تقي زاده

تقي زاده

Evidemment que l'OCS est un espace civilisationnel avec des millions de consommateurs qui pourrait servir les intérêts économiques d'un Iran prompt à ignorer le dollar, à contourner les sanctions US et qui fort de sa position géostratégique hors paire y entre dans le cadre d'un accord gagnant-gagnant. Et pourtant cette demande d’adhésion ce n'est pas la première fois que l'Iran la formulait, et elle a été appuyée à la fois par la Russie et la Chine. Il y a trois ans en 2018  le Tadjikistan rejetait la demande d'adhésion iranienne une réticence qui a été cette année surmontée à l'instigation d'un président Poutine qui est même allé jusqu'à qualifier la présence iranienne au sein de l'OSC de facteur de renforcement de l'organisation. Que s'est-il passé entre temps pour que la donne change si radicalement ?

En effet l'axe sino-russe n'a raté aucun épisode de ces deux années de constante tension Occident/ Iran, marquées à l’époque de Trump par plusieurs pics risquant de déboucher sur la guerre: de la guerre des pétroliers a l'assassinat du général Soleimani et partant la frappe du 8.janvier contre Aïn al-Asad en passant par des clashs aériens ayant débouché sur l'interception ou la destruction des drones US dans le ciel iranien, ou plus récemment les attaques aux drones contre les navires sionistes Chinois et Russes ont tout suivi à la loupe. L'action navale iranienne qui a poussé McKenzie à annoncer le retrait naval du CentCom du golfe Persique son redéploiement sur la côte ouest saoudienne n'aurait dû non plus avoir échappé à l'axe Chine/Russie largement occupé à faire reculer la flotte ennemie pour l'une de la mer de Chine et pour l'autre de la mer Noire. Or ce qui aurait surtout avoir séduit Pékin et Moscou aurait été le fait que l'Iran ne se contente pas de menacer mais surtout de répondre du tac au tac fidèle à l'esprit même de tout règle de dissuasion. Mais il y a plus : l'axe sino-russe ne saurait  ne pas se laisser emporter par cette admirable notion de l'axe de la Résistance, incarnation parfaite du concept même de "guerre en réseau" . Cette synchronisation de l'action militaire entre les composantes aussi géographiquement éloignées qu'Ansarallah, les Hachd, le Hezbollah, le Jihad islamique, le Hamas, ni la Chine ni la Russie n'auraient réussi à le réaliser. Or c'est bien plus qu'une simple alliance militaire ou économique que cet axe de la Résistance. 

En ce sens l'Iran jouit d’une puissance rassembleuse dont la Chine et la Russie, en tant que deux superpuissances, sont privées. Il  mobilise ses forces et ses alliés d’égal à égal et c'est cette capacité qui manque à l'OSC pour devenir outre un simple espace économique où les décisions se superposent pour s'éclipser ou se neutraliser, une structure cohérente, capable de s'imposer puisque parlant d'une seule voix. 

A la tête d'une haute délégation, Mohammad Eslami, le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), a assisté à la 65e Conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui a eu lieu ce 20 septembre à Vienne et où le responsable iranien a exhorté les États-Unis à revenir sur leurs politiques.

Le chef de l'OIEA, Mohammad Eslami qui a entamé son discours en brossant un tableau de l'expérience iranienne dans le domaine du nucléaire, a appelé l'Agence internationale à ne point sacrifier le Plan global d'action conjoint (PGAC) à des fins politiques, déclarant qu'il était désormais temps que Washington change de politique. La stratégie erronée des États-Unis face au programme nucléaire exclusivement pacifique doit changer et la totalité des sanctions doit être levée au préalable, a-t-il noté. 

En référence à l'inévitable augmentation de la demande en matière de l'énergie, mais aussi la préférence pour les sources propres qu'il a qualifiées d'exigences sérieuses pour le développement durable, Mohammad Eslami a précisé que la communauté internationale doit prendre des mesures collectives pour résoudre les problèmes à venir.

il est impératif que la communauté internationale réagisse sans quoi les conséquences d'une telle politique pourraient se retourner contre nous même à long terme a fait remarquer le nouveau représentant de l'Iran à l'AIEA avant de poursuivre:

« Conformément à son statut, l'AIEA est chargée d'aider de manière non discriminatoire les pays membres à développer l'utilisation à des fins pacifiques de l'énergie nucléaire. En fonction des besoins et des priorités des pays, l'AIEA devrait également élargir les domaines de coopération technique visant à aider les pays membres grâce à la diffusion de connaissances, d'expériences et de transferts de technologies et d'équipements, sans aucune discrimination ».

« La construction en cours des bases militaires américaines près de la Turquie vise à mieux contrôler les Balkans et à mieux surveiller la situation sans la région », a rapporté le journal turc Yeni Şafak.   

Le journal turc Yeni Şafak a rapporté que les États-Unis en établissant une base militaire à Alexandroupolis, à 40 km de la Turquie cherchaient à contrôler et à surveiller la situation dans les Balkans

« Les îles sur lesquelles le Pentagone veut établir des bases sont Lemnos, Lesbos, Samothrace et Skyros. En particulier, Lemnos sera utilisée pour les opérations aériennes américaines », a fait savoir le journal.

Le rapport note que les États-Unis visant à surveiller la Russie et la Turquie, ont utilisé le port d'Alexandroupolis (dans le nord de la Grèce) pour en faire une base militaire et y ont stationné leurs navires afin d'intensifier leur présence dans les Balkans, la Méditerranée et la mer Égée.

Ce récit exagérément scénique que le Mossad a fait publier il y a deux jours par The New York Times interposé sur l'assassinat en novembre 2020, près de Téhéran, du savant nucléaire en chef iranien Fakhrizadeh, qui tend à n'en pas douter, à limiter la casse stratégique que continue à être la Grande évasion de Gilboa, laquelle casse a coûté des millions de shekels aux colons sionistes jusqu'ici, non pas pour être résolu mais seulement déguisé, est tombé peu après que Gantz eut déclaré la "reddition d'Israël" face à la ligne "nucléaire" de Biden qui tournerait, dit-on autour du dialogue pour "empêcher l'Iran d'avoir sa bombe".

Plusieurs Palestiniens ont été grièvement blessés lors de violents affrontements dans la ville de Jénine en Cisjordanie.

Après l'arrestation des derniers prisonniers de l'opération « Tunnel de la liberté » dans la ville de Jénine en Cisjordanie, de violents affrontements ont éclaté ce lundi matin entre Palestiniens et Israéliens.

Fortement irrités par l’arrestation des évadés de la prison israélienne de Gilboa, les habitants palestiniens de Jénine se sont heurtés aux militaires du régime sioniste qui ont fait usage balles de guerre et de bombes assourdissantes.

Selon des témoins oculaires, plusieurs Palestiniens ont été blessés. Certains ont été hospitalisés dans un état critique.

Lors d'une visite sur le front de Maarib, le ministre de la Défense affilié au gouvernement de Sanaa annonce que la coalition dirigée par Riyad passait ses derniers jours.

Le ministre de la Défense du gouvernement de salut national, Mohammad Nasser Al-Atefi, s'est rendu dimanche sur la ligne de front de la guerre contre la coalition d'agression saoudo-émiratie dans la ville de Raghwan, dans l'ouest de la province de Maarib.

« Les victoires de l'armée yéménite et des Comités populaires (Ansarallah) sont le résultat d'une bonne planification contre les forces d’agression », a déclaré Al-Atefi, cité par le site d’information Wekalet al-sahafat al-yamaniya.

En Syrie plus de 10 ans d'alliance cachée a fait que la Turquie n'a jamais cessé d'appuyer en sous- main l'entité sioniste. Aussi bien, a chaque fois que les F-16 Israéliens frappaient Damas, Homs, Alep ou Hama c'était entre autre  pour rendre service aux terroristes pro Turquie d'Idlib leur rendre la tâche plus facile et vice versa, sa la Turquie Israël n'aurait jamais eu à Ashkelon ces pétroliers en provenance de Chypre qui y accostent avec du pétrole syrien volé à leur bord. Même en 2021 marquée par la défaite israélienne dans le ciel désormais barricadé de la Syrie cette synergie israėlo-turque se poursuit sans relâche pour se manifester dans le nord d'Irak où le Mossad ciblé impitoyablement par la Résistance se fait remplacer par MIT. Tout ceci pour dire qu'une usine de fabrication de drone kamikaze israélienne ne viendrait jamais seule et que le duo Israël/Turquie a décidé de s'activer cette fois au Maghreb. 

" Le Maroc va se lancer dans la fabrication de drones kamikazes, des appareils relativement simples à fabriquer .Pour ce nouveau marché, le Maroc s’est allié à Israël, révèle le site d’information Africa Intelligence, dans son édition du 15 septembre.