تقي زاده

تقي زاده

Le Leader de la Révolution islamique, l'honorable Ayatollah Khamenei a reçu en audience, ce mercredi 20 juin, les députés du Parlement iranien. 
 
À l'issue de la séance plénière de l'Assemblée islamique, les députés iraniens sont allés à la rencontre du Leader de la Révolution islamique. 

« Tout au long de ces 40 dernières années, la nation iranienne a toujours fait l’objet de sévères animosités de la part de ses ennemis au nombre desquels se trouvent la guerre, les sanctions et les complots sécuritaires », a souligné l’Ayatollah Khamenei.


Dans une autre partie de ses propos, le Leader a dénoncé, dans les termes les plus vifs, l’offensive inhumaine lancée par les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne ainsi que les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite sur la côte ouest du Yémen pour s’emparer du port d’al-Hudaydah.  

Et le Leader d’ajouter : « Ces ennemis de l’humanité alimentent aversion et hostilité à l’égard de la nation iranienne puisque celle-ci leur tient tête et aspire à la justice et à l’équité. Ceci étant dit, la RII et la nation iranienne finiront, avec l’aide de Dieu, par vaincre l’ennemi américain et ses alliés. À vrai dire, les ennemis de l’Iran sont dans le sens littéral du terme à la fois tyrannique et maximaliste et il va sans dire que ni l’Ordre islamique ni les responsables iraniens et encore moins notre peuple ne se résigneront à ce maximalisme. »

Plus loin dans ses propos, le Leader est revenu sur le drame qui se déroule en ce moment même aux États-Unis où les autorités séparent de force de jeunes enfants immigrés de leurs parents.

« Les images de ces milliers de jeunes enfants arrachés de force des bras de leurs mères fendent le cœur. Mais les Américains le font en toute tranquillité et avec un sang-froid révoltant », a-t-il déploré.  

S’attardant sur les traités et les conventions internationaux sur quoi le Parlement a la charge de s’exprimer, l’Ayatollah Khamenei a appelé à la prudence les députés avant d’affirmer :

« Ces textes sont en général conçus par des think tank qui agissent au service des grandes puissances et qui ont pour mission d’assurer les intérêts de ces dernières. Une fois rédigés, ces textes finissent souvent par trouver une certaine légitimité grâce au soutien des États stipendiés et à la solde de ces mêmes puissances, et ce, de manière à ce que tout pays indépendant, en l’occurrence l’Iran, qui oserait refuser ces conventions, se trouve sous le feu des critiques. »

Et le Leader de conclure : « Il appartient au Parlement de légiférer en toute indépendance et loin de toute considération politique et politicienne, sur des questions aussi primordiales que la lutte contre le terrorisme ou le blanchiment d’argent. »
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti mercredi que l'armée pourrait intensifier ses opérations contre la bande de Gaza dirigée par le mouvement palestinien Hamas. 
 
 
Avant l'aube, des avions israéliens ont mené une série de raids contre des positions du Hamas dans Gaza en riposte à des tirs de roquettes et d'obus en direction d'Israël, rappelant l'extrême volatilité de la situation autour de l'enclave palestinienne sous blocus israélien.
 

S'exprimant lors d'une cérémonie militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a menacé qu'Israël "intensifierait" ses opérations contre la bande de Gaza si "cela s'avérait nécessaire".

Selon l'armée, les appareils israéliens ont frappé 25 positions.

Cinq Palestiniens ont été légèrement blessés par les frappes, selon des sources médicales palestiniennes.

Le ministre iranien des Affaires étrangères réaffirme que les États-Unis deviennent un « État voyou » en violant le droit international. Il a souligné que « l’Iran ne négociera pas avec un pays qui ne respecte pas sa parole et qui entrave un accord multilatéral après un autre ».

Dans un article intitulé « La politique étrangère des États-Unis en crise » paru le mercredi 20 juin sur le site officiel du ministère des Affaires étrangères, le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a réagi à une liste contenant douze propositions formulées par le secrétaire d’État américain Mike Pompeo pour parvenir à un « nouvel » accord avec l’Iran après le retrait des États-Unis du PGAC (l’accord sur le nucléaire) signé en 2015.

« Le retrait des États-Unis de certains accords internationaux ainsi que leurs mesures destinées à affaiblir les organisations internationales sont des exemples manifestes des décisions dévastatrices prises par l’administration américaine. Lesdites mesures ont malheureusement assombri l’avenir de l’ordre international. De toute évidence, ces politiques, si elles persistent, pourront mettre en péril la stabilité de la communauté internationale et faire des États-Unis un État voyou et un hors-la-loi international », a-t-il ajouté.

M. Zarif a déclaré que l’accord nucléaire était le troisième accord multilatéral bafoué par l’administration américaine. Washington nuit au multilatéralisme et aux principes de la diplomatie internationale en mettant en péril plusieurs autres accords multilatéraux y compris l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), le système commercial mondial et certaines parties du système des Nations unies.

« Comment l’administration américaine peut-elle s’attendre à ce qu’on la considère ou la traite comme une partie fiable dans une nouvelle série de négociations sérieuses alors qu’elle s’est retirée, de façon unilatérale et injustifiable, d’un accord qui était le fruit de centaines d’heures de négociations ardues auxquelles avaient participé les hauts responsables du département d’État américain, un accord qui a été soumis au Conseil de sécurité par les États-Unis, eux-mêmes, et qui a été adopté à l’unanimité en tant qu’engagement international en vertu de l’article 25 de la Charte de l’ONU ? », s’est-il demandé. 

Et d’ajouter : « M. Pompeo a oublié que c’est le gouvernement américain qui doit démontrer sa crédibilité et la légitimité de sa signature, et non la partie qui a respecté ses engagements internationaux et tenu sa parole. »

Lors d’une rencontre avec le roi Abdallah II, la chancelière allemande a appelé à une confrontation avec la politique régionale de l’Iran.

Hier, mercredi 21 juin, dans la soirée, Angela Merkel est arrivée à Amman, capitale jordanienne, avant de rencontrer dans la matinée le roi jordanien Abdallah II, a rapporté Mashregh News.

Les deux parties se sont entretenues de leurs relations bilatérales et des évolutions aussi bien régionales et qu’internationales.

Le ministre tunisien de la Défense nationale, Abdelkarim Zbidi, a indiqué hier mercredi dans l’après-midi que son pays n’avait connu aucune tentative de coup d'État depuis 2011, assurant que "les institutions sécuritaires et militaires sont là pour protéger le pays contre de tels projets".

Abdelkarim Zbidi. (Archives)

La diffusion de telles rumeurs ne sert aucunement la stabilité de la Tunisie et risque de compromettre la saison touristique, a-t-il ajouté.

Abdelkarim Zbidi a catégoriquement démenti le contenu de l’article de Nicolas Beau publié par le site Mondafrique dans lequel il a accusé l’ancien ministre de l’Intérieur, Lotfi Brahem, d’avoir planifié un coup d’État en collaboration avec des pays étrangers.

Nicolas Beau. ©Webdo

Le journaliste Nicolas Beau a écrit un article publié dans Mondafrique dans lequel il explique les raisons du limogeage de l’ancien ministre de l’Intérieur Lotfi Brahem par le chef du gouvernement, Youssef Chahed.

Lotfi Brahem. ©AFP

Selon cet article qui repose sur des rapports des services de renseignement, l’ancien ministre allait préparer un coup d’État "médical" comme celui préparé par Ben Ali sous Bourguiba en 1987.

Coup d'État de 1962 en Tunisie. Des condamnés sous Habib Bourguiba. ©abdallah-kallel

Lors d’une rencontre avec le secrétaire général de l’ONU, le chef de la diplomatie russe a exprimé sans ambages ses doutes sur la crédibilité du rapport de l'ONU sur la Ghouta orientale.

Le ministre russe des Affaires étrangères a mis en cause la crédibilité du rapport sur la Ghouta orientale publié le mercredi 20 juin sur la base de données infondées provenant des réseaux sociaux.

« Sans avoir fait de déplacement en Syrie, la Commission indépendante des Nations unies aurait interrogé 140 personnes et s’est contentée d'un travail à distance pour rédiger son rapport sur la Ghouta orientale », a déclaré M. Lavrov cité par Tass News, à l'issue de son entretien avec le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.

« La Russie est sceptique quant à ces méthodes singulières », a souligné M. Lavrov.

Avec l’ouverture de la coupe mondiale de football, avec la participation de sept pays islamiques et d’une centaine de milliers de supporters, l’application http://getcravehalal.com/ pour portables, aide les touristes à trouver les restaurants halals dans ce pays qui compte 30 millions de musulmans.

Cette application destinée aussi au système d'exploitation mobile développé par Apple, existe déjà aux États-Unis, au Canada et en Corée du sud, et propose les adresses de 15000 restaurants.  

Ce livre sera présenté ce mercredi, lors d’une cérémonie à l’Agence iranienne de presse coranique, avec le livre du Martyr Motahhari sur les services mutuels de l’islam et de l’Iran, et un dictionnaire persan, bengali. Ces livres ont été traduits et publiés par le Centre de la culture et des relations islamiques. 

Participeront à cette cérémonie, Rasoul Ismailzadeh, directeur des travaux de traduction au Centre de la culture et des relations islamiques et d’autres responsables de ce centre.

L’ancien candidat à la présidentielle américaine et sénateur indépendant, Bernie Sanders, fustige le budget de 716 milliards de dollars proposé par Donald Trump pour 2019.

Critiquant les appétits militaires de Trump pour 2019, le sénateur du Vermont a exhorté, dans un tweet, le président américain à penser plutôt aux millions d’Américains qui meurent de faim sur leur territoire.

« Nous ne pouvons pas augmenter notre budget militaire alors qu’il est déjà équivalent à celui de dix pays, et surtout, au moment où des millions d’Américains sont affamés, sans logement et privés de soins médicaux. Nous devons identifier et établir nos priorités d’une manière logique. D’où mon vote contre ce budget de 716 milliards de dollars », a-t-il insisté.

Le Sénat américain a adopté lundi, à une très large majorité (85 voix contre 10) une nouvelle loi prévoyant 716 milliards de dollars dans le budget de la défense pour 2019. Ce budget vise à renforcer et à élargir des capacités militaires de l’armée US.

Le texte doit être mis au vote par la chambre des représentants avant d’être promulgué par le président américain.

639 milliards de dollars doivent être dépensés pour l’achat d’équipements militaires tels que des avions de combat, de nouveaux navires de guerre, le salaire des soldats, et 69 millions de dollars sont prévus pour les conflits auxquels l’armée américaine est confrontée dans le monde.

Un responsable américain a reconnu au micro de la CNN que la frappe aérienne contre la ville syrienne Abou Kamal avait été effectuée par Israël.

Un responsable américain, cité par le site web libanais al-Nashra, a révélé que la dernière frappe aérienne contre la localité hautement stratégique située dans le triangle frontalier Syrie/Jordanie/Irak a été menée par Israël.

Il a ajouté que les forces américaines ou celles de la prétendue coalition internationale anti-Daech n’étaient pas impliquées dans cette frappe aérienne contre la ville précitée.

Une base de l’armée syrienne a été visée, ce lundi 18 juin, au sud-est d’Abou Kamal. L’agence de presse officielle syrienne, SANA citant des sources militaires syriennes a évoqué le nom de la localité d’al-Hari au sud-est d’Abou Kamal, comme principale cible des frappes américaines.