تقي زاده

تقي زاده

" Je ne suis pas d’accord, il est préférable de réaliser une qui contredit les intérêts nationaux ", a-t-il affirmé le chef suprême lors de sa rencontre avec le personnel et les commandants de la Force aérienne Iran armée.

Dans le même temps, il a reconnu les efforts de la diplomatie iranienne pour parvenir à un pacte définitif avec le G5+1 (États-Unis, la Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l’Allemagne) sur le programme nucléaire du pays Persique.

Cependant, l'ayatollah Khamenei a souligné que si les pourparlers atteignent pas réussir, il y a différentes façons de contrer antiranis sanctions unilatérales.

De même, le chef de l'Iran a déclaré que la République islamique a agi avec la logique, tandis que l'autre partie " recherche chantage " conduire sur ambitions et ne sont pas honnêtes dans leurs actions.

Il a également exprimé son scepticisme à propos de la décision de la contrepartie de parvenir à un accord politique d'abord et ensuite parler et obtenir un accord global sur le paisible programme d'énergie nucléaire de l’Iran.

En ce sens, l'ayatollah Khamenei a souligné que les points généraux et les détails techniques de tout accord doit être convenu simultanément.

Téhéran et le Sextet ont décidé de prolonger jusqu'au 30 Juin de 2015. Leurs dialogues visant à régler le différend sur le programme nucléaire de l'Ouest Iran, qui défend son droit à utiliser l'énergie nucléaire à des fins pacifiques.

Les déclarations de leaders ont eu lieu dans le 36ème anniversaire du 19 Bahman 1357 le calendrier iranien (8 Février, 1979), les responsables de jours de l'armée de l'air iranienne ont exprimé leur loyauté envers le fondateur de la République islamique, Imam Khomeiny à l'école Alavi (résidence temporaire de l'imam Khomeiny après son retour à la maison après 14 ans d’exil).

lundi, 09 février 2015 01:00

La Syrie tolère-t-elle la Jordanie?

«La Jordanie soutient les terroristes. Elle les entraîne. Damas a fait preuve de la retenue maximale, à cet égard», a souligné le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Fayçal Meqdad.

«Les pays du bassin du golfe Persique continuent de tramer des complots contre la Syrie», a-t-il indiqué, tout en critiquant le rôle joué par la Jordanie. «La Syrie est bien consciente de la cellule d’opérations, conjointement, menée par des services secrets israéliens, américains, saoudiens, qataris, français et turcs. Nous les connaissons par leurs noms. Certains cherchent à y apporter un démenti. Mais, à vrai dire, ils se contredisent, eux-mêmes», a-t-il ajouté. «Ce sont, en effet, les crimes commis par Daesh, qui ont poussé les pays arabes à mener des coordinations supplémentaires, en matière de lutte contre le terrorisme», a-t-il précisé.

lundi, 09 février 2015 01:00

Tel-Aviv a-t-il peur de Téhéran?

Le général Hossein Hamadani a déclaré que le régime sioniste avait demandé à trois pays d’intervenir, pour dissuader l’Iran d’agir en représailles contre le raid sur Quneitra.
Le général Hossein Hamadani, ancien commandant de la division Mohammad Rassoul Allah du corps des Gardiens de la Révolution islamique, à Téhéran, a déclaré que les dirigeants des troubles de 2009, en Iran, ont commis des erreurs impardonnables, rappelant que, lors de ces troubles, plus de 830 personnes ont été très, grièvement, blessées et sont devenues infirmes à vie. Il a évoqué, ensuite, le raid du régime sioniste contre un convoi des commandants de la Résistance, à Quneitra, au Golan syrien, et le martyr d’un haut commandant du corps des Gardiens de la Révolution islamique, avant d’ajouter que si l’Iran avait voulu répondre à ce raid par des opérations de représailles, il aurait pu organiser, à chaque heure, une nouvelle opération contre les militaires du régime sioniste. «Tout de suite après le raid sur Quneitra, le régime sioniste a prétendu avoir ignoré la présence d’un haut commandant du corps des Gardiens de la Révolution islamique, parmi les autres commandants de la Résistance. Dans ce sens, Tel-Aviv a demandé à trois pays de jouer la médiation, pour convaincre l’Iran de ne pas recourir aux opérations de représailles. Mais nous ne marchandons pas, et Israël devra être puni, tôt ou tard. Les Israéliens peuvent imaginer la possibilité, pour eux, de commencer une guerre. Mais ils ne seront pax ceux qui pourront mener cette guerre, à son terme», a déclaré le général Hossein Hamadani.

lundi, 09 février 2015 01:00

Syrie : les combats souterrains à Douma

En Syrie, les opérations de l’armée régulière se poursuivent en banlieue de Damas notamment à Douma et le groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », lié à l’Arabie saoudite, a essuyé de cuisantes défaites, ce qui a poussé le chef de ce groupe à demander un cessez-le-feu.

Selon l’agence de presse Fars depuis Damas, les opérations de l’armée syrienne se poursuivent en banlieue de Damas, dans le sud de la Syrie, près de la capitale et aussi dans les localités « Tal Kordi », « Tal Al-Sawan », « Tal Al-Reyhan », les fermes d’Aliya et Dahiya Al-Assad.

Les militaires syriens, appuyés par les comités de la défense populaire, ont réussi à faire des progressions dans lesdites localités. Les victoires en série de l’armée ont rendu le terrain propice à la libération de la ville de Douma, bastion du groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », dirigé par le mercenaire saoudien Zahran Aloush.

Dimanche, les terroristes et les militaires ne se combattaient pas seulement sur la terre mais aussi sous la terre et dans les tunnels souterrains des alentours de Douma. Selon une source syrienne, une équipe composée de 16 personnes appartenant à la Force spéciale de l’armée et à l’Unité de « Jaysh Al-Wafa » s’est infiltrée dans l’un des tunnels creusés par les terroristes et est arrivée à en tuer neuf et en arrêter six lors des affrontements. Deux chefs du groupe terroriste « Jaysh Al-Eslam », appartenant aux familles Al-Khanshour et à Al-Qatifani, figurent parmi les personnes arrêtées. « Ces opérations souterraines ont duré six heures et ont été couronnées de succès pour les militaires syriens », ajoute la même source.

Les membres d'Ansarullah se sont résolus à participer lundi à un dialogue sous l'égide de l'ONU.

Les miliciens d'Ansarullah, dits Houthis, ont annoncé vendredi la dissolution du Parlement et l'installation de nouvelles instances dirigeantes.

Dimanche, le ministère de l'Intérieur a annoncé l'interdiction des manifestations anti-Houthis, à moins qu'elles soient autorisées par le ministère.

"USA conduit la région au chaos à travers un plan britannique-israélienne “, a souligné Hajizade ensuite ajouté que les événements en Irak et la Syrie ne se produisent pas naturellement, mais ont été planifiés par l’Occident.

Selon le commandant perse, lorsque les Etats-Unis et ses alliés ont été remplies ses objectifs en Syrie et après que l'Amérique n'a pas obtenu l’accord aspirant militaire signe avec l’Irak, exécuté le plan de la formation du groupe terroriste EIIL (Daesh, en arabe) et de son transfert à l’Irak.

Aujourd'hui, la présence américaine en Irak non seulement ne sert pas à combattre petit groupe qui a été créé par lui-même, mais est devenu une excuse pour augmenter les membres du groupe terroriste a continué.

"L'entrée des Etats-Unis pour lutter contre Daesh préparé le terrain pour le groupe terroriste recruter plus de membres, comme on le croyait précédemment que Daesh pas combattu USA et l’Occident, mais cette présence symbolique provoqué une augmentation de l'emploi de membres “, a-t-il conclu.

Ces derniers mois, à plusieurs reprises, les médias et les responsables syriens et irakiens ont révélé et condamnés le soutien des États-Unis, offrant secret pour Groupe EIIL, auteur des massacres et de la violence dans la région.

Certains analystes politiques remettent en question la gravité USA et ses alliés en matière de lutte contre le terrorisme et rappellent que des groupes extrémistes comme EIIL renforcées au cours des dernières années avec l'aide financière des pays comme les USA, la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar, qui cherchait à renverser le gouvernement syrien soutien aux terroristes.

lundi, 09 février 2015 01:00

Poutine en position de force ....

La chaîne France 2 a estimé, dans un reportage, que les victoires de l'opposition dans l’Est de l’Ukraine, ont mis le président Vladimir Poutine en position de force.

La journaliste de la chaîne France 2 a rapporté que dans le cadre de la prochaine étape des efforts diplomatiques pour mettre un terme à la crise actuelle en Ukraine, une conférence téléphonique quadripartite sera organisée pour réunir le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel, le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Petro Porochenko. Le sujet principal de cette conversation sera l’examen du plan de paix proposé par la France et l’Allemagne, mais aussi les conditions préalables de Kiev et de Moscou. La veille, les conseillers des quatre dirigeants se sont longuement entretenus pour préparer cette conférence téléphonique. Lors des réunions privées, le président français François Hollande aurait dit que les récentes victoires des séparatistes de l’Est de l’Ukraine, sur le terrain, permettraient au président russe Vladimir Poutine de se mettre dans une position de force lors de cette conférence téléphonique.

Quatre-vingt "Français ou résidents en France" ayant rejoint la rébellion ont été tués en Irak ou en Syrie, et près de 1.400 personnes ont été identifiées comme étant en relation avec les filières extrémistes, a indiqué lundi le Premier ministre, Manuel Valls.
"Ce sont près de 1.400 personnes qui ont été identifiées, Français comme étant en relation avec ces filières. Environ 750 y séjournent ou ont séjourné, 410 seraient aujourd'hui sur place, 260 repartis, et 80 Français ou résidents en France ont été tués sur place", a déclaré le Premier ministre lundi sur Europe 1.

Le 19 janvier, le procureur de Paris, François Molins, avait annoncé que 1.280 personnes étaient "soit sur le départ, soit sur zone, soit sur le retour, soit déjà revenues sur le territoire français".

Le 22 janvier, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait évoqué le nombre de 73 Français tués en Syrie et en Irak.

Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a déclaré dimanche qu'il semble grandement possible d'arriver à un accord sur le sujet du nucléaire iranien et qu'il n'y avait pas besoin de prolonger les pourparlers entre son pays et le groupe P5+1.
M. Zarif a fait cette déclaration lors d'une table ronde de l'actuelle 51e Conférence sur la sécurité de Munich.

Le ministre iranien a indiqué que son pays veut montrer au monde que son plan nucléaire est uniquement pacifique, et a souligné que les négociations et le respect représentaient le seul moyen de parvenir à un accord sur ce sujet.

Les sanctions imposées contre l'Iran, a-t-il ajouté, ont aussi un impact sur d'autres pays et n'aideront pas à résoudre les problèmes.

 

Les forces de sécurité afghanes ont abattu près de 90 insurgés durant une série d'actes de répression menés durant la semaine écoulée, a annoncé dimanche le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Sediq Sediqi.
"Un total de 89 terroristes ont été tués et 90 autres capturés au cours de plusieurs opérations militaires menées la semaine passée", a-t-il indiqué aux journaliste lors d'une conférence de presse.

L'officiel a déclaré que les forces de sécurité, dont la police, ont mené 79 opérations conjointes cette semaine, au cours desquelles 154 mines antipersonnel et anti-véhicules ont été découvertes et désamorcées.

Il a ajouté que le personnel de sécurité avait aussi saisi 65 fusils d'assaut des mains des militants durant les opérations.

Tous les organes de sécurité, comprenant la la police, l'armée, et le conseil d'administration national pour la sécurité, sont assez compétents pour surpasser les défis sécuritaires, a affirmé M. Sediqi.