
تقي زاده
Les missiles palestiniens ne renoncent pas à leur résistance
Après la prière de ce vendredi, les habitants de la bande de Gaza et d’autres villes en Cisjordanie ont organisé des manifestations d’envergure pour protester contre le plan dit « Deal du siècle » et l’annexion par le régime sioniste de la vallée du Jourdain. Ces affrontements ont tourné par endroit aux affrontements.
« D’intenses affrontements ont opposé les jeunes palestiniens aux forces du régime occupant en Cisjordanie. Les militaires sionistes ont eu recours à des balles réelles ou au caoutchouc ainsi qu’aux gaz lacrymogènes », a écrit le site d’information Pal Today.
En état d’alerte depuis quelques jours, les forces du régime sioniste ont renforcé depuis minuit leur présence dans les rues et principales artères.
Le bilan de cet affrontement s’élève à des dizaines de blessés en Cisjordanie. Des dizaines de personnes ont été asphyxiées dans la vallée du Jourdain en inhalant du gaz lacrymogène.
Les affrontements se poursuivent à Ramallah, Kafr Qadoum, Tayaha et à l’entrée de la cité de Bita au sud de la ville de Naplouse.
Les participants aux manifestations ont scandé: « Nous ne permettrons jamais la mise en œuvre du plan américano-israélien connu sous le nom de Deal du siècle, parce que la vallée du Jourdain est un territoire palestinien et nous n’y renoncerons jamais. »
Le Deal du siècle envisage l’annexion par Israël de la vallée du Jourdain qui représente environ 30 % de la Cisjordanie.
Les habitants de Kfar Yaasif, al-Bi’ina, Deir al-Asad, Majd al-Krum, Nahaf et d’autres localités en Cisjordanie sont descendus dans les rues.
Par ailleurs, le ministère palestinien de la Santé a annoncé la mort d'un adolescent palestinien de 15 ans blessé il y a plusieurs mois. L'adolescent, Alaa Hani, avait été touché à la tête par une grenade de gaz lacrymogène.
Dans le sud de Naplouse, les colons d’Itshar ont également pris d'assaut les maisons des Palestiniens dans le village de Madma mais les habitants les ont repoussés.
Lors de ces affrontements, les forces israéliennes ont appuyé les colons.
« La marché d’aujourd’hui témoigne de l’unité des Palestiniens face à Trump », a pour sa part affirmé le porte-parole du Jihad islamique, Davoud Chahab, indiquant que toutes les options pour faire face à ce deal sont sur la table.
Lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, Donald Trump a dévoilé son « Deal du siècle ». Selon ce plan, Qods sera la capitale d’Israël.
Selon une autre information, de fortes explosions ont retenti aujourd’hui dans la colonie sioniste de Ghilaf Gaza. Ces explosions ont été également entendues à Eshkol.
Selon une source israélienne, 3 roquettes ont été tirées en direction de la colonie sioniste de Ghilaf Gaza.
Le Dôme de fer a intercepté deux de ces missiles mais le troisième s’est abattu dans une zone déserte.
On ignore dans l’immédiat le bilan de cette explosio
Le terrorisme économique américain vise AEOI
Le Département du Trésor des États-Unis a mis sur liste noire l'Organisation iranienne de l'énergie atomique et son chef Ali Akbar Salehi.
Bureau de contrôle des avoirs étrangers (OFAC) a annoncé jeudi que Salehi était passible de sanctions secondaires.
Sur la base de ces sanctions, les propriétés des individus répertoriés sur le territoire américain seront confisquées et les citoyens américains ne seront pas autorisés à conclure des accords avec eux.
Plus tôt, le département américain du Trésor a ajouté le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) à la liste des sanctions, affirmant qu'il s'agit de la lutte contre le terrorisme.
Le département américain du Trésor a également sanctionné trois sociétés iraniennes et une société chinoise sous prétexte de travailler avec CGRI.
Le président américain Donald Trump avait également assassiné le commandant de la Force Quds des CGR, le général de corps d'armée Qassem Soleimani dans le cadre du terrorisme d'État. Le président américain Donald Trump avait également assassiné le commandant de la Force Quds des CGRI, le général de corps d'armée Qassem Soleimani dans le cadre du terrorisme d'État.
Deal du siècle: les sionistes sont divisés
Les sionistes se félicitent du « Deal du siècle », et ce, alors que de leur propre aveu, ils sont divisés sur l’application de ses clauses.
Le journal israélien Yediot Aharonot a écrit que la décision du Premier ministre israélien d’annuler une réunion qui devrait avoir lieu dimanche en vue de faire annexer à Israël la vallée du Jourdain et les colonies sionistes instaurées en Cisjordanie, conformément au « Deal du siècle », avait fait polémique entre ceux qui sont pour les annexions en question et ceux qui veulent que cette affaire soit reportée à la tenue des élections parlementaires.
Entre temps, l’ambassadeur des États-Unis à Tel-Aviv tente de pousser les dirigeants israéliens à l’annexion d’urgence de ces régions en moins d’une semaine après l’annonce du « Deal du siècle ». D’autre part, le conseiller et le gendre de Trump, Jared Kushner a annoncé que cette décision serait reportée à l’après les élections législatives.
Netanyahu espérait pouvoir créer une grande évolution dans les urnes par le biais de l’annexion immédiate de ces zones et réduire le nombre d’opposants à la droite qui ont versé de l’eau froide sur le « Deal du siècle » et ses conséquences.
D’après Yediot Aharonot, il semble que l’armée israélienne ait été surprise ; les informations révélées par les agences de sécurité à Tel-Aviv montrent qu’à peine quelques heures avant l’annonce des détails du « Deal du siècle », l’armée israélienne en avait été informée ; c’est pourquoi elle n’est pas prête à faire face à ses retombées. L’intensification des affrontements d’envergure avec les Palestiniens en Cisjordanie pourrait être l’une des plus importantes préoccupations de l’armée israélienne. De même, il paraît que les milieux sécuritaires de haut rang israélien ne sont pas satisfaits de l’annexion de la vallée du Jourdain à Israël, en raison des effets qu’elle aura sur les relations de Tel-Aviv avec Amman (Jordanie). Cela pourrait être l’une des raisons du refus de l’annexion immédiate de cette région aux territoires occupés.
Comment sauver les GI's de la riposte des Hachd ? « faire le rat mort »...
Nouveau tir de missiles, nouvelle rhétorique victimaire ! alors que Kataeb Hezbollah a affirmé dans l’un de ses derniers messages se réserver le droit d’infliger une riposte anti-US, identique à celle de l’Iran, pour venger le sang de son haut commandant Abou Mahdi Mohandes, assassiné le 3 janvier par les USA à l’aéroport de Bagdad, une nouvelle attaque au missile et à la roquette a visé vendredi 31 janvier la base aérienne d’al-Qayyarah au sud de Mossoul, chef-lieu de la province de Ninive au nord de l’Irak. Située à 60 km au sud de Mossoul et à environ à 300 km au nord de Bagdad, la base aérienne d’al-Qayyarah abrite les forces américaines, surtout les forces irakiennes dont font partie effectivement les Hachd. Les sources non officielles ont rapporté que des bruits d’explosions avaient résonné près de la base aérienne qui selon certaines sources accueille des troupes américaines.
Des milliers d’Algériens crient "Mort à Israël"
Des milliers d’Algériens sont descendus dans la rue, à Alger et dans d’autres villes, afin d’exprimer leur colère contre le plan américain du « Deal du siècle ».
Vendredi 31 janvier, des milliers d’Algériens ont pris part à des manifestations à Alger, mais également dans d’autres villes afin de protester contre les plans des États-Unis et d’Israël destinés à mettre la main sur les terres palestiniennes sous prétexte du « rétablissement de paix ». Les manifestants algériens ont scandé des slogans contre le Deal du siècle et exprimé leur soutien à la cause palestinienne et aux droits de la nation palestinienne. Ils ont souligné que les droits des Palestiniens n’étaient pas à négliger.
Comment le nouveau commandant de la Force Qods a surpris USA/Israël?
L'assassinat du haut commandant Soleimani le 3 janvier à Bagdad aurait dû non seulement faciliter la liquidation de la Palestine à la faveur du Deal du siècle, mais encore préparer le terrain à l'expulsion de la Russie de la Syrie. Tout le monde sait que sans la visite du défunt général en Russie en 2015, le président Poutine n'aurait pas décidé d'engager militairement son pays en Syrie. En planifiant l'assassinat du général Soleimani, les Américains avaient donc à la fois visé à "sécuriser" Israël sur le front Sud, en faisant de la Palestine une enclave soumise à Tel-Aviv, mais aussi à l'immuniser sur le front Nord puisque la Russie sans la Résistance aurait tôt ou tard fini par quitter la Syrie. À Idlib et à Alep, ce sont donc des pans entiers de cette énième fausse illusion US/Israël qui viennent de s'écrouler.
Newsweek: "Les USA préparent leur grande guerre contre la Russie"
Alors que les médias et l’opinion publique américains se concentrent sur l'Iran, l'armée américaine se prépare à la guerre avec la Russie, selon un rapport exclusif de Newsweek.
« Au plus fort des tensions avec l'Iran l'année dernière, les États-Unis ont mené une série de manœuvres sans précédent. En l’espace de cinq mois, de mai à fin septembre, 93 exercices militaires distincts ont eu lieu par les forces opérant en continu dans environ 29 pays », a rapporté vendredi 31 janvier l’hebdomadaire américain Newsweek.
« Les manœuvres qui comprenaient tout, depuis les tactiques de peloton au sol à la cyber-guerre, n'ont pas eu lieu au Moyen-Orient et n'étaient pas dirigées contre Téhéran. Par contre, elles étaient dirigées contre Moscou et constituaient la série d'exercices ininterrompue la plus intense depuis la fin de la guerre froide », a ajouté Newsweek.
"Les Patriot bannis, vos bases exposées"
Les Hachd al-Chaabi ont renforcé leur présence sur les frontières irako-syriennes pour enrayer l’infiltration des résidus de Daech à l’intérieur du territoire irakien. Alors que le Pentagone a revu encore en hausse ce vendredi le bilan des blessés de la frappe au missile balistique iranienne du 8 janvier contre la base Aïn al-Asad, l'établissant désormais à 64 GI's, Bagdad a lancé un ultimatum à Washington.
L'Irak a exigé que les États-Unis retirent toutes leurs troupes du pays dans un délai de trois mois. Cet ultimatum est aussi adressé à toutes les troupes étrangères. Le processus de retrait des troupes étrangères sera supervisé par une commission parlementaire, ce qui indique que Bagdad est prêt à prendre les mesures les plus radicales qui soient contre les États-Unis et tous les autres États qui refusent de se conformer à cette exigence parfaitement légale, le pacte de sécurité US/Irak ayant été rompu après l'assassinat du général Soleimani, d'Abou Mahdi al-Mohandes et de leurs compagnons le 3 janvier dernier.
Mercredi, le département américain de la Défense a envoyé une demande officielle à Bagdad pour le déploiement des systèmes de défense aérienne Patriot en Irak, ce que le secrétaire de la Défense Mark Esper a reconnu jeudi lors d'un point de presse. Or le délai fixé par l'Irak à la présence militaire US/OTAN constitue une cuisante réponse à la demande américaine, indiquant que les installations militaires et diplomatiques américaines sur le territoire irakien continueront de subir des frappes aux roquettes et aux missiles.
Et si Washington refusait de quitter le pays ? Un aperçu de la situation est d'ores et déjà prévisible. À al-Anbar tout comme à travers toutes les régions où l'Amérique détient une base militaire, la Résistance reconfigure en ce moment très rapidement ses forces. Les GI's retranchés dans leurs bases sont assiégés.
Un engin explosif s'écrase à Dimona
Un engin explosif s'écrase à Dimona sans que le Dôme de fer puisse l'intercepter. « Le Deal du siècle ouvrira la boîte de Pandore », prévoyaient craintifs les analystes israéliens. Pour la première fois depuis plus de soixante-dix ans, Dimona a été pris pour cible.
Des ballons chargés d'explosifs ont pris pour cible la centrale nucléaire israélienne de Dimona. Selon plusieurs sources, le ballon a survolé avec succès 70 kilomètres et n'a été intercepté ni par le Dôme de fer ni par aucun autre système de défense aérienne.
L'engin s'est écrasé non loin de la centrale mettant en péril la sécurité. « Le Hamas pourrait nous envoyer la prochaine fois ses missiles », a constaté un employé de Dimona, ajoutant que les frappes aériennes contre Gaza ne feraient qu'attiser les tensions.
"Les Patriot bannis, vos bases exposées"
Les Hachd al-Chaabi ont renforcé leur présence sur les frontières irako-syriennes pour enrayer l’infiltration des résidus de Daech à l’intérieur du territoire irakien. Alors que le Pentagone a revu encore en hausse ce vendredi le bilan des blessés de la frappe au missile balistique iranienne du 8 janvier contre la base Aïn al-Asad, l'établissant désormais à 64 GI's, Bagdad a lancé un ultimatum à Washington.
L'Irak a exigé que les États-Unis retirent toutes leurs troupes du pays dans un délai de trois mois. Cet ultimatum est aussi adressé à toutes les troupes étrangères. Le processus de retrait des troupes étrangères sera supervisé par une commission parlementaire, ce qui indique que Bagdad est prêt à prendre les mesures les plus radicales qui soient contre les États-Unis et tous les autres États qui refusent de se conformer à cette exigence parfaitement légale, le pacte de sécurité US/Irak ayant été rompu après l'assassinat du général Soleimani, d'Abou Mahdi al-Mohandes et de leurs compagnons le 3 janvier dernier.
Mercredi, le département américain de la Défense a envoyé une demande officielle à Bagdad pour le déploiement des systèmes de défense aérienne Patriot en Irak, ce que le secrétaire de la Défense Mark Esper a reconnu jeudi lors d'un point de presse. Or le délai fixé par l'Irak à la présence militaire US/OTAN constitue une cuisante réponse à la demande américaine, indiquant que les installations militaires et diplomatiques américaines sur le territoire irakien continueront de subir des frappes aux roquettes et aux missiles.
Et si Washington refusait de quitter le pays ? Un aperçu de la situation est d'ores et déjà prévisible. À al-Anbar tout comme à travers toutes les régions où l'Amérique détient une base militaire, la Résistance reconfigure en ce moment très rapidement ses forces. Les GI's retranchés dans leurs bases sont assiégés.