تقي زاده

تقي زاده

Téhéran- Nous sommes témoins d'un impérialisme médiatique aujourd'hui, dirigé par des gens de mauvaise foi qui donnent des informations déformées ou tout à fait mensongères.

Selon IQNA, Sedigheh Hejazi, responsable des questions de la femme et de la famille au Centre de la culture et des relations islamiques, lors de la cérémonie d'inauguration du stage de formation médiatique réservé à des femmes irakiennes spécialisées dans le journalisme, le 11 novembre 2012, et organisé dans les locaux de ce centre, a souhaité la bienvenue aux participantes et déclaré que les femmes iraniennes étaient heureuses de recevoir cette délégation féminine irakienne.

"Nous sommes témoins d'un impérialisme médiatique aujourd'hui, dirigé par des gens de mauvaise foi qui donnent des informations déformées ou tout à fait mensongères. Cela donne aux musulmans une grande responsabilité et voilà longtemps que nous envisagions d'organiser ce stage. Les historiens divisent l'Histoire en quatre étapes où la quatrième étape est celle où l'information et des méthodes cybernétiques dominent dans les conflits.

Nous sommes confrontés aujourd'hui, à de nouveaux modèles de guerres où ce ne sont pas les corps qui sont la cible mais les esprits et les idées. C'est ce que nous appelons aujourd'hui la guerre cybernétique ou médiatique.

Aujourd'hui, les grandes puissances n'ont plus besoin de lancer des armées dans le monde et peuvent très bien, à travers les médias et l'espace virtuel, changer les idées des gens et en prendre le contrôle. Notre identité et nos croyances sont actuellement la cible des médias qui sont en grande majorité dirigés par les sionistes.

L'Imam Ali (AS) nous a conseillé d'élever nos enfants en fonction de leur époque, cela signifie qu'il faut utiliser les méthodes de communication les plus modernes, pour défendre la vérité et transmettre notre culture et nos croyances à la jeune génération.

Nous espérons qu'avec le concours de l'Agence de presse des jeunes qui dépend de la radiotélévision et est chargée de former des jeunes journalistes engagés, que ce stage sera profitable aux femmes irakiennes qui sont venus en Iran et travaillent dans le domaine médiatique", a-t-elle déclaré.

Téhéran- Dans le système capitaliste, les intérêts des individus et de la société sont envisagés dans un système instauré par Jérémy Bentham, père de l'utilitarisme, dont il a donné une définition précise, c'est-à-dire un système fondé sur le plaisir individuel et matériel.

L'Hodjat-ol-islam Seyed Hossein Mir Mo'ezzi, membre du comité chargé de la définition de nouveaux modèles islamiques et iraniens, de consommation et de progrès, lors de la huitième réunion sur les système économiques dans le Coran, organisée à l'Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que dans le système capitaliste, l'économie et la croissance économique étaient les premiers objectifs et passaient avant la justice.

"Nous devons étudier les priorités du système islamique et ses différences avec le système capitaliste. Dans le système capitaliste, les intérêts des individus et de la société sont envisagés dans un système instauré par Jérémy Bentham, père de l'utilitarisme, dont il a donné une définition précise, c'est-à-dire un système fondé sur le plaisir individuel et matériel.

L'objectif est donc un maximum de plaisirs et un minimum de peines. Une société épanouie se définira en fonction du plus grand nombre de citoyens jouissant du plus grand nombre de plaisirs. Dans ce contexte, les activités morales aussi doivent être une source de plaisir, quelque chose de bien sera quelque chose qui procure du plaisir et quelque chose de mal, tout ce qui est déplaisant.

Il se peut qu'un repas me plaise mais vous déplaise, dans ce cas, ce repas est bon pour moi mais mauvais pour vous. C'est aussi le cas des valeurs qui sont relatives et dont le bien fondé ne peut pas être généralisé. Chaque personne aura donc "son" système de valeurs et les actions sociales auront pour objectif, la généralisation du plaisir pour la majorité.

Accepter le système capitaliste implique que nous acceptions que l'objectif de la vie soit le plaisir matériel et que le plaisir matériel exige des moyens, la consommation étant un de ces moyens et exigeant un développement du système économique situé au sommet de la pyramide. Dans le système capitaliste, le système économique est à la pointe de la pyramide et au dessus des activités politiques, sociales et culturelles.

En fait, la politique et la culture sont au service de l'économie définie dans l'utilitarisme comme la principale source de bonheur pour la société. Un point très important est qu'il faut que le système politique et les politiques culturelles et sociales encouragent le système économique. Dans le système capitaliste, tout a une odeur matérielle en fonction de la définition du bonheur proposée par ce système.

Le système économique est "le" système qui peut assurer la production et donc de plus grands plaisirs et un plus grand bien être. Tout doit être au service du système économique et les principes culturels qui vont à l'encontre de ce système, doivent être changés au profit des objectifs du système capitaliste qui sont prioritaires.

Les gens pensent que si le système économique ne fonctionne pas tout va s'effondrer et qu'une production intensifiée leur assurera le bonheur. En anglais "Good" signifie "produit" et "bon", cette interaction signifie que la production est à l'origine du bonheur ainsi que la consommation.

L'objectif du régime doit donc être « le plus grand bonheur du plus grand nombre » avec une augmentation maximum de la production et de la consommation. Ainsi une loi ne doit être jugée « bonne » ou « mauvaise » que sous le rapport de sa capacité à augmenter le plaisir de tous.

L'autre point est que dans le système capitaliste, la justice sociale n'est pas l'objectif principal, car il n'y a aucune différence dans le plaisir que peuvent éprouver deux personnes, riche ou pauvre, dans la consommation d'un produit, que ce soit le 1001ème produit du riche ou le premier produit du pauvre.

L'important est la production du plaisir et la consommation. L'important n'est pas qui profite et consomme. Comme l'a dit, je pense, John Rawls, l'important n'est pas la distribution et l'égalité des gens vis-à-vis des plaisirs matériels. S'il existe cent unités de plaisir, il n'est pas important que ces unités soient données aux pauvres ou aux riches. L'important est leur production et leur consommation.

Pour l'être humain, la quantité de plaisir compte non l'espace entre ces occasions de plaisir sinon de façon indirecte. Dans la société, il n'est donc pas important de savoir qui profite de ces plaisirs, l'important est qu'ils soient produits en plus grand nombre et consommés. La justice vient en seconde place.

Trois points peuvent donc être issus de cette discussion, tout d'abord la priorité du système économique, la priorité de la production et le fait que la justice soit reléguée au second plan. Ces trois points sont les caractéristiques du système capitaliste.

Les dernières sanctions imposées par les Etats-Unis contre l'Iran sont de nouvaux cadeaux après la présidentielle américaine.

Ces sanctions n'ont aucune importance et représentent un cadeau de la nouvelle administration américaine, a déclaré le ministre de la Culture et guidance islamique, Mohammad Hosseini, selon des propos rapportés par l'agence Mehr.

Nous ne voulons pas de la version américaine de la liberté. Nous ne pouvons pas tolérer la rupture des valeurs morales dans les pays islamiques (...). Le contrôle morale de la presse est une source de fierté pour nous, a-t-il ajouté.

Selon AFP, les Etats-Unis ont annoncé jeudi avoir pris de nouvelles sanctions contre l'Iran, visant cette fois des médias.

Ces mesures visent plusieurs personnes morales et personnes physiques, en particulier le ministère de la Communication et des Technologies de l'information et son ministre, Reza Taghipour.

Un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement africains sur une intervention armée dans le Nord du Mali, contrôlé depuis des mois par des groupes islamistes armés, s'est ouvert dimanche matin à Abuja, la capitale fédérale nigériane, a constaté l'AFP.

Ces responsables des quinze pays de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), ainsi que d'autres pays africains dont la Mauritanie et l'Algérie, doivent approuver un plan stratégique qui sera transmis au Conseil de sécurité de l'ONU, via l'Union africaine.

Ce plan d'intervention impliquerait 5.500 soldats, en vue de la reconquête du Nord du Mali.

Le projet, adopté vendredi dans la capitale nigériane par les ministres de la Défense et des Affaires étrangères ouest-africains, prévoit en effet le déploiement d'une force de 5.500 soldats qui inclurait des ressortissants de pays africains hors Cédéao, selon une source au sein de l'organisation.

Selon AFP, d'autres pays africains n'appartenant pas à la Cédéao - dont l'Afrique du Sud, la Mauritanie, le Maroc, la Libye, l'Algérie et le Tchad - ont été conviés à participer au sommet de dimanche, selon la même source.

Les ministres avaient souligné vendredi que le dialogue restait l'option favorite dans la résolution de la crise malienne.

Le directeur général de la BBC, George Entwistle, a démissionné samedi soir après la diffusion d'une enquête accusant à tort de pédophilie un ex-responsable politique conservateur de l'ère Thatcher, un nouveau scandale qui a plongé la chaîne dans une "grave crise de confiance".

George Entwistle, qui n'occupait ses fonctions que depuis septembre, a déclaré qu'il avait décidé de les abandonner "compte-tenu du fait que le directeur général est aussi le rédacteur en chef et le responsable, en fin de compte, de tout le contenu" des émissions.

Tim Davie, l'actuel directeur du département audio et musique de la BBC, doit assurer l'intérim le temps qu'un nouveau directeur général soit désigné.

"Les événements complètement exceptionnels de ces dernières semaines m'ont amené à conclure que la BBC devrait se trouver un nouveau dirigeant", a ajouté M. Entwistle.

Chris Patten, le président du conseil d'administration de la BBC qui était présent aux côtés de George Entwistle devant le siège de la chaîne, a déclaré qu'il vivait "l'une des plus tristes soirées de (s)a vie publique".

La BBC avait présenté vendredi soir des excuses "sans réserve" pour avoir diffusé une enquête de Newsnight, son émission-phare d'investigation, dans laquelle un témoin affirmait avoir été victime de sévices sexuels de la part d'un ancien membre important du parti conservateur dans un foyer de jeunes dans les années 1970.

Bien que la chaîne n'eût pas nommément identifié ce responsable politique dans son émission de la semaine dernière, le nom de l'ancien trésorier conservateur Alistair McAlpine avait ensuite largement circulé sur internet.

McAlpine avait catégoriquement démenti vendredi ces allégations "totalement infondées et gravement diffamatoires" avant que son accusateur, Steve Messham, ne reconnaisse en s'excusant que le membre de la Chambre des Lords n'était effectivement pas l'auteur des sévices qu'il avait subis et qu'il s'était trompé sur son identité.

La BBC avait alors à son tour présenté ses excuses, George Entwistle ordonnant "une pause immédiate dans toutes les enquêtes de Newsnight afin d'assurer la solidité et la supervision éditoriales".

Samedi matin, le directeur général, qui a lui-même travaillé sur l'émission Newsnight il y a une dizaine d'années, avait reconnu sur BBC radio 4 que ce nouveau scandale était à l'origine d'"une grave crise de confiance" pour le groupe, tout en excluant alors de démissionner ou de supprimer l'émission Newsnight.

Il avait précisé attendre la remise, dimanche, d'un rapport sur les conditions de diffusion de ce reportage avant de prendre toute décision.

La chaîne publique et son directeur général avaient déjà essuyé de nombreuses critiques au cours des dernières semaines après les révélations concernant l'un de ses animateurs-vedettes, Jimmy Savile, décédé en 2011 à l'âge de 84 ans. Il est aujourd'hui soupçonné d'avoir abusé sexuellement de quelque 300 enfants et adolescentes pendant 40 ans.

Trois enquêtes ont été lancées à ce sujet, dont deux internes à la BBC.

Le groupe est notamment accusé d'avoir tenté d'étouffer le scandale en renonçant à diffuser fin 2011, déjà dans Newsnight, un documentaire qui portait sur ces accusations.

Téhéran- Leurs mesures se sont même étendues aux responsables de l'université Imam Sadegh(AS) et à d'autres organismes alors qu'ils prétendent défendre la tolérance après avoir fermé les chaines satellitaires iraniennes.

Seyed Mohamad Husseini, ministre iranien de la culture et de l'orientation islamique, le 10 novembre2012, lors de la cérémonie d'inauguration de la vingtième semaine du livre, a déclaré qu'il ne fallait pas importer les productions culturelles occidentales qui sont pleine de propagande anti iranienne et anti islamique.

Faisant allusion au blocus américain contre les activités du ministère de la culture et des responsables des relations étrangères, il a précisé que dans le passé, l'union européenne avait aussi interdit d'entrée le ministre iranien de la culture et que ce comportement n'avait rien de nouveau.

"Leurs mesures se sont même étendues aux responsables de l'université Imam Sadegh(AS) et à d'autres organismes alors qu'ils prétendent défendre la tolérance après avoir fermé les chaines satellitaires iraniennes. Nos points de vue sont différents et ils ne peuvent pas nous imposer leurs avis et leurs productions. Nous ne sommes pas comme certains pays, des consommateurs aveugles de productions étrangères. Actuellement dans la province de Qom, nous avons une exposition de jeux électroniques à laquelle participent un grand nombre d'étudiants des centres islamiques.

Nous n'avons pas besoin d'être uniquement des importateurs de produits occidentaux qui encouragent la pornographie et insultent l'islam et l'Iran, et veulent imposer un seul modèle de culture au monde entier. Dans le passé, l'énergie atomique et les armements étaient un prétexte pour eux mais aujourd'hui, le principal obstacle réside dans la question culturelle et idéologique. La foi et les idées des Iraniens les inquiètent, cela nous importe peu et que les ennemis nous sanctionnent ou non, nous continuerons à faire ce que nous considérons comme notre devoir", a-t-il dit.

Le ministre iranien de la Défense, le général de division Ahmad Vahidi a confirmé vendredi qu'un avion chasseur de la République islamique avait affronté un drone américain dans le golfe Persique la semaine dernière, ont rapporté les médias locaux.

Les responsables du département américain ont indiqué que c'était la première fois qu'un appareil sans pilote des États-Unis essuyait des tirs dans les eaux du golfe Persique.

Le ministre iranien de la Défense a déclaré vendredi que le drone américain avait pénétré les eaux territoriales de son pays dans le golfe Persique.

« La semaine dernière, un avion étranger a pénétré l'espace aérien de la République islamique d'Iran dans le golfe Persique. Face à la réponse immédiate et appropriée de l'Iran, il a été contraint de fuir », a déclaré M. Vahidi cité par l'agence Fars.

Cet incident montre que la République islamique surveille attentivement tous les mouvements dans la région et qu'elle prendra des mesures efficaces et énergiques en temps opportun, a-t- il ajouté.

L'Iran envisage également de donner suite à cette affaire par les moyens internationaux disponibles, a indiqué le ministre iranien.

samedi, 10 novembre 2012 12:19

Assad: je dois vivre et mourir en Syrie

Le président Bachar al-Assad, après 20 mois d'un conflit dévastateur, a exclu tout départ du pouvoir en disant vouloir "vivre et mourir" en Syrie dans des déclarations diffusées jeudi par une télévision russe.

"Je suis syrien et je dois donc vivre et mourir en Syrie", a déclaré M. Assad à télévision russe Russia Today.

L'Occident, la Turquie et de nombreux pays arabes l'appellent depuis des mois à quitter le pouvoir afin de mettre fin à la guerre qui a fait plus de ۳۷.۰۰۰ morts selon une ONG syrienne et poussé à la fuite des centaines de milliers de personnes depuis mars ۲۰۱۱.

Présentant son pays comme le "dernier bastion de la laïcité, de la stabilité et de la coexistence dans la région", le président syrien a estimé que "le coût d'une invasion étrangère de Syrie, si elle avait lieu, sera tel que le monde entier ne sera pas en mesure de l'assumer".

Nakoula Basseley Nakoula a été condamné à un an de prison, mercredi 7 novembre, par le tribunal de Los Angeles. Cet Américain d’origine égyptienne n’est autre que le réalisateur du film anti-islam « L’innocence des musulmans », qui avait déclenché une vague de violences meurtrières dans les pays musulmans. Mais cette condamnation à de la prison ferme fait suite à une affaire de fraude fiscale sans lien avec son film islamophobe.

Connu sous le nom de Nakoula Basseley Nakoula en utilisant des pseudonymes, Mark Basseley Youssef avait violé les termes de sa liberté conditionnelle, qui lui interdisait depuis sa condamnation en ۲۰۱۰ à ۲۱ mois de prison pour avoir ouvert plusieurs comptes bancaires et cartes de crédit au moyen de fausses identités.

Même si l’accusation a écarté le lien entre cette condamnation et son film islamophobe, elle a toutefois précisé qu’elle prouvait que M. Youssef avait une « propension récurrente à la tromperie. » Durant le tournage de son film, il avait menti aux acteurs sur le thème même de son film. Ces derniers ne savaient en effet pas qu’il mettait en scène le Prophète Muhammad. Le producteur s'est contenté de doubler le film avec de nouveaux dialogues.

Pour le procureur-adjoint Robert Dugdale, il a « trahi » les acteurs. « Sa tromperie a causé un préjudice réel à certaines personnes », a-t-il ajouté, précisant qu'au moins une actrice du film craignait pour sa vie et que d'autres « considèrent que leur carrière est finie » après leur participation à ce film.

Pour sa défense, le réalisateur islamophobe a assuré qu’ils avaient « signé des décharges. » L’une des actrices, Cindy Lee Garcia, qui s’estime trompée, a réclamé que le film soit retiré de Youtube. La justice a refusé par deux reprises sa demande, pourtant des plus légitimes.

Selon saphirnews, après une année derrière les barreaux, Mark Basseley Youssef devrait rester sous contrôle judiciaire pendant quatre ans. Une forme de protection pour l'homme, qui a réussi à provoquer le monde musulman avec son film.

Téhéran- Malheureusement, nous ne voyons pas beaucoup d'efforts dans ce domaine, nous attendons plus des littéraires car il ne suffit pas d'organiser des manifestations et de donner des message de condamnation.

Mahdi Chamran, chef du Conseil municipal de Téhéran, dans un entretien avec l'Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que la société littéraire iranienne devait s'engager davantage dans la lutte contre les atteintes au Prophète (AS) et la défense des valeurs islamiques.

"Malheureusement, nous ne voyons pas beaucoup d'efforts dans ce domaine, nous attendons plus des littéraires car il ne suffit pas d'organiser des manifestations et de donner des message de condamnation. Nous devons faire plus d'efforts dans la connaissance et la présentation des saints Imams (AS) et ne pas nous contenter comme dans le passé, de quelques livres au style et à la présentation trop faibles qui n'attirent pas les lecteurs.

Une production littéraire de qualité permettra de déjouer les complots des ennemis et de rapprocher les écoles islamiques. Les milieux culturels ont une grande responsabilité et une grande influence dans ce domaine, et doivent produire des œuvres de qualité intéressantes pour les jeunes et dont le langage soit accessible aux jeunes générations", a-t-il dit.