
تقي زاده
Georges Jordak, l’écrivain chrétien qui aimait l’Imam ‘Ali (AS) (1)
Georges Jordak est né dans le sud du Liban, dans une des plus belles et des plus anciennes régions du monde, dans une famille d’origine Qassani, dans un village de la région de Jabal. Il grandit dans une famille amoureuse de la science et à la recherche de la vérité, et fut fortement influencé par son frère Fouad Jordak, lexicologue, ingénieur et poète.
Dans ses mémoires, il évoque souvent ses fuites du collège pour se réfugier dans la nature et lire le Nahjol Balãghe, le Majma’ol-Bahrein de Nassif Al-Yajzi, et les livres de poésie de Motanabi que son frère Fouad lisait et lui avait recommandés surtout le Nahjol Balaghe qu’il lui avait recommandé de lire et de mémoriser car «tous les bienfaits sont pour ceux qui lisent ce livre et en mémorisent les enseignements», disait-il.
Il avait mémorisé une grande partie de ces livres et spécialement le Nahjol Balãghe avant ses 13 ans, et décelé la grande personnalité de l’Imam ‘Ali (AS). Son frère récitait aussi de nombreux poèmes sur l’Imam ‘Ali (AS), son intelligence, sa grandeur, sa brillante vie, son statut élevé, que son petit frère apprenait par cœur et récitait quand ils avaient des invités.
Le réveil des Musulmans
Une première. Dimanche prochain, à La Mecque, des oulémas, des penseurs et universitaires viendront de plusieurs pays, pour participer à la Conférence internationale sur «l'Islam et la lutte contre le terrorisme». Ils se pencheront, notamment, sur «l'instrumentalisation de la religion, dans le terrorisme». De nombreux autres ateliers se tiendront, au cours de cette rencontre, sur des thèmes, comme «le sectarisme religieux», «la méconnaissance de la Chariaâ», «la notion du Jihad, dans l'Islam», «la faiblesse de la société civile», «le rôle des médias», celui de l'éducation. Bref, un tour d'horizon, qui se veut complet autour de ce fléau qu'est le terrorisme. Pour aboutir sur «les meilleures approches et expériences de lutte» contre ce fléau. Une telle réunion aurait dû se tenir, dès le début des années 1990, lorsque ce terrorisme avait pris, pour première cible, l'Algérie. Il est vrai que le phénomène, par sa nouveauté, déroutait les observateurs les plus avertis. Aujourd'hui, et après un quart de siècle et des centaines de milliers de morts, à travers le monde, les élites musulmanes tentent de réagir. Cependant, et à moins de créer une structure de coordination, pour le suivi des recommandations, qui seront arrêtées, à cette conférence de La Mecque, la portée d'une telle réunion risque d'être sans effets. Pourtant, les Musulmans ne peuvent pas laisser, indéfiniment, l'Islam endosser ces actes, qui le diabolisent et font de lui la première cible des terroristes. Jeudi dernier, dans son intervention, à la Conférence sur «la lutte contre la violence extrémiste», tenue à Washington, Barack Obama, le Président américain, a qualifié «d'affreux mensonge», l'idée, selon laquelle l'Islam serait responsable de tous les actes terroristes qui secouent la planète. Il a, par la même occasion, dénoncé «les interprétations tronquées de l'Islam», qui tendent à le mettre en cause. Même conviction, chez le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, qui a annoncé, au cours de cette conférence, qu'il allait, prochainement, organiser une réunion des dirigeants religieux du monde entier. Pour ces deux grands responsables, il ne s'agit, ni d'un conflit de civilisations, ni de guerre de religions. Par contre, nous assistons à une guerre contre la religion musulmane. Qui ne date, malheureusement, pas d'aujourd'hui. Déjà, dans les années 1950, d'innombrables exemplaires de livres contrefaits du Saint Coran avaient circulé, à travers le monde. Beaucoup de théologiens avaient dénoncé, en son temps, le phénomène. On comprend mieux, avec le recul, l'intention des faussaires. Il faut se rappeler, aussi, qu'il y a, seulement, quelques années, les médias occidentaux défendaient le port du voile. Même à l'école. L'objectif était de le répandre, pour mieux le dénoncer, comme c'est le cas, aujourd'hui. Grâce à l'Internet, les ennemis de l'Islam sont passés à son instrumentalisation, à l'échelle planétaire. Al-Qaïda, GIA, Gspc, Al Qaïda au Maghreb islamique, (Aqmi), Boko Haram, Daesh, Ansar, on ne sait plus quoi, une multitude de sigles ont jailli, pour désigner l'Islam, comme l'ennemi de l'humanité. L'étrange, dans cette affaire d'atteinte à l'Islam, à grande échelle, est le fait que personne n'a l'air de se rendre compte que les principales victimes de ce terrorisme dit «islamique» sont musulmanes. Que ce même terrorisme brûle toutes les mosquées, sur son passage. Que ce même terrorisme n'a jamais fait allusion au calvaire des Palestiniens, au plus fort des atrocités à Ghaza. Que ce même terrorisme frappe au Sinaï, en Irak, en Syrie, au Liban. Autour d'Israël, mais jamais, à l'intérieur. Ce pays est, d'ailleurs, absent de tous les «communiqués islamistes». Alors que ce même terrorisme décapite, également, des Chrétiens? Que faut-il de plus que ces «grosses ficelles», pour se rendre compte que l'Islam est instrumentalisé?
Lausanne : "L'Iran a gagné"!! (Hezbollah)
"La RII a remporté la victoire, lors des négociations nucléaires", a affirmé, le chef du comité religieux du Hezbollah, Cheikh Mohammad Yazbek.
"Grâce aux directives du Guide suprême de la Révolution islamique et à la résistance, face aux menaces des ennemis, la RII a remporté la victoire, lors des négociations nucléaires", a-t-il déclaré, lors du sermon de la prière de ce vendredi, à Baalbek, a-t-on appris du site d'information Al-Ahed.
"Cette victoire appartient à l'Islam et à tous les déshérités du monde", a-t-il ajouté, avant de poursuivre : "L'agression saoudo-américaine contre le Yémen n'est pas compatible avec la logique de l'arabité, de l'Islam et des intérêts des peuples".
L'accord est une erreur historique
Un responsable gouvernemental israélien a dénoncé jeudi l'accord cadre conclu par les grandes puissances et Téhéran sur le nucléaire iranien, évoquant une erreur historique qui rendra le monde beaucoup plus dangereux.
C'est un mauvais accord cadre qui conduira à un mauvais et dangereux accord final, a décrié ce responsable israélien, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat.
Il donne une légitimité internationale au programme nucléaire iranien, a-t-il dit.
Si un accord (final) est conclu sur la base de cet accord cadre, ce sera une erreur historique qui rendra le monde beaucoup plus dangereux, a-t-il ajouté.
L'Iran va continuer à enrichir de l'uranium, va poursuivre la recherche et le développement sur les centrifugeuses, et ne va fermer aucune de ses installations nucléaires, y compris le site souterrain de Fordo, a dénoncé ce responsable.
Le pré-accord signé par l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne) est en une étape fondamentale sur la voie d'un accord final d'ici au 30 juin.
Le régime hébreu est toujours hostile à un accord avec l'Iran alors qu'Israël détient de plus de soixante-dix bombes nucélaires.
L'Iran tiendra les promesses faites lors des pourparlers sur le nucléaire
L'Iran tiendra les promesses faites au groupe P5+1 lors des négociations sur le nucléaire à condition qu'il y ait réciprocité dans le respect des engagements, a indiqué ce vendredi le président iranien Hassan Rohani.
"Nous tiendrons nos promesses et respecterons nos obligations à condition que l'autre partie le fasse aussi", a déclaré M. Rohani dans un discours au cours duquel il a félicité les négociateurs d'avoir trouvé des solutions au dossier du nucléaire iranien, qui pose problème depuis de nombreuses années.
L'Iran n'agira pas de façon trompeuse et ne mentira pas en ce qui concerne ses engagements nucléaires, a affirmé M. Rohani, qui a ajouté que l'accord final devrait être équilibré et respecter les intérêts des deux parties.
Après neuf jours de pourparlers dans la ville suisse de Lausanne, les négociateurs de l'Iran et du groupe P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) ont achevé jeudi leurs discussions sur le programme nucléaire iranien en ayant trouvé un terrain d'entente concernant les questions en suspens, ce qui leur permet d'espérer aboutir à un accord global définitif d'ici le 30 juin prochain.
Un accord cadre trouvé à Lausanne entre l'Iran et les grandes puissances mondiales
Les négociateurs européens et iranien ont annoncé jeudi sur les réseaux sociaux qu'un accord d'étape sur le programme nucléaire iranien avait été trouvé jeudi à Lausanne.
Selon les médias iraniens, un accord cadre d'une durée de dix ans prévoit que Téhéran ne maintiendrait que 6.000 centrifugeuses sur 19.000 actuellement.
Bonnes nouvelles sur les négociations sur le nucléaire iranien, a tweeté mardi la chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), alors que le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif, a parlé de solutions trouvées, dans un tweet.
Bonnes nouvelles, a affirmé Federica Mogherini, solutions trouvées. Prêts à commencer immédiatement la rédaction du texte de l'accord final, a répondu M. Zarif dans un tweet sur les négociations nucléaires à Lausanne. Il y a une entente sur les points clés en vue d'un accord final, a déclaré pour sa part dans un tweet le ministre allemand des Affaires Etrangères Frank-Walter Steinmeier.
Une déclaration commune Union Européenne-Iran a avoir lieu jeudi soir, suivie de conférences de presse, notamment du secrétaire d'Etat américain John Kerry et de Mohammad Zarif, ont indiqué des sources américaines.
La chef de la diplomatie de l'UE Federica Mogherini préside ces négociations à Lausanne avec le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif.
La Russie pourra livrer les S-300 à l'Iran!
Des sources, au sein du ministère russe de la Défense, ont annoncé qu'en cas d'une levée des sanctions sur la vente d'armement à l'Iran, il serait possible que Moscou reprenne son contrat de vente du système anti-missile S-300, a-t-on appris de Sputnik.
"Les embargos sur les armes des Nations Unies contre l'Iran pourraient être levés", a précisé Sergueï RiabKov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères.Le Directeur du centre d'analyse du commerce mondial d'armes, Igor Korochenko, a indiqué que "La levée des sanctions contre l'Iran, y compris, l'embargo sur les armes, serait une chose, absolument, logique à faire», a déclaré Igor Korotchenko.
«L'une des questions, qui revêt une importance particulière, pour nous, c'est l'exportation des missiles S-3200 vers l'Iran, et la reprise du contrat passé, à cet effet, suivant des conditions acceptables, à la fois, par l'Iran et la Russie. En 2007, la Russie s'est engagée à vendre à l'Iran des systèmes de missiles S-300, pour une valeur de 800 millions de dollars. En 2010, à la suite de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, pour suspendre le programme nucléaire controversé de l'Iran, ce contrat avait été suspendu», a-t-il ajouté.
Un attentat suicide fait 17 morts et 50 blessés à la ville afghane de Khost
Un attentat-suicide a secoué jeudi la ville de Khost, chef-lieu de la province de Khost (est), entraînant 17 morts et 50 blessés, dont un député parmi les blessés, a déclaré le chef de la police provinciale, Faizullah Ghairat.
"Selon les informations préliminaires récoltées,17 personnes ont perdu la vie dans l'explosion et quelque 50 autres ont été blessées", a confié aux journalistes M. Ghairat.
L'explosion s'est produite alors que des centaines de personnes sont descendues dans la rue pour protester contre le gouverneur provincial Jabar Naeemi et demander sa démission, a ajouté le chef de la police.
Un député du Parlement, Hamayun Hamayoon, figure parmi les blessés dans cet attentat, a affirmé M. Ghairat.
La Russie salue la reconnaissance du droit de l'Iran à un programme nucélaire civil
La Russie a salué jeudi l'accord trouvé par les négociateurs à Lausanne sur le nucléaire iranien, estimant qu'il constituait une reconnaissance du droit inconditionnel de l'Iran à développer un programme nucélaire civil.
Dans cet accord repose le principe formulé par le président russe Vladimir Poutine, à savoir le droit inconditionnel de l'Iran à mener un programme nucléaire pacifique, s'est félicité le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Ce droit inclut, selon Moscou, les activités d'enrichissement d'uranium sous contrôle international et la levée de toutes les sanctions existantes contre l'Iran.
Il ne fait aucun doute que l'accord sur le nucléaire iranien aura un impact positif sur la situation sécuritaire globale au Moyen-Orient, y compris par le fait que l'Iran sera en mesure de participer plus activement à la résolution d'un certain nombre de problèmes et de conflits dans la région, selon le ministère russe.
Le ministère russe des Affaires étrangères évoque le laborieux travail d'experts qui doit suivre pour mettre en place les normes techniques de l'accord.
L'accord représente une preuve claire que grâce à des efforts diplomatiques et politiques, il est possible de résoudre les problèmes les plus difficiles et les situations de crise, selon Moscou.
Les responsables du groupe dit des 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume uni et Allemagne) et de l'Iran ont annoncé jeudi soir avoir convenu d'un accord cadre pour résoudre le dossier du nucléaire iranien. Cette étape fondamentale doit ouvrir la voie, grâce à de nouvelles négociations, à un accord définitif d'ici au 30 juin.
Première création d’un jardin coranique en Iran
Un jardin coranique, une première en Iran, sera créé dans le Sud-ouest de Téhéran. Vahid Norouzi, maire du 18ème arrondissement de Téhéran, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré qu’un jardin coranique qui est une première en Iran, sera créé dans ce quartier situé au sud ouest de Téhéran.
« Ce jardin et un centre coranique seront créés sur un terrain de 4 hectares mis à la disposition de la mairie de Téhéran, grâce à un budget prévu cette année», a-t-il dit.