
تقي زاده
L'islam ne met pas la différence entre les chiites et les sunnites
L'école (religieuse) est un centre d'apprentissage commun dans lequel toutes les écoles pour profiter des instructions islamique. La religion islamique ne met pas la différence entre les chiites et sunnites, a déclaré cheikh Taleb al-Zari,chef de l'édition omanaise Al-Zari en marge de la 28e Foire de livre de Téhéran.
Malheureusement, il y des musulmans de différents écoles religieuses qui s'excommunient et s'attaquent par les propagandes. Cette situation n'est dans l'intérêt de personne, ce que, par exemple nous sommes témoignes en Syrie, e, Irak et au Yémen, a-t-il souligné.
Il existe de vraie unité dans le monde. En Europe, nous sommes témoigne de l'unité malgré les religions, les écoles religieuses et les pensée différentes. Mais, dans le monde musulman, malgré une qibla unique, un prophète unique et de nombreux points communs, les discordes religieuses ont influencé toutes les parties de la société, a-t-il regretté.
Lorsqu'on lit les livres chiites et sunnites, nous devons en profiter. Toutes ces pensées entraînent le développement et le progrès de l'islam. Dieu nous souhaite l'unité. pourquoi nous ne respectons pas cette question?, s'est-t-il interrogé.
Indiquant l'importance de l'unité islamique, cheikh al-Zari a insisté. L'invitation au rapprochement des écoles islamiques est la demande de vrais musulmans. Le rapprochement des écoles islamiques est la souhaite de vrais croyants. Celui qui a la moindre croyance islamique ne nie pas l'importance du rapprochement islamique.
Le Conseil mondial du rapprochement islamique est l'un des meilleurs centres du monde musulman qui peut faire intérioriser cette grande culture, a-t-il dit en glorifiant les activités du Conseil.
Le rapprochement islamique est une question respectée en Oman. De nombreuses responsabilités principales du gouvernement omanais sont occupées par des gens appartenus aux différentes écoles islamiques comme l'Ibadite, le chiisme et le chafiisme, a-t-il marqué.
La nation iranienne ne tolère pas des négociations sous le spectre de menace
« Le peuple iranien ne tolère pas des négociations sous le spectre de menace », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique.
Lors d’une audience accordée, le mercredi 6 mai, aux enseignants, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'honorable Ayatollah Khamenei, a souligné : « Les Etats-Unis ont eux aussi besoin de dialoguer avec l’Iran. Nous ne sommes pas d’accord aux négociations sur lesquelles pèsent des menaces ».
« Les négociateurs iraniens accomplissent leur tâche tout en respectant les lignes rouges. Ils ne doivent pas accepter humiliation ni menace », a souligné le Guide suprême.
« Les négociateurs doivent observer les lignes rouges et ne tolérer ni la pression, ni l’humiliation, ni la menace », a lancé l’ayatollah Khamenei.
« Il est inacceptable que parallèlement à des négociations, l’autre partie profère des menaces. Que signifie une négociation à l’ombre de menaces ? », s’est-il interrogé.
Michael Fitzgerald, un prêtre qui présente le Coran et l’islam
Michael Fitzgerald, ancien représentant du Vatican en Tunisie, en Égypte et en Ouganda, a fait des études de théologie et d’arabe en Tunisie.
Michael Fitzgerald qui a été aussi archevêque en Tunisie et représentant du Vatican à la Ligue arabe, est devenu un spécialiste de l’islam, travaille aujourd’hui, dans le domaine du dialogue interreligieux et enseigne l’islam aux étudiants catholiques aux États-Unis.
Plusieurs étudiants ougandais musulmans participaient à ses cours lors de sa mission en Ouganda et actuellement, il enseigne le Coran aux étudiants de master de l’université John Carroll dans l’Ohio.
Il fait aussi des discours sur les différences culturelles entre les écoles islamiques et les coutumes des musulmans.
Zaki Sarituprak, directeur du Centre de recherches islamiques de cette université, a déclaré que le prophète avait recommandé d’entendre la vérité d’où qu’elle vienne, et qu’il n’avait jamais eu de problèmes avec les cours de Michael Fitzgerald.
Les représentants de l’Iran se placent aux 4e et 5e des compétitions coraniques de Tunisie
Les compétitions coraniques internationales de Tunisie ont pris fin le mercredi soir 6 mai et les représentants de la république islamique d’Iran à ces compétitions se sont placés aux 4e et 5e.
Selon les relations publiques de l’organisation iraniens des legs pieux et des affaires de bienfaisance, la 5e édition des compétitions internationales du Saint Coran de Tunisie a eu lieu cette année avec la participation d’un récitant et d’un mémorisateur iranien et alors qu’un arbitre iranien se trouvait aussi dans le jury.
Mohammad Ali Eslami, représentant de l’Iran aux compétitions de mémorisation a réussi à se consacrer le 4e rang de ces compétitions en discipline de la mémorisation de la totalité du Saint Coran et Reza Golchahi était présenté comme le 5e des compétitions de lecture.
Selon ce rapport, Mohammad Ali Eslami avait participé à ces compétitions en discipline de mémorisation et Reza Golchahi en discipline de la lecture et de la mémorisation de 15 parties du Saint Coran.
A appeler que l’hojat ol islam Mohammad Haj Abol Ghassem comptait parmi les arbitres de la 5e édition des compétitions coraniques de Tunisie.
Les compétitions coraniques de Tunisie qui s’étaient lancées le samedi 2 mai, avec la participation des représentants de 25 pays, ont pris fin mercredi 6 mai.
Coran en arménien publié par la Direction des Affaires religieuses
Le livre sacré des musulman, le Coran a été traduit en arménien par Yavuz Aydin, étudiant en doctorat au Département de la langue et la culture arméniennes de l’Université d’Ankara.
L’éditeur en chef du journal AGOS et coordinateur du service arménien Patrak Estukyan a également contribué à la mise en œuvre du Coran en arménien.
Les travaux ont continué pendant trois ans pour réaliser cette œuvre de 10 tomes et 2.500 pages.
Le livre a été publié en 4.000 exemplaires dont 1.000 en dialecte occidental et 1.000 en dialecte oriental.
L’offensive de l’OTAN globale, L'art de la guerre
L'Organisation du Traité de l’Atlantique Nord n’a plus de frontières. En Europe -après s’être étendue à sept pays de l’ex-Pacte de Varsovie, trois de l’ex-URSS et deux de l’ex-Yougoslavie, (démolie par la guerre de 1999)- elle est en train d’incorporer l’Ukraine. Les forces armées de Kiev, qui, depuis des années, participent aux opérations OTAN, dans diverses aires, (Balkans, Afghanistan, Irak, Méditerranée et Océan Indien), sont de plus en plus intégrées, dans celles de l’Alliance, sous commandement USA. Le 24 avril a été signé un accord, qui les insère, de fait, dans le réseau de commandement, contrôle et communication OTAN.
Au moment même où le parlement de Kiev approuve, à l’unanimité, une loi, qui exalte, comme «héroïque», le passé nazi de l’Ukraine et, alors qu’il déclare «criminelle» toute référence au communisme, en mettant hors la loi le Pc, il qualifie de «combattants,, pour l’indépendance ukrainienne», les nazis, qui massacrèrent des dizaines de milliers de Juifs.
En Lituanie et en Pologne, l’OTAN a déployé des chasseurs-bombardiers, qui «patrouillent», dans les cieux des trois républiques baltes, aux limites de l’espace aérien russe : l’Italie, après avoir conduit la «mission», dans le premier quadrimestre 2015, y reste, au moins, jusqu’en août, avec 4 chasseurs-bombardiers Eurofighter Typhoon.
En Asie centrale, «région, stratégiquement, importante», l’OTAN est en train d’incorporer la Géorgie, qui, déjà, intégrée, dans ses opérations, «aspire à devenir membre de l’Alliance». Elle continue, en outre, à «approfondir la coopération», avec Kazakstan, Kirghizistan, Tadjikistan, Turkmenistan et Ouzbékistan, pour contrecarrer l’Union économique eurasiatique, (comprenant Russie, Biélorussie, Kazakstan, Arménie et, depuis mai, le Kirghizistan).
Elle reste «profondément engagée, en Afghanistan», (considéré, dans la géographie impériale, comme partie de l’ «Atlantique Nord»), pays de grande importance géostratégique, face à Russie et Chine, où la guerre OTAN continue, avec des forces spéciales, drones et chasseurs-bombardiers, (52 attaques aériennes, rien qu’en mars).
En Asie occidentale, l’OTAN poursuit l’opération militaire couverte contre la Syrie et en prépare d’autres, (l’Iran est, toujours, dans le viseur), comme le montre le déplacement à Izmir, (Turquie), du Landcom, le commandement de toutes les forces terrestres de l’Alliance. En même temps, l’OTAN renforce le partenariat (expérimenté, dans la «campagne de Libye»), avec quatre monarchies du Golfe -Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Qatar- et la coopération militaire avec l’Arabie saoudite, qui, dénonce «Human Rights Watch», massacre, au Yémen, avec des bombes à fragmentation, fournies par les USA.
En Asie orientale, l’OTAN a conclu avec le Japon un accord stratégique, qui «élargit et approfondit le long partenariat», à quoi se joint un accord analogue avec l’Australie, en fonction anti-chinoise et anti-russe.
Dans la même finalité, les plus grands pays de l’OTAN, (parmi lesquels, l’Italie), participent, tous les deux ans, dans le Pacifique, à ce qui est défini par le commandement de la Flotte USA, comme «la plus grande manoeuvre maritime du monde».
En Afrique, après avoir démoli la Libye, l’OTAN est en train de potentialiser son assistance militaire à l’Union africaine, à qui elle fournit, aussi, «planification et transport aéronaval», dans le cadre stratégique du Commandement Africa des Etats-Unis
En Amérique Latine, l’OTAN a stipulé un «Accord sur la sécurité» avec la Colombie, qui, déjà, engagée, dans des programmes militaires de l’Alliance, (parmi lesquels, la formation de forces spéciales), peut en devenir, rapidement, le partenaire.
On ne devra pas s’étonner si, sans trop attendre, l’Italie enverra ses chasseurs-bombardiers «patrouiller» les cieux de la Colombie, dans une «mission» OTAN, contre le Venezuela.
L'Iran s'est fortifié pour des guerres à long terme (général Salami)
Le commandant en chef adjoint du Corps des Gardiens de la Révolution islamique a mis en garde les Etats-Unis que la République islamique s'était préparée et fortifiée pour des guerres de longue haleine avec la possibilité réelle de la victoire et qu'elle ne redoutait point une guerre contre les Etats-Unis.
En réaction aux menaces d'attaque militaire contre l'Iran, brandies par les autorités américaines, le général Hossein Salami a déclaré que l'ère de recours à la force militaire était bel et bien révolue et que les Etats-Unis devraient s'abstenir de comparer leurs victoires du passé contre les armées usées à une confrontation avec l'Iran islamique et d'éviter les erreurs dans leurs calculs. Le commandant en chef adjoint des Pasdarans a indiqué que si les Etats-Unis utilisaient la base aérienne sur terre, ils devraient savoir qu'elle serait totalement mise à feu. " Si les avions américains voulaient s'envoler dans le ciel, le ciel entier serait embrasé", a-t-il averti. Le général Salami a souligné que la nation iranienne était une nation expérimentée dans la guerre; "ce serait une grande erreur de la remettre à l'épreuve", a souligné le général Salami. Il a aussi recommandé à l'équipe négociatrice iranienne de se présenter à la table des négociations avec du calme, la dignité et la confiance en soi, tout en s'appuyant sur la force inépuisable de la nation et des forces armées de la République islamique.
Le Guide suprême d'Iran Ali Khamenei a qualifié mercredi les bombardements du Yémen par la coalition saoudienne d'agression injustifiable à l'encontre du pays et a critiqué le soutien indirect qu'apporte Washington.
"Le gouvernement saoudien est occupé à tuer des personnes innocentes, ainsi que des femmes et des enfants, au Yémen, sans aucune justification et a simplement prétexté que les Yéménites n'acceptent pas la personne qui est président", a déclaré M. Khamenei, selon la chaîne d'information iranienne de langue anglaise Press TV.
Les Etats-Unis soutiennent également ce "crime monstrueux" tout en accusant l'Iran, alors que la république islamique cherchere simplement à acheminer l'aide médicale et alimentaire vers le peuple yéménite, a ajouté M. Khamenei.
L'Arabie saoudite accuse l'Iran d'armer et de financer les révolutionnaires, une accusation que Téhéran nie en bloc.
Le peuple yéménite n'a pas besoin d'armes iraniennes car il a le contrôle de toutes les bases militaires de son pays, a déclaré le Guide suprême, ajoutant que le besoin le plus urgent, au Yémen, est l'aide humanitaire, dont le peuple est privé en raison du blocus imposé au pays.
Plus de 1 000 personnes ont été tuées et 3 000 autres blessées lors des combats et des raids aériens de l'Arabie saoudite, qui ont commencé fin mars.
Les forces de la coalition menée par l'Arabie saoudite continuent de bombarder le Yémen en dépit de l'annonce, faite fin avril, selon laquelle les raids aériens devaient cesser.
Négociation Iran/5+1: reprise des discussions le 12 mai à Vienne
Les négociations en vue d'un accord définitif sur le nucléaire iranien reprendront le 12 mai à Vienne, ont annoncé mardi l'Union européenne et l'Iran.
La négociatrice de l'UE, Helga Schmid, et les ministres adjoints iraniens des Affaires étrangères Abbas Araghchi et Madjid Takht Ravanchi reprendront leur travail le 12 mai à Vienne. Ils seront ensuite rejoints le 15 mai par les directeurs politiques des autres grandes puissances, précise le service diplomatique de l'UE dans un communiqué.
A Vienne, les directeurs politiques et les négociateurs adjoints iraniens continueront à travailler à la rédaction du texte d'un plan d'action global commun, à la suite de l'accord-cadre auquel sont parvenus Téhéran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) le 2 avril à Lausanne, et poursuivront les travaux sur une ébauche de texte entreprise depuis à New York, poursuit le communiqué.
D'ici là, les experts techniques vont continuer à travailler sur les annexes au texte principal, précise l'UE.
Nous reprendrons les négociations mardi prochain (12 mai), (et les poursuivrons) jusqu'au vendredi (15 mai) quand le 5+1 nous rejoindra et nous arriverons à certaines conclusions, a déclaré à la télévision d'Etat iranienne Abbas Araghchi, l'un des responsables de l'équipe iranienne qui participe aux discussions au niveau des experts actuellement en cours à New York, en marge d'un sommet de l'ONU sur le désarmement.
Il a espéré pouvoir parvenir à la prochaine réunion de Vienne à un texte qui contiendra un minimum de divergences et de parenthèses.
Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, avait affirmé lundi que la rédaction de cet accord, qui doit mettre fin à plus d'une décennie d'une question diplomatique entre l'Iran et les Occidentaux, avançait malgré de nombreuses parenthèses.
Après l'accord du 2 avril, les négociateurs doivent désormais régler les détails techniques d'un accord définitif, qui doit garantir la nature purement pacifique des activités nucléaires de l'Iran en échange de la levée des sanctions internationales imposées depuis 2006.
Syrie: le médiateur de l'ONU entame des consultations à un niveau modeste
Le médiateur de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, devait entamer mardi après-midi des consultations séparées et à un niveau modeste avec les protagonistes du conflit syrien pour tenter de relancer les négociations dans l'impasse.
Nous commençons maintenant une série de discussions en tête-à-tête avec le plus grand nombre possible d'acteurs impliqués dans le conflit syrien afin de voir si un autre round de négociations est possible, a expliqué aux médias M. de Mistura.
Les discussions se feront sur 5 à 6 semaines, voire plus si nécessaire.
Fin juin, (...) nous évaluerons la situation et déciderons de la prochaine étape, a poursuivi le médiateur de l'ONU.
Il a souligné à plusieurs reprises qu'il ne s'agit pas d'une troisième grande conférence internationale de Genève.