده

Le gouvernement malien et l'Assemblée nationale du Mali ont autorisé la prorogation jusqu'au 31 mars de l'état d'urgence déjà instauré à deux reprises depuis l'attentat jihadiste contre un grand hôtel de Bamako en novembre.

Le gouvernement a présenté lundi en conseil des ministres extraordinaire un projet de loi autorisant la prorogation de l'état d’urgence "en raison des menaces graves sur la sécurité des personnes et de leurs biens", selon un communiqué officiel.

Ce texte a été voté mardi par l'Assemblée nationale, a indiqué une source parlementaire, précisant que "le projet de loi a été voté à l'unanimité par les députés présents à l'hémicycle lors des discussions"."Si le gouvernement a pris cette mesure, avant la fin de l’état d’urgence qui est en cours, c'est pour prendre les devants et éviter toute surprise désagréable", a déclaré à l'AFP un responsable malien sous couvert d'anonymat.L'opposition parlementaire, qui a voté le projet de loi, a cependant demandé "plus de rigueur" dans son application afin d'éviter "une banalisation de la mesure".L'état d'urgence avait été proclamé une première fois pour dix jours au soir de l'attaque contre l'hôtel Radisson Blu de Bamako le 20 novembre. Il avait de nouveau été imposé le 22 décembre pour une nouvelle période de dix jours.

L'attentat a été revendiqué le jour même par le groupe Al-Mourabitoune du terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar, en coordination avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), les deux formations annonçant ensuite avoir scellé à cette occasion leur alliance. Il a également été revendiqué par le Front de libération du Macina (FLM), formation terroriste apparue récemment dans le centre du Mali, "avec la collaboration d'Ansar Dine", groupe terroriste de l'ex-chef rebelle touareg Iyad Ag Ghaly.

Le ministre irakien des Affaires étrangères Ibrahim al-Jaafari a réitéré mercredi la demande que les troupes turques se retirent complètement du territoire irakien, affirmant que la Turquie doit respecter la souveraineté de l'Irak ou elle va faire face à une action militaire.
 "L'Irak va poursuivre tous les dialogues pacifiques afin d'éviter une crise, mais si un combat avec la Turquie est imposée sur nous pour protéger notre souveraineté et notre richesse, nous allons tenir cela en compte", a déclaré M. Jaafari aux journalistes lors d'une conférence de presse à Bagdad.

Il a toutefois nié tout "délai vers un mouvement (pacifique) contre la violation de la souveraineté irakienne", admettant des "intérêts communs avec la Turquie".

La crise entre les deux pays a éclaté au début de décembre, lorsque la Turquie a déployé des troupes de renfort, équipées des véhicules blindés, dans un camp dans la région de Bashiqa près de la ville irakienne de Mossoul.

Mossoul, la capitale de la province irakienne de Ninive, a été sous le contrôle de Daech depuis juin 2014.

Bagdad a insisté que les troupes turques n' avaient pas l'autorisation du gouvernement irakien et a donc exigé leur retrait, tandis qu' Ankara a appelé les troupes comme une rotation de routine des formateurs.
Les Etats-Unis préparent de nouvelles sanctions contre des entreprises et individus qui auraient oeuvré notamment en Iran au développement du programme de missiles balistiques de Téhéran, a rapporté mercredi le Wall Street Journal.
 
Il s'agirait d'une première depuis l'accord sur le programme nucléaire conclu le 14 juillet à Vienne entre les grandes puissances et Téhéran et qui doit à terme entraîner la levée d'autres sanctions occidentales prises contre le régime iranien.

Selon le Wall Street Journal, ces nouvelles sanctions qui viseraient deux réseaux liés à l'Iran seraient une réponse aux tirs d'essai de missiles balistiques effectués par l'Iran le 10 octobre et le 21 novembre.

Sans confirmer pleinement l'information, l'administration Obama a indiqué étudier différents aspects liés à de possibles nouvelles sanctions ainsi qu'une évolution de son action diplomatique avec Téhéran.

Téhéran a assuré que ses missiles balistiques étaient purement défensifs, n'étaient pas conçus pour transporter des armes nucléaires, et n'étaient donc visés par aucune résolution de l'ONU.

Ces nouvelles sanctions américaines risquent de menacer l'accord conclu entre l'Iran et les grandes puissances.

Le ministre iranien de la Défense, Hossein Dehghan, avait déclaré que l'Iran n'accepterait aucune limitation dans son programme balistique.

Des responsables iraniens ont par ailleurs déjà averti que le guide suprême d'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, considérerait ces nouvelles sanctions comme une violation de l'accord sur le programme nucléaire.

Ces chiffres ne disent pas tout sur l'ambiance générale en France, où les lendemains des attentats de janvier, puis de novembre, ont libéré la parole et les actes racistes et, surtout, islamophobes.

Plus de 400 actes antimusulmans ont été recensés en 2015 en France, soit une augmentation de 200% par rapport aux 133 comptabilisés l'année précédente, selon des chiffres rapportés hier par le quotidien Le Parisien. Tirant les enseignements de ses différentes études, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (Dilcra) constate que «ces actes se résument en insultes, menaces et incendie de mosquées», mais elle s'inquiète cependant de l'augmentation de ces actes qui en une année à peine se sont multipliés par trois.
«C'est une hausse spectaculaire et très inquiétante, qui s'explique essentiellement par la flambée des actes qui ont suivi les attentats de janvier» (contre le journal Charlie Hebdo), note le directeur de cet organisme dont les données corroborent, à quelques écarts près, ceux de l'Observatoire de lutte contre l'islamophobie. Le point d'orgue de ces actes, qui témoigne de la forte recrudescence des actes antimusulmans, a eu lieu vendredi dernier à Ajaccio, en Corse, lorsque 300 manifestants islamophobes ont conduit une expédition soi-disant «punitive» pour attaquer et saccager une mosquée, où ils ont brûlé des exemplaires du Coran. Ainsi, en est-il du constat de l'Observatoire contre l'islamophobie qui a inventorié toute une somme d'atteintes aux lieux de culte, un millier d'entre eux sur les 2500 existants se trouvant depuis janvier dernier sous la surveillance des forces de l'ordre: graffitis, dépôt de têtes et abats de porc, jets de cocktails Molotov et incendies.
Les groupuscules identitaires n'hésitent plus à agresser dans les rues les hommes et les femmes au motif que leur tenue révèle leur appartenance à la religion musulmane. Un comble, puisque nombreux sont ceux qui ont été pris à partie alors même qu'ils ne sont pas membres de cette communauté.
Malheureusement, indique l'Observatoire, les victimes hésitent et même évitent de porter plainte, convaincues que cela ne sert strictement à rien et que dans tous les cas de figure les commissariats ont d'autres préoccupations que celles de lutter contre l'islamophobie.
Doux euphémisme. La Fontaine aurait sans conteste changé la morale de sa fable, en ces temps douteux, pour assurer que «selon que vous serez musulman ou pas, les jugements vous seront favorables ou contraires». Ainsi va la patrie des droits de l'Homme et...du citoyen! Le Parisien, en toute bonne foi, le relève quand il estime que ces chiffres ne disent pas tout sur l'ambiance générale en France, où les lendemains des attentats de janvier, puis de novembre, ont libéré la parole et les actes racistes et surtout islamophobes, aussi bien dans la rue que sur les réseaux sociaux, en toute impunité. La Dilcra a été dotée d'un budget de 100 millions d'euros pour lutter contre ce phénomène, en particulier sur Internet.
Mais il est à craindre que sa mission première consistera, avant toute chose, en la lutte contre l'antisémitisme et on sait ce que cela veut dire.
Dans un contexte caractérisé par 3000 perquisitions et 400 assignations à résidence, depuis l'entrée en vigueur de l'état d'urgence, dont 199 procédures pour des infractions à la législation sur les armes et 181 autres concernant les stupéfiants, on enregistre 127 personnes convoquées au tribunal à l'issue des procédures et 53 écrouées, soit en détention provisoire, soit en exécution de peine. Inutile de s'étendre sur les conditions particulières de toutes ces mesures sauf si ce n'est pour dire qu'elles concernent au premier chef les membres de la communauté musulmane.
L'exemple est intervenu voici deux jours avec l'incident de Pantin où une jeune femme a été violemment molestée, après que ses fils aient eux-mêmes subi des agressions, précédées par des provocations verbales et physiques, de sorte que la police des polices est contrainte de mener une enquête dont tout porte à croire qu'elle confirmera la version des policiers mis en cause. Ah, La Fontaine!

jeudi, 31 décembre 2015 23:07

Elections: dépouillement en cours, en RCA

Mercredi soir, après le premier tour des élections législatives et présidentielle, en Centrafrique, le dépouillement a, immédiatement, suivi une journée de vote, marquée par une forte mobilisation et des couacs techniques, au démarrage.

Trente candidats sont en lice, pour remplacer la Présidente intérimaire, Catherine Samba-Panza. Les opérations de dépouillement des votes ont été rallongées, et on ne s’attend pas à ce que les résultats soient annoncés avant 5 jours.

Ces élections devaient avoir lieu, dimanche dernier, mais à cause des problèmes logistiques et l’entrée des bulletins de vote, sur le marché noir, elles ont été reportées.

La marine russe se développe en permanence et constitue une force puissante capable d'assurer à la fois la défense du pays et une présence de la Russie dans ses zones d'intérêt, indique le rapport des services de renseignement de la marine américaine.

La Russie a déjà remporté des succès visibles dans la création d'une flotte du XXIème siècle et pourrait progresser davantage dans les dix années à venir, affirme le rapport. La marine nationale est gérée par une nouvelle génération d'officiers, la construction de nouveaux navires a été relancée et les usines mettent en œuvre des projets innovants conformes aux normes modernes.

Cette année, les marins russes ont illustré leurs capacités "de manière impressionnante" quand les navires stationnés en mer Caspienne et Méditerranée ont tiré des missiles de croisière de dernière génération (modèle Kalibr) contre les terroristes en Syrie.

La production de Nano-poudre du cuivre à Hamadan

Nous avons beaucoup de ces articles scientifiques dans le pays. Mais lorsqu’il s’agit de les mettre en application il y a quelque chose qui cloche.

Dans ce laboratoire nous avons réussi pour la première fois dans le pays à parvenir à une méthode améliorée de produire de la Nano-poudre du cuivre avec la pureté de 99/99 % et d’une durabilité à long terme dans les conditions atmosphériques.

Nous consommons chaque année 250 tonnes de poudres de cuivre importées.

Cette méthode réduit de 40 % le cout de la nano poudre par rapport à son exemple étranger.

Le gouvernement nigérian est prêt à négocier, avec "une direction crédible" du groupe armé Boko Haram, la libération des 200 jeunes filles, dont l'enlèvement, en avril 2014, à Chibok, avait soulevé une vague d'indignation mondiale, a assuré, mercredi, le Président Muhammadu Buhari.

"Nous sommes à la recherche d’une direction crédible de Boko Haram, qui nous confirme que les jeunes filles sont, toujours, en vie", a affirmé le président, à l'occasion d'un nouveau programme d'échange avec les auditeurs de la radio-télévision. "Nous sommes prêts à négocier, sans condition, avec une direction crédible de Boko Haram", pour obtenir la libération des jeunes filles, à propos desquelles les autorités ne disposent d'aucune information, a-t-il souligné. Un total de 276 jeunes filles avaient été enlevées, le 14 avril 2014, par Boko Haram, alors qu'elles se préparaient à passer des examens scolaires, à Chibok, dans l'Etat de Borno, dans le Nord-Est du Nigeria, berceau du groupe armé. Depuis 2014, le groupe extrémiste Boko Haram a enlevé, au moins, 2.000 femmes, au Nord-Est nigérian.

jeudi, 31 décembre 2015 22:58

Accord de Vienne: fin......

Les Etats-Unis préparent de nouvelles sanctions contre des entreprises et individus qui auraient oeuvré ....

notamment en Iran au développement du programme de missiles balistiques de Téhéran, a rapporté mercredi le Wall Street Journal.

 

Il s'agirait d'une première depuis l'accord sur le programme nucléaire conclu le 14 juillet à Vienne entre les grandes puissances et Téhéran et qui doit à terme entraîner la levée d'autres sanctions occidentales prises contre Téhéran.

 

Selon le Wall Street Journal, ces nouvelles sanctions qui viseraient deux réseaux liés à l'Iran seraient une réponse aux tirs d'essai de missiles balistiques effectués par l'Iran le 10 octobre et le 21 novembre.

 

Sans confirmer pleinement l'information, l'administration Obama a indiqué "étudier différents aspects" liés à de possibles nouvelles sanctions ainsi qu'une "évolution de son action diplomatique" avec Téhéran.

 

"Nous examinons depuis un certain moment les possibilités de prendre des actions supplémentaires liées au programme de missiles balistiques en raison de nos inquiétudes persistantes concernant ces activités", a dit un haut responsable de l'administration américaine dans un communiqué transmis à l'AFP.

 

Téhéran a auparavant indiqué que ses missiles balistiques étaient purement défensifs, n'étaient pas conçus pour transporter des armes nucléaires, et n'étaient donc visés par aucune résolution de l'ONU.

 

D'après le Wall Street Journal, les nouvelles sanctions qui seront prises par le Trésor américain visent une entreprise basée aux Emirats arabes unis, Mabrooka Trading Co., et son fondateur, Hossein Pournaghshband, qui auraient fourni de la fibre de carbone pour ce programme de missiles.

 

M. Pournaghshband aurait utilisé une filiale à Hong Kong pour la fourniture et le financement de ce matériau résistant à la chaleur, selon le WSJ.

 

Sont également visés parmi la liste des compagnies et des individus Anhui Land Group Co. basée à Hong Kong, le directeur commercial de Shahid Hemmat Industrial Group, Sayyed Javad Musavi, et 7 fonctionnaires du ministère de la Défense iranienne et du soutien logistique aux forces armées (MODAFL), notamment Sayyed Medhi Farahi et Seyed Mohammad Hashemi.

 

Si les sanctions étaient approuvées, les banques américaines seraient obligés de geler tous les actifs financiers de ces entreprises et individus ainsi qu’on leur interdirait les échanges internationales pour la première fois après la conclusion de l'accord sur le programme nucléaire, le 14 juillet.

 

Avertissements iraniens

 

Ces nouvelles sanctions américaines risquent d'être mal perçues en Iran.

 

Le ministre iranien de la Défense, Hossein Dehghan, avait déclaré que l'Iran n'accepterait "aucune limitation" dans son programme balistique.

 

Des responsables iraniens ont par ailleurs déjà averti que le guide suprême d'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, considérerait ces nouvelles sanctions comme une violation de l'accord sur le programme nucléaire.

 

Selon l'argumentaire développé par des responsables américains dans le Wall Street Journal, l'accord sur le nucléaire n'empêcherait toutefois pas le Trésor américain de sanctionner des entités iraniennes impliquées dans le programme de missiles balistiques ou coupables de violations des droits de l'homme et d'activités terroristes.

L'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam et de son fils le vénéré Imam Sadiq, des responsables iraniens, des participants à la conférence de l'Unité islamique, les ambassadeurs des pays islamique et des Iraniens ont rencontré l'ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de l'Iran.
Lors de cette rencontre, le guide suprême de la révolution islamique a félicité l'arrivée de l'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam et de son fils le vénéré Imam Sadiq. L'ayatollah Khamenei a insisté qu'avec l'apparition de l'islam le monde mort et plein d'ignorance devient vivant et plein de spiritualité. Le plus important devoir des oulémas et des penseurs musulmans consiste à mener des efforts pour réanimer le vrai islam dans un monde plein d'injustice, a-t-il déclaré.

Aujourd'hui, on n'attend pas seulement que le monde musulman célèbre l'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam. Le monde musulman doit faire tous ses efforts pour arriver à la civilisation moderne islamique, a-t-il indiqué.

La nouvelle civilisation islamique ne signifie pas attaquer les territoires, violer les droits des hommes et imposer notre éthique ou notre culture, ce que nous constatons dans la civilisation occidentale. La nouvelle civilisation islamique est un cadeau divin offert à l'humanité pour trouver la voie correcte, a-t-il expliqué.

Le monde occidental a utilisé la science et la philosophie du monde musulman pour fonder sa civilisation. Si la civilisation occidentale a des beautés technologiques et a construit de différents moyens pour la vie, mais elle n'a pas pu apporter le bonheur et la justice pour l'humanité, a-t-il précisé.
 
Le système de la Révolution islamique d'Iran est un exemple qui peut aider la civilisation islamique d'arriver à de grands objectifs. Avant la Révolution islamique, l'Iran était un pays non-développé est dépendant des puissances étrangères. Mais grâce à la Révolution, l'Iran a pu arriver à de grands succès scientifiques. L'exemple de l'Iran peut être suivi par d'autres pays islamiques, a-t-il ajouté.