تقي زاده

تقي زاده

Le ministre iraniend e la Défense a annoncé la production en chaine du nouveau système de défense anti aérien de courte portée , baptisé "Ya Zahra" .

" La production de ces missiles de courte portée est le dernier maillons d'une longue chaine et il va sans dire que ce système renforce et complète notre défense anti aérienne" " ces missiles sont capacles d'identifier, d'intercepter et de détruire les avions, les hélicoptères et les drones ennemis et ils sont déployables dans n'importe quelle condition géographique" le système Ya Zahra est également capable d'abattre plusieurs cibles à la fois avec une très grande vitesse et son dispositif d'interception fonctionne de façon automatqiue" la général Vahidia ensuite enuméré d'autres maillons de la chaine :

 

Le système Mersad, ou des missiles sol-air de moyenne portée qui outre les appareils volants précité est capable d'interepter des missiles du croisère" " le système de defsne anti aérienne de la RII est le cinquième du monde en terme de variété et les sanctions euro américaine contre nous n'ont pas pu nuire à nos capacités défensive"

Selon le rapport de l'agence de presse TAGHRIB (APT), félicitant l'anniversaire de la naissance du Noble Prophète de l'islam et son fils, l'Imam Sadiq, l'Ayatollah Mohsen Araki, secrétaire général du conseil mondial du rapprochement des écoles unies a remercié les invités pour leur participation à cette conférence.

Espérant que cette conférence soit profitable pour tous les musulmans, il a précisé: nous espérons que les solutions pour résoudre les problèmes du monde musulman soient présentées pendant les réunions.

Le secrétaire général du conseil mondial du rapprochement des écoles unies indiquant de grands problèmes du monde musulman, il a souligné: l'un de grands problèmes du monde musulman est la discorde parmi les musulmans. Cette discorde est créée par les ennemis de l'islam.

Nous espérons qu'avec la coopération et la mise en œuvre de tous les moyens, nous pouvons trouver de bonnes solutions pour les problèmes qui nuisent à la communauté musulmane, a-t-il insisté.

Le président iranien a mis l’accent sur la création d’une banque islamique, en tant que l’une des voies primordiales, pour le redressement de l’économie mondiale.

"Le progrès et une économie équitable nécessitent une banque islamique, sur la base de la charia, et l’argent et le capital, sur la base des décrets et des règles religieux", a déclaré, aujourd’hui, samedi, Ahmadinedjad, lors de sa rencontre avec Ahmed Mohamed Ali, Président de la banque du développement islamique, à Téhéran, a indiqué Fars.

"La création d’une banque islamique, avec l’argent islamique, est un moyen de réformer l’économie mondiale", a-t-il précisé, en soulignant que la conjoncture internationale ne permettra jamais la restructuration de l’économie mondiale. «Par ses soutiens et coopérations étroites avec la banque du développement islamique, la RII a été, jusqu’à présent, l’un des plus grands protecteurs et partenaires de cette instance», a, pour sa part, déclaré Ahmed Mohamed Ali.

La 26e conférence internationale de l'unité islamique ayant pour thème "Le Grand Prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), symbole de l'identité de la communauté unifiée", avec la présence de 100 responsables originaires des pays islamiques et non islamiques se tient actuellement à Téhéran.

Cette conférence en deux jours, s'est commencé d'aujourd'hui (dimanche) et durera jusqu'à demain..

Dans cette conférence, l'assemblé Générale, l'assemblé d'approchement et un groupe de penseurs et savants de 56 pays du monde seront présents; tels: la Malaisie, la Russie, l'Indonésie, l'Irak, le Liban, l'Arabie Saoudite, la Thaïlande, l'Algérie, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l'Australie, le Danemark, la Tunisie, la Qatar, la Chine, le Yémen, l'Égypte et beaucoup d'autres pays.

Simultanément à la semaine de l'unité des Musulmans et aux fêtes célébrant l'heureuse naissance du Noble Prophète de l'Islam (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), des penseurs et savants iraniens, et, environ, 300 personnalités scientifiques, politiques et culturelles du monde islamique, dont des penseurs d'Al-Azhar, les grands muftis du Soudan, de la Tunisie et de la Syrie, et de célèbres penseurs pakistanais et des pays riverains du golfe Persique, ainsi que d'autres pays, se rendront, à Téhéran, pour participer à la Conférence internationale de l'Unité islamique. Les membres de cette conférence devraient rencontrer, le 29 janvier, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei.

Au moins 30 personnes ont trouvé la mort et plus de 300 autres ont été blessées samedi lors de violents heurts dans la ville égyptienne de Port-Saïd (nord-est), selon un nouveau bilan.

Ces affrontements, conséquents à la condamnation à mort de 21 personnes pour leur implication dans des violences ayant suivi un match de football l'an dernier, interviennent au lendemain du deuxième anniversaire de la révolution ayant conduit à la destitution de Hosni Moubarak.

Cet anniversaire a été lui-même marqué par des violences entre manifestants et policiers qui ont fait neuf morts et plus de 530 blessés à travers le pays, selon des sources médicales.

Selon Afrique Tunis Presse, des sources médicales ont affirmé que parmi les victimes, certaines ont été tuées par des balles réelles.

Par ailleurs, on dénombre deux policiers parmi les tués, d'après le ministère de l'Intérieur.

Parallèlement, et selon des témoignages relayés par les agences, au Caire, des accrochages qui avaient débuté jeudi entre groupes de manifestants hostiles au président et policiers aux abords du ministère de l'Intérieur, près de la place Tahrir, ont repris de manière sporadique.

Le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a affirmé dans son discours ce vendredi qu’ « il est du devoir de la nation islamique de faire connaitre au monde le Messager de Dieu (S), ses préceptes, sa religion, sa modestie, son humanité…afin de contrer la propagande systématique à son encontre ».

Dans son allocution diffusée via écran, lors d’une cérémonie à l’occasion de l’anniversaire de la naissance du Prophète Mohammad (S) et de la semaine de l’Unité islamique, Sayed Nasrallah a évoqué plusieurs sujets, dont les résultats des législatives israéliennes, le dossier libanais.

S’agissant de la Syrie, Sayed Nasrallah a appelé certains parties libanaises « à ne pas parier sur un changement dramatique en Syrie ».

Voici les principaux points de son discours :

Tout d’abord, je félicite tous les musulmans du monde à l’occasion de l’anniversaire du Prophète Mohammad, de la semaine de l’unité islamique, décrétée après la victoire de la Révolution islamique en Iran par l’Imam Khomeiny, et de l’anniversaire du petit fils du Prophète (S) l’imam Jaafar as-Sadeq (S).

Il est du devoir de la nation islamique de faire connaitre le prophète Mohammad (S) au monde, expliquer ses préceptes, sa religion, mettre en évidence son humanité, sa tendresse, son humanité…afin de contrer la propagande systématique à son encontre.

Il y a certaines choses qui sont injustement attribuées à cette personnalité exceptionnelle. Nous ne refusons pas les discussions à propos de notre religion ou notre foi, mais personne n’accepte l’insulte et l’offense à l’encontre de sa religion.

Le but de cette propagande est de semer la zizanie entre musulmans et chrétiens et entre les musulmans eux-mêmes.

Il y a certaines choses qui sont injustement attribuées à cette personnalité exceptionnelle. Nous ne refusons pas les discussions à propos de notre religion ou notre foi, mais personne n’accepte l’insulte et l’offense à l’encontre de sa religion.

Le but de cette propagande est de semer la zizanie entre musulmans et chrétiens et entre les musulmans eux-mêmes.

Un des grands défis dont souffre notre région est l’accroissement des conflits et des divisions dans la majorité des pays arabes et islamiques. Les conflits actuels ne se limitent pas à des crises religieuses ou confessionnelles.

Le Liban fait partie de cette région, et il serait le pays le plus affecté par les développements dans la région. Bien que les conflits existaient depuis toujours, mais le problème est de ne pas savoir comment traiter ces crises.

Même dans les pays où il y a une diversité religieuse ou confessionnelle, la plupart des conflits et des guerres sont de nature politique liée au pouvoir et à la suprématie et n’ont rien à voir avec la religion, les sunnites et les chiites, et les musulmans et les chrétiens. Une des plus grandes guerres dans l’histoire des musulmans qui a éclaté entre les omeyyades et les abbassides (des centaines de milliers de morts) n’avait rien avoir avec la religion, ou avec les sunnites et les chiites. Mais elle était une guerre du pouvoir.

La guerre de Saddam Hussein contre le Koweït, il y a quelques années, était-elle d’ordre religieux ? Ou bien, il s’agissait d’une guerre de pouvoir et de contrôle des richesses?

Certains régimes arabes, qui n’accorde aucune importance à la Palestine et aux affamés dans le monde, œuvrent à faire des différents avec l’Iran un conflit entre sunnite et chiite.

Evitons la propagande confessionnelle, soyons attentifs et gardons le problème dans un pays concerné dans ses limites. Il est nécessaire de privilégier le dialogue à la confrontation. Et nous appelons au dialogue en Syrie, au Yémen, en Tunisie, en Egypte, en Irak, au Liban au lieu de passer à l’affrontement qui détruit nos peuples aux vu et au su d’Israël et des Etats-Unis.

Il ne faut pas détruire son pays pour des revendications et des réformes. Il faut qu’il y ait un Etat pour qu’on lui réclame les droits et les réformes. Et cela impossible sans dialogue et discussion. Il faut que les contestations soient pacifiques, d’où la grande responsabilité qui incombe aux élites et aux médias dans le monde arabe. Les gens sont influencés par leurs dires.

«La Marine iranienne est prête à assurer la sécurité de la région», a déclaré le commandant de la Force navale de l’armée iranienne.

Dans une interview, accordée à l’Agence de presse du Parlement iranien, le commandant de la Marine de la RII, le contre-amiral Habibollah Sayyari, a déclaré que la présence, dans les eaux libres et internationales, faisait partie des objectifs de la Marine.

«L’Iran est à même de garantir la sécurité de la région», a-t-il souligné.

«Une majeure partie du commerce international se fait, dans le détroit d’Hormuz, Bab-el-Mandeb et le nord de l’océan Indien, il faut, donc, éradiquer les phénomènes nuisibles, comme la piraterie, pour que les pétroliers puissent y circuler, sans problème», a ajouté le contre-amiral Sayyari.

Il a, ensuite, précisé que les Marines de tous les pays avaient le droit de circuler, dans les eaux libres, et que la RII n'y faisait pas exception.

 

 

L’unité des musulmans constitue le facteur même de leur victoire face aux complots des ennemis et de l’Arrogance, a affirmé le prédicateur de la prière du vendredi à Téhéran.

Lors des sermons de la prière de ce vendredi de Téhéran, l’Ayatollah Mohammad Emami Kachani a tenu à exprimer ses félicitations à l’occasion de l’anniversaire de la bienheureuse naissance du vénéré Mohammad (Que le Salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) et de l’Imam Sadeq (Béni soit-il), et à l’occasion de la semaine de l’Unité, pour dire que la solidarité auprès de l’Oumma islamique est le facteur même de son unité ; « C’est en restant soudée que l’Oumma islamique pourra déjouer les complots ennemis », selon ses propres termes.

Faisant allusion au jour anniversaire de la Révolution islamique d’Iran, l’Ayatollah Emami Kachani a aussi affirmé que la Révolution islamique avait apporté, au peuple iranien, de la grandeur et du progrès, dans tous les domaines dont la technologie, ajoutant que les soulèvements populaires survenus dans des pays arabes contre les régimes despotiques s’étaient inspirés de la Révolution islamique d’Iran. « Depuis la Révolution islamique, l’Iran s’est toujours trouvé aux côtés des musulmans du monde ; et qui, contrairement aux Etats arabes, ce pays fait partie de l’axe de la Résistance face au régime sioniste et à l’ordre de l’Arrogance », a-t-il précisé.

L’Ayatollah Emami Kachani a fait aussi allusion aux manifestations du 22 Bahman (10 Février), marquant le jour anniversaire de la victoire de la révolution islamique, pour dire : « Le 22 Bahman est le jour où le peuple iranien, par une participation massive et grandiose aux manifestations, démontrera sa grandeur ; faisant comprendre à l’Arrogance, qu’il s’agit d’un peuple fier de sa résistance et que les sanctions sont incapables d’empêcher de résister face à l’ordre de l’Arrogance ».

Toujours à propos des sanctions et de certains problèmes économiques, Emami Kachani a affirmé que le peuple même serait capable de résoudre ces problèmes, par sa solidarité et une coopération renforcée avec le gouvernement, et de désamorcer, ainsi, les conspirations des ennemis. Dans une allusion à la 11e élection présidentielle prévue en Iran, l’orateur de la prière du vendredi à Téhéran, a affirmé que par une participation d’envergure, aux élections, le peuple iranien saurait déjouer les campagnes et les complots des Occidentaux.

samedi, 26 janvier 2013 21:08

L’islamophobie savante

Dinet et Ben Ibrahim proposent enfin une typologie de l’islamophobie, en distinguant l’«islamophobie pseudo-scientifique» et l’«islamophobie cléricale». Pour illustrer ces deux types d’islamophobie, ils ne donnent qu’un seul exemple: le livre L’islam de Samuel W. Zwemer, professeur d’histoire des religions à l’université de Princeton, dont la traduction des versets du Coran conduit le lecteur à croire que l’islam est une religion polythéiste… et qui contient un véritable appel à la guerre contre l’Islam. Selon eux, «lorsqu’un savant étudie un sujet, il se passionne pour lui et il lui découvre toutes les beautés imaginables» mais «[i]l n’est qu’une seule exception à cette règle, et c’est encore l’Islam qui en est victime. En effet, il existe aujourd’hui un groupe d’Orientalistes qui n’étudient la langue arabe et la religion musulmane que dans le but de les salir et de les dénigrer». Ces «savants oublieux des principes de la science impartiale» ont «comblé de joie les missionnaires, qui, de leur côté, ont redoublé d’ardeur prosélyte».

Ils poursuivent ainsi leur critique des orientalistes entamée dans L’Orient vu par l’Occident, où ils prennent pour cible les ouvrages du jésuite belge arabisant Henri Lammens et Mohammed et la fin du monde de Paul Casanova, professeur au Collège de France.

Quand La vie de Mohammed est traduite en anglais en 1918, le terme islamophobie est traduit par l’expression « feelings inimical to Islam» et ne migre pas à ce moment du français vers l’anglais. Il apparaît pour la première fois en anglais en 1924 dans une recension de L’Orient vu par l’Occident, mais l’auteur ne fait que citer Dinet et Ben Ibrahim et ne se réapproprie pas le terme. Il réapparaît en anglais seulement en 1976 sous la plume d’un islamologue dominicain d’Egypte, Georges C. Anawati, qui lui donne une toute autre signification que celle Dinet et Ben Ibrahim. Selon lui, la tâche de l’orientaliste non-musulman est d’autant plus difficile qu’il serait «obligé, sous peine d’être accusé d’islamophobie, d’admirer le Coran en totalité et de se garder de sous-entendre la moindre critique sur la valeur du texte».

L’orientaliste Anawati est un peu l’inventeur de l’idée, qui connaîtra un succès médiatique grandissant, de «chantage à l’islamophobie».

La 26e conférence internationale de l'Unité Islamique commence ses activités, le dimache 27 janvier 2013, à Téhéran.

Les savants, rechercheurs, et personalités universitaires venus de 56 pays des quatre coins du monde participent à cette édition intitulée "Saint Prophète de l'Islam: le symbole de l'Umma Islamique Unique".

La 26e conférence internationale de l'Unité Islamique durera deux jours à Téhéran, et le lundi 28 janvier en sera le jour final.