
تقي زاده
Conférence sur les miracles coraniques à Tunis
Une conférence sur les miracles du Coran et des enseignements prophétiques était organisée le 24 août 2014 à Tunis par le ministère des affaires religieuses.
Une conférence sur les miracles du Coran et des enseignements prophétiques était organisée le 24 août 2014 à Tunis par le ministère des affaires religieuses avec le concours de l’Assemblée mondiale de recherche sur les miracles coraniques.
Le site d’information Al Maghreb Al yaoum a annoncé que les participants avaient insisté sur le rôle des ulémas et des universitaires dans les activités scientifiques et culturelles des pays islamiques, et sur la nécessité de lutter contre le takfirisme et le terrorisme.
Le cheikh Al Mosleh, directeur de l’Assemblée mondiale de recherche sur les miracles coraniques, a déclaré que les actes commis par ces groupes terroristes n’avaient rien à voir avec l’islam.
« Les musulmans doivent être au courant des dernières recherches scientifiques pour pouvoir présenter les miracles coraniques. Nous devons utiliser les méthodes modernes pour prouver l’authenticité du message de Mohammad (S) dans le monde », a-t-il dit.
Ukraine/Russie : guerre?!!
la chaine Al Jazeera vient d'annoncer une nouvelle qui pourrait signifier le début d'une guerre-piège pour la Russie : " la Russie a abattu un chasseur ukrainien sur la ligne de front entre la Russie et l'Ukraine". " les batteries de défense anti missile russes ont tiré en direction de l'avion de combat ukrainien dans une région où l'armée russe s'accroche avec les rebelles pro-russes. Il s'agit d'un avion Su-25 dont le pilote a pu s'échapper. dans un communiqué, l'armée ukrainienne accuse la Russie d'avoir abattu son avion et rejette de reconnaitre l'abattage de quatre avions de combat ukrainiens par les rebelles , comme annoncé vendredi.
Washington sanctionne encore l'Iran!!
Acharnés dans la violation de l’accord nucléaire de Genève, conclu avec l’Iran, les Etats-Unis ont annoncé vendredi des sanctions supplémentaires contre l'Iran visant plus de 25 particuliers et sociétés accusés de favoriser le programme nucléaire de Téhéran.
"Nous avons pris aujourd'hui des mesures supplémentaires dans le cadre de nos efforts pour maintenir la pression sur l’Iran", a déclaré dans un communiqué Caitlin Hayden, la porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche. Parmi les sociétés visées figurent des compagnies maritimes, des compagnies aériennes et six banques iraniennes. Cela alors que le nouveau tour des négociations nucléaires Iran/5+1 reprendra en septembre 2014.
A quoi ressemble les "Patriot iraniens"?!!
Ces derniers mois l'Iran a dévoilé une grande quantité de missiles dont la catégorie Sayyad (Prédateur) qui fait partie des systèmes de défense anti missile très puissants. il s'agit d'engin à combustible solide dont le système de guidage est combiné et capable d'interception automatique et indépendante. un tel système est parfaitement comparable aux Patriot américains. en effet Sayyad 2 et Patriot ont pour mission la protection des installations inamovibles et stratégiques . les lanceurs des deux systèmes présentent de nombreuses similarités. l'Iran prévoit d'utiliser ces missiles dans le cadre de ses batteries S200 puisqu'il s'agit d'engins capables de frapper des cibles placées à basse altitude, comme les drones , les missiles de croisière, les hélicoptères . ainsi l'Iran n'a plus besoin d'épuiser dans ses entrepôts stratégiques de missiles. Mais l'Iran ne s'est pas contenté d'avoir mettre sur pied les Sayad 2. Il s'est doté aussi de Sayad 3 qui pourrait être servi pour abattre les cibles placées à une haute altitude . en ce sens la DCA iranienne s'est renforcée en termes d'attaques contre les cibles "haut placées" Sayad 3 a une portée de 200 kilomètres et il vient d'être testé avec succès.
Drone abattu : le pied de nez iranien contre Israël?!
Selon le site israélien Arutz Sheva, "l'Iran vient de tester avec succès son système de défense anti missile Bavar 373 (équivalent de S300) seulement quelques jours après l'abattage d'un drone israélien au dessus de Natanz" ! et le site d'ajouter : " les images de ce système de défense anti missile iranien qui est censé remplacer les S300 russes ont été diffusées pour la première fois vendredi. selon les responsables de défense iranienne, le système Bavar 373 agit avec plus de précision que les S300 puisqu'il est capable d'intercepter plus de 100 cibles de façon simultanée. c'est aussi un système que les iraniens ont équipé de missiles de longue portée sol-air. ces dernières années, l'Iran a investi à fond dans son industrie militaire pour la mise à jour et la développer. les iraniens fabriquent désormais des avions, des hélicoptères, des systèmes de radar, des sous- marins, des drones et maintenant des systèmes de défense anti missile" et Arutz Sheva d'ajouter : " en effet ce système de défense anti missile est conçu pour faire face ç ce que lkes iraniens qualifient d'éventuelles attaques d'Israël ou de l'Occident contre les sites nucléaires " .
L’Iran salue "la victoire" des Palestiniens de Gaza
L'Iran a salué mercredi la "victoire" des Palestiniens qui "a mis à genoux le régime sioniste", au lendemain de la conclusion d'un cessez-le-feu qui prévoit un allègement du blocus israélien contre la bande de Gaza.
"Le peuple héroïque palestinien a créé une nouvelle épopée avec la victoire de la résistance qui a mis à genoux le régime sioniste", a affirmé le ministère iranien des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Cette victoire prépare la libération finale de toutes les terres occupées notamment Qods (Jérusalem, ndlr) des mains des occupants sionistes", a-t-il ajouté, en "félicit(ant) le peuple palestinien et les dirigeants de la résistance", dans une allusion au Hamas et au Jihad islamique.
L'Iran, qui ne reconnaît pas l'existence d'"Israël", soutient les différentes factions de la résistance palestinienne. Il a annoncé lundi son intention d'"accélérer l'armement" des Palestiniens en représailles à l'envoi d'un drone d'espionnage israélien abattu dans son espace aérien.
Le cessez-le-feu est intervenu après 50 jours d'une agression israélienne qui a fait plus de 2.140 martyrs et 11.000 blessés parmi les Gazaouis.
Il prévoit l'allègement partiel du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par "Israël" et qui asphyxie 1,8 million de Gazaouis.
Les soldats afghans tuent 75 rebelles talibans et arrêtent un commandant clé
Au cours des opérations de grande envergure contre les rebelles talibans dans la province afghane de Faryab, les forces afghanes ont tué 75 rebelles et en ont blessé environ 100 autres au cours des trois derniers jours, a confirmé mardi le gouverneur de la province.
"Un total de 75 rebelles talibans, y compris des étrangers, ont été tués et près de 100 autres ont subi des blessures lors des opérations de nettoyage lancées dans les districts de Qaisar et de Ghormach il y a trois jours", a affirmé le gouverneur de la province de Faryab, Mohammad Allah Batash, aux journalistes.
Des insurgés étrangers en provenance du Pakistan et de l'Ouzbékistan figurent également parmi les personnes tuées au cours des opérations, a ajouté le responsable.
Il a également reconnu que cinq policiers afghans ont été tués et huit autres blessés au cours des trois derniers jours d'opérations.
Dans un incident séparé, les forces de sécurité ont attaqué des cachettes talibans et ont capturé trois rebelles, dont un commandant clé, a affirmé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué publié mardi.
"Lors des opérations spéciales contre les rebelles talibans dans le district de Rustaq de la province de Takhar, la police a arrêté un commandant clé des talibans, alias Mawlawi Abdul Rahman Palang (Tigre) ainsi que deux autres personnes", a ajouté le communiqué.
M. Palang était un commandant taliban notoire, qui a servi de chef de la commission militaire de la branche des talibans dans la province de Takhar.
Son arrestation est un coup dur aux rebelles talibans à Takhar et dans les provinces voisines, selon le communiqué.
Les talibans, qui ont intensifié leurs activités depuis mai dernier, n'ont pas encore fait de commentaire sur cette arrestation.
A Gaza, on fête la "victoire" et on promet de ne pas oublier les "martyrs"
A peine le cessez-le-feu entré en vigueur, ils ont déferlé par milliers dans les rues dévastées de la bande de Gaza: mardi soir, les Palestiniens célébraient la "victoire" sous les tirs de joie, tout en promettant de ne pas oublier leurs "martyrs".
"Ce soir, je suis heureuse: la résistance a réussi à imposer nos conditions à l'occupant sioniste", lance Rawa, qui a perdu sa maison, écrasée sous les bombes israéliennes durant la dernière guerre à Gaza, la troisième en six ans, conclue mardi soir par un cessez-le-feu qui devrait être suivi, assurent les négociateurs palestiniens, d'un allègement du blocus israélien qui asphyxie l'enclave depuis 2006.
"Cette victoire nous fait oublier tous nos soucis, les destructions de nos maisons, notre condition de déplacé et venge le sang de nos martyrs", assure cette Gazaouie réfugiée avec une trentaine de proches dans une école de l'ONU de l'ouest de la ville de Gaza.
Comme elle, ils sont des milliers, dont de nombreuses femmes et enfants, à parcourir joyeusement les rues de leur ville en reprenant des slogans glorifiant la "résistance" et la "victoire" après 50 jours d'une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis.
Dans l'air résonnent les louanges à Dieu diffusées par les haut-parleurs des mosquées, mêlées au tirs de célébrations des combattants.
L'un d'eux, Ibrahim, kalachnikov à la main ne retient pas sa joie: "on a beaucoup gagné avec cette guerre", dit-il, "on a dominé sur le terrain et on a imposé nos conditions par la force à l'une des armées les plus fortes du monde". "Et on a encore la force et les capacités pour un nouveau round", promet-il.
En moins de trois semaines d'offensive terrestre, l'armée israélienne a perdu 64 hommes, ses plus lourdes pertes depuis la guerre contre le Hezbollah libanais en 2006.
Et, loin du front, la bataille diplomatique qui s'est jouée au Caire sous l'égide des renseignements égyptiens se conclut, assure le Hamas qui contrôle Gaza, par une "victoire" avec l'allègement du blocus.
- Le 'coeur lourd' -
Des centaines de voitures défilent pour un concert de klaxons sous une nuée de drapeaux palestiniens ou des différents mouvements politiques et des feux d'artifice éclatent ici et là.
"On fête la victoire là, mais certains ont le coeur lourd", tempère Mohamed Badir, 20 ans. "Nous n'oublions pas le sang des martyrs, les blessés et les milliers de déplacés", promet-il
Offensive israélienne: les Palestiniens annoncent un accord sur un cessez-le-feu permanent
Un accord pour un cessez-le-feu permanent a été trouvé pour mettre fin à cinquante jours d'offensive israélienne contre contre les Palestiniens de Gaza, a annoncé mardi un haut responsable palestinien.
Le président de l'Autorité palestinienne annoncera à l'ouverture d'une réunion de la direction palestinienne prévue à 16H00 GMT les détails de cet accord qui prévoit notamment "la levée du blocus de la bande de Gaza" mis en place par Israël en 2006, la principale exigence des Palestiniens, a précisé ce haut responsable.
La victoire d’Assad...
Même si la guerre continue de déchirer son pays, le président Bachar al-Assad peut déjà savourer une victoire, celle d’avoir vu les Occidentaux, qui menaçaient, il y a un an, de bombarder son pays et son armée, partager aujourd’hui sa vision du conflit: le terrorisme est la véritable source du danger et combattre ce phénomène est un devoir prioritaire.
Dès le début de la crise en Syrie, les Occidentaux ont parlé de «révolution pacifique», alors que le régime dénonçait une insurrection armée, animée par des groupes terroristes ultra-extrémistes. Washington, Paris, Londres et leurs alliés turcs et arabes ne voulaient rien entendre. Ils ont fourni un soutien politique, médiatique, financier, matériel et militaire aux rebelles, dans le but avoué de renverser le président Bachar al-Assad et son régime. Ils ont imposé des sanctions impitoyables à la Syrie et ont mis sur pied une gigantesque coalition internationale pour exécuter leurs plans. Ils ont fait la sourde oreille aux mises en garde de la Russie, de la Chine, des pays des Brics et de nombreux experts occidentaux sur le rôle essentiel joué par les extrémistes au sein de la rébellion. Bref, ils ont vécu dans le déni pendant plus de trois ans. Mais malgré tous leurs efforts, l’Etat syrien, dirigé par le président Assad, a fait preuve d’une remarquable résilience. Au lieu de revoir ses calculs, l’Occident a choisi la fuite en avant, en envisageant, il y a un an, de lancer une vaste campagne de bombardements aériens contre l’armée syrienne… avant de se rétracter.
Assad avait raison
Aujourd’hui, les faits sur le terrain, en Syrie et en Irak, prouvent que c’est Bachar al-Assad qui avait raison et non pas ses ennemis et ses détracteurs. Prenant comme couverture une contestation populaire légitime dans certaines de ses revendications, les groupes terroristes se sont infiltrés partout en Syrie, dès les premiers jours de la crise. Et grâce au soutien des Occidentaux, des pétromonarchies du Golfe et de la Turquie, ils sont devenus l’acteur principal sur le terrain.
Le retour du bâton ne s’est pas fait attendre. Les Occidentaux, avec à leur tête les Etats-Unis, reconnaissent désormais le danger que représente pour leurs sociétés l’«Etat islamique» (EI, ou daech), qui entraine des légions de ressortissants européens, américains et australiens, dans ses camps des déserts syrien et irakien. Autant de terroristes prêts à frapper au cœur même des capitales occidentales. Barack Obama a utilisé le mot «cancer» pour décrire «daech», appelant à son éradication avant qu’il ne se propage dans toute la région. Sans doute que la vidéo de la décapitation du journaliste James Foley a fini par le convaincre.
Mais seule une action concertée sur les terrains syrien et irakien est susceptible de défaire cette organisation obscurantiste. La Syrie, qui en est parfaitement consciente, appelle depuis le début à une coordination régionale et internationale pour combattre ce fléau des temps moderne.
La feuille de route de Moallem
Le ministre des Affaires étrangères, Walid Moallem, a déclaré, lundi, que «la Syrie est prête à une coopération et à une coordination sur le plan régional, international et bilatéral pour lutter contre le terrorisme dans le cadre de la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l'Onu». S’exprimant lors d'une conférence de presse à Damas, le chef de la diplomatie syrienne a dit «ils sont les bienvenus», en réponse à un journaliste qui lui demandait si cette coopération englobait «les États-Unis et la Grande-Bretagne». «Il est naturel sur le plan géographique et pratique que la Syrie soit au centre d'une coalition internationale. S'ils sont sérieux, il faut qu'ils viennent vers la Syrie pour coordonner avec elle la lutte contre l'EI et al-Nosra.»
M. Moallem a toutefois précisé que si des avions américains menaient des raids en Syrie contre «daech» sans coordination préalable avec Damas, cela serait «une agression». Il n’a pas exclu, dans ce cas, que la défense antiaérienne syrienne tire sur ces appareils.
Le ministre a proposé une feuille de route pour cette coopération, basée sur les points suivants :
-L'assèchement des sources du terrorisme, notamment le financement et l'armement.
-Le contrôle des frontières par les pays limitrophes.
-Un échange de renseignements.
Le changement de ton des Occidentaux a été évoqué lors d’un long entretien téléphonique, lundi, entre M. Moallem et son homologue russe, Serguei Lavrov. Le chef de la diplomatie du Kremlin a appelé les Occidentaux et les pays arabes à surmonter leur mépris pour le président Assad et à s'allier à lui contre les jihadistes. «Je pense que les Occidentaux ont déjà pris la mesure de la rapide propagation de la menace grandissante», a-t-il déclaré. «Ils vont bientôt devoir déterminer ce qui est le plus important: un changement du régime syrien pour satisfaire des inimitiés personnelles et prendre le risque d'une détérioration de la situation au-delà de tout contrôle, ou trouver des moyens pragmatiques pour unir les efforts contre la menace commune», a commenté M. Lavrov.
Mais la première réaction de Washington montre que les Américains n’ont pas encore imaginé un moyen de sauver la face. Les porte-paroles du département d’Etat et du Pentagone ont tenu les mêmes propos: «Nous n’avons aucune intention de coordonner avec le régime syrien. Il n’y a aucun plan pour des discussions en profondeur avec le régime Assad sur ce que nous pourrions faire ou ne pas faire en Syrie».
Toutefois, des rapports de centres de réflexion proches de l’administration américaine ont révélé que des échanges de renseignements avaient lieu en ce moment entre Washington et Damas.
Coopération inévitable
Par ailleurs, de nombreux experts occidentaux parlent déjà de la victoire du président Assad. «Il est clair qu'Assad est dans une dynamique de victoire et qu'il va finir par l'emporter», a souligné Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et directeur du Groupe de recherches et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient, dans une interview accordée à l’Agence britannique Reuters. «Bachar el-Assad n'est plus considéré aujourd'hui de la même manière qu'en août 2013», a de son côté déclaré Didier Billion, spécialiste Moyen-Orient et directeur adjoint de l'Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). «On est revenu à un début de jeu diplomatique, il y a eu un changement substantiel puisque jusqu'alors personne ne voulait parler avec Bachar sauf ses soutiens», analyse le chercheur.
Le rétablissement du chef de l'État syrien «par rapport à une fin annoncée qui ne s'est pas produite est spectaculaire», déclare Bertrand Badie, expert en relations internationales, toujours à Reuters. «Par rapport à ce qu'on nous annonçait, la potence ou la Cour pénale internationale, effectivement, on en est loin», ajoute-t-il.
«Bachar el-Assad est aux premières loges pour combattre l'EI dont une partie des bases se trouvent en Syrie, explique Didier Billion. Ça va être compliqué de discuter avec Assad, c'est très déplaisant mais on n'y coupera pas.»
Plus le temps passe, plus «daech» renforce ses positions et son emprise sur les régions qu’il a occupé. La coopération avec Damas est inévitable pour combattre cette organisation. Les Occidentaux le savent pertinemment mais sont-ils prêts à l’admettre publiquement?