تقي زاده

تقي زاده

Le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Amir Hatami, affirme que les forces armées de la République islamique sont en mesure de préserver la sécurité du Moyen-Orient et qu'elles ne craignent aucun ennemi malgré leurs "cris". '

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : "Les jeunes et les forces armées d'Iran ont la capacité de sauvegarder la sécurité de la région. La sécurité de l'un dépend de la sécurité de l'autre, car chacun doit sauvegarder sa sécurité pour que d'autres puissent bénéficier de la stabilité. Nous avons aujourd'hui l'honneur de garantir la défense de la sécurité et de la stabilité de la région ", a déclaré l'armée iranienne de haut rang.

Après avoir souligné lors d'une cérémonie militaire à Téhéran, capitale de l'Iran, le courage des forces militaires de repousser toute agression contre le pays perse, a affirmé que jusqu'à présent les ennemis de la révolution islamique n'ont pas pu atteindre leurs objectifs grâce au courage et la volonté forte de la nation résiliente de l'Iran et son pouvoir dissuasif.

Dans cette partie de ses déclarations, Hatami a souligné la «capacité de défense stratégique» des Forces armées iraniennes, car grâce à la connaissance de ses experts et professionnels, il peut protéger les intérêts nationaux et la sécurité de l'Iran dans toute situation d'insécurité.

"Aujourd'hui, l'Iran, avec une volonté de fer, répond à tous les besoins de ses forces armées dans les domaines de la défense et de la sécurité", a souligné le ministre iranien de la Défense.
 
Au cours des dernières années, l'Iran a fait des progrès considérables dans le secteur de la défense, malgré les sanctions. En fait, il a réussi à être autosuffisant dans la production d'équipements militaires et de systèmes essentiels à son système défensif.

Le 26 décembre, le ministre de la Défense du pays perse a déclaré que l'Iran continuerait d'augmenter sa puissance militaire face aux menaces.
 
La République islamique veille à ce que le développement de sa capacité militaire obéisse à une doctrine de type purement défensif et ne représente pas une menace pour les autres pays, en particulier pour ses voisins.

Des avions de combat israéliens ont frappé des sièges des forces de la Résistance à Gaza. Il s'agirait des sites navals qu'Israël craint très fort sur fond de tensions à Gaza où trois Palestiniens ont été tués vendredi 27 avril. 
 
 
Selon une source de sécurité ayant requis l’anonymat, des avions de combat israéliens ont tiré, vendredi 27 avril, 4 roquettes sur un siège des Brigades Izz al-Din al-Qassam (la branche militaire du Hamas), à l’ouest de Deir al-Balah au centre de la bande de Gaza.

Selon l’agence de presse palestinienne, Ma’an, aucune victime n’est à déplorer mais des dommages matériels ont été constatés.

Selon la Dixième chaîne de la télévision israélienne, les raids auraient visé un bateau des Brigades Izz al-Din al-Qassam avec à son bord six commandos marins palestiniens. Cette information a été aussitôt démentie par les sources palestiniennes à Gaza.

Israël relance ces frappes contre Gaza alors que le port de la ville se prépare à accueillir des navires destinés à briser le blocus de l’enclave palestinienne.
Crainte des commandos marins? 

Durant l’offensive israélienne de 2014 contre Gaza qui a duré 54 jours, les commandos maritimes des Brigades Izz al-Din al-Qassam ont réussi à s’infiltrer sur des bases israéliennes où ils ont capturé des militaires de ce régime.

Dans la perspective d’une guerre israélienne contre Gaza, l’armée du régime israéliencraint des infiltrations des unités marines palestiniennes dans des colonies israéliennes.

L’armée algérienne a lancé une nouvelle opération antiterroriste à Batna.

L’armée algérienne s’est lancée, le samedi 21 avril, dans une nouvelle opération antiterroriste à Batna où elle a détruit un repaire des terroristes et mis la main sur des armes et des explosifs leur appartenant, a-t-on appris du ministère algérien de la Défense.

Une bombe artisanale, une importante quantité de munitions et de téléphones portables ont été également découverts et détruits par l’Armée nationale populaire (ANP).

« 84 terroristes ont été arrêtés ou tués en Algérie dans un laps de temps allant de 2017 jusqu’en avril 2018 », ajoute le ministère de la Défense.

Selon des révélations de Reuters, Paris a demandé à Washington à l'automne 2014 d’épargner la cimenterie française Lafarge lors des frappes dans le nord de Syrie.

Une information judiciaire pour "financement d'entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui" a été ouverte, le 9 juin 2017, par le parquet de Paris. Le cimentier français est mis en cause pour avoir donné 500.000 euros, entre 2011 et 2014, à des groupes armées en Syrie, dont Daech, pour maintenir l'activité et la sécurité de son usine.

La cimenterie Lafarge. ©AFP

Le résultat des enquêtes montre que la France a demandé à l’automne 2014 à Washington de ne pas bombarder la cimenterie dans le nord de la Syrie, selon l’agence de presse Reuters.

C’est ce qu’il ressort d’un courriel envoyé en septembre 2014 par l’ambassadeur français de l'époque en Syrie, Frank Gellet, à sa hiérarchie diplomatique, l'incitant à demander aux Américains d’épargner le site français. Les coordonnées GPS communiquées dans le courriel correspondent à la cimenterie Lafarge à 87 kilomètres de la ville de Jalabiya, dans la province de Raqqa, au nord de la Syrie.

Hémorragie inédite au sein de l'opposition en Syrie: les sources d’information font état de la multiplication des démissions dans le camp anti-Assad.

George Sabra et Suheir al-Atassi sont membres de la Coalition nationale syrienne (CNS), principale formation de l'opposition créée le 11 novembre 2012 à Doha au Qatar, sous la pression des États-Unis, de la France et des monarchies du golfe Persique. Elle a pour but de coordonner les opposants au gouvernement de Damas au moyen d’opérations en Syrie ainsi que dans des pays tiers. 

Ces démissions interviennent au moment où les membres de la coalition devaient se réunir pour examiner les dernières évolutions du pays et élire leur président, leur secrétaire général et le corps de direction.

Elaph, un journal en ligne arabe indépendant, fondé par un homme d'affaires saoudien et basé en Grande-Bretagne, rapporte citant al-Atassi que l’actuelle stratégie politique pour résoudre la crise syrienne s’adapte de plus en plus avec les initiatives russes.

Cet anti-Assad syrien se dit également préoccupé par le fait que la solution politique à la crise syrienne soit freinée par un cycle de guerre dans lequel plusieurs parties et personnalités tentent de s'imposer et de défendre leurs propres intérêts.

Délaissé petit à petit par la communauté internationale, l’intéressé reconnaît que sa coalition s’est décomposée et s’est divisée en petits groupes qui ne s’entendent pas et se mettent des bâtons dans les roues. La survie de la coalition étant menacée, al-Atassi a préféré démissionner.

Par ailleurs, George Sabra s'est dit déçu par le bilan de son camp qu'il considère comme « désengagée ».

Ce n’est pas la première fois que des membres de l'opposition syrienne expriment ouvertement leurs désaccords. Il y a quelques mois que le chef de la CNS, le dissident et ex-député Riad Seif, a annoncé sa démission pour « raison de santé ».

Les États-Unis surveillent les vols iraniens vers la Syrie, a rapporté la chaîne d’information télévisée américaine CNN. Pourquoi ? Sur la base de rapports fournis par la CIA qui insinuent l’existence d’un trafic de missiles iraniens vers la Syrie. 

Alors que le président français se trouve en visite d’État à Washington où il a annoncé avoir trouvé de quoi maintenir Trump dans l’accord nucléaire, CNN, citant des rapports de la CIA, affirme que les services secrets US surveillent les vols iraniens à destination de la Syrie, car « ils soupçonnent l’Iran d’envoyer des armes et des munitions à son allié Bachar al-Assad ou aux forces pro-iraniennes présentes sur le terrain ». Ces rapports accusent l’Iran d’utiliser ses « vols commerciaux » à cette fin. 

En réaction aux déclarations des présidents américain et français sur l’accord nucléaire signé entre l’Iran et les 5+1, un haut membre du gouvernement israélien a déclaré mercredi que l’accord portant sur le nucléaire iranien devrait être « fondamentalement amendé, sinon annulé ».   

Le ministre israélien des Communications et du Renseignement, Yisrael Katz s’est dit « encouragé » par les déclarations du président des États-Unis Donald Trump qui a menacé de sortir de l’accord nucléaire avec l’Iran, et a critiqué la position de l’Europe et du président français Emmanuel Macron à ce sujet.

« Le président Macron et ses collègues européens doivent comprendre que s’ils maintenaient aujourd’hui les pressions sur l’Iran, ils pourraient empêcher la guerre et la violence de demain », a prétendu Yisrael Katz, cité par Reuters.  

Lors de sa visite à Washington, le président Emmanuel Macron a essayé de convaincre son homologue américain de la possibilité de préparer un « nouvel accord » avec Téhéran sans qu’il soit nécessaire de sortir de l’accord nucléaire de 2015.

 

« Bien que le déploiement des systèmes antiaériens russes S-300 en Syrie porte préjudice aux intérêts d’Israël, Tel-Aviv s’inquiète davantage du rapprochement stratégique entre la Russie de Vladimir Poutine et l’Iran », a écrit ce mercredi le quotidien israélien Haaretz.

L’auteur de l’article a prétendu que depuis une décennie, la Syrie et l’Iran demandaient incessamment au Kremlin de les équiper de systèmes de défense aérienne S-300 pour renforcer leurs moyens de défense face aux frappes aériennes d’Israël, mais que Tel-Aviv avait réussi jusque-là à persuader Moscou de ne pas leur livrer de S-300.

« Cependant, l’Iran a reçu ses premiers S-300 en 2016 et la Russie a annoncé récemment que ces systèmes de missiles antiaériens seraient livrés d’ici peu à la Syrie. Cela explique pourquoi le ministre des Affaires militaires, Avigdor Lieberman, vient de proférer que l’armée israélienne viserait les systèmes S-300 sur le territoire syrien. »

Selon Haaretz, la colère de Lieberman est compréhensible, car il ne veut pas que les avions militaires israéliens perdent leur liberté d’action dans le ciel syrien. « Pour assurer cet objectif, Lieberman est prêt à entrer dans un véritable bras de fer diplomatique contre Moscou », peut-on lire dans cet article.

 
L'armée israélienne a démoli dans la nuit de lundi à mardi la maison d'un Palestinien accusé d'appartenir au groupe qui avait tué par balles un Israélien en janvier en Cisjordanie occupée, ont constaté des journalistes de l'AFP. 
 
La maison d'Ahmed Konba à Jénine, dans le nord du territoire sous occupation israélienne depuis plus de 50 ans, a été détruite à l'aide d'explosifs, ont indiqué des sources de sécurité palestiniennes.

L'opération a donné lieu à des heurts entre forces israéliennes et manifestants palestiniens.
Les Palestiniens n'accepteront aucune solution de résolution du conflit israélo-palestinien si Al-Qods (Jérusalem) n'est pas considérée comme la capitale de la Palestine, a annoncé mardi la présidence palestinienne. 
 
Toute tentative de contournement de l'Initiative de paix arabe et des résolutions internationales légitimes en proposant des idées vagues ou des slogans est vouée à l'échec, a déclaré le porte-parole de Mahmoud Abbas, Nabil Abu Rudeineh, dans un communiqué publié par l'agence de presse officielle palestinienne WAFA.

Les Palestiniens ne renonceront pas à l'établissement d'un Etat palestinien indépendant avec Al-Qods (Jérusalem-Est) comme capitale, dans les frontières de 1967, et veulent une solution juste pour le problème des réfugiés, a poursuivi le responsable. Jérusalem sera la clef pour la paix, la sécurité et la stabilité de la région et du monde, a souligné le porte-parole palestinien.

Le communiqué a été publié alors que les médias parlent de l'"accord du siècle" qui sera présenté par le président américain Donald Trump pour mettre fin au conflit israélo-palestinien, sans même avoir obtenu l'approbation de l'Autorité palestinienne.

Les liens entre la Palestine et les Etats-Unis sont tendus depuis décembre dernier, quand M. Trump a reconnu Al-Qods comme étant la capitale d'Israël et a ordonné le transfert de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à la ville sainte.