
تقي زاده
La grande responsabilité du poète soulignée par l’Imam Khamenei
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a affirmé lors d’une audience accordée aux gens de la culture et de l’art : « La poésie est l’un des plus éminents arts et les poètes ont une grande responsabilité vis-à-vis des principaux problèmes du pays et de l’immense mouvement historique et inspirateur de la révolution islamique et les poètes doivent mettre cet art prestigieux et toujours neuf au service de ces grandes responsabilités. »
Selon le site d’information du bureau du Guide Suprême de la Révolution Islamique, l’Imam Khamenei a reçu mardi soir, un groupe d’hommes de lettres et d’artistes iraniens ainsi que des poètes persanophones venus de l’Afghanistan, du Tadjikistan et des Indes.
L’honorable Imam Khamenei, Guide Suprême de la Révolution Islamique a fait allusion au cours de cette rencontre au mouvement continu et aux importants progrès du pays dans le domaine de la poésie, soulignant: «La poésie est l’un des plus importants arts et les poètes ont une grande responsabilité vis-à-vis des principaux problèmes du pays et de l’immense mouvement historique et inspirateur de la révolution islamique et les poètes doivent mettre cet art prestigieux et toujours neuf au service de ces grandes responsabilités. »
Présentant les « sentiments humains », « les angoisses » et « la pensée et la sagesse » comme les trois principaux thèmes de la poésie, l’Imam Khamenei a ajouté : « L’expression des sentiments poétiques et amoureux et l’expression des angoisses par rapport à la vie courante sont les deux parties reconnues de la poésie, mais il ne faut pas les mettre en relief en ignorant la sagesse et la pensée dans la poésie. »
Evoquant les poèmes des grands poètes persans y compris Saadi, Hafez et Saeb, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a souligné : « Dans les poèmes de ces grands poètes on trouve les sentiments et les désarrois, cependant ils abondent également en la sagesse et la pensée. En fait la sagesse atteint dans leurs poèmes le sommet. »
« Les connaissances islamiques, le mode de vie islamique, la sagesse et les points nécessaires à être enseignés aux hommes ne doivent pas être négligés en poésie », a-t-il ajouté.
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a estimé que le poète avait une responsabilité vis-à-vis des problèmes de sa société, ajoutant: « Aujourd’hui, l’immense mouvement historique du peuple iranien sert d’exemple pour les grandes nations et la révolution islamique iranienne et la résistance face au système de domination international et à l’arrogance mondial doivent apparaître dans les poèmes. »
Il a également présenté la défense sacrée, le djihad pour l’édification d’une société islamique, le djihad pour réformer le mode de vie, le djihad pour renforcer la construction du pouvoir national, ainsi que l’éveil islamique et la question palestinienne comme des thèmes qui doivent entrer dans la poésie.
L’Imam Khamenei a également demandé aux poètes d’attacher un intérêt spécial à la poésie pour enfant et adolescent.
Au début de cette rencontre, les poètes ont donné lecture de leurs poèmes devant le Guide Suprême de la Révolution Islamique, poèmes comportant des thèmes moraux, religieux, cultuels, politiques, révolutionnaires et sociaux.
Les Américains se préparent à bombarder la Syrie?
Martin Dempsey, président du Comité des chefs d'état-major des forces armées américaines, a déclaré que les Etats-Unis ont préparé un plan de bombardements de sites stratégiques en Syrie, écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta du 23 juillet 2013.Parmi les cibles potentielles figureraient les forces de la défense antiaérienne, de l'armée de l'air, de l'armée de terre, les missiles, la flotte, ainsi que les sites militaires logistiques et les postes de commandement. "Les bombardements et les raids pourraient permettre d'éliminer des centaines d'objectifs", déclare la lettre de Dempsey adressée au président de la commission des forces armées du sénat américain Carl Levin.Cette action viserait à affaiblir significativement le régime syrien et contribuerait à la désertion des soldats. Le régime pourrait pourtant répliquer à ces frappes limitées en dispersant ses forces.Dempsey avait déjà déclaré que les USA avaient préparé un plan d'ingérence dans le conflit syrien mais sans annoncer de détails. Selon lui, le projet est actuellement examiné par le gouvernement. Le général a averti que ces frappes nécessiteraient des "centaines d'avions basés sur terre et embarqués, du renseignement, des moyens de guerre électronique, des unités de logistique et de transmissions. Les dépenses sont estimées à 500 millions de dollars au départ et 1 milliard de dollars par mois en moyenne pendant un an", conclut Dempsey.D'après le général, ces frappes permettraient de priver presque entièrement le régime de sa possibilité d'attaquer les bastions de l'opposition et d'approvisionner ses troupes par les airs.Cependant, cette opération s'accompagnerait de risques pour les USA : la perte d'un avion nécessiterait l'intervention des forces de sauvetage. De plus, une telle série d'attaques aériennes ne permettra pas forcément de mettre un terme à la violence et de renverser la situation, selon le général, car le régime compte principalement sur ses forces terrestres – les mortiers, l'artillerie et les missiles.A terme, il est prévu d'établir une zone d'exclusion aérienne en Syrie qui, selon les experts, coûterait aux USA en moyenne 1 milliard de dollars par mois. Cette démarche est exigée par certains sénateurs qui y voient le moyen de faire cesser les frappes aériennes des troupes gouvernementales contre les partisans armés de l'opposition syrienne.
Hezbollah "terroriste" : le décodage....
Sous l'impulsion des Etats Unis et d'Israël , l'Europe des 28 a vendu son âme, a trahi ses propres principes et a inclu le nom du Hezbollah sur sa liste noire. le geste n'a qu'une seule signification, l'Europe considère la résistance libanaise comme étant une milice terroriste au même titre qu'Al Nosra ou Al Qaida!! les accusations que l'Europe reproche au Hezbollah sont non prouvées. Aucun tribunal digne de ce nom n'a statué sur cette fameuse affaire de Burgas , soit cet attentat contre un bus israélien ayant coûté la vie à des touristes qui ressemble beacoups aux mise en scène dont seul le Mossad a le secret . les analystes sont nombreux de voir dans ce geste une riposte à la victoire de l'armée syrienne et du Hezbollah à Qusseir en Syrie car dans le contexte qui est celui de la région, aucun évenement touchant la résistance ne peut survenir sans qu'il soit d'une manière ou d'une autre lié à la Syrie. mais quellessont les conséquences de cette décisions? Que l'Europe considère la branche armée du Hezbollah, un des piliers de la société libanaise comme une organisation terroriste, cela va-t-il changer quelque chose au cours des événements? En termes financiers , la décision de l'UE n'a aucun effet militaire ou financier . car le Hezbollah ne possède ni compte bancaire ni équipements militaire en Europe. d'ailelurs de nombreux commandants du mouvement sont inconnus de grand public y compris des européens. mais cette décision a un impact particulièrement dévastateur sur la situation au Liban, et au delà au Moyen Orient. le moment choisi par les dirigeants européens pour prendre une telle décision est bien calculé et va dans le sens des plans prémédités par US/Israël :
1 Au Liban , le gouvernement peine depuis des mois déjà à voir le jour. le 14 mazrs pro occidental subordonne la formation du nouveau gouvernement à l'absence totale des reprsentants du Hezbollah au sein du nouveau cabinet. et le 14 mars va exactement du même argument que l'UE . pour lui , la guerre du hezbollah contre les hordes salafos wahhabite , armés et soutenus par Riyad relève du terrorisme et donc Qusseir est une preuve de culpabilité du Hezbollah
2 la réaction du PM Mikati a été aussi suprenante . il a annoncé sa totale convergence avec l'Europe et ce alors que les ministres du Hezbollah sont toujours présents dans son cabinet . cette déclaration constitue, selon les analystes, un feu vert à l'adresse du nouveau premier ministre pour qu'il boycotte le Hezbollah dans son gouvernement. l'UE vient d'offrir sur un plateay d'or le prétexte nécessaire pour écarter la Résistance du gouvernement , ce qui revient en effet à interrompre tout lien entre le hezbollah et la communauté internationale
3L'UE vient ainsi de bloquer la voie à tout compromis et dialogue, ainsi que l'a souhaité Nasrallah dans sa récente intervention. cette mesure va tendre à l'extrême la situation au Liban au détriment de l'unité nationale et on se demande ce que veut faire l'Europe de cette unité , si elle est définitivement brisée et si elle , ainsi que l'Europe le prétendait, lui tient tellement à coeur. l'Europe met donc de l'huile sur le feu et à dessin
4 C'est aux dépens des forces de maintein de la paix de la Finul que l'UE qualifie désormais le Hezbollah d'organisation terroriste. ces forces se trouvent positionnées au coeur même des régions du Hezbollah qui n'a jamais commis aucun "acte terroriste" à leur encontre !! ce sont principalement des français, des italiens, des espagnols qui pârticipent à cette force
5 La coincidence entre la décision de l'UE et le message sonore du terroriste Al Golani , chef d'Al Nosra en Syrie est bizarre ...
6 Tout comme la joie d'Israël après l'annonce de cetet décision. C'est Peres en personne qui a envoyé un message de remerciement et de sympathie à l'adresse de l'UE . et c'est sa haine anti iranienne et anti hezbollah qui s'est emanée de cette lettre
7 en Iran justement, cette décision ne peut constituer un bon signal dans la mesure où les liens entre l'Iran et le Hezbollah sont viscéraux et ceci est loin d'être un bon signe alors que Rohani s'apprête à prendre les rêne de l'exécutif et qu"'il a affiché sa volonté d'ouverture envers l'Occident. L'UE n'a donc pas l'intention de se montrer flexible , de tempérer ses positions hostilles et anti iraniennes aussi bien en Syrie qu'au Moyen Orient , ce qui ne va pas sans nuire au dialogue euro iranienn
8 on ne peut ne pas voir les traces de la Turquie et de l'Arabei saoudite dans cette décision. en effet les succès du hezbollah à éloigner les takfiris des frontières libanaises a porté un coup irréparable à la statégie de guerre occidentale, arabe et turque . mais qu'a fait le Hezbollah? a -t-il dérfendu Assad ou le Liban? les TAkfiris qui se sont vus évincés de Qusseir allaient tot ou tard gagner le Liban et présenter une vértiable menace à sa sécurité. ...
Quelle sera la réaction du Hezbollah ? les prochains jours nous le diront...
L'empire de l'homme de fer du Kremlin: Fin d'un rêve ?
la crise économique plane sur le rêve de l'empire de l'homme de fer du Kremlin, Vladimir Poutine. Tous les communiqués, émis par les parties officielles témoignent de la baisse de la croissance économique du pays et ce à telle enseigne que les prévoient, dans le meilleur cas, une croissance de 2.4% d'ici la fin de l'année en cours. Le taux de la croissance industrielle se chiffrera à 1.4% et le taux d'investissements baissera, considérablement. Ce, alors que la croissance économique de la Russie était de l'ordre d'environ 7%, en 2007, dernière année du deuxième mandat de Vladimir Poutine. Ce chiffre est tombé, en raison des effets de la crise économique mondiale, à 3.4, en 2012. De nombreux experts russes estiment que l'économie russe risque d'entrer dans une étape de récession économique dite « la récession dure à l'inflation », période qui sera marquée par la baisse considérable de la croissance économique et la hausse vertigineuse de l'inflation. De même, selon les prévisions, cela affectera, considérablement, les revenus pétroliers et gaziers, principale source du budget du pays, revenus qui sont passés, de 30% à 50%, dans les années allant de 2004 à 2013. Donc, si cette tendance se confirme, le Président russe, Vladimir Poutine risque de ne pas pouvoir tenir ses promesses en matière de croissance économique et de programmes sociaux. Autrement dit, on pourrait aller vers la fin de l'exemple du « pays de rêve », en Russie.
C'est dans la foulée de cette évolution économique, qui était, semble-t-il prévisible pour Poutine, que Tsar de l'époque contemporain de la Russie a brigué le troisième mandat afin de sauver le pays de la crise économique qui l'attendait. C'est pour cette raison qu'il a désigné, fin juin 2013, Alexeï Oulioukaev, en tant que nouveau ministre de l'économie. Il a succédé à Andreï Beloussov. Ce dernier a été désigné comme conseiller économique du Président. Beloussov était partisan de l'intervention de l'état dans l'économie. Il a assuré cette fonction, pendant un peu plus d'un an, tandis que le nouveau ministre de l'économie est favorable au marché libre et ne croit pas tellement en l'intervention de l'état dans les activités économiques. Il compte, également, au premier rang des figures de l'équipe des libéraux de la nouvelle Russie. Sous la présidence, Eltsine, il était conseiller économique du gouvernement et il a jouté un rôle important dans l'orientation des nouvelles politiques du pays en matière d'économie, dans les années 90, qui ont laissé des impacts très négatifs sur l'économie et la société russes. Dans sa première déclaration en qualité de nouveau ministre de l'économe ; Alexeï Oulioukaev a déclaré que sa priorité consistait à créer un climat convenable pour attirer les investissements dans le secteur privé avec pour objectif d'endiguer la baisse de la croissance économique. De nombreux experts voient en retour d' Alexeï Oulioukaev, le retour de l'équipe des libéraux au pouvoir et sur la scène de l'économie traditionnelle. A rappeler qu'avant la décision de Poutine de changer son ministre de l'économie, il y avait un débat houleux, au Kremlin, sur la politique à suivre pour freiner la baisse de la croissance économique, en Russie. A ce propos, Andreï Beloussov insistait sur la nécessité de gros investissements du gouvernement dans les grands chantiers d'infrastructures, thèse, rejetée, catégoriquement, par l'équipe des libéraux de l'actuel gouvernement, conduit par Dimitri Medvedev. Il avait proposé, également, la libéralisation du taux de la monnaie nationale (Rouble), étant un handicap à la baisse de la croissance économique, idée qui a suscité de nombreuses oppositions. En janvier dernier, Vladimir Poutine a reconnu que la baisse de la croissance économique était très coûteuse pour le gouvernement. Sont nombreux les analystes qui n'écartent pas la possibilité de voir la nouvelle équipe économique du pays, répéter l'expérience des années 90, d'autant plus que la nouvelle équipe croit, essentiellement, au marché de libre-échange et à l'augmentation de la quantité de la liquidité en proportion aux besoins sociaux. Ce, alors que la Chambre des représentants russes (la Douma), a adopté, début juillet 2013, la loi d'amnistie pour les délits économiques et financiers voulue par le président Vladimir Poutine pour améliorer le climat des affaires dans le pays. Le texte, qui pourrait concerner des milliers de personnes, a été approuvé en troisième lecture avec 298 voix pour et une abstention. Il doit être validé par la chambre haute puis promulgué par Vladimir Poutine. Le chef de l'État russe avait demandé fin juin au Parlement de voter une telle loi, dans le cadre d'une série de mesures destinées à favoriser les investissements à un moment où la croissance économique du pays a fortement ralenti. L'amnistie ne concernera en outre que les personnes condamnées pour la première fois, ce qui devrait exclure l'ex-patron du pétrolier Ioukos emprisonné depuis 2003, Mikhaïl Khodorkovski, condamné à deux reprises. Le PC a évoqué une trop grande "subjectivité" dans l'application de l'amnistie, alors que le LDPR de Vladimir Jirinovski, adepte des provocations verbales, a proposé que les bénéficiaires remis en liberté soient contraints de s'installer en Extrême-Orient. Ce serait la seule manière, selon lui, d'assurer "l'augmentation de la population dans ces régions". L'un des aspects les plus débattus de la loi concerne l'obligation de payer des dommages aux victimes.
Certains députés ont estimé qu'il s'agissait d'un privilège accordé aux plus riches pour échapper à la prison. On peut aussi y voir une sorte de double peine, lorsque les condamnés sont des entrepreneurs honnêtes victimes d'une expropriation, avec la complicité de tribunaux poreux à la corruption. "Si une personne a effectivement volé, elle devra payer les dommages. C'est une bonne chose, dit Lioudmila Alexeïeva, célèbre militante à la tête du Groupe Helsinki de Moscou. Mais beaucoup de businessmen sont emprisonnés non pas parce qu'ils ont volé, mais parce qu'on leur a arraché leur entreprise. Devront-ils en plus payer pour être relâchés ?"
Par ailleurs, la Russie a annoncé, pour la première fois, le niveau de ses réserves en pétrole et en gaz avec pour objectif d'attirer les investissements étrangers dans le secteur de l'énergie, la chose qui était considérée, dans le passé, comme étant confidentielle, sur quoi, personne ne disposait des informations précises. Selon les chiffres, récemment, fournis par le gouvernement russe, le volume de ses réserves en pétrole et en gaz. Selon ces chiffres, les réserves en pétrole du pays s'estiment à 17.8 milliards, chiffre auquel il faut additionner 10.9 milliards de réserves pétrolières éventuelles. De même, les réserves prouvées et éventuelles du gaz naturel sont estimées, respectivement, à 48.8 et 19.6 milliards de dollars. Cependant, ce chiffre pourrait, indiquent de nombreux analystes, ne pas être attrayant pour pouvoir attirer les sociétés mondiales actives dans le secteur de l'énergie, car la définition de Moscou en matière d'évaluation de ses réserves en pétrole et e, gaz est différente des définitions internationales. Le gouvernement russe procède à l'évaluation du volume de ses réserves en pétrole et en gaz sans prendre en compte les profits et les préjudices d'extraction, tandis que le critère international tient compte des frais d'extraction dans l'évaluation des réserves d'énergie. C'est pourquoi le chiffre fourni par la Russie est supérieur à celui des instances internationales. Selon les estimations internationaux, les réserves pétrolières de la Russie sont de l'ordre de 11.9 milliards de tonnes et non pas 17.8 milliards de tonnes.
La tentative de Vladimir Poutine de sauver l'économie du pays et d'éviter l'entrée dans l'étape du marasme économique, l'a poussé à opter pour une politique, lui permettant de tenir ses promesses, faites, lors de son retour au Kremlin, en 2012. Il avait dit vouloir doper les revenus sociaux. Mais, le recours à la politique en matière économique risque d'être en porte-à-faux avec les promesses qu'il avait faites aux citoyens russes, une qui question qui pourrait servir d'un prétexte aux opposants politiques de monter la société civile contre lui.
Hezbollah "terroriste" : l'Iran réagit
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, en condamnant l’intégration de la branche armée du Hezbollah, dans la liste des groupes armés terroristes, par l’Union Européenne, a demandé la révision de cette décision.Seyyed Abbas Araghtchi, qui parlait, ce mardi, devant un parterre de journalistes iraniens et étrangers, à Téhéran, a qualifié cette démarche de l’Union Européenne d’acte dirigé contre le peuple et le gouvernement libanais, car le Hezbollah est accepté et respecté par tous les Libanais, le monde de l’Islam et nombre de pays de la région. Araghtchi a précisé que la résistance légitime du Hezbollah, face au régime sioniste, est respectée par les peuples de la région et du monde de l’Islam, et l’inscription de son nom, sur la liste des groupes terroristes, est un acte totalement irréfléchi et disproportionné. Araghtchi, qui est, également, vice-ministre iranien des Affaires étrangères, a souligné que cette démarche de l’Union Européenne s’inscrivait dans le cadre de la défense des intérêts du régime sioniste et n’aboutirait à aucun changement, dans la nature des positions du Hezbollah et la tendance des peuples de la région, rendant, seulement, encore plus complexe la crise au Moyen-Orient. Araghtchi a, également, démenti les rumeurs concernant les nouvelles inspections des sites nucléaires iraniens, avant d’ajouter qu’aucun nouvel accord n’avait eu lieu avec l’AIEA, à ce propos, et que les négociations débutées entre les deux parties, dans le cadre de nouvelles coopérations, n’avaient pas encore pris fin. Le porte-parole de la diplomatie iranienne a martelé que la RII était toujours prête à coopérer avec l’AIEA, dans le cadre du TNP, et qu’elle n’irait pas au-delà de ses engagements. Au sujet de la récente démarche du Congrès américain consistant à ne pas envoyer le projet de loi de nouvelles sanctions contre l’Iran, simultanément à la lettre du Congrès aux autorités américaines, pour une meilleure interaction avec la RII, Araghtchi a indiqué que c’est une marche vers la rationalité, dans la politique américaine, car les contribuables américains ont payé très cher et à plusieurs reprises, les attitudes extrémistes et destructrices des hommes d’Etat américains, et ils souhaitent, manifestement, un changement, dans la politique de leurs gouvernants. Araghtchi a ajouté, pourtant, que les belles paroles ne sont pas suffisantes, et qu’il faut qu’elles soient suivies d’actes concrets, pour réparer leurs politiques erronées du passé. En tout état de cause, s’ils corrigent leur fausse approche, cela pourra réduire les tensions et créer un nouveau climat. Au sujet de l’Egypte, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a réitéré que la RII mettait l’accent sur l’unité nationale de ce pays, via le dialogue entre tous les groupes politiques. Araghtchi a évoqué les entretiens téléphoniques du chef de la diplomatie iranienne avec son homologue égyptien, lundi, avant d’ajouter que les deux parties ont mis l’accent sur la cohésion nationale de l’Egypte, ainsi que sur la poursuite des consultations de Téhéran et du Caire, au sujet des évolutions, en Palestine et en Syrie. Araghtchi a déclaré, également, que les cérémonies de prestation de serment du Président iranien, Hassan Rohani, se tiendront, le dimanche 4 août, au parlement, et pour la première fois, après la victoire de la Révolution islamique, il a été décidé d’inviter des autorités étrangères à y participer. Araghtchi a ajouté que de telles cérémonies sont habituelles et que l’Iran a envoyé des invitations à tous les pays, à l’exception des Etats-Unis et du régime sioniste qu’il ne reconnaît pas.
Iran et l'Egypte plaident pour une amitié durable
Iranien des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi Ministre et Ministre des Affaires étrangères d'Égypte, Nabil Fahmy, ont tenu une conversation téléphonique mardi sur diverses questions d'intérêt mutuel.
Pendant la conversation, en fonction de leur connaissance de la diligence et l'intelligence politique du peuple égyptien, M. Salehi est optimiste quant à l'avenir de l'Egypte, qui connaît actuellement une crise politique.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a également souligné la nécessité pour les élites politiques et toutes les parties prenantes travaillent ensemble pour renforcer la solidarité et l'unité nationale en Egypte ", qui occupe une place importante dans la région."
Il a exprimé son espoir que Téhéran et au Caire pour discuter dès que les problèmes latents possibles dans la région, y compris la question palestinienne et syrienne.
Pendant ce temps, Nabil Fahmy, après avoir exprimé la satisfaction conversation téléphonique avec la chancelière persane, a exprimé son espoir d'échanger dès que possible et adéquate occasion sur des questions d'intérêt commun et des changements majeurs dans la région.
Guide suprême ne se sent pas optimiste quant à des pourparlers avec US
"Les Américains ne sont pas raisonnables et digne de confiance parce qu'ils ne sont pas sincères dans leur comportement", ce dimanche est considéré comme le chef suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei lors d'une réunion avec les autorités dans la capitale Iran, Téhéran.
Lors de cette réunion, se référant aux récentes déclarations US de son intention de maintenir le dialogue avec l'Iran, le guide suprême a déclaré: "J'ai dit au début de cette année, je ne suis pas optimiste sur le dialogue avec les Etats-Unis, même si je n'ai pas interdite dans le discours passé dans ce pays sur des questions spécifiques, comme l'Irak ".
"La position des autorités américaines au cours des derniers mois montre pourquoi nous avons besoin d'être sceptique à traiter avec ce pays. Nous croyons à l'interaction avec le reste du monde, mais la chose importante est de connaître l'autre et de comprendre leurs méthodes et leurs objectifs parce que si nous ne savons pas, souffrir un revers ", a-t-il ajouté.
L'ayatollah Khamenei a insisté sur la nécessité pour l'Iran de connaître les astuces de vos adversaires. "Les forces réactionnaires, l'arrogance, certains dirigeants occidentaux et certains gouvernements régionaux chargés faibles ont construit un large front contre l'Iran", a-t-il souligné.
Il a décrit la situation du pays repose persans sept points stratégiques: la position géographique privilégiée, l'histoire glorieuse et ancienne civilisation, des ressources naturelles et de renseignement iraniens ont été les trois premières questions abordées par le Guide suprême.
Le guide suprême a également noté l'invasion culturelle et politique étrangère comme le quatrième aspect et a souligné combien les Iraniens ont souffert dans les deux ou trois derniers siècles par la dictature puissances hégémoniques nationaux et internationaux.
Un autre point soulevé par l'ayatollah Khamenei a fait l'objet de l'éveil national en trois périodes: la première Constitution, la nationalisation du pétrole et de la Révolution islamique. "Le mouvement national dans la première Constitution et la nationalisation du pétrole a échoué, mais la révolution islamique et la constitution de la République islamique d'Iran est une réponse forte aux chocs que le pays avait reçus de l'étranger", a souligné.
Comme le sixième point, l'ayatollah Khamenei a déclaré l'expérience des progrès dans différents domaines, tels que les domaines politique, économique, scientifique et culturel. "Le progrès extraordinaires de la science et de l'influence indéniable que nous avons dans la région et dans le monde ainsi que le changement de culture générale par rapport à l'époque de la dictature Pahlavi, montrer le mouvement victorieux des trente dernières années", a-t-il expliqué en insistant en outre que la priorité doit être suivi pour le pays responsable du progrès économique et scientifique.
Il a souligné les victoires des peuples obtenus avec l'aide de Dieu. "La dernière bénédiction a été la création de l'épopée dans la politique présidentielle", et a déclaré que les résultats des élections de juin massives 14 seront dévoilés progressivement dans les différents aspects.
Le guide suprême iranien considère la démocratie religieuse et de la démocratie en bonne santé que les meilleures réalisations politiques de l'intérieur. «La transmission réelle et transparente de l'exécutif et le législatif, sans trucs et astuces occidentaux, est un précieux modèle présenté au monde par le peuple iranien", a-t-il dit.
A la fin de son discours, le guide suprême a décrit les éléments de la force intérieure et a souligné la nécessité d'une prise de position ferme de la part de la nation et l'adresse des autorités du pays les problèmes et les hostilités. "Les autorités ne doivent pas vaciller face à l'amertume de l'ennemi dans la propagande politique et économique" a conclu.
Larijani : processus de la suspicieuse reprise de paix régime sioniste -palestinienne
Le chef de l'Assemblée Consultative de l'Iran, Ali Larijani, a averti dimanche sur actions suspectes constatées dans le nouveau plan sur la reprise des pourparlers de paix régime sioniste -palestinien.
Ali Larijani a déclaré que les négociateurs internationaux cherchent à reprendre les pourparlers de paix en Palestine sans avoir mentionné quelque chose à propos de l'arrêt des colonies israéliennes dans les territoires occupés.
Les troubles en Egypte et la Syrie ont créé un environnement propice à l'Occident et les colonialistes dans la région de profiter du meilleur moment pour les intérêts du régime sioniste, selon Larijani.
"Les musulmans réagiront aux actions frauduleuses de l'Occident en la Journée Quds" a-t-il dit. Malgré les objections de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) et le Mouvement national pour la libération de la Palestine, le Fatah, l'Etat palestinien a accepté jeudi pour reprendre les pourparlers avec le régime israélien à la condition que le Israël a décidé d'accepter les frontières de 1967 comme point de départ de s'asseoir et de parler.
Sayed Nasrallah: "La résistance restera imbrisable"
Le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Narallah a appelé toutes les parties au Liban à adopter un discours politique calme, au moins en ce mois béni pour rassurer le peuple libanais.
S'exprimant par vidéo ecran lors d'un iftar organisé par le comité de soutien à la résistance islamique à Beyrouth, au Sud et à la Békaa, Sayed Nasrallah a insisté sur la nécessité de mettre l'armée libanaise à l'abri de la polémique interne qui envenime la situation dans le pays, et ce, parce que l'affaiblissement de l'armée aura des répercussions très dangereuses sur le Liban en tant qu'Etat institutionnel.
Sayed Nasrallah s'est par ailleurs attardé sur les facteurs de la réussite de l'expérience de la résistance au Liban, et a assuré que cette résistance surmontera toutes les épreuves actuelles et futures.
Dans ce qui suit les principales idées du discours de Sayed Hassan Nasrallah:
"Je vous salue dans les différentes régions du pays, et j'implore Dieu pour qu'il accepte votre jeûne et vos prières. je remercie le comité de soutien à la résistance pour ses grands efforts dans les dernières années. Ce comité a permis d'établir des contacts entre la résistance et ceux qui désirent la soutenir. Nous aurons plusieurs occasions à commémorer en ce mois béni et au cours desquels nous évoquerons plusieurs sujets liés aux évolutions dans la région.
Les facteurs de force de la résistance:
Dans le discours d'aujourd'hui, je voudrai parler du Liban. Commençons par la résistance qui avait toujours une vision claire. Si l'on ajoute à cette vision, la foi, la volonté et la décision, nous obtenons une action réussie. Dès le début, l'objectif de la résistance était de libérer les territoires libanais, de libérer les détenus dans les prisons de l'ennemi, de restituer les corps des martyrs, et de contribuer à protéger le Liban contre les dangers israéliens. Les hameaux de Chebaa et le village d'alGhajar restent sous occupation, et donc c'est une échéance patriotique persistante. Quant à la libération des détenus, il existe toujours quelques détenus dont le sort demeure inconnu et les depouilles de martyrs que nous devons chercher à restituer. Le troisième objectif, celui de la protection du Liban contre les dangers sionistes, est toujours en vigueur...
Après l'entente de juillet ( 1993), une entente orale en fonction de laquelle la resistance a impose un equilibre des forces qui consavre l'equation de la securite de nos villages en echange des colonies sionistes au nord de la Palestine occupee, ceci a dissuadé l'ennemi de poursuivre ses raids contre les territoires libanais. Ensuite est survenue l'entente d'avril, et une fois de plus la résistance a sommé les sionistes à cesser son agression. La guerre de juillet 2006 a consacré définitivement un nouvel équilibre de la terreur, malgré les capacités militaires plus importantes chez l'ennemi.
Au Liban donc, une résistance populaire, avec le soutien de la population, et des capacités militaires limitées a pu dissuader l'ennemi d'agresser le pays, de voler ses eaux et ses ressources.
Donc, la plus importante échéance patriotique qui concerne tout le Liban est celle de lutter contre les ambitions israéliennes. Y a-t-il quelqu'un au Liban qui puisse dire que le Liban ne figure plus sur la liste des ambitions israéliennes? Israël est sur le point de voler le pétrole du Liban, et pour cette raison les dangers demeurent toujours existants.
Malgré les divergences entre les partis libanais, venez tous discuter des véritables dangers israéliens et des options disponibles pour les repousser.
Adoptons une approche sérieuse pour nous défendre face à l'ennemi:
Cessons de parler des armes de la résistance, s'ils sont légitimes ou pas. Demandons-nous si nous avons vraiment besoin des capacités de la résistance. Le simple fait de débattre de l'utilité de la résistance et de ses armes ne mène nul part. Adoptons une approche plus scientifique et plus réaliste. Allons-nous par exemple prendre des garanties de la part des Américains? Tout en sachant qu'Israël est le premier projet américain dans la région. C'est son premier interet, et donc, face aux ambitions israéliennes, l'Amérique ne peut s'y opposer.
Voyez comment les Etats-Unis renoncent a leurs alliés dans la région au profit d'Israël. Les Etats-Unis ne sont plus ce pays fort, ils font désormais de multiples calculs avant de passer à l'acte. Même l'Europe, regardez comment Netanyahu raille l'Europe pour ses politiques, que ce soit au sujet de l'inscription du Hezbollah sur sa liste terroriste ou encore au sujet du boycott des produits des colonies sionistes.
Nous au Liban, n'avons que Dieu qui puisse nous aider. Dieu et nos propres capacites. Oui nos propres capacites. En cette époque de discorde, la résistance s'appuie sur cette logique et sur cette expérience, ces exploits, et ces victoires qui démontrent l'utilité de ce choix. Ce sont les convictions de la population. Cette population qui a consenti beaucoup de sacrifices et est désormais capable de discerner l'ennemi de l'ami. Pour cette raison, la résistance jouit de ce soutien populaire, et pour cela, cette résistance ne peut être brisée. Tous ceux qui tentent de la briser ou de l'isoler ont échoué et vont échouer. Les gens honorables de ce pays ont investi dans cette résistance ce qu'ils ont de plus cher, ils ont offert leurs fils pour protéger le pays.
Toujours prêts au dialogue avec les autres parties libanaises:
Nous sommes toujours prêts à dialoguer avec les autres parties sur les modalités pour protéger le Liban, que ce soit avant ou après la formation du gouvernement. Depuis que j'ai exposé la stratégie de défense pour le pays, aucun parti n'en a débattu le contenu. Personne n'en a discuté parmi ceux qui ont pris part à la table du dialogue. Tout simplement, parce qu'ils ne sont pas sérieux de trouver une stratégie patriotique de défense. Ils veulent seulement que le Hezbollah dépose ses armes. Ils ne cherchent rien d'autre. Une fois de plus j'affirme qu'il revient à nous tous de protéger ce pays, parce que nous sommes tous menacés. Il existe un véritable besoin pour mettre fin aux dangers israéliens. A ceux qui qualifient les armes de la résistance d'illégales, nous demandons quelle est l'alternative.
Sachez que nous ne sommes pas des gens qui aiment les guerres. Les êtres humains préfèrent la paix et le calme. Mais quand un ennemi nous agresse, nous devons tous le confronter. Historiquement, tout le monde se mobilisait dans un pays quelconque pour se défendre contre une agression ennemie.
Au Liban, lorsqu'une résistance capable, dévouée, et sérieuse est active et efficace, il est très normal qu'elle soit visée. Cette résistance efficace sabote les projets hégémoniques de l'ennemi, elle sera certes visée à tous les plans, sécuritaire, militaire, économique, moral, médiatique... Ceci faisait partie des batailles de toutes les résistances, notamment du Hezbollah.
Il est normal que la résistance soit visée
Il est normal que l'ennemi cherche à récolter des renseignements sur cette résistance, eattaque militairement l'environnement de la résistance, et l'affaiblit socialement à travers son appauvrissement. On essaie tout le temps de viser cette résistance économiquement et moralement. Depuis 1982, la résistance a pu changer l'équation dans la région. En 2006, elle a saboté le projet du grand Moyen-Orient qui avait pour objectif de mettre fin à cette résistance. Tel est le prix de notre choix.
Quand nous insistons que le Liban sera pour tous les Libanais, que ses ressources seront exploitées seulement par les Libanais, le prix et les sacrifices seront grands. Nous avons dès le début enduré et saboté plusieurs complots grâce à Dieu et à la patience de notre population. Aujourd'hui encore, grâce à la patience, cette résistance surmontera toutes les épreuves actuelles et futures. Nous sommes en 2013, et jusqu'à ce jour, les Israéliens sont en train de revoir toutes leurs stratégies et leurs plans, ils savent bien qu'ils sont face à une force réelle.
Ces Israéliens savent bien que le Liban n'est plus cette proie faible et facile à attraper. Personne ne peut plus imposer ses conditions et ses projets au Liban. Le Liban est désormais plus fort que jamais. C'est pour ne pas dire encore que dorénavant c'est le Liban qui impose ses conditions!
Mettons l'armée à l'abri des débats internes:
Au sujet de l'armée libanaise, j'appelle les Libanais à la plus grande vigilance. Si cette armée s'affaiblit et se divise à Dieu ne plaise, il n'y aura ni paix ni stabilité dans le pays. Il n'y aura plus d'Etat. Il n'y aura plus de pays. L'armée est un facteur de protection contre les attaques israéliennes. Mettons cette institution à l'abri des polémiques internes. Nous avons dit que la République Islamique est prête à équiper cette armée, mais la volonté américaine refuse que nous ayons une armée forte face à Israël. Si cette armée commet des erreurs,nous devons régler ces problèmes au cas par cas, sans s'attaquer à cette institution.
Telle est notre culture et notre discours interne. Nous disons à nos cadres que l'armée est garante de ce pays, et que la résistance est l'assistante de cette armée en vue qu'elle devienne un jour l'institution la plus forte. Nous avons pratiqué cette culture. En 1993, l'armée et les forces de sécurité ont ouvert le feu contre nous alors que nous manifestions contre l'accord d'Oslo. Il y a eu 10 martyrs. Pourtant nous avions des armes dans nos maisons, mais personne n'a tiré sur les soldats. Nous nous sommes contentés d'évacuer nos martyrs et nos blessés dans le silence.
Ceci reflète notre conviction. Après un certain temps, il y a eu cinq martyrs à Hay elSollom (dans la banlieue Sud), et sept jeunes ont été tués par les tirs de l'armée, et nous n'avons jamais riposté. Même lorsque l'armée menait des perquisitions dans la Békaa, et des personnes mourraeint. Dans ces cas, nous contactons la direction de l'armée pour lui demander de faire preuve de plus de souplesse. Lorsque cette armée reste forte, nous pouvons former un gouvernement, nommer des responsables aux postes clés du pays, mais lorsque nous perdons cette armée, nous n'aurons plus de pays.
En cette période, nous devons tous être vigilants jour et nuit pour déjouer toute tentative d'attentat. J'appelle enfin les médias à s'assurer des informations urgentes avant de les diffuser. Ceci seme la terreur au sein de la population. Cessons donc tout ce qui contribue à attiser les tensions dans le pays.
Je voudrai terminer par ce point: Les théories d'isolement ne mènent nul part. Nous sommes toujours prêts à dialoguer avec toutes les parties. Mettons de côté nos divergences et venons renforcer les points d'entente. Au moins en ce mois sacré, observons tous une certaine accalmie au niveau des discours politiques pour calmer la situation dans le pays.
Tout peuple qui cherche à construire et développer son pays n'a d'autre choix que de promouvoir la communication et le dialogue entre ses differentes composantes. Adoptons tous un discours politique calme et serein.'
Je vous remercie et que Dieu accepte vos prières".
Armée iranienne donne une nouvelle génération de missiles balistiques
Le commandant des forces terrestres armée de la République islamique d'Iran, le général de brigade Ahmadreza Purdastan, a annoncé samedi que l'armée iranienne a réussi à produire une nouvelle génération de la missiles balistiques "Nazeat 10" .
"Une des particularités de la nouvelle génération de ces missiles est sa grande portée et la précision lors de l'attaque de la cible et sa grande puissance destructrice", a déclaré Purdastan.
En outre, le général de brigade iranien a déclaré que ces nouveaux missiles sont devenus disponibles depuis les forces terrestres de l'armée iranienne, et seront testées lors de la prochaine manœuvre militaire proche avenir.
Le "Nazeat 10" est un missile balistique à moyenne portée avec propulsion à carburant liquide et une autonomie de 130 km. La nouvelle génération de ces missiles a une portée de plus de 150 km.
Les missiles peuvent être lancés à partir de plates-formes mobiles et, précisément, cette caractéristique les distingue des autres modèles similaires.
Au cours des dernières années, l'Iran a fait de grandes réalisations dans le secteur de la défense effectuant diverses manœuvres visant à améliorer les capacités de défense de ses forces armées exercices qui ont testé des équipements modernes et des systèmes de combat.