تقي زاده

تقي زاده

Yahya Bonnaud, islamologue et professeur au centre théologique Jami’at-ul-Mustafa (PSL) en Iran a estimé lors d’une interview accordée à IQNA que l’attentat contre Charlie Hebdo avait pour but de diviser la société française.

En ce qui concerne les motifs de l’attentat, il a expliqué : On peut penser que l’assassinat des journalistes est une opération de manipulation des services secrets. On peut aussi penser que ce sont les événements de l’histoire, que les divers courants, des gens qui sont des enfants de la banlieue qui se sentent rejetés et qui sont rapprochés d’une idéologie comme l’idéologie d’Al Qaeda ou de Daesh, ont mené ces opérations sans être télécommandés ou téléguidés.
Un journal d’un anarchisme libertaire
En résumé, il y a un journal, qui s’appelle Charlie Hebdo, qui depuis qu’il existe, était fondé sur une sorte d’anarchisme libertaire, c’est-à-dire, ni Dieu, ni maître, tout est permis. Depuis l’époque de De Gaulles, ils étaient sans réserve surtout contre la religion chrétienne, parce qu’à l’époque il n’était même pas question de l’islam. Les caricatures qu’ils ont faites à propos de l’église ou à propos des croyances de l’église sont bien plus graves que celles qu’ils ont faites à propos du Prophète [PSL]. Et même encore maintenant, dans le même numéro où il y avait éventuellement des caricatures du Prophète [PSL], ce qui n’est même pas sûr, parce qu’il y a un homme barbu avec un turban, on n’est pas sûr si c’est le Prophète ou un quelconque musulman. Par contre, dans le même numéro, il y a des caricatures qui représentent Jésus et Saint esprit dans une situation grave, qui représentent les cardinaux de Rome dans une situation beaucoup plus offensante.
La fatwa de l’imam Khomeiny au-dessus de leurs têtes
Pourquoi ne vont-ils pas plus loin, à propos des musulmans et de leurs croyances, tout simplement parce qu’il y a depuis des années la fatwa de l’imam Khomeiny (s) au-dessus de leurs têtes.
Ils savent très bien qu’il y a des musulmans partout qui sont prêts à bouger. Donc ils se limitent. Mais leur attaque ne se dirige pas spécifiquement contre les musulmans. Ils sont anti-religieux, quelques soient la religion, sauf qu’à l’intérieur de la rédaction depuis quelques années, se sont glissés des éléments pro-sionistes. On voit dans l’évolution de la ligne éditoriale du journal depuis l’époque de De Gaulle jusqu’à maintenant, une direction de plus en plus pro-sioniste.
Une excellente opération pour les auteurs
Du point de vue de ces gens, c’est une opération excellente, parce que le journal était depuis des années protégés par la police, à cause de la première affaire des caricatures, qui remonte à la reproduction des caricatures danoises. Ils n’ont pas attaqué un lieu public où il y aurait des innocents. Ils ont pris pour cible des gens envers lesquels les musulmans n’avaient pas de sympathie.
Opération qui a partagé la France
Ils ont ainsi partagé la société française en deux groupes qui vont se préparer à la guerre. Les uns considèrent comme sacré le droit de dire ce qu’on veut et de l’autre, des musulmans qui disent que même la liberté d’expression a des limites, que notre religion est sacrée et si vous y touchez, nous sommes prêts à vous combattre.
Pour ces mouvements, c’était une opération excellente qui a réussi à diviser la société. S’il y a derrière ces mouvements, des sionistes qui manipulent, ou bien s’ils en ont profité après, il n’importe parce qu’eux, ils en bénéficient aussi en divisant la société française. Parce que depuis des années, le fameux principe du sionisme international s’appuie sur la division : diviser pour régner, que ça soit pour les intérêts des grandes banques ou pour servir la pensée du sionisme international qui veut dominer le monde.
Il y a une minorité de gens comme Dieudonné qui dit non, c’est eux qui nous font battre les uns contre les autres. Ce sont les maîtres des esclaves qui font soulever certains esclaves contre d’autres esclaves. Réveillons-nous parce que nous avons les mêmes ennemis et faisons une unité contre ces seigneurs !
On a vu l’année dernière que cet esprit de réunification, de réconciliation nationale devenait de plus en plus fort en France. Malgré toutes les pressions exercées par le gouvernement, Dieudonné a réussi à avoir des millions et des millions de gens derrière lui.
Avec une telle opération on refait cette fission et on remet Dieudonné en marge. C’est un des buts, soit de l’opération elle-même, soit de la gestion qui se fait ensuite. Faire une grande manifestation en disant nous sommes tous Charlie et demander à tous les enfants de toutes les écoles d’observer une minute de silence. C’est ce jour-là qu’ils ont tous compris que tous ces enfants qui étaient arabes ou africains, des enfants de 9 ou 10 ans, même les enfants des maternelles, qui n’étaient pas des terroristes, ni des enfants des terroristes, des enfants qui n’avaient jamais été à la mosquée, tous ont dit non, on ne fait pas de silence pour ces gens-là. On n’a pas fait une minute de silence pour les enfants de Gaza, on nous a même interdit de manifester pour les enfants de Gaza, il y a quelques mois, nous ne ferons pas une minute de silence et nous ne manifesterons pas. Donc on a deux groupes complètement opposés.
L’éventualité d’une guerre civile
L’événement reste toujours le sujet numéro un des médias en France. On est à un moment, entre deux voies : l’utilisation faite par certains partis politiques, certains groupes et individus et en particulier les sionistes renforce la situation de guerre civile et on arrivera un jour même plus tôt que l’on pense à une guerre civile en France. Entre les français d’origine et les musulmans, les Africains, chrétiens mais immigrés qui vivent dans les mêmes conditions que les immigrés musulmans.
Beaucoup de voix s’élèvent actuellement, voix qui disent : il faut repenser et réviser notre vision de la société et remettre en question le rapport entre la laïcité politique et les religions. Il faut également remettre en question les relations avec l’Arabie Saoudite. Parce que dire que nous partons à la guerre contre le terrorisme n’a pas de sens. Le terrorisme n’est pas un groupe. C’est comme on disait : nous allons faire la guerre contre la guerre. Le terrorisme est une méthode, pas un groupe. Alors on va faire la guerre contre quel groupe ? Ces groupes sont nourris par l’idéologie wahhabite et financé par les Etats wahhabites ou proches des wahhabites.
Comment peut-on avoir de bonnes relations avec l’Arabie Saoudite, lui vendre des armes en espérant que rien ne va tomber sur nos propres têtes. Ces voix s’élèvent de plus en plus en France. A nous, les intellectuels, aussi de pouvoir les aider et renforcer, car finalement c’est un moment crucial. Soit on ira vers la guerre civile soit on ira vers une refonte ou une révision du vivre-ensemble en France.
Les caricatures et la laïcité
Déjà il faut bien voir que l’on est dans un cadre spécifiquement français. C’est-à-dire qu’une telle revue, de telles caricatures auraient été impossibles aux Etats-Unis d’Amérique, en Allemagne, en Angleterre, car le sécularisme anglo-saxon n’a rien à voir avec la laïcité à la française. Dans tous ces pays-là, les journalistes ont écrit, un tel journal n’est pas normal.
L’histoire de France a connu les plus importantes guerres de religions, que n’a pas vues ni l’Allemagne, ni les Etats-Unis, ni l’Angleterre. Trente ans de guerre de religion, où se sont déversées des horreurs. Tous les intellectuels de l’époque ont dit qu’on n’a pas vu de telles horreurs dans toute l’histoire. L’église catholique était particulièrement plus puissante en France, parce qu’elle était considérée comme la fille aînée de l’église. La révolution française était essentiellement animée contre l’autorité de l’église catholique. Les deuxième et troisième révolutions étaient soit anti-religieuse et anticléricales.
La liberté d’expression n’est qu’un slogan
Cette tradition de journal comme Charlie Hebdo remonte à la tradition de l’anticléricalisme français qui est unique en Europe, en France et en Italie. C’était avec le parti communiste. En France ce n’était pas seulement le parti communiste, mais tous les libéraux, les communistes, les anarchistes… Pour eux il n’y a pas de limite à la liberté d’expression, mais c’est le slogan. La réalité est très clair, parce qu’il y a des limites, puisque il y a des lois qui interdisent de mettre en question les résultats du tribunal de Nuremberg concernant les crimes de guerre nazis. Il est interdit de remettre en question ces résultats. Or c’est le tribunal d’un seul groupe, le vainqueur, qui juge les vaincus, ça ne s’appelle pas un tribunal impartial. Cependant il est interdit de le remettre en question. Il y a une loi à ce sujet et ça devient un délit. Alors il y a des limites à la liberté d’expression.
Holocauste…une religion sacrée
Si quelqu’un fait une caricature d’un juif, à moins qu’il soit juif, il aura des problèmes. S’il est lui-même juif, il arrivera à s’en sortir. Donc il y a des limites. La réalité c’est que, la société laïque française actuelle a remplacé le sacré des religions par le sacré d’une nouvelle pseudo-religion qui est la religion de l’holocauste. Tout ce qui concerne l’holocauste est sacré, il ne faut rien dire, rien faire, le reste n’est pas sacré. Voilà le nouveau sacré, un pseudo-sacré.
Un deux poids deux mesures
Quand il s’agit de la majorité des gens, ils ne comprennent pas cela. C’est la réalité, la majorité des gens, quand on dit il n’y a pas de limite à la liberté d’expression, ils disent oui, nous voulons ça. Ils ne se rendent pas comptent qu’il y a ce deux poids deux mesures. Il faut parler à ces gens, avec intelligence. On a deux valeurs morales : quand ces deux valeurs sont toutes seules, tout le monde est d’accord. Quand il s’agit de la liberté d’expression, on dit oui je suis d’accord, et si on demande vous êtes d’accord avec le respect des autres, ne pas inciter les autres, on dira que oui. Quand on met l’un à côté de l’autre, il y a des contradictions. Si je m’exprime entièrement librement, je vais dire ou écrire quelque chose qui va blesser une personne, ou groupe ou un ensemble immense de personne, que ça soit pour des raisons religieuses ou d'autres raisons, ça peut être un simple insulte. Donc en règle générale, quand il y a ce genre de problèmes, dans l’éthique, dans la morale politique, il faut gérer la chose de manière à ce que l’une des valeurs ne soit entièrement écartée et sacrifiée au profit de l’autre, mais d’arriver à avoir des limites rationnelles compréhensibles, qui sont acceptables, par l’immense majorité des gens.
Les lois nationales valent sur les lois internationales
De toute façon, les lois nationales prévalent sur les lois internationales. Sauf pour certaines choses très rares, comme les crimes contre l’humanité qui passent dans les tribunaux internationaux. Mais pour une loi internationale, il faudrait qu’elle soit au niveau des droits de l’homme, qui a une convention. Si on veut une loi qui interdit sous peine de poursuite, il faut qu’il soit un crime contre l’humanité, premièrement, ce qui n’est quand même pas le cas et deuxièmement tous les pays ne sont pas signataires du Tribunal Pénal International. En particulier les Etats-Unis n’ont pas signé. Donc cela paraît très difficile. C’est plutôt une question de rationalité, d’éveil, d’information, d’éveil des consciences nationales dans chaque pays. Aucun pays n’a intérêt à avoir une guerre civile.
Alors il suffit d’arriver à faire comprendre à la majorité dans un pays. Quand il y avait la guerre de religion en France, entre catholiques et protestants, la situation est devenue tellement horrible que les gens ont compris qu’on ne pouvait pas continuer comme ça et qu’il faut avoir un respect mutuel et qu’on accepte deux religions. Il s’agit d’avoir la même réaction et de l’étendre encore plus, de l’étendre aux musulmans aussi.
Le devoir des musulmans
Le devoir d’un musulman est d’abord de condamner aussi bien un côté que l’autre, mais de ne pas appeler à une situation qui serait la guerre, mais au contraire d’appeler à une solution intelligente, morale et conduisant à une paix civile. Parce que non seulement nul pays ne gagne pas à la guerre civile, mais les conditions mondiales sont telles qu’il faut veiller à ce qu’une guerre civile ne dégénère pas en une guerre internationale.
L’islamophobie chez les Français
L’islamophobie en France est une islamophobie construite. Les Français en grande majorité, ne sont ni racistes, ni islamophobes. En chaque être humain, il y a une sorte d’égoïsme collectif, qui fait qu’on est toujours plus proches de ceux qui nous ressemblent le plus. On est plus proche de sa famille, puis des gens qui ont la même religion, ou la même idée politique etc. Parce qu’on aime soi-même et on aime ceux qui sont comme nous-mêmes. Ça c’est normal. Mais hors de cette proportion, il n’y a pas un racisme institutionnalisé ou spécifiquement fort chez la population française, ni envers une race, ni envers une religion.
Tout cela a été construit d’abord après l’indépendance algérienne en 1962. Il y avait beaucoup d’immigrés algériens à cette époque, il y en a eu encore plus après. Beaucoup d’immigrés venaient d’autres pays, parce qu’il y avait l’expansion économique et beaucoup d’immigrés sont venus des pays musulmans. Comme il y avait la guerre d’Algérie qui était une choque pour les Français, parce que l’Algérie n’était pas considérée comme une colonie, mais comme un département français. Ni le Maroc ni la Tunisie n’étaient pas comme ça. L’Algérie était considérée comme partie de la France. Beaucoup de Français y vivaient qui sont revenus en France. Donc c’est un choc.
Un racisme créé par la politique
A partir de ces années-là, jusqu’à la révolution islamique, on a construit une idée du racisme et de l’anti-racisme. Le parti socialiste pour monter, a dit : les français sont racistes, nous sommes avec vous, avec les ouvriers immigrés, votez pour nous, nous allons vous aider. C’est une stratégie qui a été faite par le parti socialiste. A partir de la révolution islamique, on parlait de moins en moins du problème de l’émigration arabe pour le remplacer par la notion de l’immigration musulmane. Avant on disait ce sont des arabes, qui sont venus nous embêter, maintenant on dit des immigrés musulmans. Ça a changé à partir de la révolution islamique d’Iran.
Le capitalisme international qui n’a pas de patrie a alors divisé la société volontairement. Ces gens qui sont des multinationales, des banques, ont divisé la société, en disant nous sommes avec vous, eux, ils sont racistes. Eux, ils disent attention, les musulmans veulent vous islamiser.
Bénédiction de l’Internet
Donc la seule chose que l’on peut faire, c’est d’informer, maintenant la grande bénédiction de l’Internet c’est que la majorité des gens de plus en plus ni ne regardent la télévision officielle ni n’écoutent la radio officielle, ni ne lisent les journaux officiels, qu’ils soient les médias de l’Etat, ni les médias privés. Maintenant nous sommes à l’ère digitale, c’est une révolution, les gens, surtout les jeunes s’informent de plus en plus sur Internet. Donc le travail que l’on a à faire c’est sur Internet.
Sur Internet, s’il y a une chose intéressante, quelle que soit la religion, la langue, etc. les gens viendront regarder. Car c’est comme ça que fonctionne sur Internet. Chaque chose a le même potentiel au départ. C’est la révolution de l’Internet, si nous n’en profitons pas, nous en sommes nous-mêmes les responsables.
Il suffit de comparer la différence de ce qui s’est passé pour Roger Garaudy et ce qui se passe pour Dieudonné. M. Garaudy était avant Internet. Des milliers de personnes se réunissaient à chaque conférence. Il était un penseur exceptionnel sur lequel il y a des dizaines de thèses écrites dans le monde entier. A partir du moment où il a écrit sur le sionisme, il a été tellement boycotté et démoli, tué médiatiquement que sa dernière conférence à laquelle j’ai participé à Paris à Saint Germain des près il y avait trente personnes.
Ça c’était possible à cette époque, de tuer quelqu’un socialement et médiatiquement. En fait, il n’existe plus pour la société, même s’il est là en personne. Maintenant avec Internet, pour Dieudonné on a bien vue l’année dernière que tous les moyens du gouvernement, tous les médias, étaient mobilisés pour le descendre, le tuer de la même manière, socialement et médiatiquement sauf que ça n’a pas marché. Parce qu’il y avait Internet. Dès qu’il mettait une vidéo sur Internet, en une semaine il y avait deux millions de personnes qui allaient la voir. Dès qu’il avait une représentation, même s’il n’y avait aucune information sur ses représentations, la plus grande salle de spectacle de France qui contienne 3000 à 5000 personnes était remplie tous les soirs deux fois. C’est-à-dire 10 mille personnes.
Evidemment, ça s’adresse aux jeunes et évidemment les générations qui ont grandi avec la télévision, la radio, les journaux restent encore avec ces médias. Mais de plus en plus les jeunes, de moins de 20 ans, et de moins de 30 ans, n’utilisent plus aucun de ces médias du passé et se nourrissent et se documentent uniquement sur Internet. Nous devons porter le maximum de nos efforts sur Internet.
Les politiciens ont leurs intérêts dans ces manipulations
La gestion de l’affaire actuelle par le parti socialiste, disons que le parti socialiste était au plus bas dans les sondages, Hollande était près de 20%. C’est-à-dire un cinquième des Français qui sont derrière lui. Il est clair qu’elle a été utilisée pour remonter le parti socialiste et préparer les futures élections présidentielles. Tout le monde prévoit que ça sera probablement le Front National en face d’un candidat socialiste ou d’un candidat UMP. Alors on a fait monter cette affaire pour dire que le parti socialiste peut défendre les valeurs de la république, sans laisser ces gens les détruire. Voilà une sorte de monter sur cette vague pour servir les intérêts proches alors qu’il y a des conséquences graves à longs termes. On garde cette tension sociale pour les intérêts d’élections.
Les sionistes les vrais vainqueurs du complot
La véritable partie à profiter de cette affaire-là et de ses conséquences ce sont les sionistes. Toute personne, toute autorité, en Europe, en Afrique, en Amérique ou n’importe quel continent qui met de l’huile sur le feu, travaille au profit des sionistes. Même s’il n’est pas sioniste, même s’il n’est pas conscient de le faire. Il faut travailler au contraire à faire baisser la tension, à faire que les uns et les autres comprennent qu’ils n’ont rien à gagner à s’affronter et qu’au contraire ils ont à gagner à s’unir contre un ennemi commun. Une telle personne travaille véritablement contre la domination financière, sioniste, impérialiste.
Il y a une volonté sioniste de domination, c’est très clair, il y a certains dirigeants occidentaux qui plus ou moins travaillent pour les intérêts sionistes, et actuellement l’actuel gouvernement français est le plus sioniste de toute l’histoire de la France. On n’a jamais vu un gouvernement aussi sioniste. Actuellement en France, le gouvernement est beaucoup plus sioniste que le gouvernement américain.

" Toutes les phases de conception, la construction, le lancement et en orbite les satellites sont détenues par (...) des experts iraniens Iran a atteint l'autosuffisance dans ce domaine, " a-t-il expliqué dehqân faisant référence au lancement du quatrième satellite iranien « Fajr » (Alba) dans l'espace.

Le satellite de fabrication nationale " Fajr " a été lancé lundi avec succès dans l'espace en hommage à la "Décennie de Alba ‘’, les dix jours qui marquent le 36e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique de 1979.

« Fajr », le quatrième satellite iranien en orbite a été envoyé à travers les efforts des experts de l'Organisation iranienne Aerospace ministère de la Défense.

Le satellite, équipé d'un système de navigation GPSI, a conclu une orbite elliptique de 250 par 450 kilomètres à bord du véhicule de lancement " Safir " (ambassadeur), également fabriqué localement.

Selon le ministre iranien de la Défense, atteint son orbite géosynchrone est la prochaine cible des experts aérospatiaux iraniens.

" La technologie en orbite est essentiel pour atteindre cet objectif, en fait, a été estimé dans le véhicule de lancement « Safir » " a-t-il ajouté.

Les caractéristiques de ce nouveau satellite comparativement à plus tôt , selon le porte-iranienne, ce est qu'il a la capacité de rester plus longtemps dans les orbites très élevés, des mesures de distance, envoyer des photos en haute définition et effectuer des analyses sur un terrain grande surface.

Enfin, dehqân a veillé à ce que le satellite « Fajr » restent pendant un an et demi en orbite.

Il est à noter que la République islamique est l'un des 24 membres fondateurs du Comité pour les utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique (COPUOS, pour son sigle en anglais), créé par l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) en 1959.

lundi, 02 février 2015 01:00

Les 7 leçons de Nasrallah pour Israël!!

Le nouveau tour de bras de fer entre la Résistance, d'une part, et le régime sioniste, de l'autre vient de commencer, au bout de deux ans de présence militaire du Hezbollah, en Syrie qui a fini par stabiliser son pouvoir de dissuasion : en effet, Israël s'est, lourdement, trompé, en croyant pouvoir déclencher un processus d'érosion des forces de la Résistance, en Syrie. Le discours récent de Nasrallah résume, on ne peut mieux, la défaite israélienne. Il existe 7 points qui pourraient être tirés de ce discours : ,

1- Nasrallah a évoqué "les générations de la Résistance" : la Résistance est une structure, qui se trouve, à la fois, "en pleine jeunesse" et "en âge de maturité", soit, entre la vivacité et la maturité. Tout effort destiné à isoler la Résistance, que cet effort se fasse en douceur ou sous forme de guerre, apporterait l'effet inverse. Autant les défis qui s'opposent à la Résistance seront grands, autant les fissures entre la Résistance et son environnement se réduiront.

2- Nasrallah a évoqué "le sang iranien et le sang libanais qui se sont mêlés l'un à l'autre", au cours du raid terroriste d'Israël contre Quneitra : cette manière de voir les chioses souligne l'alliance à jamais indéfectible entre les composantes de l'axe de la Résistance, une alliance, qui s'est manifestée, dans toute sa grandeur, en Syrie, d'abord, et en Irak, ensuite; la Syrie et l'Iran ont prêté flanc aux attaques de l'ennemi et sont devenu le terrain d'une expérience inouïe de confrontation contre l'impérialisme. Jamais, auparavant, la Résistance n'avait fait preuve d'une telle expérience. Il y a là une profonde évolution qui se dessine, qui n'est guère passagère, car l'axe de la Résistance est, désormais, au point où il maîtrise, totalement, les jeux stratégiques. Cet axe a poussé, en ce sens, son ennemi à agir, comme s'il se trouvait confronté à un tout uni, non décomposable. Cette évolution a permis à la Résistance de gagner en influence, de s'éloigner de tout risque d'érosion et d'avoir un message plus audible, plus attirant pour d'autres courants. Pour de nombreux anti-impérialistes du monde, la sincérité de l'axe de la Résistance, dans son discours et dans ses actes, est un fait indéniable; au contraire de la coalition dite anti-Daesh, qui n'est qu'un mélange de vassalité et d'intérêts conjoncturels.

3- La réaction du Hezbollah et le discours de son secrétaire général mettant en relief l'implication du Hezbollah, dans le raid contre Quneitra, ont confirmé les évaluations des Sionistes, au sujet de la puissance hezbollahie, sur le terrain de combat. Israël croyait, toutefois, à une erosion effective des forces du Hezbollah, en Syrie. La Résistance devait, donc, agir contre cette idée, qui risquait de devenir une constante de la stratégie israélienne, au risque d’encourager Tel-Aviv à s’attaquer au Liban. C’est en ce sens qu’il faudrait comprendre l’insistance de Nasrallah à riposter, dans les plus brefs délais, au raid sioniste

4- Le secrétaire général du Hezbollah a abordé, au cours de son discours, les justifications des Sionistes, dans l’affaire de Quneitra, et la disponibilité du Hezbollah à mettre en place les infrastructures d’une résistance populaire, au Golan. Ce fut là une reconnaissance, à peine voilée, des activités que mène le Hezbollah, à Quneitra, et qui ne sont pas étrangères aux desseins hezbollahis, au Golan, où l’objectif est de mettre au pas Israël

5- Nasrallah a souligné, au cours de son discours, la faiblesse organique, dont souffre Israël, à tous les niveaux de son Entité. Cette partie du discours de Nasrallah a été, en réalité, adressée à l’opinion israélienne, qui est censée comprendre le fait suivant : tant que Netanyahu dirigera Israël, cette Entité sera, régulièrement, confrontée au risque d’une gerre permanente. Netanyahu cherchait à bomber le torse, à faire une démonstration de force, en tuant les membres du Hezb, à Quneitra, mais le sang de la Résistance a été vengé à Chebaa.

6- Nasrallah a, clairement, abordé le rôle du Front Al-Nosra, à Quneitra, en le comparant à Antoine Lahad. Cette comparaison est une garantie que donne le Hezbollah, pour assurer qu'Al-Nosra connaîtra le même sort que Lahad, et ce sort le frappera, dans les semaines à venir.

7- La fin des règles en vigueur, dans un jeu, ne signifie pas, forcément, la fin de ce jeu : ce jeu pourrait changer de règle. Le nouveau principe est ceci : chaque attaque israélienne serait ripostée, quel qu’en soit le lieu, le moment. La riposte du Hezbollah crée un vrai pouvoir de dissuasion, et en ce sens, le Hezb n’a aucune considération à prendre en compte. Il y a, donc, un double changement : le Hezbollah ne se limite plus, désormais, à répondre à l’agression israélienne, dans la zone géographique où l’agression a eu lieu. Le second point est celui-ci : la différence entre le domaine sécuritaire et militaire n’existe plus, ce qui veut dire que la réponse à une agression sécuritaire d’Israël pourrait avoir une nature militaire.

Le Hezbollah croit, visiblement, que le domaine sécuritaire est assez large, pour lui donner la possibilité technique opérationnelle de faire face à Israël.

Les règles du jeu ont changé et le changement est, effectivement, de taille.

C’est le quatrième satellite iranien en orbite, et il a été possible grâce aux efforts des experts de l'Organisation iranienne Aerospace ministère de la Défense.

Le satellite, équipé d'un système de navigation GPS, a conclu une orbite elliptique de 250 par 450 kilomètres à bord du véhicule de lancement « Safir », également de fabrication nationale.

Dans un bref message, le président de l’Iran, Hassan Rohani, a félicité les scientifiques iraniens, car avec cette réalisation ont conclu avec succès une " nouvelle phase " espace.

" Le gouvernement est déterminé à suivre la voie au progrès national, et si Dieu le veut, dans un proche avenir, nous allons atteindre un point où tous les besoins du pays dans le domaine spatial sont couverts par des scientifiques iraniens et de la technologie nationale " a indiqué le chef de file Persique.

En Octobre , le vice-président de l'Agence spatiale iranienne , Hamid Fazeli , a annoncé un programme visant à lancer trois nouveaux satellites , appelé « Zafar » ( la victoire ) , « Tolu » ( l'aube ) et « Pars » , à partir d'un plus puissants lanceurs déjà à bord de gros lanceurs .

En 2009, le pays perse mis en orbite avec succès ses premières données de traitement satellite de fabrication iranienne, appelé « Omid » (Espoir).

La République islamique est l'un des 24 membres fondateurs du Comité pour les utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique (COPUOS, pour son sigle en anglais), créé par l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) en 1959.

Un agent chargé de recruter des effectifs pour Daesh affirme avoir reçu des dollars US. Le site d'informations "Global Research" publie un article, dans lequel il estime que le soutien à Daesh est l'un des sales secrets des Etats-Unis, qui sont, d'ailleurs, nombreux. C'est en cachette que Washington recrute, finance, arme, forme et oriente les terroristes de Daesh et d'autres groupes takfiris. Ce sont des groupes contre qui les Etats-Unis prétendent lutter. Mensonge ! Washington se sert de ces groupes, pour s'affronter à ses ennemis, qui étaient, un jour, en Libye, en la personne de Kadhafi, et, à présent, en Syrie, en celle de Bachar al-Assad. Le nom des ennemis suivants sera défini, dans l'avenir.
L'Iran, aussi, constitue un souci, pour les Etats-Unis, dont les projets, pour y changer l'Ordre politique, demeurent toujours.
Les sites Russia National et LiveLeak évoquent, à ce sujet, le nom d'un commandant de l'EI, Yousef al-Salafi, d'origine pakistanaise. Ce dernier, détenu au Pakistan, recevait de l'argent aux Etats-Unis. Lui et ses deux adjoints ont été arrêtés, à Lahore.
Le quotidien "Express Tribune" a écrit que, lors de ses interrogatoires, Al-Salafi a révélé qu'il recevait des dollars américains, en provenance des Etats-Unis, afin d'établir une organisation, au Pakistan, pour recruter les jeunes pakistanais aspirant à se rendre, en Syrie. Ces informations ont été citées par une source proche des agents pakistanais chargés d'interroger les détenus.
Selon cette source, qui s'exprimait, sous le couvert d'anonymat, Al-Salafi recevait 600 dollars, pour chaque personne qu'il envoyait, en Syrie. Il avait, au moins, un adjoint, apparemment, un imam de la prière, au Pakistan.
La source ajoute aussi : «Pour sauver les apparences, les Etats-Unis condamnent les activités de Daesh, mais ils n'ont pas empêché le financement de ces organisations. Washington aide Daesh, dans le but d'assurer ses intérêts. En Irak, les Américains attaquent les Daeshistes, mais, en Syrie, ces derniers bénéficient d'un soutien implicite.

"The Express Tribune" a souligné que des centaines de jeunes pakistanais ont quitté le pays, pour rejoindre Daesh.
Toujours, la même source ajoute que l'affaire a été signalée au général Lloyd Austin, chef du commandement de l'armée américaine, pour le Moyen-Orient, lors de sa visite, à Islamabad.
Al-Salafi, d'origine syro-pakistanaise, est arrivé au Pakistan, via la Turquie, il y a 5 mois, pour établir la branche de Daesh, au Pakistan, où les médias locaux font état d'une influence en croissance du groupe terroriste.
Les Américains visent plusieurs objectifs, dont le contrôle du prix du brut et l'arrivée au pouvoir des régimes inféodés, dans la région. La division de l'Irak, en 3 régions, kurde, au Nord, arabe, à Bagdad, et chiite, au Sud, a fait que le contrôle américain y soit plus sensible.
Le renversement de Bachar al-Assad signifie l'élimination d'un principal adversaire d'Israël, qui souhaite voir un ami, en Syrie. Ce processus, avec l'isolement de l'Iran, balise le terrain, pour que Washington mette ses projets en œuvre.
Toutes les guerres américaines, après la seconde guerre mondiale, ont été illégales, des guerres, qui ont été déclenchées, directement, par les Américains ou par leurs représentants. La guerre a, toujours, été une stratégie sale des USA. Elles ne finiront pas avec le départ de Barack Obama de la Maison Blanche. Son successeur, qui que ce soit, suivra le même chemin.

Le président américain a réaffirmé le respect de la RII envers ses engagements nucléaires. "J'apposerai mon veto à tout projet de loi du Congrès qui risque de nuire aux négociations nucléaires.", a dit le Président américain Barack Obama lors d'une interview avec la chaîne CNN. Obama a affirmé dans son entretien avec CNN que l'Iran s'était engagé vis-à-vis du contenu de l'accord provisoire nucléaire et que nous avons l'opportunité de parvenir à un mécanisme pratique dans les sens d'un accord définitif. Rappelant que les pays tels que la Chine et la Russie souhaitent l'amélioration des relations avec l'Iran le président américain a dit: "Je ne suis pas sûr qu'on parvienne certainement à un accord global ; je suis pourtant certain que si l'on impose de nouvelles sanctions les parties de négociations dont et surtout l'Iran le jugeront un obstacle devant les pourparlers; ces nouvelles sanctions seront donc nuisibles et j'apposerai mon veto à toutes".

 Le magazine américain, "National Interest" a désigné les armes nucléaires russes qui présentent une menace pour les Etats-Unis. Les sous-marins nucléaires du projet 955 Boreï occupent le premier rang, dans la liste des armes nucléaires russes les plus redoutables, dressée par un journaliste du magazine, Dave Majumdar. Les SNLE Boreï ont remplacé les sous-marins stratégiques soviétiques des projets 941 Akoula, (Typhoon, selon le code de l'OTAN), 667 BDR Kalmar et 667 BDRM Delfin (Delta-3 et Delta-4 selon l'OTAN). Dotés d'une coque hydrodynamique, ces submersibles sont silencieux. Les sous-marins du projet Boreï sont équipés de 16 missiles intercontinentaux R-30 Boulava-30. La Russie a, déjà, construit trois sous-marins de ce type. Trois autres sous-marins du projet Boreï seraient dotés de 20 missiles balistiques internationaux et auraient de meilleures performances. 
Les missiles balistiques intercontinentaux R-30 Boulava, occupent le deuxième rang, dans le classement. D'une portée de 11.000 km, ce sont des armes efficaces, d'après l'expert. Chaque Boulava a dix têtes à trajectoires indépendantes, alors que les autres missiles balistiques n'en ont que six. Les sous-marins nucléaires polyvalents du projet 885 Iassen arrivent en troisième position. Selon le magazine, le K-560 Severodvinsk, tête de série du projet 885, est si impressionnant que le chef du programme américain de conception des sous-marins, David Johnson, a installé une maquette du Severodvinsk, dans son bureau. Selon "The National Interest", l'arsenal russe des armes nucléaires tactiques occupe la 4e place, parmi les armes redoutées par Washington. Ces armes ne sont pas visées par le Traité russo-américain de réduction des armes stratégiques offensives, (START). Les stocks russes de ces armes sont moins importants qu'à l'époque de l'URSS, l'armée russe dispose de 2.000 armes nucléaires tactiques. Mais les stocks de ces armes peuvent atteindre 5.000 unités, compte tenu des ogives qui ne sont pas en service opérationnel. Ces ogives pourraient atteindre leurs cibles, au moyen des missiles tactiques Iskander. Les missiles balistiques intercontinentaux russes à propergol solide RS-24 Iars, (code Otan SS-X-29), complètent la liste. Ces missiles mirvées, une version modernisée du missile monobloc RS-12M2 Topol-M, sont dotés de quatre ogives de 150 à 300 kt à guidage individuel et a une portée de 11.000 km. Le magazine "The National Interest" évoque, également, le nouveau missile balistique à ergols liquides Sarmat, capable de surmonter le bouclier anti-missile américain. Sarmat devrait remplacer le missile intercontinental R-36M2 Voevoda, (Satan, selon le code de l'OTAN).

lundi, 02 février 2015 01:00

L’Occident craint l’éveil islamique

Les atteintes au Prophète (PSL) et à l’islam viennent de l’hostilité des occidentaux et d’une volonté d’évaluer le niveau de l’éveil chez les musulmans.

Le professeur Amanollah Shadizi, ancien professeur de la faculté de médecine de Boulan au Pakistan, membre du parti islamique et commentateur politique, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que les atteintes au Prophète (PSL) et à l’islam venaient de l’hostilité des occidentaux et d’une volonté d’évaluer le niveau d’éveil islamique et de respect du Prophète (PSL) dans les pays musulmans.
Amanollah Shadizi a expliqué : « L’éveil islamique et la croissance démographique des musulmans en Occident et en Europe, inquiètent les opposants à l’islam et les ont poussés à provoquer le complot du 11 septembre et l’attaque contre le siège de Charlie Hebdo à Paris. »
« Les musulmans ont réagi dans le monde et ont montré leur respect et leur volonté de défendre le Prophète (PSL) bien que certains gouvernements arabes au service des États-Unis, soient restés honteusement silencieux », a-t-il ajouté.
« Si les pays musulmans étaient unis, a précisé l’ancien professeur de la faculté de médecine de Boulan, s’ils expulsaient les ambassadeurs français et ne vendaient plus de pétrole, personne n’oserait porter de telles atteintes au Prophète (PSL). Nous avons vu lors de la fatwa de l’imam Khomeiny contre Salman Rushdie, que les pays occidentaux ont fermé leurs ambassades mais ont été obligés ensuite de présenter des excuses et de nous supplier pour les rouvrir. »
« Ces complots et ces calomnies ne seront pas à leur avantage. Au Danemark, les gens ont été poussés à connaître davantage l’islam. Les pays islamiques devraient défendre par leur franchise, comme le fait l’Iran, l’islam authentique et empêcher par leur politique, que des gens se permettent de telles offenses à plus d’un milliard de musulmans», a-t-il dit.

Tel que rapporté par la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen « dans sa'Khat An-nar » (Line of feu), 48 heures après l'agression 18 derniers Janvier contre un convoi du Hezbollah dans la région de Quneitra, dans haute Golan syrien, le général se est rendu à Beyrouth citée, la capitale du Liban.

Lors de ce voyage, moins d'une journée, ajoute « Al- Mayadeen », le général Soleimani a rencontré Nasrallah et plusieurs autres responsables de la Résistance islamique.

Comme indiqué, la visite à Nasrallah pas simplement exprimé leurs condoléances pour la perte de six héros du Hezbollah et le conseiller en chef iranien, le général de brigade Mohammad Ali Alahdadi dans cette attaque, mais a également pour aborder les questions de circonstances actuelles et récentes.

En outre, poursuit-il, il se est présenté à la maison de la jeune martyre de cette attaque, le Jihad Moghniyeh, fils de l'ancien commandant du Hezbollah, Imad Moghnieh, décédé dans une attaque terroriste planifiée par des éléments du service de renseignement du régime d'Israël (Mossad) en 2008, et a transmis ses condoléances à sa famille.

Après l'assaut déclaré que le régime d'Israël, la Résistance a promis une réponse très ferme; de telle sorte que 10 jours plus tard, le 28, il a lancé une opération de représailles de missiles antichars qui ont frappé un véhicule de l'armée israélienne dans les fermes de Chebaa, le sud du Liban, occupé par le régime israélien.

En conséquence, selon la version israélienne, deux soldats ont été tués et huit autres blessés. Cependant, le Hezbollah a soulevé le nombre de morts à 17 militaires.

Grâce à une émission le 29 Janvier par la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) à Tel-Aviv un message de régime, le mouvement islamiste a dit qu'il ne avait aucune intention de générer une escalade de la violence dans la région et que "l'incident était terminé. "

23h14 GMT - Dans un communiqué, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon a déclaré qu'il était «profondément préoccupé» par la mort de l'espagnol casque bleu dans l'attaque israélienne ainsi que l'appel aux parties au conflit à maintenir calme et faire preuve de retenue maximale.

23h13 GMT - Le Conseil de sécurité de l'ONU condamne la mort d'un casque bleu espagnol dans une attaque israélienne sur le sud du Liban.

23h13 GMT - L'ambassadeur de l'Espagne à l’ONU, Ramon Oyarzun, a blâmé le régime israélien de la mort de l'espagnol casque bleu Francisco Javier Soria Toledo.

« Ce était l'escalade de la violence et est venue du côté israélien », a déclaré l'ambassadeur espagnol à des journalistes au siège de l'ONU à New York.

19:40 Conseil GMT- La sécurité des Nations unies (CSNU) a convoqué une réunion d’urgence à 21h00 GMT pour traiter la tension qui existe à la frontière entre le Liban et les territoires palestiniens occupés.

19h31 GMT - La France appelle une réunion d'urgence du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) pour discuter de la tension à la frontière entre le Liban et les territoires palestiniens occupés.

17h56 GMT- Le régime israélien a identifié les soldats tués dans l'attaque de mercredi le Hezbollah comme un sergent, 20, et un capitaine, 25.

16h49 GMT- Un ancien chef de l'armée israélienne a décrit que la situation «inflammable», et a exhorté le régime israélien, Benjamin Netanyahu, Premier ministre de ne pas prendre ne importe quelle étape qui mène dans les territoires occupés dans le chaos.

16h48 GMT- régime de Tel-Aviv a déclaré le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) d'être défendu contre le Hezbollah.

16h41 GMT- Le ministère des Affaires étrangères de l'Espagne a indiqué que Francisco Javier Soria Toledo, 36 ans, a été tué dans l'attaque israélienne sur les territoires libanais.

15h54 GMT- forces de sécurité du régime israélien ont établi plusieurs points de contrôle sur les routes près de la frontière du Liban.

15h48 GMT- Iran a condamné le terrorisme d'Etat commis par le régime de Tel-Aviv.

15h48 GMT- Le ministère des Affaires étrangères du Liban a condamné l'agression israélienne contre le Liban.

15h45 GMT- Le commandement militaire du régime israélien a déclaré la frontière syrienne est une zone militaire fermée.

14h49 GMT- régime de Tel-Aviv a déclaré que l'attaque sur les positions syriennes a été menée en représailles pour les quatre tirs de roquettes sur les territoires occupés.

14h48 GMT groupes armés soutenus par l'étranger ont déclaré que les avions de guerre israéliens ont également frappé une zone proche de l'aéroport international de Damas, capitale syrienne.

14h38 GMT : L'armée du régime israélien a confirmé qu'au moins deux soldats ont été tués et huit autres blessés dans l’attaque du Hezbollah.

14h10 GMT- Beyrouth a annoncé que l'armée israélienne a tiré au moins 50 obus d'artillerie contre le Liban.

13h53 GMT- Les Nations Unies (ONU) a confirmé que l'un de ses forces de la FINUL sont morts dans des affrontements près de la frontière sud du Liban.

13h46 GMT- Le armée israélienne a dit elle répond avec des attaques terrestres et aériennes sur les positions du Hezbollah.

13h41 GMT- combattants du Hezbollah ont détruit plusieurs véhicules dans lesquels ils se sont déplacé officiers et des soldats israéliens.

13h39 GMT- Le armée israélienne a confirmé qu'au moins sept soldats ont été blessés dans la ferme de Chebaa.

12h58 GMT- «Nous devons répondre durement et de manière disproportionnée les bombardements du Hezbollah que la Chine ou les Etats-Unis feraient dans des circonstances similaires », a déclaré le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor Lieberman, selon le journal israélien Yediot Aharonot ».

12h48 GMT- Selon la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen, drones israéliens volent villages Marouahine, Ayta al-Shaab et Ramiya.

12h45 GMT- La Ligue arabe (AL) demande au Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) d'intervenir et de mettre fin à la tension entre le régime d'Israël et le Liban.

12h36 GMT- Hamas : le Hezbollah a le droit légitime de répondre à la politique d'assassinats de régime israélien.

12h35 GMT- Selon des sources de sécurité, le dialogue continue entre le Liban et la FINUL d'atteindre un cessez le feu.

12h35 GMT- d’héroïque opération Hezbollah Les louanges mouvement islamique palestinien Jihad contre les Israéliens.

12h33 GMT- Quêtes artillerie israélienne pilonné situé dans le territoire contrôlé par l'armée syrienne.

12h28 GMT- Channel 10 télévision israélienne a annoncé qu'elle préparait une opération terrestre contre le Liban.

12h25 GMT- Tous les Israéliens dans le nord des territoires occupés, comme Haïfa et Rosh Pina, aéroports ont été fermés.

12h24 GMT- israélienne Drone vole région Markheouyoun dans le sud du Liban, selon les agences de presse libanaises.

12h20 GMT- Un soldat de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a été tué par les bombardements israéliens dans le sud de l’Irak.

12h16 GMT- Un régime israélien soldat a été capturé lors de l'opération de Chebaa.

11h14 GMT - Un soldat espagnol de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a été blessé dans une attaque israélienne contre le Liban.

11h13 GMT - Les écoles libanaises près de la frontière israélienne ont été évacuées.

11h02 GMT - La chaîne de télévision libanaise Al - Manar TV rapporte que neuf véhicules militaires israéliens ont été endommagés par l'attaque du Hezbollah.

10h58 GMT - Le Mouvement de résistance islamique au Liban (le Hezbollah) assume la responsabilité de l'attaque sur le véhicule militaire israélien. (Communiqué de presse)

10h54 GMT - Selon des sources israéliennes, les aéroports dans les villes de Rosh Pina et Haïfa ont été fermés en raison du démarrage des opérations aériennes israéliennes.

10h47 GMT - Le chef d'état-major de l'armée israélienne appelle une réunion d'urgence avec les commandants militaires.

10h30 GMT - Le régime israélien a tiré 30 obus d'artillerie au Liban, selon des sources libanaises. L'agence de nouvelles française « AFP », quant à lui, a confirmé que des chars israéliens ont commencé à tirer sur le territoire libanais.