تقي زاده

تقي زاده

Un avion de reconnaissance tactique sans pilote en Iran le vendredi pourrait faire un vol de reconnaissance sur un porte-avions américain au cours de la grande manœuvre navale baptisé "Velayat 94".

La marine américaine a rapporté qu'un drone iranien non armé a volé au début du mois à proximité d'un porte-avion Français et un autre américain, mais n'a pas confirmé que c'était le même incident.

“Le drone iranien n'était pas désarmé et il ne présentait pas de menace pour les opérations aériennes du porte-avions américain déployé dans la zone. En fait, nous n'ouvrons pas de feu contre lui”, a dit vendredi le porte-parole de la Marine de guerre américaine, de Nicole Schwegman, à travers d'un communiqué.

Selon Schwegman, le drone iranien a volé près du porte-avions français Charles de Gaulle et "directement par-dessus" de l'USS Harry S. Truman le 12 janvier, en étant les deux navires dans des eaux internationales du Golfe Persique.

Le porte-parole américain a serré que le jour du sur un vol iranien a été le même dans lequel l'Iran a arrêté deux embarcations de la Marine américaine et à 10 de ses membres qui étaient entrés par erreur dans des eaux territoriales iraniennes.

Comme on peut apprécier dans les images acquises, le porte-avions américain, avec un équipage de cinq mille personnes, il s'est aperçu de la présence du drone iranien, puisque, les systèmes installés dans le navire n'ont pas réagi.

La télévision iranienne a annoncé vendredi qu'un avion pas ventru de surveillance avait survolé à un port avionnes américain au Golfe Persique et fait des photos "précises", vendredi, pendant le simulacre naval iranien.

“C'est un signe du courage, de l'expérience et les capacités scientifiques de nos opérateurs d'avions pas ventrus, qui ont permis à nos hommes d'arriver si près du bateau de guerre et de capturer de si belles images précises des unités de combat des forces étrangères”, a déclaré le commandant de la Force Navale de l'Armée iranienne, du contre-amiral Habibollah Sayari.

Dans la manœuvre navale Velayat 94, commencé mercredi, il est prévu que les forces iraniennes emploient des tactiques de guerre dessinées pour défendre les côtes de l'Iran le long du Golfe Persique et la mer de l'Oman d'ennemis possibles, avec l'assistance d'aéronefs et hélicoptères de la Force Navale iranienne en donnant une couverture aérienne aux unités déployées dans la mer, en même temps que des unités lance-missiles prouvent de nouveaux missiles terre-mer.

Le Président du Tchad, Idriss Déby Itno, a été, officiellement, désigné pour occuper la présidence tournante de l’Union africaine, (UA), lors de la cérémonie d’ouverture du 26e Sommet, samedi 30 janvier.

Il a précisé que cette Union a une lourde mission à accomplir, dans la lutte contre le terrorisme et la pauvreté.

Profondément déçus, après la conclusion des accords nucléaires entre l’Iran et les grandes puissances, les dirigeants du régime sioniste se tournent vers la Turquie, a écrit le site d’information et d’analyses, Al-Monitor.

Dans un article, intitulé «Pourquoi Israël a besoin, plus que jamais, de la Turquie», publié le vendredi 29 janvier, Al- Monitor a évoqué la récente visite historique du Président iranien, Hassan Rohani, en Europe. L’article souligne que la délégation politique du président iranien était accompagnée de près de 100 hommes d’affaires. En Italie, le Président Hassan Rohani a été accueilli, de manière sans précédent, par les dirigeants de ce pays. Il a rencontré, à Rome, le président et le Premier ministre italiens, ainsi que le souverain pontife, le Pape François. Après son voyage, en Italie, le Président Hassan Rohani s’est rendu, en France, où il a rencontré son homologue français, François Hollande, à l’Elysée. A Paris, comme à Rome, les hôtes de la délégation iranienne ont exprimé, clairement, leur intention de signer de nombreux contrats avec l’Iran, pour des milliards de dollars, après la levée des sanctions anti-iraniennes.

D’après l’analyste d’Al-Monitor, ce qui inquiète, profondément, le Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu, c’est qu’après la défaite définitive de ses complots, visant à empêcher la conclusion, puis, la mise en application du Plan global d’action commune, l’Iran va devenir, bientôt, une puissance régionale incontestable et un pôle économique et commercial de premier ordre de la région du Moyen-Orient.

Il y a quelques mois, les dirigeants du régime sioniste espéraient, encore, que les Etats-Unis poursuivraient leur politique hostile, à l’encontre de la RII, jusqu’à empêcher l’application finale des accords entre l’Iran et les grandes puissances, en vertu du Plan global d’action commune. Mais les Etats-Unis sont, finalement, revenus sur leur position initiale, et cela a été le coup de grâce, pour les rêves du Premier ministre du régime sioniste, au sujet de l’Iran.

En réalité, les Etats-Unis et leurs alliés européens et israéliens sont dépités de ne pas pouvoir être témoins de la réussite de leurs complots, pour faire plier l’Iran. Les Etats-Unis, qui parlaient, sans cesse, de toutes les options, face à l’Iran, se sont résignés, finalement, à opter pour l’entente et l’accord avec la RII.

Cependant, l’idéologie du régime sioniste s'appuie sur la création d'un maximum de tensions, chez les pays du Moyen-Orient. C’est dans ce cadre que l’analyste d’Al-Monitor évoque un nouveau rapprochement entre le régime de Tel-Aviv et la Turquie, en espérant pouvoir créer un nouveau front contre la RII. Tel-Aviv poursuit la même politique vis-à-vis de l’Arabie saoudite, à l’encontre de la puissance régionale de l’Iran. Al-Monitor rappelle que, tout récemment, les hauts responsables du régime sioniste avaient parlé de la normalisation de leurs relations avec plusieurs régimes arabes de la région, dont l’Arabie saoudite, pour former une sorte de coalition régionale contre l’Iran. Dans cet objectif, les responsables israéliens vont même jusqu'à dire qu’ils n’hésiteraient pas à s’allier aux organisations terroristes, comme Daech, pour arriver à leurs fins.

«La neutralisation du projet d’Iranophobie est l’un des acquis des négociations nucléaires», a affirmé le ministre iranien des Affaires étrangères.

«L’un des acquis des négociations nucléaires réside dans le fait qu’elles sont réussi à entraver le projet d’Iranophobie, dans la région et dans le monde», a déclaré, ce samedi, Mohammad-Javad Zarif, le ministre iranien des Affaires étrangères, lors de la réunion traitant des opportunités qui s'offrent, depuis la mise en application du plan global d’action commune, et qui s'est tenue, à Téhéran, avec la participation des partis, des formations politiques et syndicales, des minorités religieuses, des ONG et des médias.

«Avant la mise en application du plan global d’action commune, on avait donné une image tronquée de l’Iran, le représentant, comme une menace pour la paix et la sécurité internationale ; une campagne d’intoxication, dans le cadre de laquelle les ennemis de la RII justifiaient tout acte, à son encontre», a affirmé Zarif.

«L’un des importants acquis de l’accord nucléaire, c’est qu’il a mis un terme aux images violentes et terribles qu’on donnait de l’Iran, et que la RII a réussi à entamer une nouvelle ère, commençant par la réduction des sanctions, avant de leur levée totale, définitivement», a-t-il précisé.

«Aujourd’hui, nous devons saisir l’opportunité qu’offre la mise en application du plan global d’action commune. Il faut saisir ces opportunités, pour le développement et les intérêts nationaux de l’Iran», a souligné Zarif.

samedi, 30 janvier 2016 21:33

Quand Israël se fait avoir par les amis!!

L’ancien employé des services de renseignements américains, Edward Sonwden, a révélé que les services de renseignements américains et britanniques

ont pu déchiffrer les codes de diffusion de tout le système de drones israéliens par le biais d’une opération d’espionnage d’envergure, baptisée «Anarchist». Cette opération, qui se poursuit, depuis 18 ans, a été menée, depuis une base militaire, à Chypre. Elle a permis aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne de visionner tous les survols israéliens, dans la Bande de Gaza, en Syrie, en Iran et au Liban. Ces informations ont été publiées par le journal israélien, "Yediot Aharonot", après accord de la censure militaire sioniste. En effet, les documents et les images divulgués par Sonwden ont bien montré que toutes les informations liées aux activités des drones, à leurs bases militaires, aux ordres de bombardements de sites ou, encore, aux images reçues de partout, sont aux mains des renseignements américano-britanniques. Israël avait déployé des escadrilles de drones à la collecte de renseignements, dans tout l’espace aérien du Moyen-Orient, mais aussi, pour recueillir des renseignements, lors de planification des raids contre l’Iran. (Cette photo, publiée par Snowden, montre le décollage d'un drone israélien d'une des bases militaires israéliennes). Il s’est avéré que deux types de drones israéliens sont équipés de missiles et de bombes, pour mener des assassinats, alors qu’Israël a, toujours, refusé d’admettre que ses drones sont équipés d’armes. Ces drones décollaient de différentes bases militaires de l’armée de l’air israélienne. Selon un haut responsable de renseignements israéliens, «ce qui s’est passé s’apparente à un séisme. Les renseignements américains et britanniques nous ont, intentionnellement, dénoncés. Ceci montre que nos modes de communication ne sont pas sécurisés. C’est l’opération d’espionnage la plus dangereuse de l’histoire des renseignements israéliens», a-t-il dit. L’opération d’espionnage a commencé, en 1998, et a été menée par l’agence de la sécurité nationale américaine, NSA, et son homologue britannique, GCHQ. Elle s’est déroulée du plus haut point de Chypre, au sommet des monts Troodos, où se trouve une base d’écoute américano-britannique conjointe. L’objectif de cette mission est de déchiffrer les codes des armes de l’air, des radars et des armes intelligentes, et d’intercepter les communications codées, chez les armées centrales du Moyen Orient. D’après le journal israélien, le document ne tient pas en compte l’alliance d’Israël avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. «Au cours de cette opération d’espionnage, les Etats-Unis ont consenti de grands efforts, pour poursuivre les préparatifs israéliens, en vue d’attaquer l’Iran, surtout, qu’au cours du mandat de Benyamin Netanyahu, il était clair qu’Israël avait entrepris des mesures militaires importantes, pour attaquer l’Iran, sans aucune coordination avec les Etats-Unis» !   

La réunion tant attendue du Conseil de paix et de sécurité, (CPS), de l'Union africaine, sur le Burundi, a, finalement, débouché sur une nouvelle impasse.

Face au refus de Bujumbura de toute intervention militaire, sur son sol, aucune majorité ne s'est dégagée, pour imposer une quelconque décision.

«Sur le Burundi, nous finaliserons le document, demain». Les traits tirés, à presque minuit, après cinq heures de réunion, le commissaire Paix et sécurité, (CPS), de l’Union africaine, (UA), Smaïl Chergui, n’a pas été en mesure de dire plus que ces quelques mots à la presse, sur le cas du Burundi. La séance, très attendue, du Conseil de paix et de sécurité, qui se tenait, à Addis-Abeba, jeudi 29 janvier, n’a, donc, pas permis aux Africains de se mettre d’accord sur une position commune, comme l’espérait la commission.

La force de 5.000 hommes, qu’avait préconisée ce même CPS, le 17 décembre dernier, la Mission africaine de protection et de prévention, au Burundi, (Maprobu), est devenue difficile à mettre en œuvre, depuis que Bujumbura l’a dénoncée, comme une force d’invasion. Membre, réélu au CPS, la veille, le Burundi a pu plaider sa cause, pendant cette réunion fermée à la presse, avant de devoir se retirer, pour laisser le conseil délibérer, sur son cas.

«Nous avons donné notre point de vue : nous refusons toute intervention militaire, sur notre sol, affirmait le ministre burundais des affaires étrangères, Alain-Aime Nyamitwe, alors que le reste du CPS était, encore, en train de délibérer. On peut discuter de l’envoi d’observateurs. Mais, dans ce cas, il faudrait qu’ils surveillent, aussi, la frontière avec le Rwanda, où sont recrutés les rebelles».

L’idée, appuyée par la commission, d’envoyer cette force, au Burundi, a, peut-être, été jugée un peu trop audacieuse, l’un des principes des opérations de maintien de la paix étant, habituellement, l’accord du pays hôte. Dans le cas contraire, une telle opération risque d’aboutir à des affrontements et à la mort de soldats de maintien de la paix – un résultat, à l’opposé de l’objectif recherché.

Cette Maprobu, sans consentement de Bujumbura, n’a, en tout cas, pas convaincu tous les Etats membres de l’UA. Le Président gambien, Yayah Jammeh, a, ainsi, confié, en marge de la réunion, que plusieurs de ses homologues étaient hostiles à cette initiative, tant que le Burundi la refusait.

Il reste, encore, deux jours de Sommet de l’Union africaine, (UA), pour que les chefs d’Etat et de gouvernement rediscutent de la Maprobu. Mais, ni un consensus, ni, a fortiori, la majorité requise des deux-tiers des membres du CPS, pour passer outre le refus de Bujumbura, ne paraît, aujourd’hui, à la portée de la commission. On s’achemine, plus vraisemblablement, vers une solution de compromis, encore, à définir.

La 2e édition du World Hijab Day à Lyon, journée internationale du hijab qui vise à sensibiliser le monde entier à la signification du voile porté par les femmes musulmanes, a été interdite par la préfecture.
L’événement prévu le 1er février prochain a reçu,  dans un premier temps, l’approbation du préfet avant que ce dernier ne change d’avis. Le rassemblement a été jugé par le Préfet de Lyon comme "risquant d’engendrer des mouvements de foules dangereux”.
"Ce n’est pas seulement un événement qui a été interdit aujourd’hui, c’est la liberté qui est bafouée.
Cette restriction des libertés vise des musulmanes et des musulmans soucieux du bien vivre ensemble, prônant des valeurs de partages que sont nos valeurs islamiques mais aussi nos valeurs républicaines.” affirme avec regret l’équipe de la World Hijab Day France.
Les organisatrices sont bien évidemment déçues par cette décision incompréhensible au vu du succès rencontré l’année dernière.
En interdisant cette journée, la préfecture de Lyon n’interdit pas seulement un simple rassemblement ou une quelconque manifestation. Elle interdit une "expérience riche et enrichissante” qui vise à initier une culture du dialogue entre des femmes issues de cultures différentes.
Journaldumusulmans

 

Israël a rejeté vendredi une nouvelle initiative de paix de la France, qui a proposé de relancer les pourparlers de paix entre Israéliens et Palestiniens, a rapporté le quotidien israélien Haaretz.
Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a annoncé vendredi que la France allait tenter d'organiser une conférence internationale visant à "promouvoir la solution à deux Etats" pour mettre fin au conflit israélo-palestinien.

Tenant un discours à Paris devant un parterre de diplomates français, M. Fabius a déclaré que si les efforts pour lancer les négociations se retrouvaient dans une impasse, Paris reconnaîtrait un Etat Palestinien.

Israël a rapidement réagi, rejetant l'offre de paix. "Cette déclaration (de la France) est une incitation pour que les Palestiniens provoquent un blocage", a indiqué à Haarez un haut responsable de Jérusalem.

"Le ministre français des Affaires étrangères indique à l'avance que si son initiative se retrouve dans une impasse, la France reconnaîtra un Etat Palestinien [...] on ne peut tenir des négociations ou arriver à la paix de cette manière", a ajouté le responsable israélien.

Cette initiative survient après que le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a indiqué au Conseil de sécurité mardi que l'expansion "provocante" des colonies juives d'Israël en Cisjordanie soulevait des questions quant à son engagement dans la solution.

La dernière session de pourparlers de paix s'est achevée en 2014, et une vague meurtrière de violences entre Israéliens et Palestiniens a éclaté il y a quatre mois. Au moins 155 Palestiniens ont été tués depuis mi-septembre.

Dans les détails, le sous-marin furtif Midjit, de type Ghadir, s'est pointé à quelques km du porte-avions US et a récolté des informations puis l'a filmé.

Le sous-marin iranien se trouvait à une courte distance du porte-avions sans réveiller les soupscons de sa présence. Il a filmé une vidéo dans laquelle apparait clairement  le porte-avions Us et son équipage.

Toujours selon Farsnews, le porte-avions américain porte le nom de "Harry Truman et une plaque d'identification "CVN75".

Mais encore, un drone iranien a survolé le porte-avions américain,  l'a filmé et a envoyé l'enregistrement " on line "au  centre de commandement.

Il convient de rappeler que ce type de drone est également un drone de combat capable d'effectuer des missions d'attaque en plus de sa mission de reconnaissance et de surveillance.

Pour ce qui est des manoeuvres Wilayat, des missiles de croisière "Nour" ont été testés avec succès a annoncé le porte-parole des manoeuvres Wilayat 94 , l'amiral Mahmoud Moussaoui.

Il a déclaré aux journalistes que "les unités des frégates de la Marine de l'armée iranienne avaient procédé ce matin au tir simultané de missiles de croisière mer-mer de type Nour et ont réussi à détruire  des cibles déterminées  avec précision ".

Auparavant , Moussaoui a rapporté qu'un nouveau radar a été testé avec succés:  "le système radar L-band est le dernier  système de radar de la force navale iranienne . Il est en mesure de distinguer, simultanément, les menaces aériennes et terrestres".

" Il peut être réparé facilement, son utilisation est aisée et   par rapport aux exemplaires étrangers, les dépenses consacrées à sa fabrication ne sont pas très lourdes", a-t-il fait savoir.

Les grandes manoeuvres martimes de l'armée iranienne, baptisées Wilayat 94 ont commencé mercredi sur les côtes et les eaux territoriales du Sud-Est du pays

La création d'une chaîne mondiale avec la participation des pays islamique et les activités coordonnées contre le courants takfiriste sont importants. Une fois prêt, le plan de cette proposition sera envoyé aux oulémas islamiques pour qu'on puisse s'informer des propositions des oulémas, a déclaré l'ayatollah Makarem Shirazi dans une rencontre avec un groupe d'oulémas qui ont participé au congrès mondial sur le danger des courants takfiristes.
date de publication : Saturday 30 January 2016 16:57Code d'article: 220118

Le respect envers les écoles religieuses et les religions est un principe important
Heureusement, la participation des oulémas au congrès a prouvé que ces oulémas sont conscients et c'est cette conscience qui nous relie tous, a-t-il souligné.

Les questions vérifiées dans ce congrès doivent être suivies et nous espérons pouvoir mener à bien ces questions, a-t-il indiqué.

La création d'une chaîne mondiale avec la participation des pays islamique et les activités coordonnées contre le courants takfiriste sont importants. Cette chaîne de télévision doit êtra appartenue à tous les musulmans. Elle ne doit pas être limité à un pays, a-t-il ajouté.