تقي زاده

تقي زاده

Les États-Unis doivent accepter d’indemniser l’Iran pour les pertes causées pendant la guerre du mois dernier, a déclaré le ministre des Affaires étrangères de la République islamique, alors que Téhéran durcit sa position et impose de nouvelles conditions à la reprise des négociations nucléaires avec l’administration Trump.

Abbas Araghchi a déclaré au Financial Times que l’Iran n’accepterait pas de « continuer comme si de rien n’a été » après le conflit de 12 jours avec Israël, auquel les États-Unis ont directement participé malgré des négociations avec l’Iran.

« Ils devraient expliquer pourquoi ils nous ont attaqués en pleine négociation, et ils doivent nous assurer de ne pas répéter cela [lors de négociations futures] », a-t-il déclaré lors d’une interview accordée au journal américain, à Téhéran, publiée jeudi 31 juillet. « Et ils doivent indemniser [l’Iran] pour les dommages qu’ils ont causés. »

Araghchi, négociateur en chef iranien sur le nucléaire, a fait état de leurs échanges de messages avec l’envoyé américain Steve Witkoff pendant et après la guerre. Il a affirmé à Witkoff qu’une solution gagnant-gagnant était nécessaire pour résoudre l’impasse qui dure depuis des années concernant le programme nucléaire iranien.

« La voie vers la négociation est étroite, mais elle n’est pas impossible. Je dois convaincre ma hiérarchie que si nous choisissons la voie de la négociation, l’autre partie sera réellement déterminée à parvenir à un accord gagnant-gagnant », a-t-il déclaré.

Araghchi a indiqué que Witkoff avait tenté de le convaincre de la possibilité de cette solution et avait proposé une reprise des négociations. Mais le diplomate iranien chevronné a ajouté : « Nous avons besoin de véritables mesures de confiance de leur part. »

Il a précisé que ces mesures devraient inclure une indemnisation, sans donner de détails, et une garantie que l’Iran ne serait plus attaqué lors des négociations.

« Mon message [à Witkoff] n’est pas si compliqué », a déclaré Araghchi. « J’ai dit que la récente agression a prouvé qu’il n’y avait pas de solution militaire au programme nucléaire iranien, mais qu’une solution négociée pouvait être trouvée. »

Le conflit a éclaté le 13 juin après qu’Israël a lancé des frappes aériennes de grande ampleur contre l’Iran, 48 heures avant une sixième série de pourparlers indirects qui devait se tenir entre Araghchi et Witkoff. Nombre de hauts commandants militaires et scientifiques nucléaires ainsi que des civils ordinaires ont étés tués.

L’Iran a riposté en tirant des barrages de missiles et de drones sur Israël, lui causant des dégâts et pertes considérables. 

Faisant allusion aux défis qui existent en rapport avec la reprise de la diplomatie, M. Araghchi a déclaré que la guerre avait suscité une résistance croissante aux négociations au sein du gouvernement iranien.

Le ministre a rappelé que l’ordre islamique était attaché à un programme nucléaire civil et pacifique, qu’il ne modifierait pas sa doctrine et qu’il respecterait une fatwa vieille de deux décennies, émise par le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, interdisant le développement d’armes nucléaires.

M. Araghchi a en même temps rappelé que la guerre n’avait fait qu’accentuer la méfiance envers le président américain Donald Trump, qui, durant son premier mandat, avait abandonné l’accord nucléaire de 2015 que l’Iran avait signé avec l’administration Obama et d’autres puissances mondiales.

« Le sentiment d’opposition aux négociations est très fort », a affirmé Araghchi. « Les gens me disent : “Ne perdez plus votre temps, ne vous laissez pas tromper… s’ils viennent aux négociations, ce n’est qu’une façon de dissimuler leurs intentions”. »

Le ministère iranien des Affaires étrangères a vigoureusement dénoncé la dernière série de sanctions imposées par les États-Unis, les qualifiant d’attaques flagrantes contre le peuple iranien et sa dignité nationale.

Dans un communiqué, publié jeudi 31 juillet, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, a vigoureusement condamné les nouvelles sanctions imposées par les États-Unis contre des individus, des organisations et des navires liés aux secteurs de l’énergie et du pétrole du pays.

Le département d’État américain a en effet déclaré avoir sanctionné plus de 115 individus, institutions et navires.

Au moins 86 personnes, dont 71 en quête d’aide humanitaire, ont perdu la vie dans de nouvelles attaques israéliennes sur la bande de Gaza, alors que le régime poursuit sa guerre génocidaire contre le territoire palestinien malgré les condamnations internationales.

Citant des sources médicales, le bureau des médias du gouvernement de Gaza a déclaré, mercredi 30 juillet, que 51 personnes avaient été tuées et plus de 648 autres blessées par les forces israéliennes alors qu’elles se dirigeaient vers le point de passage de Zikim pour les camions d’aide entrant dans le nord de Gaza.

Vingt autres demandeurs d’aide ont été tués dans des attaques israéliennes près du corridor de Morag, a rapporté l’hôpital Nasser de la ville de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.

 

Le secrétaire général du Hezbollah, Cheikh Naïm Qassem, a déclaré que le mouvement de résistance libanais n’accepterait jamais de remettre ses armes à Israël.

Il a souligné que ces armes étaient nécessaires pour préserver la souveraineté nationale du Liban face à l’agression du régime de Tel-Aviv.

Cheikh Naïm Qassem a tenu ces propos lors d’un discours télévisé diffusé, mercredi 30 juillet, depuis Beyrouth, la capitale libanaise.

 

La Belgique est prête à envisager des mesures supplémentaires ou des sanctions contre Israël si l’acheminement sécurisé et accessible de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza continue d’être entravé, a déclaré mercredi le Premier ministre belge.

« Avec nos partenaires européens, nous continuons à faire pression (sur Israël) pour garantir que l’aide humanitaire soit organisée de manière sûre et accessible. Si cela ne fonctionne pas, nous n’excluons pas la mise en œuvre de mesures ou sanctions supplémentaires », a déclaré Bart De Wever sur X, repris par Anadolu.

Ces propos interviennent alors que la situation humanitaire à Gaza se détériore, l’accès à l’aide restant sévèrement limité en raison du blocus israélien.

De Wever a également annoncé que la Belgique avait obtenu le feu vert de la Jordanie pour reprendre les largages aériens et les convois terrestres humanitaires des Nations unies, une démarche qui, selon lui, permettra à la Belgique de « contribuer concrètement » à l’atténuation de la crise dans le territoire assiégé palestinien.

À l’occasion de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains, Unicef France dénonce l’exploitation criminelle des mineurs, un phénomène ignoré touchant majoritairement des mineurs non accompagnés.

Dans son rapport du 30 juillet et intitulé Victimes avant tout : Protéger les enfants contre l’exploitation criminelle, Unicef France affirme qu'en France, l’exploitation criminelle des mineurs, bien que largement sous-estimée, constitue une réalité alarmante.

Il n'existe pas de chiffres officiels en France, mais sur le terrain, des associations repèrent de plus en plus d'enfants exploités par des adultes pour commettre des infractions, telles que le transport de drogue, des vols ou encore des actes de violence. Et quand ils sont arrêtés pour un délit ou un crime, ces enfants, qui sont avant tout des victimes, sont condamnés et pas ceux qui les exploitent.

L’UNICEF appelle à une stratégie nationale urgente pour protéger ces enfants vulnérables.

Des doubles peines qu’Unicef France dit vouloir éviter en appelant à mieux identifier les mineurs contraints à commettre des infractions. « Ce qu'on recommande, c'est un changement de regard sur des enfants victimes d'exploitation criminelle, explique Noémie Ninnin, chargée des plaidoyers Unicef France. L'idée est de prendre ces jeunes en charge au niveau civil pour les aider à conscientiser leur statut de victime, et non plus au pénal comme c'est le cas aujourd'hui. »

Selon la Miprof (Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains), 68 % des victimes identifiées sont mineures, dont 92 % sont non accompagnées, originaires d’Afrique (81 %) ou d’Europe (19 %).

Ces chiffres, basés sur les données des associations, ne reflètent qu’une partie du problème, faute de dispositifs d’identification efficaces.

En 2023, seules 236 victimes ont été recensées, contre 2 891 au Royaume-Uni, qui dispose d’un mécanisme national.

Ces enfants, souvent en situation de précarité, de rupture scolaire ou placés dans des institutions inadaptées, sont des cibles privilégiées pour les exploiteurs.

Recrutés via les réseaux sociaux, dans la rue ou même au sein de leur entourage, ils sont contraints à des actes illégaux comme le trafic de drogue, le vol ou la facilitation de passages migratoires, parfois sans en comprendre les enjeux.

À lire : France : deux mineurs de 14 at 15 ans lourdement condamnés

Beaucoup subissent plusieurs formes d’exploitations, mêlant violences physiques, sexuelles et psychologiques, les piégeant dans un cercle vicieux de dépendance.

L’UNICEF pointe du doigt une réponse judiciaire inadéquate : trop souvent, ces mineurs sont traités comme des délinquants, soumis à des gardes à vue, des poursuites ou des incarcérations, sans solutions durables à leur sortie.

Pourtant, des engagements internationaux, comme la Convention des droits de l’enfant ou le Protocole de Palerme, imposent de les considérer comme des victimes.

L’organisation, qui avait alerté il y a un an sur le fait que plus de 2 000 enfants dorment dans la rue en France, formule 75 recommandations, plaidant pour une stratégie nationale fondée sur trois piliers : prévention, identification et protection.

 
jeudi, 31 juillet 2025 19:47

Sagesse de jour

De l’Imam Zeinulabidine :
Quatre choses font partie des trésors de la vertu : dissimuler le besoin, dissimuler l’aumône, dissimuler la douleur, et dissimuler l’épreuve.
— *Mustadrak al-Wasā’il, vol. 6, p. 265* 

 *Les quatre trésors cachés :* 
1️⃣ *Dissimuler le besoin* : 
Ne pas exposer sa pauvreté ou ses besoins aux autres. 
2️⃣ *Dissimuler l’aumône* : 
Donner en secret pour ne pas blesser la dignité du nécessiteux. 
3️⃣ *Dissimuler la douleur* : 
Supporter la souffrance sans plainte. 
4️⃣ *Dissimuler l’épreuve* : 
Endurer les malheurs avec fermeté.

 *La sagesse derrière chaque trésor :* 
• Dissimuler le besoin ⇐ *Préserve la dignité humaine* 
• Dissimuler l’aumône ⇐ *Protège les sentiments du pauvre* 
• Dissimuler la douleur ⇐ *Montre force de volonté et patience* 
• Dissimuler l’épreuve ⇐ *Empêche la propagation du désespoir*

➖ Toutes ces qualités forment une 
*« personnalité équilibrée »* : 
– Un être noble 
– Un croyant endurant

 Ainsi, la vraie force est dans la patience, non dans la plainte ; 
la vraie miséricorde est dans la discrétion, non dans l’étalage ; 
la vraie grandeur est dans le don caché.

Au mois Safar, que nous y somme, c`est conseillé de de donner plus d`aumône, lire des invocations, lire le Coran,…
Voici l`invocation à lire chaque jour de mois Safar :

?️بسم الله الرحمن الرحیم .
BISMILLAHIR RAHMANIR RAHEEM
?️Par la grâce du nom d'Allàh,
le Tout Miséricordieux,
le Très Miséricordieux.

?يا شَديدَ الْقُوى وَيا شَديدَ الْمِحالِ
YA CHADID-AL-QUWA WA YA CHADID-AL-MIHALI!
?Ô Toi dont le châtiment est sévère! Ô Toi dont les forces sont redoutables!

?يا عَزيزُ يا عَزيزُ يا عَزيزُ
YA `AZIZ-U, YA `AZIZ-U, YA `AZIZ-U!
?Ô Tout-Puissant! Ô Tout-Puissant! Ô Tout-Puissant!

?ذَلَّتْ بِعَظَمَتِكَ جَميعُ خَلْقِكَ
THALLAT BI-`ADHAMATIKA JAMI`U KHALQIKA,
?Toute Ta créature s’est humiliée devant Ta Grandeur,

?فَاكْفِنى شَرَّ خَلْقِكَ
FA-KFINI CHARRA KHALQIKA,
?Épargne-moi donc le mal de Ta créature,

?يا مُحْسِنُ يا مُجْمِلُ يا مُنْعِمُ يا مُفْضِلُ
YA MUHSINU, YA MUJMILU,
YA MUN`IMU, YA MUF-DHILU,
?Ô Toi le Bienveillant, ô Toi, l’Obligeant, ô Toi, le Bienfaiteur, ô Toi, le Pourvoyeur des faveurs!

?يا لا اِلـهَ اِلاّ اَنْتَ سُبْحانَكَ اِنّى كُنْتُ مِنَ الظّالِمينَ
YA LA ILAHA ILLA ANTA SUBHANAKA
INNI KUNTU MIN-ADH-DHALIMIN-A
?Ô Toi, en dehors de Qui il n’y a de divinité que Toi! "Gloire à Toi J’étais au nombre des injustes".

?فَاسْتَجَبْناهُ لَهُ وَنَجَّيْناهُ مِنَ الْغَمِّ وَكَذلِكَ نُنْجِى الْمُؤْمِنينَ
FA-STAJIBNA LAHU WA NAJJAYNAHU MIN-AL-GHAMMI WA KATHALIKA NUNJI-AL-MU'MININ-A.
?"Nous l’exauçâmes, Nous le sauvâmes de l’angoisse. Ainsi sauvons-nous les croyants".

?وَصَلَّى اللهُ عَلى مُحَمَّد وَآلِهِ الطَّيِّبينَ الطّاهِرينَ.
WA CALLA-LLAHU `ALA MUHAMMADIN
WA ALIHI-T-TAYYIBIN-A-T-TAHIRIN-A.
?Allãh a prié sur Mohammad et sur les Membres purs et purifiés de sa Famille.

Qu'est-ce que l'injustice ? L'injustice, dans sa définition, signifie opprimer, dépasser les limites, violer son propre droit ou celui d'autrui. L'injustice peut être dirigée contre autrui ou contre soi-même. Celui qui commet des péchés agit injustement envers lui-même, car il prive son âme de vivre dans la pureté et d'atteindre la perfection.

 

Dans le Coran, Dieu dit :

Quiconque parmi vous agit injustement, Nous lui infligerons un châtiment sévère.

(Coran, Sourate Al-Forqan, verset 19)

 

De même, l'association de quiconque à Dieu (Shirk) est considérée comme une grande injustice :

Et quand Luqman dit à son fils en l'exhortant : 'Ô mon fils ! N'associe rien à Dieu, car le polythéisme est une injustice immense. (Coran)

 

Le Coran ordonne :

Ne soyez ni injustes, ni soumis à l'injustice.

8 Hadiths sur l'Injustice

1. Les trois types d'injustice

 

Le Prophète (Que le salut de Dieu soit sur Lui et sur ses descendants) a dit :

L'injustice est de trois types : une injustice que Dieu ne pardonne pas, une injustice qu'Il pardonne et une injustice qu'Il ne laisse pas impunie.

 

L'injustice que Dieu ne pardonne pas est l'association de quiconque à Dieu (Shirk). Dieu dit : 'L'association est une injustice immense.'

L'injustice que Dieu pardonne concerne les torts qu'une personne s'inflige à elle-même dans sa relation avec Dieu.

L'injustice que Dieu ne laisse pas impunie est celle commise par les serviteurs de Dieu les uns envers les autres.

    (Nahj al-Fasaha, Hadith 1924)

 

2. La puissance de l'invocation de l'opprimé

 

Le Prophète a dit :

Craignez l'invocation de l'opprimé, même s'il est mécréant, car il n'y a pas de voile entre elle et Dieu.  (Nahj al-Fasaha, Hadith 48)

3. Celui qui combat le tyran, sera l’accompagnant du prophète de l’Islam

Le Prophète a dit :

Celui qui défend l'opprimé contre l'injuste sera avec moi au paradis comme un compagnon proche.

(Bihar al-Anwar, vol. 75, p. 359, Hadith 74)

4. Châtiment pour celui qui reste muet face à l'injustice

 

Le Prophète a dit :

Si les gens voient un injuste et ne l'empêchent pas, ils risquent de subir un châtiment collectif de la part de Dieu.

(Nahj al-Fasaha, Hadith 833)

5. Vengeance de Dieu sur l'oppresseur et celui qui ne défend pas l’opprimé

 

Le Prophète a rapporté que Dieu dit :

Par Ma gloire et Ma majesté, Je me vengerai de l'injuste dans ce monde et dans l'au-delà. Et Je me vengerai de celui qui voit un opprimé et ne le soutient pas alors qu'il le peut.

(Kanz al-Ummal, vol. 3, p. 505, Hadith 7641)

6. Ne pas opprimer et ne pas accepter l'oppression

Le Prophète (sawas)a dit :

Cherchez refuge auprès de Dieu afin de ne pas opprimer ou de ne pas être opprimé

(Nahj al-Fasaha, Hadith 278)

7. Le soutien à l'opprimé est la meilleure justice

 

Le vénéra Imam Ali (Béni-soit-il) a dit :

La meilleure forme de justice est le soutien à l'opprimé.

(Ghurar al-Hikam, vol. 2, p. 394, Hadith 2977)

 

8. L'Imam Mahdi et sa lutte contre l'injustice

 

Le Prophète(sawas) a dit : 

Le vénéré Mahdi de ma Oumma remplira la terre de justice et d'équité après qu'elle ait été remplie d'oppression et d'injustice.

(Livre de Sulaym ibn Qays, p. 429) 

 

 

Le porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) a réaffirmé que l’industrie nucléaire iranienne a de profondes racines à l’intérieur du pays, ce qui la rend capable de bien résister aux attaques et aux pressions extérieures.

Behrouz Kamalvandi a tenu ces propos lors d’une interview publiée jeudi 24 juillet, évoquant la guerre imposée de 12 jours et les agressions américano-israéliennes contre les installations nucléaires iraniennes.

« Ce qui s’appuie sur ses profondes racines ne sera pas détruit par des attaques et des pressions », a-t-il assuré.

Le 22 juin, au dixième jour de la guerre imposée à l’Iran, l’armée américaine, en soutien au régime sioniste, a bombardé les installations nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan, toutes placées pourtant sous la supervision complète de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Le président américain Donald Trump a prétendu que l’objectif de l’attaque était de « détruire » la capacité d’enrichissement de l’uranium en Iran et de mettre un terme à son programme nucléaire pacifique.

Cependant, le haut responsable de l’Agence iranienne de l’énergie atomique a promis que « cette industrie prospérera à nouveau ».