تقي زاده

تقي زاده

Zvika Fogel, ex-chef du Commandement du Sud de l’armée israélienne, a vivement critiqué les dirigeants politiques et militaires d’Israël en leur reprochant d’avoir fait passer leur carrière politique et personnelle avant l’avenir d’Israël, a écrit le quotidien israélien Yediot Aharonot.

Zvika Fogel est d’avis que l’armée israélienne a perdu sa capacité de dissuasion face au Hamas.

« La situation sécuritaire israélienne est à son plus bas niveau depuis la guerre du 6 octobre 1973. Lors de cette guerre, l’Égypte et la Syrie ont infligé un lourd revers à Israël », a précisé Fogel.

 

Des frégates russes organisent des exercices d’opérations anti-sous-marins près de la côte syrienne.

Deux frégates de la flotte russe de la mer Noire — l’Admiral Makarov et l’Admiral Essen —, en mission actuellement en Méditerranée, ont organisé des exercices de lutte anti-sous-marins, a annoncé vendredi la flotte russe de la mer Noire.

Cette manœuvre s’effectue en coordination avec le groupe naval permanent de la Russie en Méditerranée orientale.

« Des exercices ont été organisés pour s’entraîner à détecter et suivre un sous-marin ennemi. En même temps, les frégates russes et leurs hélicoptères ont réalisé des opérations de sauvetage et d’assistance médicale aux personnes en détresse en mer », a précisé le bureau de presse de la flotte russe de la mer Noire dans un communiqué.

Des hélicoptères Kamov Ka-27PL et Ka-27PS ont participé à ces exercices et ont effectué une trentaine de décollages sur le pont d’envol des deux frégates russes.

L’Amiral Makarov et l’Amiral Essen sont des navires de guerre d’une nouvelle série de frégates russes. Ils sont armés de huit lanceurs de missiles de croisière Kalibr-NK capables d’atteindre des cibles de surface, côtières et sous-marines jusqu’à une distance de 2 600 km.

Ces frégates disposent également d’une piste de décollage et d’atterrissage et d’un hangar pour un hélicoptère anti-sous-marin.

L’annonce faite par le ministère irakien de la Défense de la reconstruction structurelle des forces armées avec la coopération de la coalition américaine a suscité différentes réactions des milieux politiques irakiens.

Le porte-parole du ministère irakien de la Défense, le général Tahsin al-Khafaji, avait fait état, jeudi dernier, du début du processus de reconstruction structurelle des forces armées en coopération avec la coalition américaine. 

« Le projet de la reconstruction structurelle des forces armées a commencé avec la coopération de la coalition US et sera appliqué jusqu’en 2020 », avait annoncé le général Tahsin al-Khafaji.

Selon le porte-parole du ministère irakien de la Défense, l’objectif principal de ce projet sera de former les forces armées et d’élaborer la doctrine défensive du pays. « Dans ce cadre, la coalition US aura un rôle très important à jouer pour assurer la formation des forces armées irakiennes et fournir des équipements militaires et des armements », a-t-il ajouté.

 

Le régime d’Israël ne s’est toujours pas remis des affrontements qui ont secoué Gaza la semaine dernière. L’Égypte est intervenue comme médiateur pour instaurer un cessez-le-feu en urgence. Un ministre israélien a même reconnu qu’Israël avait accepté le cessez-le-feu par crainte des missiles de la Résistance. Le calme est donc revenu à Gaza. Les Palestiniens ont remporté une grande victoire face à Israël, mais les autorités de Tel-Aviv continuent de filer un mauvais coton.

 

Un chercheur en histoire a décrit la situation de l’hijab à l’époque du gouvernement du prophète (as) et de l’Imam Ali (as), signalant qu’à ces époques, la question de l’hijab ne posait pas de problème.

Mohammad Hossein Rajabi Davani, chercheur en Histoire de l’islam et professeur à l’université « Imam Hossein (as) », dans un article, a fait allusion à la situation de l’hijab à l’époque du gouvernement du prophète (as) et de l’Imam Ali (as), et déclaré :

« Avant l’islam, malgré les déviations morales qui étaient coutumières à cette époque, les hommes et les femmes, à cause des conditions géographiques et climatiques, devaient se couvrir la tête. Les

hommes portaient des keffiehs et les femmes des foulards. Avec l’arrivée de l’islam, la situation resta la même pendant un certain temps et les hommes et les femmes se couvraient la tête pour sortir de chez eux. Après l’émigration du prophète (as) à Médine et l’instauration du gouvernement islamique, le verset sur l’hijab fut révélé et les femmes qui nouaient leur foulard par derrière, comme les hommes, durent se couvrir la gorge et le cou, et l’hijab devint une règle dictée par Dieu pour les femmes musulmanes. Il faut savoir que cette règle s’appliquait aux femmes musulmanes libres et non aux femmes des autres religions et aux esclaves qui se couvraient la tête par habitude, et à cause des conditions climatiques. La question d’absence d’hijab ou d’entorses aux règles de l’hijab ne se posait donc pas à cette époque.

À l’époque du gouvernement de l’Imam Ali (as), avec les conquêtes et l’agrandissement des territoires islamiques, un mélange ethnique apparut entre musulmans et non

musulmans, qui introduisit chez les musulmans, des questions relatives à d’autres cultures et civilisations. On a rapporté que l’Imam Ali (as) au pouvoir à Koufa, avait critiqué les époux de certaines femmes qui ne s’habillaient pas convenablement, bien que le problème de l’habillement ne soit pas à cette époque, un problème sérieux dans la société musulmane.

Il faut aussi préciser que si la règle de l’hijab ne concernait pas les esclaves et les adeptes des autres religions, cela ne signifiait pas qu’elles puissent sortir maquillées ou s’exhiber dans la société, ces comportements étant opposés à la morale islamique et considérés comme des délits ».

Dans les études spécialisées du commentaire des hadiths et du Coran des quatre écoles musulmanes, nous sommes confrontés à de multiples hadiths qui précisent qui sont les Ahl-ul-bayt (as) et les résument aux cinq personnes pures et immaculées du hadith du manteau.

 

Parmi ces revayats se trouve le hadith « Kissa » « le hadith du manteau » transmis au sujet du verset de la purification et présenté en résumé par Aicha, Oum Salamah bint Abi Oumaya, Abu Sa`id al-Khudri, Saad ibn Abi Waqqas, Anas ibn Malik, Abdullah ibn Abbas, Omar bin Abi Salameh, Abdullah ibn Ja'afar et d’autres transmetteurs de hadiths qui ont rapporté que lors de la révélation de la seconde partie du verset 33 de la sourate Al-Ahzab :

إِنَّمَا يُرِيدُ ٱللَّهُ لِيُذْهِبَ عَنكُمُ ٱلرِّجْسَ أَهْلَ ٱلْبَيْتِ وَيُطَهِّرَكُمْ تَطْهِيرًۭا

Muhammad (as) avait rassemblé sa fille Fatima, son mari Ali et leurs fils Hassan et Husayn, sous un vêtement qui ressemblait à une cape qu’on appelle « un bisht » ou mishlaḥ ou abā et qui est un manteau d’homme traditionnel populaire dans le monde arabe et musulman.

Plusieurs compagnons dont Ibn Abbas, Anas ibn Malik, Abu Sa’id al-Khudri et Abou al Hamra’ ont déclaré que pendant plusieurs mois après la révélation de ce verset, le prophète (as) cinq fois par jour, aux moments des prières, frappait à la porte de la maison de Ali (as) et de Fatemeh (as), et d’adressait à eux en ces termes :

« Que le salut et les bénédictions de Dieu soient sur vous, Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, Ô gens de la maison [du prophète], et veut vous purifier pleinement, c’est le moment de la prière »

Au sujet du contexte de la révélation du verset de la purification, Oum Salamah a déclaré qu’elle avait demandé au prophète (as) si elle faisait partie des Ahl-ul-Bayt (as) et que le prophète (as) avait répondu qu’elle était une épouse du prophète (as) et parmi les gens de bien.

Dans les revayats de Muslim, il est dit qu’on avait demandé à Zayd ben Arqam, compagnon du prophète (as), qui étaient les Ahl-ul-bayt (as) et s’il s’agissait des épouses du prophète (as), et qu’il avait répondu : « Non, je jure par Dieu qu’une femme après un divorce retourne auprès de son père et de sa famille, les Ahl-ul-Bayt sont les membres de la famille du prophète (as) à qui on a interdit de faire la charité »

Muslim dans le chapitre sur les qualités de l’Imam Ali (as), a rapporté de Saad bin Abi Waqas que le prophète (as) le jour de Mobaheleh, avec les chrétiens de Najran, avait emmené avec lui, Ali, sa fille Fatemeh, Hassan et Hossein, déclarant qu’ils étaient les Ahl-ul-bayt (as) c'est-à-dire les membres de la famille purifiée et les infaillibles.

Dans les corpus de hadiths, nous sommes confrontés à une multitude de hadiths sur la supériorité de l’Imam Ali (as) dans le domaine de la connaissance.

Le prophète l’avait surnommé « la porte de la cité de la science », « le plus savant dans l’exercice de la justice » et « le présentateur des enseignements prophétique ».

Voici la présentation de quelques-uns de ces hadiths :

» انا مدينه العلم و علي بابها فمن اراد العلم فليات الباب «

« Le suis la cité de la science et Ali en est l’entrée, celui qui cherche la science doit passer par l’entrée »

 

Sources : Al jame’al-Saghir vol 1 p 415, Al-Sawa'iq al-Muhriqah d’Ibn Hajar Al-Haytami p 73, Tadhib al tahdhib vol 6 p 32 et le Mustadrak alaa al-Sahihain, collection de hadiths en cinq volumes, écrite par Hakim al-Nishapuri

 

«انا دار الحكمه و علي بابها »

« Je suis la maison de la sagesse et Ali en est la porte »

 

Sources : Kanz al-Ummal d'Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi et Al Jame’al-Saghir vol 1 p 415. Le hadith de la cité du savoir fait partie des hadiths récurrents cités par les auteurs des Sahihs et des Sunans, et des expressions qu’ils ont souvent citées.

L’Allameh Amini dans le sixième volume d'al-Ghadir fait référence à 143 spécialistes de hadiths sunnites qui ont présenté ce hadith, à savoir l’auteur du Mustardak, Abdul Razzaq dans son Musnaf, Ahmad ibn Hanbal dans son Manaqib, Jami' at-Tirmidhi dans son Sunan, Muhammad ibn Jarir al-Tabari dans le Tahdhīb al-Āthār, Tabarani dans son Mo’jam al Kabir, Abou bakr Baghdadi dans son Histoire de Bagdad, Ibn Abd-al-Barr dans son (Isti’ab) recensement des compagnons du prophète (as), Muwaffaq b. Ahmad al-Khwarizmi dans son Manāqib Amīr al-Mu’minīn (as) (les qualités de l’Imam Ali (as), Ibn Athir dans son Jame’al Osul, Suyūtī dans son Jame’al-

Saghir, Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi dans son Kanz al-Ummal, Ibn askari dans son Histoire de Damas et d’autres qui l’ont cité et déclaré bon et authentique.

«علي باب علمي و مبين من بعدي لامتي ما ارسلت به »

« Ali est la porte de ma science et celui qui expliquera après moi, ce pour quoi j’ai été envoyé »

Source : Kanz al-Ummal d'Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi, vol 11 p 614

 

 

«يا علي! انت تبين لامتي مااختلفوا فيه من بعدي »

 

« Ali ! Tu seras celui qui après moi, éclairera l’Ummah dans ses divergences »

 

Source : Mostadrak de Hakim, vol 3 p 122

 

Le prophète (as) a dit à Fatemeh (as) :

ُ » زوجتك خير امتي ، اعلمهم علماً و افضلهم حلماً و اولهم سلماً «

 

« Fatemeh ! Ton mari est le meilleur de ma communauté, le plus savant, le plus patient et le premier musulman »

 

Sources : Kanz al-Ummal vol 11 p 605, Jam’ al jawame’ de Jalāl al-Dīn al-Khudayrī al-Suyūtī, vol 6 p 398, l’Isti’ab, vol 3 p 1099, le Majma’ al Zawa’ed, vol 9 p 101 et 114

 

Il a aussi déclaré aux gens :

 

«اقضاكم عليُ »

« Ali est meilleur que vous dans la justice et le jugement »

 

L’ensemble de ces hadiths prouve la supériorité d’Hazrat Ali (as). Après le décès du Prophète (as), il était celui qui possédait la science du prophète (as) et comme l’a montré l’Histoire, les trois califes dans les jugements, la politique ou les guerres, eurent toujours recours à ses conseils. Le second calife implorait Dieu de lui éviter les questions où Abou Hassan, Hazrat Ali (as) ne serait pas là pour l’aider, et déclarait sans cesse que « sans Ali il serait perdu ». (Généalogie des nobles d’Ahmad Ibn Yahya al-Baladhuri p 100 et Bihar al anwar vol 89 p 105)

 

 

 

Beaucoup de compagnons ont aussi fait allusion à la science d’Ali (as)

 

Ibn Abbas disait :

« و ما علمي وعلم اصحاب محمد (ص) في علم علي الاكقطرة في سيعة »

« Mon savoir et le savoir des compagnons du prophète (as) sont comme une goutte d’eau dans sept mers »

(Bihar vol 89 p 105)

 

Il ajoutait : «والله اعطي علي بن ابيطالب تسعة اعشار العلم ولقد شاركهم في العشر العاشر »

« Je jure par Dieu que 9/10 des sciences ont été donnés à Ali Ibn Abi Taleb (as) et qu’il partage avec les autres le dixième qui reste » (Isti’ab vol 3 p 1104)

 

Abdoullah ben Saoud disait :

 

«ان القرآن انزل علي سبعه احرف ما منا حرف الا وله ظهر و بطن و ان علي بن ابيطالب عنده منه الظاهر و الباطن »

«Le Coran a été révélé avec 7 lettres, chaque lettre à un sens visible et un sens caché, et la science des deux sens est chez Ali (as) » (livre de présentation des compagnons d’Ibn Athir, vol 4 p 22)

 

Il disait aussi : « كان علي خير الناس واعلمهم بعد رسول الله ولقد رايته كان بحرا يسيل سيلا»

« Ali était le meilleur et le plus savant après le prophète (as), et était comme un fleuve en constant mouvement »

(Généalogie des nobles d’Ahmad Ibn Yahya al-Baladhuri)

 

Sa'id Ibn Al-Musayyib, une des plus importantes autorités de jurisprudence des Taba'een, déclarait :

 

«ما كان احد من الناس يقول سلوني غير علي بن ابيطالب »

«À part Ali, personne n’osait demander qu’on l’interroge »

 

Abu Thufail al-Qurasyi a dit :

» شهدت علياً و هو يخطب و يقول سلوني فوالله لا تسالوني عن شيء يكون الي يوم القيامه الا حدثتكم به وسلوني عن كتاب الله فوالله ما من ايه الا و انا اعلم ابليل نزلت ام بنهار ام في سهل ام في جبل «

 

« Je fais le serment qu’Ali a dit dans un de ses discours : «Interrogez-moi car je jure par Dieu, que je répondrai à toutes vos questions jusqu’au jour du jugement, et interrogez moi sur le Livre de Dieu dont je jure connaitre tous les versets et où et quand ils ont été révélés, pendant la journée ou la nuit, dans la plaine ou dans la montagne »

(Tafsir de Tabari, vol 26 p 116 et Al-Fath'ul Bâri d’Ibn Hajar al-Asqalani, vol 10 p 221.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Bahram Qassemi a dénoncé, vendredi 16 novembre, l’instrumentalisation des droits de l’Homme et des mécanismes internationaux au profit des États puissants, du régime infanticide d’Israël et des monarchies réactionnaires de la région.

Une résolution condamnant l’Iran de violation des droits de l’Homme a été adoptée, jeudi 15 novembre, par la Troisième Commission des Nations unies, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles. La résolution était parrainée par les pays qui comptaient parmi les plus grands transgresseurs des droits de l’Homme.

« Cette résolution ne tient pas en compte les réalités du moment en Iran. Elle se base sur une pratique sélective, discriminatoire, partiale et politique qui n’est pas efficace et ne peut qu’attiser la confrontation entre les États membres. Elle est donc complètement invalide », a déclaré Bahram Qassemi.

« Nous dénonçons toute instrumentalisation des droits de l’Homme et des mécanismes internationaux surtout par le régime infanticide d’Israël et les États réactionnaires de la région qui ne se soucient que de leurs intérêts. Nous condamnons également toutes les politiques qui sont destinées à semer le chaos dans la région et à soutenir les terroristes séparatistes. De telles politiques affaiblissent la Commission », a-t-il ajouté. 

Pour l’Iran, la seule procédure idoine pour ce type d’exercice au sein des Nations unies est l’Examen périodique universel qui, dans le cadre du Conseil des droits de l’homme, permet un « dialogue constructif ».

L’Examen périodique universel (EPU) est un processus unique en son genre qui consiste à passer en revue les réalisations de l’ensemble des États membres de l’ONU dans le domaine des droits de l’Homme. Il s’agit d’un processus mené par les États, sous les auspices du Conseil des droits de l’Homme. Il fournit à chaque État l’opportunité de présenter les mesures qu’il a prises pour améliorer la situation des droits de l’homme sur son territoire et remplir ses obligations en la matière.

Le porte-parole de la diplomatie iranienne a réaffirmé que l’EPU traitait tous les pays de manière égale.

« La contribution constructive et active de la République islamique d’Iran dans le mécanisme de l’EPU met en évidence sa volonté sérieuse de promouvoir le statut des droits de l’Homme et d’honorer ses engagements internationaux via une coopération constructive et des mécanismes fondés sur le dialogue », a-t-il souligné.

Le fossé se creuse entre le groupe terroriste Tahrir al-Cham et le courant al-Masri qui est contre l’accord de Sotchi signé entre la Russie et la Turquie sur la création d’une zone démilitarisée à Idlib.

Des médias proches des terroristes ont déclaré ce vendredi que des membres du courant al-Masri s’opposaient aux politiques de Tahrir al-Cham sur l'accord de Sotchi et menaçaient de s'en retirer pour rejoindre le groupe terroriste Haras al-Din affilié à Al-Qaïda en Syrie.

Suite à ces différends, des éléments de Tahrir al-Cham (ex-Front al-Nosra) ont menacé de rejoindre le groupe terroriste Daech.

Six terroristes de Tahrir al-Cham ont déjà rejoint le groupe terroriste Haras al-Din, affilié au courant jordanien, séparé de Tahrir al-Cham et diligenté par un dénommé Abuhomam al-Chami.

À l’appel du Comité national pour la Marche du grand retour, les Palestiniens de la bande de Gaza vont descendre « massivement » dans la rue ce vendredi 16 novembre pour participer à une nouvelle manifestation.  

Le haut Comité national pour la Marche du grand retour a invité les habitants de Gaza à participer massivement à une manifestation ayant pour mot d'ordre « la normalisation des relations avec Israël est une trahison ». Il a mis l'accent sur la poursuite du mouvement populaire jusqu’au recouvrement de leurs revendications, rapporte l'agence palestinienne Paltoday.

La « Marche du retour », protestation symbolique des habitants de Gaza pour les 70 ans de la création de l’entité factice d’Israël, a été entamée le 30 mars dernier.

Cette manifestation qui est devenu hebdomadaire et qui se veut pacifique insiste notamment sur le droit au retour des réfugiés dans leurs terres natales en Palestine, comme l'indique la résolution 194 des Nations Unies.

230 Palestiniens ont été tués et des milliers d’autres blessés depuis le début du mouvement par des militaires israéliens qui font usage de balles réelles et de fusées à gaz pour disperser les manifestants.