
تقي زاده
Un journaliste iranien tué dans un bombardement des rebelles à Alep en Syrie
Récemment, Alep connaît des bombardements et affrontements les plus intenses depuis le début du conflit il y a quatre ans entre les forces gouvernementales et les rebelles.
La discorde et la dispersion sont le danger le plus grand qui menace l'umma islamique
Dans le noble coran, il est insisté que Dieu a envoyé les prophètes pour implanter la religion sur la Terre. La mission des prophètes consiste à empêcher la dispersion dans l'application de la religion, a-t-il précisé.
L'identité de la communauté islamique dépend du vilayat du vénéré Mohammad (Sawa). L'identité de l'islam est définie par la personnalité du noble prophète de l'islam, a-t-il suivi.
Le noble prophète de l'islam est comme un père pour l'umma islamique. Donc, tous les gens qui sont liés à l'identité islamique sont comme des frères, a-t-il ajouté.
Combats dans l'est de Mossoul, les civils fuient les insurgés
Mais la reprise totale de cette ville ne devrait pas intervenir avant des semaines.
En Irak, les travailleurs humanitaires craignent d'importants déplacements de population au fur et à mesure que les forces irakiennes progressent dans Mossoul.
"Les combats sont intenses ce matin. Nous essayons de fortifier nos positions à Arbajiyah", a déclaré le lieutenant-colonel Muntadhar Salem, des unités d'élite du contre-terrorisme (CTS), en référence à un quartier dans l'est.
Selon lui, les forces d'élite irakiennes visent aussi un autre quartier de l'est, Al-Bakr, qu'elles veulent encercler.
"Nous avons vu avec notre drone trois voitures piégées venant d'Al-Bakr en direction de nos positions, et nous les avons frappées avec nos chars", indique M. Salem.
Nous "avançons vers Al-Bakr pour l'encercler", a confirmé un autre commandant des forces d'élite, Ali Hussein Fadhel.
Les insurgés ont également recours à des drones à des fins d'observation, et l'un d'eux a été détruit par les forces irakiennes, selon le commandant Fadhel.
- Piège -
Alors que les combats faisaient rage dans la ville, des civils, la plupart brandissant des drapeaux blancs, marchaient en direction de la périphérie de Mossoul et se réunissaient près d'un camion militaire qui devait ensuite les transporter hors de la ville.
Plus de 49.000 personnes ont été déplacées depuis le début des opérations pour reprendre Mossoul, a indiqué samedi l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
40 tués dans un attentat suicide dans un sanctuaire musulman du sud-ouest du Pakistan
Les blessés ont été évacués vers la commune voisine de Hub, ainsi qu'à Karachi, a déclaré un responsable des secours sur la chaîne de télévision Geo TV. Le gouvernement a dépêché 25 ambulances depuis Hub, ont annoncé les autorités du Baloutchistan. L'armée a aussi été appelée pour aider aux opérations de sauvetage compte tenu de la situation géographique isolée du site.
"Le gouvernement est déterminé à éliminer le terrorisme et les extrémistes du pays", a, quant à lui, réagi le président pakistanais Mamnoon Hussain.
Le but de notre adoration
Les actes d'adoration sont la manifestation d'une soumission sincère à Allah . De plus, ils sont le seul lien fort entre l'adorateur et Allah.
Les actes d'adoration par exemple la prière et le jeûne; renforcent également les liens entre les êtres humains.
La logique de l'Islam fait en sorte que toute notre vie soit une soumission sincère à Allah . L’adoration d’Allah est la raison de notre création et elle est le fondement premier de notre mission sur terre.
Ceci est le sens du verset coranique suivant : "Je n'ai créé les Djinns et les Hommes que pour qu'ils M'adorent. Je ne leur demande aucune subsistance et Je ne leur demande pas de Me nourrir. En vérité, c'est Dieu le Grand Pourvoyeur, le Détenteur de la force, l'inébranlable."[1]
Allah dit également: "Dis: En vérité, ma prière, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Dieu, Seigneur de l'univers." [2]
Certes, l'évocation d'Allah et se rapprocher de lui par ce qu'il aime parmi les actions et paroles vertueuses ne sont pas acceptées auprès d'Allah si ce n'est après que le serviteur se tienne sur trois piliers qui sont : l'amour, la peur et l'espoir.
Mais ce qui est important c'est le but de notre adoration. l'amour d'Allah ou l'espoir au paradis et La peur de l'Enfer ?
Allah est adoré avec amour ou espérance de sa récompense et peur de son châtiment ?
Allah a propos de chaque personne qui lui adore, dit dans le Coran: "Et Allah est meilleur et éternel."[3]
Mais pour quiconque adore avec espérance de sa récompense et peur de son châtiment, dit: "Mais, vous préférez plutôt la vie présente. alors que l'au-delà est meilleur et plus durable."[4]
on doit connaitre que l'adoration n'est pas une transaction.
Donc l'adoration véritable doit soulement †être pour Allah. parce que la vie après la mort est Un miroir de satisfaction divine et colère divine.
Note:
[1] Coran (51:56-58) وَمَا خَلَقْتُ الْجِنَّ وَالْإِنسَ إِلَّا لِيَعْبُدُونِ. مَا أُرِيدُ مِنْهُم مِّن رِّزْقٍ وَمَا أُرِيدُ أَن يُطْعِمُونِ . إِنَّ اللَّـهَ هُوَ الرَّزَّاقُ ذُو الْقُوَّةِ الْمَتِينُ
[2] Coran (6:162) قُلْ إِنَّ صَلَاتِي وَنُسُكِي وَمَحْيَايَ وَمَمَاتِي لِلَّـهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ
[3] Coran (20:73) وَاللَّـهُ خَيْرٌ وَأَبْقَىٰ
[4] Coran (87:16.17) بَلْ تُؤْثِرُونَ الْحَيَاةَ الدُّنْيَا وَالْآخِرَةُ خَيْرٌ وَأَبْقَىٰ
Trump est un républicain pas comme les autres
Pour l’expert iranien des questions internationales, Hassan Abedini, on ne peut pas parler de Donald Trump comme d'un vrai républicain.
Il est peu probable que la politique intérieure et étrangère de l’ère Trump ressemble nécessairement aux anciens gouvernements républicains des États-Unis.
Dans une interview exclusive accordée à l’agence Tasnim, Hassan Abedini a fait surtout référence aux slogans électoraux de Donald Trump.
« Trump a d’abord prétendu que c’était Clinton qui avait créé Daech. Trump s'est montré opposé à la guerre en Irak et en Afghanistan, guerres qui ont coûté 6 trillions de dollars aux contribuables américains. Selon lui, ces deux guerres datent du mandat des républicains, alors que les Bush, père et fils, logeaient tour à tour à la Maison Blanche (...) Avant même que les compétitivités électorales ne deviennent sérieuses, une grande partie des républicains ont pris leur distance avec Donald Trump, affirmant qu’ils n’iraient pas voter Trump. Même George W. Bush a déclaré avoir déposé un bulletin blanc dans l'urne. »

Hassan Abedini s’est ensuite attardé sur les critiques portées par Donald Trump contre l’ordre politique des États-Unis :
« Sur le plan intérieur, l’ordre politique étasunien est corrompu selon Trump. Autrement dit, il pointait du doigt les politiciens de son propre pays sous la présidence des démocrates aussi bien que sous les mandats républicains. »
Hassan Abedini a dénoncé l’image trompeuse que les autorités américaines avaient véhiculée de leur pays, une « fausse image » que la RII a toujours cherché à montrer la vraie face et détromper l'opinion publique.
Abedini a terminé par une analyse socio-politique :
« Bien que Donald Trump soit une personnalité impopulaire, déraisonnable et imprévisible, la couche défavorisée de la société américaine a voté pour lui. Cela montre que quiconque s’oppose à l’ordre politique actuel des États-Unis peut très bien obtenir le vote des plus démunis. Malgré le fait qu'il s'agisse d'un milliardaire… »
L’artillerie israélienne a attaqué les positions de l’armée syrienne
L’artillerie de l’armée israélienne a lancé une attaque contre une base militaire syrienne dans le sud de la Syrie.
L’armée du régime israélien prétend avoir mené cette opération de représailles contre des positions de l’armée syrienne.
Le porte-parole des forces armées israéliennes a déclaré dans un communiqué :
Les forces de l’armée israélienne ont attaqué une unité d’artillerie de l’armée syrienne pour riposter aux tirs de roquette qui ont atteint Israël dans le nord des hauteurs du Golan.
Dans la suite de ce communiqué on peut lire :
L’armée israélienne ne supportera nulle tentative pouvant porter atteinte à la souveraineté territoriale d’Israël.
À préciser qu'une roquette qui était sortie de sa trajectoire a touché le sol des hauteurs de Golan ce mercredi sans causer pourtant de dommages matériels ou humains.
Les néo-conservateurs seraient les bienvenus au nouveau cabinet US
La victoire pas très attendue de Donald Trump ayant à peine été annoncée, les spéculations sont lancées sur la composition de son cabinet.
Et l’un des portefeuilles les plus importants c’est, certes, le ministère des Affaires étrangères. Au sein du milieu diplomatique des États-Unis, les partisans de Doland Trump n’ont pas été très nombreux ; il semblait perdre au sein même de son parti républicain au cours des campagnes. Mais une chose en commun chez toutes les personnalités politiques ayant apporté leur soutien : tous sont diplômés d'une école qui prône le néo-conservatisme.
Les médias américains parlent déjà de certaines figures marquantes en tant que les candidats potentiels au département d’État.Selon le site Web Politico, l’ancien président de la Chambre des représentants et l’un des partisans de Trump, Newt Gingrich est l’un des candidats qui pourrait prendre le cap de la diplomatie du nouveau gouvernement américain. Le sénateur républicain de l'État du Tennessee et président de la commission des relations étrangères du Sénat américain, Bob Crocker est l’autre candidat à ce poste ; il avait lui-même affirmé plus tôt qu’il étudierait sérieusement une telle proposition. Donald Trump a aussi un regard sur John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis à l’ONU. Toutes ces trois personnes sont connues pour leurs positions fortement anti-iraniennes.
La chaîne NBC News aussi s’intéresse à la composition du futur gouvernement américain. Elle se réfère aux dires des trois des conseillers électoraux qui ont souhaité l’anonymat pour faire sa liste des membres du cabinet de Trump. Selon NBC News, Rudy Giuliani est le candidat au poste de procureur général, Newt Gingrich est le candidat au poste de secrétaire d’État, le général en retraite Michael Flynn est le candidat pour occuper le poste de secrétaire à la Défense ou de conseiller à la sécurité nationale, Steve Mnuchin deviendra le secrétaire du Trésor et Lew Eisenberg est le candidat pour prendre en main le département du Commerce sous la présidence de Donald Trump.
Par ailleurs, « The Hill », habitué de l’analyse des évolutions internes aux États-Unis écrit que pour beaucoup de républicains, le candidat le plus plausible pour occuper le département d’État n’est autre que Bob Crocker, le chef de la commission des relations étrangères du Sénat dont le nom circulait un certain moment comme étant le probable futur colistier ; or, Newt Gingrich a affirmé que Donald Trump lui avait promis un important poste lors d’une rencontre en début juillet à Indianapolis. Gingrich aurait, quant à lui, exprimé sa préférence pour devenir un haut conseiller ayant des prérogatives pour inspecter la bureaucratie fédérale et contrer, à titre d’exemple, les cas de corruption et les dépenses publiques.
Aperçu de la politique étrangère de Donald Trump
Donald Trump, le nouveau président républicain des États-Unis, a déjà donné un aperçu de ses idées en matière de politique étrangère qui peuvent se résumer en deux points majeurs: la réduction de la présence militaire américaine en Asie et la lutte antiterrorisme.
1- Trump avait déclaré que s’il était élu président des États-Unis, il réduirait la présence militaire américaine en Asie et les taxes d’importations venant d'Asie. Des promesses qui, selon les analystes, si elles sont appliquées, entraîneront les États-Unis dans l’isolationnisme.
2- Malgré toutes les critiques contre la diplomatie américaine et l’accord nucléaire entre l’Iran et le G5+1, Trump s'est distingué des nombreux autres prétendants républicains à la Maison Blanche, en affirmant qu'il ne renierait pas l'accord avec l'Iran sur son programme nucléaire. « Je gérerai ce contrat de façon si dure qu'ils n'auront aucune chance. Je doublerai, triplerai les sanctions contre les Iraniens pour les obliger à revenir à la table des négociations », avait dit en août dernier l'homme d'affaires, adepte des déclarations à l'emporte-pièce.
3- Concernant l’Arabie saoudite, il avait affirmé dans une émission télévisée de CBS News: « Nous couvrons des gens qui sont censés nous soutenir. Certains de nos soi-disant alliés que nous soutenons militairement, offrent des sommes astronomiques aux groupes terroristes comme Daech et al-Qaïda. » Trump s’était gardé de divulguer le nom de ce « soi-disant allié », mais l’animateur de l’émission alla plus loin en disant: « Voulez-vous parler de l’Arabie saoudite ? » Et Trump répondit: « Sans aucun doute. Tout le monde le sait ! »
4- Quant au conflit israélo-palestinien, il avait déclaré en février dernier que s'il était élu président, il serait neutre sur la question. Trump avait promis de donner un vrai coup de feu au conflit et considéré que ce serait probablement l'accord le plus difficile à faire.
5- Sa stratégie de lutte contre Daech est celle de coopérer avec les pays victimes de la montée en puissance de ce groupe terroriste. « Mais cette coopération doit être réciproque. Ils doivent se rappeler nos soutiens et nous les rendre. La lutte contre l’islam extrémiste est aussi en cours dans notre territoire. De nombreux immigrants dans notre pays sont soupçonnés d’actes terroristes. » Trump avait aussi déclaré qu’il obligerait les pays alliés à rembourser les aides militaires des États-Unis.
6- M. Trump s’est défendu contre les accusations de complaisance avancées par ses adversaires démocrates. Ils disent « Donald Trump aime Poutine. Je ne l’aime pas, je ne le déteste pas, nous allons voir comment les choses avanceront », avait-il assuré. Il a une nouvelle fois envisagé de coopérer avec Moscou contre Daech.
Élection de Donald Trump: les messages fusent du monde entier
La victoire du républicain Donald Trump aux présidentielles américaines a suscité de multiples réactions allant de la surprise à l’inquiétude. Néanmoins, tous les dirigeants, aux quatre coins du monde, ont appelé à la collaboration avec le 45e président des États-Unis.

Maison Blanche
L’actuel président américain Barack Obama a appelé son futur successeur pour lui adresser ses félicitations. Il l’a invité pour préparer la transition. « Le président a invité le président élu […] ce jeudi 10 novembre pour faire le point sur le planning de transition sur lequel son équipe travaille depuis presque un an. Assurer une transition du pouvoir harmonieuse est l’une des priorités que le président a identifiées en début d’année, et rencontrer le président élu en est la prochaine étape », dit le communiqué de la Maison Blanche.
Arabie saoudite
Le roi Salmane d’Arabie saoudite a souhaité mercredi que Donald Trump apporte « la stabilité » au Moyen-Orient, théâtre de conflits armés, dans un télégramme de félicitations au président élu des États-Unis.
« Nous souhaitons à votre excellence la réussite et le succès dans votre mission pour réaliser la sécurité et la stabilité dans la région du Moyen-Orient et dans le monde », écrit le souverain saoudien dans la première réaction de Riyad à l’annonce de l’élection de Donald Trump.
Irak
Le Premier ministre irakien Haïder al-Abadi a félicité ce mercredi Donald Trump pour son élection à la présidence des États-Unis, disant espérer la poursuite du soutien américain dans la lutte contre les terroristes.
Hamas
Le mouvement de la Résistance palestinienne, Hamas, a douté d’un revirement de la politique du nouveau président américain envers le conflit israélo-palestinien.
France
En France, François Hollande a félicité le nouveau président américain «comme il est naturel entre deux chefs d'État démocratiques», concédant dans le même temps que son élection «ouvre une période d'incertitude» et que «nous devrons trouver les réponses» pour «dépasser les peurs». Après avoir rappelé les principaux enjeux (lutte contre le terrorisme, situation au Moyen-Orient, préservation de la planète...), le locataire de l'Élysée a appelé à une «Europe unie».
M. Hollande a également souligné l'importance pour son gouvernement d'établir de bonnes relations avec la Maison Blanche. « Les États-Unis constituent un partenaire de tout premier plan pour la France et ce qui est en jeu c'est la paix, c'est la lutte contre le terrorisme, la situation au Moyen-Orient, les relations économiques et la préservation de la planète. »
Ailleurs en Europe
Si Viktor Orban, Premier ministre hongrois et représentant des droites nationalistes européennes, a parlé de «grande nouvelle», le président du Conseil italien, Matteo Renzi, s'est contenté d'un : «Je le félicite. L'amitié italo-américaine est solide».
De son côté, la chancelière allemande Angela Merkel a proposé à Trump «une coopération étroite» tandis que le chef de la diplomatie allemande, Frank Walter Steinmeier, s'attend à des temps «plus difficiles».
«Rien ne va plus être simple, beaucoup de choses vont devenir plus difficiles» a-t-il déclaré avant d'ajouter devant la presse allemande qu'il craignait que les États-Unis «prennent plus souvent des décisions seuls». Une inquiétude partagée par le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel, qui voit en Donald Trump «le pionnier d'un courant international autoritaire et chauvin».
Grande-Bretagne
La première ministre britannique, Theresa May, a également félicité Trump. « Je suis impatiente de travailler avec le président élu Donald Trump pour renforcer les relations et garantir la sécurité et la liberté de nos nations au cours des années à venir », a-t-elle déclaré dans un communiqué.
Russie
Le président russe, Vladimir Poutine, a envoyé un télégramme de félicitations à Donald Trump dans lequel il « exprime l'espoir d'un travail conjoint pour restaurer des relations russo-américaines en crise et pour résoudre des questions internationales pressantes et chercher des réponses efficaces aux défis touchant à la sécurité mondiale ».
Le président russe a également dit espérer que la collaboration avec les États-Unis en Syrie s’améliorerait avec l’élection de M. Trump.
Inde
Le Premier ministre Narendra Modi veut «porter les relations bilatérales américano-indiennes à un nouveau pic». Il a félicité Donald Trump sur Twitter et déclaré : «Nous apprécions l'amitié dont vous avez fait preuve pour l'Inde durant votre campagne. Nous avons hâte de travailler avec vous pour porter les relations bilatérales américano-indiennes à un nouveau pic».
Turquie
« J'espère que ce choix du peuple américain conduira à des mesures bénéfiques pour le monde entier en ce qui concerne les libertés et les droits fondamentaux, la démocratie et l'évolution de notre région », a pour sa part déclaré le président turc, Recep Tayyip Erdogan, au cours d’un discours à Istanbul.
Japon
Même son de cloche du côté du premier ministre japonais, Shinzo Abe, qui a félicité le républicain pour sa victoire, ajoutant que «le Japon et les États-Unis sont des alliés inébranlables liés par des valeurs communes telles que la liberté, la démocratie, les droits de l'homme fondamentaux et l'État de droit».
Égypte
Le président Abdel Fattah Al-Sissi a dit espérer que l’élection de Trump allait contribuer à un réchauffement des relations avec les États-Unis.
OTAN / ONU
Outre les nations, deux organisations internationales ont tenu à faire passer un message à Donald Trump. Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, s'est dit «impatient de rencontrer prochainement M.Trump, et de l'accueillir à Bruxelles pour le sommet de l’OTAN» alors que le nouveau président menace de quitter l'organisation. Même déclaration de l'ONU alors que Donald Trump a souvent contesté l'existence du réchauffement climatique. Les Nations Unies ont déclaré qu'elles souhaitaient coopérer avec lui sur le climat «pour le bénéfice des peuples du monde».