
تقي زاده
Le parfum du Prophète (p), Ahlulbayte
*Dieu, le Seigneur des mondes, place toute créature sur la voie de la guidance et l’oriente vers la perfection à condition qu’elle ne sorte pas de la voie de la perfection comme le grain d’un fruit qui devient un arbre fruitier s’il est placé dans une terre fertile, ou pourrit s’il est jeté à la poubelle.*
*Le Seigneur des mondes a élu le Sceau des prophètes (SAWA) pour qu’il oriente les créatures vers les bontés et la perfection.*
*“عترة خیرة رب العالمین”,*
*la lignée de l’Élu du Seigneur des mondes.*
* *«Obéissez à Allah, et obéissez au Messager et à ceux d entre vous qui détiennent le commandement», j ai dit:*
*«O Messager d Allah, nous connaissons Allah et nous connaissons Son Messager, mais qui sont ceux qui détiennent le commandement et dont Allah a associé leur obéissance à ton obéissance?» Il (s) répondit:*
*«O Jâbir, ce sont mes successeurs et les dirigeants (Imâms) des musulmans après moi. Le premier parmi eux est Ali ibn Abï Tâlib, puis Hassan, puis Husayn, puis Ali ibn Husayn, puis Muhammad ibn Ali qui est connu dans la Thora en tant que al-Bâqir [celui qui fend (le savoir)] ...* *puis al-Sâdiq Ja far ibn Mubammad, puis Müsa ibn Ja far, puis Ali ibn Müsâ, puis Muhammad ibn Ali, puis Ali ibn Muhammad, puis Hassan ibn Ali, puis celui dont le prénom et le surnom sont les miens, l'Argument d'Allah sur Sa terre et ce qui demeure de Lui auprès de Ses serviteurs, le fils de Hassan ibn ALI..»*
HADITHS DU JOUR
*Le Prophète (sawas):*
*استكْثِروا مِن الإخوانِ؛ فإنَّ لكلِّ مؤمنٍ شَفاعةً يومَ القيامةِ.*
*Le Noble Prophète (Que le salut de Dieu soit sur lui et sa descendance):*
*رسول الله (صلی الله علیه و آله):*
*Le Noble Prophète (Que le salut de Dieu soit sur lui et sa descendance):*
*Le plus bas degré de la mécréance est lorsque l 'homme entend une parole sur son frère et la mémorise pour le déshonorer; ceux-là n ont aucune valeur.*
*C’est Toi Qui donnes la suprématie à qui Tu veux, Qui fais périr les rois et en rends (rois) d’autres; entre Tes Mains se trouve le bien et Tu es Puissant sur toute chose! Invocation du Messager de Dieu (sawas) le jour de la bataille des Partis*
*«O Messager d Allah, nous connaissons Allah et nous connaissons Son Messager, mais qui sont ceux qui détiennent le commandement et dont Allah a associé leur obéissance à ton obéissance?» Il (s) répondit:*
*«O Jâbir, ce sont mes successeurs et les dirigeants (Imâms) des musulmans après moi. Le premier parmi eux est Ali ibn Abï Tâlib, puis Hassan, puis Husayn, puis Ali ibn Husayn, puis Muhammad ibn Ali qui est connu dans la Thora en tant que al-Bâqir [celui qui fend (le savoir)] ...* *puis al-Sâdiq Ja far ibn Mubammad, puis Müsa ibn Ja far, puis Ali ibn Müsâ, puis Muhammad ibn Ali, puis Ali ibn Muhammad, puis Hassan ibn Ali, puis celui dont le prénom et le surnom sont les miens, l'Argument d'Allah sur Sa terre et ce qui demeure de Lui auprès de Ses serviteurs, le fils de Hassan ibn ALI..»*
*LES QUATORZE INFAILLIBLES*
Dua'a Al-Ghariq (invocation du naufragé),
Deraa, base balistique anti-Israël!
Ces dernières années, les mercenaires d’Israël et des États-Unis déployés dans la province syrienne de Deraa (sud) ont fait tout leur possible pour mener la soi-disant attaque contre la capitale syrienne, mais le 9 septembre, une fois entrée dans la province syrienne de Deraa, l’armée syrienne n’a pas trop laissé le choix aux mercenaires d’Israël et des États-Unis qui ont dû plier l’échine et se soumettre aux conditions établies par le gouvernement syrien.
Après que le cessez-le-feu sous l’égide russe entre le Comité de sécurité syrien et le Comité central de Deraa soutenu par les terroristes a été violé par ces derniers, l’armée syrienne, en envoyant des troupes de la 4e division et du matériel militaire lourd dans la province syrienne de Deraa, avait l’intention de nettoyer une bonne fois pour toutes la zone de la présence des terroristes pro-Israël.
Des éléments terroristes à Deraa, en violant l’accord conclu avec l’armée syrienne, ont pris d’assaut à plusieurs reprises les positions et les postes de l’armée syrienne à Deraa faisant des morts et blessés au rang de l’armée syrienne dans ces zones.
Avec la médiation des Russes, un autre ultimatum a été lancé aux chefs de tribus locaux afin qu’ils puissent mettre en œuvre un processus de désarmement et de reddition des terroristes dans les plus brefs délais.
Damas leur a déclaré que les terroristes n’avaient d’autre choix que de déposer leurs armes et de quitter la province méridionale de Deraa, sinon ils seront confrontés à une réaction foudroyante de l’armée syrienne.
La ville de Deraa a rejoint le processus de réconciliation nationale à la suite de la libération des banlieues est et ouest de Deraa, et est repassée sous le contrôle de l’armée syrienne sans aucun affrontement.
Environ 50 villages et villes ont rejoint le processus de réconciliation, la situation de 8 000 citoyens a été résolue et plus de 3 000 armes ont été remises à l’armée syrienne. En revanche, la résolution de la situation des personnes recherchées et ainsi que des déserteurs au sein de l’armée syrienne pourrait améliorer la situation sociale dans le sud du pays.
Adjacente à la province de Quneitra et de récif Damas depuis l’axe nord et proche de la Palestine occupée, la province stratégique de Deraa pèse un poids important dans l’équation des forces à l’échelle internationale. Riche en termes de l’économie et du commerce, elle est le pont reliant la Syrie à tous les pays d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord. Le poste-frontière de Nassib, situé dans le sud de la province, est l’un des passages les plus fréquentés de la frontière syrienne, d’où la plupart des marchandises sont transportées.
Israël a fait tout son possible pour créer le chaos à Deraa afin d’établir une ceinture de sécurité autour du plateau du Golan occupé - plus précisément de Deraa à la base américaine d’Al-Tanf. Depuis sa création, Israël a également convoité le bassin d’Al-Yarmouk à Deraa. Israël considère l’eau comme un atout de tout conflit avec les pays arabes, de sorte qu’il a mené des attaques directes sur la région du basin de Yarmouk dans le sud-ouest de la Syrie.
En 1964, les participants au sommet arabe ont décidé de mettre en œuvre des projets hydrauliques en Syrie, au Liban et en Jordanie pour exploiter les eaux des fleuves Jourdain, Litani et Yarmouk. Par conséquent, ils ont procédé à construire un barrage sur le fleuve Yarmouk pour stocker 200 millions de mètres cubes d’eau et à créer un canal à travers la Syrie, ce qui s’est heurté aux bombardements du régime sioniste contre les installations et la frontière syrienne.
La finalisation du processus de réconciliation dans les villages et les villes de Deraa a déjoué les complots des États-Unis et d’Israël, car l’armée syrienne prend le contrôle total de la région située près de la frontière avec la Jordanie, ce qui signifie l’échec complet du projet israélien de ceinture de sécurité.
De plus, la base militaire américaine située dans la région d’al-Tanf à 22 km de la frontière syro-jordanienne deviendra également un fardeau supplémentaire pour les forces américaines, ce qui pourrait pousser Washington à prendre des mesures sérieuses pour démanteler cette base.
Maarib : le coup "tortue" d'Ansarallah!
On la veut en entier et on la veut sans effusion de sang puisque Maarib est au Yémen et pas en Arabie saoudite, c'est qu'a fait savoir une source proche d'Ansarallah, interrogé par PressTV.
"Si les tribus nous rallient ce qui est sur le point de se produire, Maarib reviendra à l'Etat définitivement". Les forces de la Résistance yéménites ont continué leurs avancées à Maarib, contraignant les militaires saoudiens à quitter leur base militaire à l''aéroport d'Ataq à Chabwa. La télévision « Al-Massira » a fait part de la libération de plusieurs zones clés autour de Maarib à partir de Sarawah et la région sud-ouest. Ces libérations s'ajoutent aux gains stratégiques de ces derniers jours dans la banlieue d'Al-Juba, près de Maarib.
Selon le rapport, les forces armées yéménites ont libéré Al-Yaara, Al-Sawad et Al-Hajira, concluant des accords avec les membres des tribus de la région pour évacuer certaines bases militaires appartenant à la coalition pro-saoudienne. Suite à l’encerclement à trois volets de Maarib par l'armée yéménite et les combattants d’Ansarallah, de nombreux chefs des tribus, habitant à Maarib ont afflué vers la capitale Sanaa pour rejoindre le gouvernement du salut national et conclure un accord pour garder leur région hors du conflit.
Le site d’information « Al-Akhbar » a rapporté que 80% des habitants de Maarib avaient déjà rejoint le gouvernement de Sanaa, qui a sécurisé 12 des 14 régions de Maarib, et que seulement 20% de la population reste sous le contrôle des membres du « Congrès yéménite pour la réforme (al-Islah), soit les Fréristes alliés de Riyad. Selon des estimations semi-officielles, 85% des tribus Maarib sont sous le contrôle de Sanaa, et la plupart des tribus sont en première ligne, assumant la mission de sécurité et administratives dans les villes libérées. Al-Akhbar a appris de deux sources tribales à Sanaa qu’il y a des pourparlers en cours pour épargner la ville et ce qui reste de Ma’rib, notamment al-Wadi et la zone pétrolière de Safer.
Signe des temps, dimanche soir, les forces de la coalition saoudienne ont soudainement quitté l'aéroport d'Ataq dans la province yéménite de Chabwa, qui servait de base militaire comme si la perspective d'une chute de Maarib les avait terrorisé, Chabwa étant la porte d'entrée de Maarib. Hier lundi 1er novembre, une source militaire bien informée a déclaré que les forces saoudiennes avaient quitté l'aéroport d'Ataq à minuit dimanche et qu’elles sont rentrées sur le territoire saoudien. Chambva la pétrolifère, sera-t-elle la seconde d'importance à tomber entre les mains de la Résistance?
La source yéménite qui a souhaité garder l’anonymat, dans une interview avec Al-Arabi Al-Jadeed, a indiqué : « C’est la première fois depuis le déploiement des forces saoudiennes à Chabwa qu'un tel nombre de militaires saoudiens vient à quitter la province. Les forces saoudiennes utilisaient jusqu’à présent l'aéroport d'Ataq comme l’une de leurs bases militaires sur le sol yéménite. Certaines sources médiatiques affirment que les forces saoudiennes se sont retirées de l'aéroport d'Ataq, après une fuite de rumeurs sur d'éventuelles attaques "balistique" contre les bases de la coalition saoudienne dans la province de Chabwa. Disons que la libération imminente de Maarib semble déjà avoir déclenché un effet de boule de neige. Après tout, Maarib est une passerelle nord-sud. Elle se trouve à environ 120 kilomètres (75 miles) à l’est de la capitale Sanaa, et lui est reliée par une grande autoroute. Elle se trouve également à proximité d’une autre autoroute qui mène au sud de l’Arabie saoudite. Sa position requiert son importance non seulement en raison de sa proximité avec Sanaa, mais aussi parce qu’elle se trouve sur un carrefour entre les régions du sud et du nord.
Et c’est surtout sa richesse énergétique énorme qui est en jeu. Connue pour ses richesses pétrolières et ses prouesses d’ingénierie agricole, comme le barrage de Maarib, la région a longtemps jouit d’une importance stratégique au Yémen. Si les forces d’Ansarallah parviennent à prendre le contrôle total de la totalité de la province de Maarib, les mercenaires pro-Hadi perdront leurs derniers fiefs dans les provinces du centre et du nord. La libération de Maarib signifie aussi le renforcement des frontières d’un Yémen uni dans les régions du nord du pays.
Syrie: la méga"bombe" Russie/Iran?
Aucun analyste militaire ne saurait nier que l'émergence d'une seconde base aérienne russe, de la même importance que celle que Moscou détient à Lattaquié, Hemimim, va largement au-delà du nettoyage d'Idlib de la présence du Sultan et de son "armée de Turan",
surtout que cette base stratégique en devenir, se trouve non pas dans le Nord de la Syrie où Ankara s'entête à ne pas lâcher prise mais bel et bien dans le nord est syrien, soit une zone largement fréquentée par les troupes US, une zone aussi située à quelques kilomètres à peine du Kurdistan irakien où, là encore, les USA disposent du méga complexe de Harir, qui bien que malmené pendant plusieurs semaines cet été par la Résistance irakienne, qui y a exercé ses drones et roquettes intelligentes, continue à accueillir le gros des opérations de renseignement, d'espionnage et d'organisation des réseaux et cellules terroristes US/Israël, sur le dos d'un gouvernement et d'une population irakiens qui saignent périodiquement sous les coups des supplétifs daechistes du Pentagone.
Shahed-136: Hezbollah frappe Israël !
Il a fallu sept mois d’investigations folles en termes de tactique militaires et des millions de dollars dépensés en armement ou mieux dit en procédés de remise à niveau avec en toile de fond l’émergence dans le ciel d’Israël, dès le 25 octobre et,
simultanément à la mobilisation des milliers de soldats, des centaines de F 16, de F15, de F-18, de F-22, des Mirage 2000, des Rafale, des F35, américano-otaniens voire même de ce B1 B que l’US Air Force a fait voler ce vendredi, de sa base à Diego Garcia jusque dans le golfe Persique pour intimider l’Iran, pour qu’apparaisse enfin au grand jour la « réponse » de « l’empire finissant » à ce coup « fatal » qui lui a été porté un certain mai 2021 … Car à quoi renvoie tout ce brouhaha « guerrier » que les « médias mainstream » rapportent depuis quelques jours, hyperboliquement et frénétiquement, si ce n’est à cette démonstration absolument impeccable de «Network centric warfare » (BOA) ou le concept de « guerre en réseau » que les Américains prétendaient, bluffeurs et imposteurs qu’ils sont, d’avoir déjà concrétisé en 2003, en attaquant sauvagement l’Irak, pays à l’époque, isolé, affamé et encerclé, mais dont la vraie paternité revient à la Résistance qui lui a donné corps via son « Epée de Qods »?
Cette « Epée de Qods » qui, à la faveur de 4000 missiles et roquettes palestiniens, soit moins de la moitié du nombre de chasseurs qui sillonnent par jour en ce moment même le ciel d’Israël, a neutralisé par étape d’abord la DCA sioniste, puis atteint ses infrastructure aéroportuaires pour se concentrer ensuite sur ses artères énergétiques on shore et offshore avant de boucler la boucle en visant non seulement les chasseurs israéliens dans le ciel de Gaza, ce qui expliquait à l’époque le recours obsessionnel de l’armée de l’air israélienne aux « missiles stand-off » mais encore et là, on cite le commandant en chef de l’armée de l’air sioniste, Amikam Norkin, les viser dans le ciel de l’entité, alors qu’ils s’apprêtaient à gagner leur base de décollage. Jamais l’armée sioniste et son parrain américain qui lui fournissait, hystérique, des tonnes de bombes GBU, puisées à Ramstein en Allemagne, n’ont douté d’un seul instant que ce coup de grâce à plus de 50 ans de « suprématie militaire israélo-occidentale » au Moyen-Orient, était signé « l’axe de la Résistance » à savoir Gaza-Iran-Irak-Syrie-Yémen.
Certes, Netanyahu, balayé dans le sillage de sa défaite de mai a osé très vaguement l’avouer, quand il a reconnu que Beit Shéan, colonie du nord-est sioniste, près de la Jordanie avait reçu en plein fouet un Ababil- 3 « irakien », sans que les sites de DCA étendus entre la Jordanie et Israël puissent l’intercepter, mais cette reconnaissance de l’existence d’un « BOA », à l’origine d’une vraie « guerre en réseau » n’est jamais allé plus loin que la fameuse phrase « l'Iran et ses mandataires représentent une menace multifronts ». Et pourtant en mai, les roquettes et les drones qui ont ciblé Israël étaient aussi partis du Sud du Liban et du Golan « syrien » tout comme ces ondes de brouillage électronique qui coupant les liens GPS des chasseurs sionistes, rendaient aussi dingue le Dôme de fer à Aszhkelon et Sderont de sort qu’il tirait sur les « F 16 amis » au lieu d’intercepter les missiles tactiques Qassem, Ayyash-250, ou A-120…
Et puis l’entité a bien entrevu à Tamar, être ciblé par des drones sous-marin « Ya Mahdi », l’ombre imposant d’Ansarallah dont la signature sautait aux yeux à travers ces salves de missiles balistiques tirés depuis le sous-sol de Gaza où dit-on étaient présents les Houthis, contre la moitié sud-centre de l’entité. Mais à lire et à suivre la presse sioniste commentant le méga exercice militaire en cours, cette dénommée simulation d’une guerre multifront, qui serait « la plus grande de tout histoire d’Israël », il y a qu’un seul et unique nom récurrent, le Hezbollah. Pourquoi ?
La réponse passe avant tout par un rappel des étapes de l’exercice pluri scenarii en cours. Selon la presse israélienne, la manœuvre est multidimentionnelle mais la partie la plus importante consiste à encaisser sur le front intérieur, mais aussi sur le front nord et le centre des rafles de 2000 missiles tactiques du Hezbollah par jour, sur fond d’évacuations des centaines de colons morts et de blessés dans des abris et hôpitaux de fortunes, alors même que la Palestine historique est en « totale insurrection ».
Puis vient un second scénario qui prévoit des cyber-assauts massifs propres à désactiver les centrales électriques sur l’ensemble du territoire occupé, une perspective qui ne tardera à s’étendre au secteur aérien civil et militaire avec en amont, évidemment, la paralysie de tous les aéroports voire l’arrêt tout court de toute opération aérienne et partant toute possibilité de lancer à partir d’Israël des frappes aériennes ! Le troisième temps de l’exercice simule « l’armée su Hezbollah » franchissant les frontières de la Galilée à l’effet de s’emparer de ses colonies, non plus comme se l’imaginait l’entité il y a peu, « provisoirement » mais définitivement, car une armée composée de 100000 combattants hezbollahi, cela reprend non pas Chebaa et Qadjar, mais toute la Galilée et qu’à défaut d’une armée de l’air capable de la bombarder, elle pourrait aller même jusqu’à Tel- Aviv !
Mais à quoi rime cette apocalypse au juste ? A la crainte d’un farouche ennemi qui incarne à lui seul le concept de guerre ""réseautée"", qui est une BOA en soi, infiniment plus fort qu’Israël voire même ses soutiens américains et otaniens. Et cet ennemi est d’autant plus craint que la simulation de guerre israélienne, bien qu’elle se veut complète, n’est à vrai dire que fort partielle car elle ne tient pas compte des pans inconnus et non révélés des capacités militaires du Hezbollah : ses compétences navales à titre d’exemple ou encore ses capacités de drones si peu médiatisées. Car n’en déplaise aux Sionistes, le coup de 2019 d’Ansarallah à Aramco, comme semble l’avoir enfin compris Riyad, c’était aussi la Résistance libanaise ou encore ces coups balistiques qui en un seul jour allait de la côte ouest à la côte est saoudien, secouant le marché pétrolier. Aussi au méga exercice militaire multifront d’Israël, il manque de graves cases, ceux dominés par exemple par des essaims de drones qui comme le 20 octobre dernier à al Tanf, n’hésiteraient pas à s’abattre sur Haïfa, Leviathan, Tamar, en synergie avec des missiles…Et il y un drone que les Sionistes connaissent bien mieux que tout autre UAV de la Résistance et qui a toute les chances de marquer les coups anti-Israël du Hezbollah …
le Shahed 136, drone à voilure triangulaire, équipé de moteurs à pistons avec un corps composite, capable d'absorber les ondes radar et dans le nez de ces drones, un capteur radar qui s’allume environ une à deux minutes avant que l’engin n'atteigne la cible suivant des coordonnées géographiques enregistrées sans son système de navigation. Le Shahed -136 en recherchant la zone cible, en l’identifiant après l'avoir verrouillé, est capable de corriger son trajet. Et il ne rate jamais son coup… Il ne l’a pas raté le 29 juillet en frappent le navire israélien "Mercer Street", il ne le ratera pas à coup sûr, non plus à Haïfa…Surtout avec une vitesse maximale de 250 km/h, un rayon de vol de 100 km, un plafond de vol de 14000 pieds (équivalent à 4267 mètres) et une durée de vol de 1 à 2 heures, sa portée étant de 100 kilomètres …
Le Pentagone bientôt à Maarib!
La pilule est trop dure à avaler : Après des mois d'agissements censés verrouiller Maarib, il semble que Washington n'a d'autre choix que de s'impliquer directement dans la guerre façon d’éviter la débâcle stratégique qui le guette.
Alors que les combattants d’Ansarallah se sont rendus maîtres de six zones au sud de Maarib, l'Arabie saoudite, ses maîtres américains et britanniques voient le danger venir. Celui d'une Maarib acquise à la cause de la Résistance ce qui revient à perdre leur première ligne défensive censée protéger les intérêts de la coalition saoudienne non seulement à Maarib, mais aussi dans les provinces du sud.
Les États-Unis en sont donc au seuil d'un engagement direct et le récent appel de Riyad à l'adresse des USA pour un appui militaire supplémentaire est compris en ce sens.
Lors d’une récente réunion tenue à Hadramaout entre des officiers américains et saoudiens ainsi qu’un certain nombre de commandants militaires de Mansour Hadi et ceux du Parti al-Islah, les parties ont convenu de mobiliser al-Qaïda et de l’envoyer sur le champ de bataille dans le sud et à l’ouest de Maarib. Mais puisque le scénario de guerre par procuration a déjà échoué à al Bayda, les USA comptent sur les qaïdistes de Guantanamo.
Payées par l'Arabie saoudite, les forces américaines, stationnées à l'aéroport international d'al-Rayan, dans la ville d'al-Mukalla, chef-lieu de la province de Hadramaout, ont construit une nouvelle piste d’environ 350 mètres de long pour besoin de transfert.
La piste a été mise en service il y a une semaine et accueille au moins un vol militaire par jour. Des avions C-130 conçus pour le transport militaire et connus pour le transport de grosses cargaisons font partie des avions militaires américains et saoudiens qui y atterrissent régulièrement.
Des sources locales basées dans la ville d'al-Mukalla confirment l'existence d'avions militaires à l'aéroport ces derniers jours. Sans oublier qu’une centaine de soldats américains avaient déjà atterri à la mi-juillet à l'aéroport d'al-Rayan depuis al-Ghaydah, chef-lieu de la province d'al-Mahra
« Des avions de transport, probablement américains, et d'autres hélicoptères américains ont quitté lundi l'aéroport d'al-Rayan, qui servirait depuis le premier semestre 2016 de base militaire américaine et émérite », ont déclaré des sources locales.
Les forces américaines, équipées d’un lot d'armes sophistiquées, seraient arrivées au QG de la Brigade des garde-côtes sous prétexte de "sécuriser le plateau nord-ouest de la province de l'Hadramaout".
Mais pourquoi cette frénésie autour de Maarib?
Au fait, ils considèrent la libération de Maarib comme une grande perte pour leurs intérêts non seulement au Yémen, mais dans la région dans son ensemble.
Depuis 2015, toutes les frappes aériennes menées par des avions ennemis ont été menées sous la supervision et la direction d'officiers américains. Les États-Unis assument et exécutent des tâches de renseignement et de reconnaissance en faveur des Saoudiens. Il est bien évident que les États-Unis sont impliqués à fond dans la guerre. Ces derniers jours, les forces de défense aérienne de Sanaa (Ansarallah) ont abattu au-dessus des villes de Medghal et Sirwah un certain nombre de drones américains dont des " ScanEagle ", dotés d'une technologie d'espionnage avancée.
Mais le scénario par procuration a-t-il une quelconque chance de l'emporter?
En choisissant de s'afficher au Yémen, les Américains prennent de très gros risques car la règle d'engagement telle qu'elle est définie par la Résistance ne laisse aucun coup sans un contre coup. Ce lundi, les toutes dernières informations font état de la libération de nouvelles localités. En outre, le séisme maaribin commence à se faire sentir dans d'autres provinces pétrolières y compris Chabwa, qui est la porte d'entrée de Maarib et d'où viennent de se retirer plusieurs contingents saoudiens.
Une chose est sûre : Maarib, les Américains ne sauront pas la maintenir ni non plus Hadramout, autre carré pétrolier sans être prêt à y reconnaître le même sort qu'à Ain al-Asad ou à al-Tanf.
Un premier groupe de daechistes dépose ses armes à l'Est
Des responsables talibans de la province de Nangarhar ont déclaré que 65 membres du groupe terroriste Daech se sont rendus.
Selon les responsables, les terroristes, avec la médiation des chefs tribaux des villes de Kot et Batikot dans la province de Nangarhar, ont déposé leurs armes et se sont rendus.
Les talibans ont déclaré que ces individus seraient sévèrement punis s'ils retournaient à Daech et prenaient les armes contre les talibans.
Le triple tir de roquettes contre la zone verte
Trois roquettes ont touché dimanche un quartier de Bagdad près de la zone verte de haute sécurité où se trouve l'ambassade américaine sans faire de victimes, a déclaré un responsable de la sécurité irakienne.
Des attaques similaires ont eu lieu au cours des derniers mois contre les forces et les intérêts américains en Irak.