تقي زاده

تقي زاده

samedi, 23 août 2014 02:00

Gaza: Yaalon hisse le drapeau blanc!!

La déclaration a eu l'effet d'une bombe, en Israël !!
Selon Walla, au bout de 45 jours d'offensive contre Gaza, le ministre israélien de la Guerre a affirmé que l'objectif d'Israël consistait, à ce stade, à "faire revenir le Hamas à la table des négociations" !!! Dans des propos qui marquent, clairement, une marche arrière, par rapport aux objectifs affichés par les commandants militaires de "Tsahal", Yaalon ne cherche plus qu'à négocier avec la Résistance. Walla a vite fait de supprimer les propos du ministre de la Guerre.

Selon la chaîne d'information Russia Today la politique iranienne qui consiste à se rapprocher de la Russie est, en réalité, une tactique permettant aux deux parties de fissurer le mur des sanctions occidentales qui s'érige autour d'eux ! Dans un article signé par le célèbre journaliste brésilien, Pepe Scobar, Russia Today relève "l'élargissement des coopérations énergétiques entre l'Iran et la Russie" : "Les sévères sanctions qui frappent l'Iran n'ont pas pu le mettre à genoux et le Guide suprême iranien a affirmé ne pas être trop optimiste, sur l'issue d'un accord nucléaire avec les Etats Unis, dans la mesure où le leader iranien veut beaucoup plus qu'un simple accord que signerait le dirigeant d'un pays en développement"! "En effet, l'Iran et la Russie ont conclu un accord d'une valeur de 10 milliards de dollars, dont les détails devraient être rendus publics, au mois de septembre, ce qui a provoqué, très naturellement, la colère de Washington, car cet accord dit Pétrole contre Marchandise autoriserait l'Iran à exporter plus d'un million de barils de pétrole, par jour. En réalité, le ballet irano-russe, dans le domaine de l'énergie, inquiète, très profondément, les Etats Unis et l'Europe". L'auteur du rapport estime que les sanctions décidées contre la Russie ont fourni une belle occasion à l'Iran pour se rapprocher de la Russie : "Certes, les sanctions anti-russes pourraient permettre à l'Iran de vendre son gaz à l'Europe. Le gaz iranien pourra transiter, via le territoire turc, pour atteindre l'Europe. Ceci étant dit, les Iraniens n'aiment à aucun prix mettre en danger leur alliance avec la Russie qui est le plus grand fournisseur de gaz à l'Europe. N'empêche que l'Europe pourrait bien penser à séduire l'Iran, si ce dernier parvient à conclure un accord définitif avec les Etats Unis. Il est peu probable, toutefois, que les Iraniens veuillent entrer dans un bataille gazière avec les Russes. Les sanctions anti-russes de l'Occident ont, déjà, bien servi aux Iraniens, dans la mesure où l'Europe lorgne, déjà, du côté du gaz iranien. Mais l'Iran a, déjà, montré qu'il sait bien garder la tête sur les épaules. Les plans iraniens abondent dans le sens d'une plus grande présence, sur les marchés énergétiques, mais les Iraniens n'iront jamais sacrifié leurs intérêts stratégiques de longue date, à savoir, le rapprochement avec Moscou, pour briser le mur des sanctions, sur l'autel des intérêts conjoncturels. En effet, le dossier nucléaire iranien est le miroir aux alouettes des Etats Unis : c'est dans ce miroir que les Américains croient voir le reflet d'un marché iranien composé de 77 millions de personnes, en majorité, des jeunes éduqués, un marché qui recèle de grosses ressources énergétiques propres à attiser les convoitises des compagnies pétrolières US. Et si Rohani réussissait à s'entendre avec l'Occident? L'économie iranienne en prendra un sacré coup de punch, mais les Iraniens savent ménager la chèvre et le chou. Ils ne prendront, à aucun prix, le risque de couper les liens avec la Chine et la Russie.

Ce bilan des pertes de l'armée israélienne, bien confidentiel,  est parvenu au journal tunisien Al Chorouk qui le publie dans son intégralité : il s'agirait des chiffres qui ont fuité à travers les rapports de l'expert des questions militaires du journal Haaretz et conseiller du cabinet sécuritaire, Amos Harel. selon les rapports rédigé par l'intéressé , " depuis le 7 juillet, date à laquelle l'offensive Roch invincible a été déclenchée, 497 soldats israéliens ont été tués. 113 officiers sionistes ont également péri. le bilan des blessés s'élève à 879 soldats et à 362 officiers qui se trouvent d'ailleurs dans un état grave" . toujours selon le journal, " l'armée israélienne a perdu 270 mercenaires tandis que 629 autres (mercenaires ) sont blessés" (ndlr : le rapport ne précise pas ce qu'entend l'armée israélienne par le terme mercenaire) " 166 militaires israéliens ont commis une tentative de suicide. 311 militaires se sont tirés une balle dans leur pied pour ne pas partir au front" et le journal d'ajouter : " 332 soldats et 418 réservistes sont allés jusqu'à blesser voir amputer l'un de leurs membres pour ne pas faire la guerre"!!

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans le calme lundi à Sanaa pour réclamer la chute du gouvernement yéménite, à l'appel du chef de la rébellion du nord Abdel Malek al-Houthi, a rapporté un journaliste de l'AFP.
Les protestataires, rassemblés sur la place du Changement, ont défilé dans le centre de la capitale où ont afflué dans la matinée des convois de partisans des rebelles d'Ansarullah, arrivés en provenance d'autres provinces du pays.

De strictes mesures de sécurité ont été mises en place autour de Sanaa, où la présence des forces de sécurité a été renforcée sur les principaux axes.

Le peuple veut la fin de la corruption, a scandé la foule avant de se disperser en milieu d'après-midi.

Aucun incident majeur n'a été rapporté durant la manifestation, encadrée par des partisans de la rébellion en armes.

Les manifestants protestaient contre la politique du gouvernement, qui gère une transition politique depuis la départ en février 2012 de l'ancien président Ali Abdallah Saleh, et pour dénoncer une augmentation, fin juillet, des prix du carburant.

Dans un discours dimanche soir, Abdel Malek al-Houthi a appelé ses partisans à marcher sur Sanaa et manifester pour obtenir la chute du gouvernement qui a échoué.

Il a fixé aux autorités un ultimatum expirant vendredi pour satisfaire les revendications des protestataires. Sinon, d'autres formes d'actions légitimes seront menées, a-t-il averti sans préciser lesquelles.

Des tentes seront dressées, des sit-ins observés et des marches organisées cette semaine à Sanaa, a-t-il ajouté, en menaçant de riposter à toute provocation. Nous ne resterons pas les bras croisés devant tout crime, a-t-il dit.

Si nos demandes pacifiques ne sont pas satisfaites d'ici vendredi, nous serons amenés à prendre le contrôle de sites gouvernementaux et de bâtiments publics à Sanaa pour accentuer la pression sur les autorités, a prévenu un dirigeant d'Ansaruallah, interrogé par l'AFP lors de la manifestation.

Les 20 litres d'essence sont alors passés de 2.500 à 4.000 riyals (de 8,6 à 13,8 euros) et les 20 litres de diesel de 2.000 à 3,900 riyals ( 6,7 à 13,4 euros). Le gouvernement a promis d'accompagner cette hausse des prix d'une augmentation des salaires. Selon une estimation de la Banque mondiale datant de 2012, plus de 54% des Yéménites vivent sous le seuil de pauvreté.

Israël a accepté de prolonger pour 24h jusqu'à mardi minuit (21h00 GMT) le cessez-le-feu en vigueur dans la bande de Gaza, a annoncé un responsable israélien sous couvert d'anonymat.
Le cessez-le-feu est prolongé de 24h, à la demande de l'Egypte, pour permettre la poursuite des négociations, a dit ce responsable.

Des émissaires palestiniens au Caire avait annoncé lundi soir qu'Israéliens et palestiniens s'étaient entendus in extremis pour prolonger le cessez-le-feu.

Au-delà de la prolongation annoncée, on ignore l'état des discussions censées produire non plus une pause limitée, mais une trêve durable.

Le cessez-le-feu est observé depuis le 11 août, après des hostilités qui ont fait près de 2.000 morts côté palestinien et plus de 60 côté israélien en un mois.

Les Palestiniens demandent la levée du blocus israélien de Gaza qui est exigé par des pays et des organisations humanitaires.

Si la République islamique d’Iran peut réaliser l’unité de la communauté islamique et que nous pouvons être unis, cela sera un grand événement dans le monde actuel et entre ce dernier dans une nouvelle ère, a déclaré l’ayatollah Mohsen Araki dans une réunion entre les représentants iraniens à l’étranger avec le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique et celui du Conseil mondial de l’Ahlulbayte, selon l’agence de presse TAGHRIB (APT).
Mettant en considération les propos du Guide suprême iranien concernant la diplomatie de l’unité islamique et son rôle dans le monde musulman, l’ayatollah Araki a souligné que cette mission consolide la relation entre les activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques avec les représentants iraniens dans d’autres pays.

Nous ne pouvons accomplir notre devoir sans coopération de nos collègues diplomate. Donc, nous demandons à tous les représentants d’accroitre leur coopération avec le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, a-t-il demandé.

Si nous sommes témoignes de mauvais incidents qui sont à l’encontre du rapprochement des écoles islamiques, mais ils pourront préparer des occasions pour le rapprochement des écoles islamiques de se développer. Donc, si l’on peut profiter de la situation, on pourra changer ces menaces en bonnes occasions, a-t-il ajouté.

Une manifestation a été organisée le 17 aout 2014 à Karachi, pour soutenir les Palestiniens et condamner les crimes du régime sioniste dans la Bande de Gaza. Différents partis politiques et responsables religieux, chiites et sunnites, chrétiens et hindous, se sont rassemblés dans la rue Shah Feisal de Karachi.
Le parti populaire Boto, le parti politique islamique, l’association des religieux, le parti sunnite, l’Association Al Dawa, le syndicat des commerçants et la chambre de commerce de Karachi participaient à cette manifestation
Des religieux chiites et sunnites, l’Allameh Abbas Komeili, le mufti Rafi Uthmani, l’Hodjat-ol-islam Mirza Yussefi, le mufti Na’im, le mufti Monib Al Rahman et l’Allameh Taghavi ont fait des discours.
Les gens avaient été invités à se rendre en grand nombre dans la rue Shah Feisal dans un slogan qui disait que s’ils ne pouvaient pas aller à Gaza, ils pouvaient se rendre dans cette rue pour la manifestation.

Le fait que je sois prêtre et puisse aider les gens m’apportait beaucoup de plaisir mais je sentais qu’il y avait un problème quelque part et cela me chagrinait. L’agence d’information Deen Show a annoncé qu’un prêtre catholique anglais dans un cours de présentation des religions, alors qu’il lisait certaines parties du Coran pour ses élèves, s’est rendu compte que ces versets l’attiraient et s’est converti à l’islam.
« Le fait que je sois prêtre et puisse aider les gens m’apportait beaucoup de plaisir mais je sentais qu’il y avait un problème quelque part et cela me chagrinait. Grâce à Dieu, des évènements sont survenus dans ma vie qui m’ont conduit à l’islam. J’avais décidé d’arrêter mon travail au Vatican avant de me rendre en Égypte où j’ai fait connaissance avec des musulmans. Les Égyptiens m’ont semblé très pudiques mais aussi très forts.
Avant ce voyage comme tous les Anglais, je pensais que l’islam était une religion difficile mais dans ce voyage, je me suis rendu compte que l’islam était une très belle religion. Les gens se tournaient en toute simplicité lors de l’appel à la prière pour parler avec Dieu, jeûnaient, aidaient les démunis et espéraient être heureux dans l’autre monde. Une fois de retour en Angleterre, j’ai repris mon travail en tant que professeur d’histoire des religions.
J’étais obligé de faire des recherches pour ne pas dire de bêtises devant les élèves musulmans qui contrairement aux autres étudiants, étaient très polis et très gentils. Nous sommes devenus amis et ils m’ont demandé s’ils pouvaient pendant le ramadan, faire leurs prières dans la classe. Notre classe était la seul classe qui avait des tapis, je les regardais faire leur prière et les encourageais à faire le jeûne bien que je ne sois pas musulman. Un jour, à la lecture d’un verset mes yeux se sont remplis de larmes que j’ai tenté de cacher à mes élèves.
Puis ce fut l’attentat du 11 septembre, tous les gens parlait de leur peur de l’islam qu’ils considéraient comme responsable de cet attentat. Si cela est vrai pourquoi un délit perpétré par un chrétien ne met-il pas en cause le christianisme ? Je suis allé une fois dans la mosquée de Londres où j’ai rencontré Yussof islam, le célèbre chanteur qui est devenu musulman. Il disait qu’un musulman devait faire la prière et jeûner. J’ai dit que j’avais déjà jeûné. Il m’a demandé ce que j’attendais et j’ai répondu que je ne voulais pas changer de religion. A ce moment, l’appel à la prière retentit et tout le monde prit place dans les rangs.
Je me suis assis derrière et pleurais. Après la prière, j’ai dit à Yussof Islam que je voulais me convertir et il m’a appris la profession de foi que j’ai répétée. Après cette conversion, je me suis mis à écrire un livre pour montrer que l’islam n’était pas une religion de violence ou terroriste. J’ai essayé de montrer la vérité de l’islam et l’amour qui lie ses adeptes. Le Prophète (PSL) a dit qu’un simple sourire était une bonne action. Je suis maintenant en train d’écrire un livre sur le Prophète (PSL), un livre différent de ceux qui ont été écrits jusqu’à présent », a-t-il dit.

La démocratie, les droits de l'homme et, d'une manière générale, le droit international, se révèlent à l'usage des notions galvaudées sans constance et sans sens pour les peuples opprimés. En effet, le droit international et, singulièrement, le droit à l'autodétermination, n'ont pas la même application dès lors que le peuple concerné est, ou n'est pas, allié, proche ou protégé par l'Occident. Et c'est cet Occident qui décide de la faisabilité ou non du droit international tel que pourtant proclamé par l'article 1 (alinéa 2) et l'article 55 de la Charte des Nations unies sur le «principe de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes». L'ONU n'a pas cependant défini ou pu en définir - sans doute du fait de l'opposition des détenteurs du pouvoir de décision - les paramètres. Or, ce droit est constamment foulé aux pieds par ses promoteurs qui parlent de démocratie et droit international, dont l'application est toutefois sélective ne s'appliquant pas de la même façon à tous les peuples. Ainsi, tous, y compris l'Occident, sont d'accord sur les droits du peuple sahraoui à l'autodétermination. Mais, sa mise en oeuvre se heurte à leurs intérêts au Maroc. Alors ils louvoient quand ils ne mettent pas des obstacles - c'est le cas de la France - à l'organisation d'un référendum au Sahara occidental dont le conflit est entré dans sa quarantième année. Ainsi, ce qui a pu être réalisé dans le cas - identique - du Timor oriental, pris également en charge par l'ONU, n'a pu jusqu'ici aboutir au Sahara occidental. Dans les territoires palestiniens occupés, il n'est pas question d'autodétermination - l'Etat palestinien est la résultante du partage de la Palestine historique - mais de l'application de la résolution 181 II de 1947 à laquelle s'oppose Israël, mais aussi aux faux-fuyants de l'ONU incapable de faire appliquer ses résolutions, parasitées par les soutiens d'Israël à leur tête les Etats-Unis. Ce qui fait, que les peuples sahraoui et palestinien sont, à l'aube du troisième millénaire, les seuls peuples à rester sous le joug de la domination de forces étrangères. Si les cas du Sahara occidental et des territoires palestiniens apparaissent comme des faits coloniaux dont la résolution s'est heurtée au veto - veto qui ne dit pas son nom - de l'Occident, ce dernier s'est, en revanche, totalement impliqué dans l'accélération de la sécession - un fait très rare à l'ère moderne - de la province serbe du Kosovo, dont il s'est empressé de reconnaître (en 2008) l'indépendance autoproclamée. A mettre en parallèle avec les menaces de la part de la Maison-Blanche qu'a essuyées l'Autorité palestinienne qui envisageait de proclamer l'indépendance de l'Etat palestinien. Comment donc comprendre cette dichotomie dans l'évaluation de faits analogues par l'Occident dont les décisions prennent à l'évidence ses intérêts propres au détriment d'un droit international, prétendument s'appliquer à tous et dont il se veut l'héraut. Il n'en est rien en fait et les ingérences de l'Union européenne et des Etats-Unis dans la tournure qu'a pris la crise kosovare obéissaient d'abord aux intérêts géostratégiques de ces pays qui regardaient le Kosovo comme la clé de leur mainmise sur les Balkans. Mais l'Union européenne, poussée par l'Allemagne, en reconnaissant le Kosovo, aura surtout ouvert la boîte de Pandore en exacerbant les nationalismes quand sa fondation était censée les dépasser. Que dire du cas du Kurdistan, dont l'inextricable imbroglio est du seul fait des puissances impériales française et britannique vainqueurs de la Grande Guerre? Ecartelé entre la Turquie, l'Irak, la Syrie et l'Iran, le Kurdistan n'a, semble-t-il, aucune chance de se réaliser en tant qu'Etat. Toutefois, dans cette confusion, l'Union européenne trouve encore le moyen d'en mettre une couche favorisant quasiment le Kurdistan irakien, devenu un Etat - avec toutes les institutions de souveraineté - dans l'Etat irakien. Tout en refusant aux Kurdes turcs, syriens et iraniens ce privilège, Français et Britanniques envoient des armes sophistiquées aux Kurdes irakiens. Ainsi, outre d'accentuer la fracture entre le gouvernement irakien et sa région kurde, les Européens créent un dangereux précédent par rapport aux autres entités kurdes de la région. Revenant d'un voyage en Irak, le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier, expliquait au quotidien Bild qu'«un Etat indépendant des Kurdes déstabiliserait un peu plus la région et ferait naître de nouvelles tensions, possiblement avec l'Etat voisin irakien aussi». Or, c'est bien l'Allemagne qui a porté à bout de bras la scission du Kosovo bouleversant la donne géopolitique régionale dans les Balkans. Faut-il noter aussi que l'Occident a été derrière la séparation du Soudan du Sud avec le Soudan, avec les résultats meurtriers que l'on connaît. Et c'est encore cet Occident qui nous bassine avec ses droits de l'homme et sa démocratie!!??

A en croire le journal Yediot Aharonot, les Etats Unis et Israël seraient tompbés pour une levée du blocus contre Gaza!!
" les Etats Unis et Israël sont parvenus à une compréhension mutuelle pour une levée de l'embargo contre Gaza. c'est en ce sens que le secrétaire d'Etat John Kerry est attendu la semaine prochaine en Israël. dans une déclaration finale à paraitre, Kerry mettra au terme de sa visite l'accent sur le fait qu'il n'existe aucune tension dans les relations Israël/USA et que le peu de différends existent a été dissipé"!! C'est un responsable israélien qui serait la source du journal lequel ajoute : " Israël donnera son aval à une levée progressive de l'embargo contre Gaza. il ouvrira d'abord les points de passage terrestre puis les passages martimes. cette source affirme toutefois que le supposé aval israélien donné à la construction d'un port à Gaza, ainsi que l'annoncent les agences de presse, est sujet à caution et que ce dossier devrait être débattu au cours de nouvelles négociations. " lundi, Israël et la Résistance ont accepté de prolonger de 24 heures la trêve. certains milieux en Israël accusent les Etats Unis d'avoir trahi Israël en poussant Netanyahu à accepter les conditions du Hamas ... Mais Israël avait-il d'autres choix? la faiblaisse organique dont l'armée sioniste a fait preuve au cours de la guerre contre Gaza n'a laissé aucun autre choix aux israéliens .