تقي زاده

تقي زاده

Insistant sur le conseil de l’islam consernant l’importance de la fraternité au sein de la communauté musulmane Cheikh Akhtari a souligné que le saint Coran insiste dans beaucoup de ses versets sur la fraternité parmi les musulmans. Cela montre que la fraternité est un peu plus importante que l’unicité de point de vue de l’islam.

Selon le rapport de l’agence de presse TAGHRIB (APT), cheikh Mohammad Hassan Akhtari, secrétaire général de l’assemblée mondiale de l’Ahlulbayte (AS), félicitant l’anniversaire du Noble prophète de l’islam et de l’Imam Sadiq (AS) a souligné : les musulmans doivent prendre la vie comme un exemple dans leur vie.

Dieu a créé la société qu’on peut considérer comme une famille. Dans une famille, il y a un père et les autres sont frères et sœurs. Les membres d’une société musulmans sont frères et sœurs, a-t-il insisté.

Plus de 3000 personnes ont signé le Code de l’Unité islamique, de grands scientifique comme le professeur Mohammad Ismaïl Osman qui a déclaré une fatwa pour le rapprochement entre les chiites et sunnites ont signé ce Code.

Selon la chaîne Al-Alam, le ministère syrien des Affaires étrangères a envoyé lundi, deux lettres séparées, à l’ONU, à fin d’expliquer à cette organisation internationale, le programme politique du gouvernement syrien, pour résoudre la crise du pays. Dans ces deux lettres, qui ont été adressées, respectivement, au secrétaire général et au président du Conseil de sécurité de l’ONU, le gouvernement syrien explique qu’il est en train d’exécuter le plan de Bachar al-Assad, dont les clauses ont été bien définies, lors de son dernier discours. Dans ces deux lettres, il est, ainsi, ont expliqué que le gouvernement de Damas est fidèle à la Charte des Nations Unies, aux lois internationales et au communiqué de Genève et qu’il se voit investi de l’obligation de les exécuter. Dans les mêmes lettres, il a été exigé des autorités de l’ONU, de prendre les mesures nécessaires, pour former un tribunal, qui enquêtera sur les complots de certains pays qui envoient des armes, en Syrie. Selon le plan d’Assad, le ministère de l’Intérieur de la Syrie doit préparer le terrain au retour des Syriens, qui ont quitté le pays, à cause de l’insécurité, et en annonçant une amnistie générale, il est précisé qu’il faudra réintégrer, à nouveau, tous ceux qui déposeront les armes, au sein du peuple syrien. Le Président syrien, Bachar al-Assad, dans un discours, prononcé, le 6 janvier 2013, à l’Université de Damas, a annoncé que les dialogues nationaux, ainsi qu’une préparation aux élections, sont les seules solutions à la crise syrienne. Les autorités syriennes sont d’avis que les complots des Américains et de leurs alliés empêchent le retour à la stabilité, en Syrie. Les Etats-Unis, en trouvant des alliés, parmi quelques pays arabes et occidentaux, ont cherché, dès le début, à renverser le gouvernement d’Assad, et après l’échec de ce scénario, ils l’ont remplacé par une guerre d’usure, en Syrie. C’est ainsi qu’au cours de ces deux dernières années, la politique des aides militaires, politiques et économiques aux opposants syrien, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, a été mise en pratique, en Syrie, dans le but de briser la résistance du peuple et du gouvernement syrien. Aujourd’hui même, la réunion internationale des opposants syriens, a lieu, à Paris, en présence des leaders des coalitions et des responsables des organisations régionales et internationales. Au cours de cette réunion, la Coalition des opposants syriens a demandé à la communauté internationale de poursuivre son soutien logistique et financier à la coalition. C’est pour cette raison que le président syrien, affirme que les Etats-Unis se livrent à un jeu politique, dans la région, et ne s’intéressent à aucune solution, à propos de la Syrie. Les deux fronts des opposants syriens s’affrontent, maintenant, dans une guerre sans merci. Le pays est, désormais, visé par une guerre militaire et une guerre psychologique, en même temps que l’on essaye de mettre sous pression le peuple et le gouvernement syriens.

La cérémonie de la fermeture de la 26e conférence de l’Unité islamique à Téhéran.

La cérémonie de la fermeture de la 26e conférence a lieu en présence de l’Ayatollah Mohsen Araki, secrétaire générale du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques ; l’Ayatollah Mohammad Ali Taskhiri, conseiller du guide suprême pour les questions islamiques et Cheikh Niki Maleki, directeur général de l’agence de presse TAGHRIB (APT)et des scientifiques musulmans commence ce soir.

Le président du parlement iranien, Ali Larijani aurait un discord dans cette cérémonie.

A la suite des programmes de l’Unité islamique, la commission du réveil islamique et son développement a eu lieu lundi matin

Selon l’agence de presse TAGHRIB (APT), dans cette commission qui a eu lieu dans la salle de conférence de l’Unité islamique, les manières du développement du réveil islamique a été vérifiées par les spécialistes nationaux et internationaux.

Le rôle de la Résistance dans l’identité islamique, le rôle des médias du Rapprochement islamique dans le développement du réveil islamique, le réveil islamique et les symboles de la distorsion et le rôle du réveil islamique dans la planification de l’Unité islamique sont parmi les sujets des articles présentés par les spécialistes.

Dr. Cheikh Nabil Halbavi de la Syrie, Cheikh Hassan Abdallah du Liban, Dr. Mohammad Nomani de l’Angleterre, Khaled Ramzi Salem de la Jordanie, Ahmad Mustafa de l’Egypte,et Dr. Al-Avadi de l’Iraq ont parlé des questions consernant.

L’Ayatollah Taskhiri, le conseiller spécial du guide suprême de la révolution islamique pour les questions islamiques a proposé : dans la situation actuelle, il vaudrait mieux que le syndicat de femmes musulmanes soit crécé pour développer la culture de l’unité islamique dans le monde. Si ce syndicat est créé, il remplira des manques culturels dans le monde musulman. Certes, ce syndicat changera des points de vue sur l’islam et les femmes musulmanes.

Selon le rapport de l’agence de presse TAGHRIB (APT), l’ayatollah Mohammad Ali Taskhiri, l’ex-secrétaire général du conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, a déclaré : la tenue de la réunion spéciale pour les femmes musulmanes était une bonne initiative pratique. Et le rôle des femmes dans l’instruction des générations et de la communauté musulmane est connu de tous.

Si les familles suivent la voie de l’unité islamique, elles peuvent constituer une société divine qui marche vers la perfection.

Le conseiller spécial du guide suprême pour les questions islamiques a précisé qu’une partie des activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a été consacré au rôle des femmes musulmanes. C’est une activité concrète. On ne doit pas négliger le rôle des femmes dans le monde musulman.

Pendant la semaine de l’Unité islamique, la cérémonie de la naissance du Noble Prophète de l’islam aura lieu à la mosquée Abou Hanifa à Bodjnurd (nord-est de l’iran) en présence des oulémas sunnite et chiites.

Selon le journaliste de l’agence de presse TAGHRIB (APT) à Bujnurd, Haj Amanollah Dardi Yazdani, l’imam de la mosquée Abou Hanifa félicitant l’arrivée de la semaine de l’Unité islamique a déclaré : chaque année comme celles dernières, la cérémonie de la naissance du Noble prophète de l’islam aura lieu dans cette ville en présence des oulémas chiites et sunnites. Et les musulmans montrent leur joie en participant à la cérémonie.

Parlant de la noble morale du Prophète de l’islam, il a ajouté : le grand prophète de l’islam a une personnalité si grande que Dieu le présente comme son envoyé qui dirige des gens vers leur créateur.

Le Prophète a une telle influence sur l’humanité, les musulmans et l’histoire de l’islam qu’on peut le présenté comme un élément central de l’unité islamique, a-t-il précisé.

Il a demandé à tous les musulmans de faire une analyse juste et réelle sur la situation du pays pour empêcher de répandre des analyses injustes et réelles.

"Le Monde" publie ce jeudi 24 janvier une grande enquête Ipsos réalisée avec le Centre d'études politiques de Sciences Po (Cevipof) et la Fondation Jean-Jaurès sur les nouvelles fractures de la société. Un sondage qui met en évidence "des crispations alarmantes".

Un Français sur deux considère ainsi que "le déclin" de la France est inéluctable. Ils sont trois sur cinq à voir dans la mondialisation "une menace pour la France" et à estimer que "la France doit se protéger davantage du monde d'aujourd'hui". Deux sur trois souhaitent "renforcer les pouvoirs de décision de notre pays, même si cela doit conduire à limiter ceux de l'Europe". Une "substitution de l'islamophobie à l'antisémitisme"

Mais surtout, 70% des personnes interrogées (jusqu'à 83% chez les électeurs de l'UMP) sont d'accord pour dire qu'il y a "trop d'étrangers en France", 62% que l'on "ne se sent plus chez-soi comme avant"… Et 74% jugent que l'islam est une religion "intolérante", qui n'est pas compatible avec les valeurs républicaines. Plus radical encore, huit Français sur dix estiment que la religion musulmane cherche "à imposer son mode de fonctionnement aux autres". Plus de la moitié pensent que les "intégristes" représentent "la majorité" (10%) ou "une partie" (44%) des musulmans en France et non "une toute petite minorité" (45%).

Le rejet est profond. Certes, les réponses varient en fonction des affinités politiques et des catégories d'âge. 65% des gens de gauche et 68% des moins de 35 ans répondent ainsi que l'islam n'est pas une religion tolérante, tandis que 61% des premiers et 66% des seconds jugent que l'islam n'est pas une religion compatible avec les valeurs de la France.

Mais "ce n'est plus, majoritairement, le travailleur immigré, susceptible de 'prendre le travail des Français qui est pointé du doigt, mais le musulman, volontiers assimilé à 'l'intégrisme' et dont la religion est jugée (…) intolérante et incompatible avec la société française", analyse "Le Monde". Interrogé par le quotidien, l'historien Michel Winock va jusqu'à considérer que "c'est la résurgence des stéréotypes connus (…), la substitution de l'islamophobie à l'antisémitisme".

Les médias français couvrent l'interventin militaire française, au Mali, avec une subjectivité, sans précédent :

aucune image des zones bombardées n'est diffusée, et le spectateur ne voit, sur le petit écran, que les foules en liesse des villes reconquises, courir derrière les blindés, drapeau tricolore en main!! Mais la réalité est bien différente ? Le journal "Tne Independent" publie, ce lundi, une enquête, une première, sans doute, qui fait état d'un bilan peu honorable, pour la France, des pertes civiles provoquées par les bombardements de Kona. "12 civils ont été tués, au cours d'un raid d'hélicoptère", affirme l'un des habitants de la ville, un homme de 57 ans, Amadou Ghalou. "Au nombre des victimes, figuraient, entre autre, trois enfanst d'une même famille et leur mère". Selon ce témoignage, le pilote de cet hélicoptère a été, également, tué, au cours de ce raid. Il est le seul français dont la mort a été, officiellement, reconnue par les autorités de Paris.

 

Le premier drone intelligent, aux dimensions spéciales, a été dévoilé à l’Université islamique libre de Najaf Abad d’Ispahan.

Selon le rapport du reporter de la radio-télévision, ce drone intelligent, avec une envergure de 4 mètres, un empennage de 3 mètres et un poids de 22 Kg, peut prendre des photos, à 2.000 mètres d'altitude. Ce drone a une vitesse maximale de 100 Km/h et peut voler, jusqu’à 3.000 mètres d'altitude. Ce drone intelligent, qui peut voler 4 heures d’affilée, a, aussi, la capacité de repérer des objets de dimensions et de couleurs particulières.

dimanche, 27 janvier 2013 21:08

LE ROLE POLITIQUE DES AHL-UL-BAYT

Les Musulmans connaissent la position des Ahl-ul-Bayt et leur Droit sur la Ummah, ainsi que le rôle politique qu'ils doivent y occuper, rôle de Direction et d'Imâmat, car ils se trouvèrent tout au long de l'Histoire politique de l'Islam au sommet de la pyramide politique et à l'avant-garde de l'opposition, soucieux qu'ils étaient d'apporter la réforme requise par l'Islam, d'appliquer comme il se doit les statuts islamiques et de rétablir la Justice.

Si les Ahl-ul-Bayt furent souvent acculés au rôle de Dirigeants de l'opposition dans l'Histoire politique de la Ummah islamique, c'est parce que, comme tous les connaisseurs de cette Histoire le savent, le califat et la direction administrative des affaires des Musulmans se sont érigés, après la fin du Califat Bien Dirigé, en un royaume familial, une dynastie héréditaire et un pouvoir de domination et d'accaparement des biens et des postes, un pouvoir qui a suspendu les Statuts de l'Islam et les a soumis au gré de ses caprices et de ses intérêts personnels. Cette manipulation de la Chari'ah et des intérêts de la Ummah a provoqué des soulèvements, des révolutions et des luttes âpres qui ont causé des effusions de sang, la division et des troubles, et qui ont conduit à la naissance des pensées et des théories déviées situées aux deux extrêmes, les unes justifiant l'injustice et la domination des gouvernants sur la Ummah, et appelant à la soumission et à la résignation, déclarant illicite toute opposition et toute velléité de revenir sur un serment d'allégeance prêté à un gouvernant injuste, et affirmant le devoir de l'accepter tel quel, tels que les Qarâmitah (Qarmates), les Mazdakites et les Kharamites, etc., saisissant l'occasion pour tenter de venir à bout de l'Islam et de ses tenants en lançant des appels "jahilites" et en appelant à l'autorisation des interdits, à la violation des biens et des femmes, et à l'annulation des Devoirs prescrits, d'autres encore, tels les Kharijites et leurs divers adeptes, incitant franchement à l'anarchie, à la subversion, à la légitimité de verser le sang et à considérer tous les autres qu'eux-mêmes comme des apostats.

Dans cette atmosphère de luttes internes et de pensées troublées, les Ahl-ul-Bayt s'affirmèrent comme le seul recours missionnaire qui conduisait vers le courant sain et la Voie du Bon Droit. C'est pourquoi les Musulmans, des uléma ou des hommes simples - hormis les gens intéressés et ceux qui étaient liés au pouvoir - suivirent leur Position et s'en tinrent à leur opinion.