
تقي زاده
Des œuvres coraniques et théologiques parmi les meilleurs livres du prix iranien du livre de l'année
La traduction du Saint Coran en russe, par Nazim Zeynalov, La Persia istoriata in Roma, publié par les éditions de la bibliothèque du Vatican, The Cosmic Script: Sacred Geometry and the Science of Arabic Penmanship, publié par les éditions Thames & Hudson à Londres, Qur’ans of the Umayyads: a First Overview by François Déroche, par les éditions Brill à Paris, The Pearl in its Midst: Herat and the Mapping of Khurasan (15th-19th Centuries), publié par l'Académie des Sciences de l'Australie, Al-Hasan ibn Musa al-Nawbakhti, Commentary on Aristotle "De generatione et corruptione", par les éditions De Gruyter et De rythme & de raison: lecture croisée de deux traités de poétique persans du XIIIe siècle by
Justine Landau/ Paris, Presses Sorbonne nouvelle sont les livres étrangers élus dans le cadre de la 23e édition du prix mondial du livre de l'année de la république islamique d'Iran.
Mustafa Qalwash était un anneau entre deux générations de lecteurs coraniques
«Mustafa Qalwash a inspiré de nombreux jeunes lecteurs coraniques. C’est une perte immense pour les milieux coraniques. Mustafa Qalwash était un anneau entre deux générations de lecteurs coraniques, celle de Mostafa Ismaïl et de Manshawi, et celle d’aujourd’hui. J’ai eu l’autorisation de le rencontrer il y a deux mois, bien qu’il soit interdit de visites, pendant cinq minutes, mais cet entretien a duré une heure. Lors d’une cérémonie en l’honneur de Soliman Chelbi, lecteur de la radio coranique égyptienne, je lui ai dit qu’à 60 ans, les lecteurs coraniques commençaient à décliner mais qu’il était une exception à cette règle et que cela était une grâce divine.
Mustafa Qalwash supportait difficilement des lecteurs qui ne respectaient pas les règles et c’est pour cette raison qu’en général, il était le seul invité des réunions coraniques. Mustafa Qalwash a beaucoup innové dans la récitation coranique et c’est pour cette raison que nous ne nous fatiguons pas de l’écouter », a déclaré Abdoul Fattah Tarouti qui grâce à une lecture coranique en 1978 à San Francisco, a converti dix personnes à l’islam.
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Netanyahu voudrait la suspension de députés au comportement "inapproprié"
Cette mise à l'écart exigerait l'approbation de 90 des 120 députés, précise le communiqué.
Cette annonce fait suite à la visite récente de trois députés arabes à des proches des Palestiniens abattus par les forces israéliennes, une rencontre dénoncée par une partie de la classe politique. Ces députés avaient assisté à une réunion d'un comité réclamant la restitution des corps des Palestiniens tués à leurs familles.
Depuis quatre mois, des violences ont coûté la vie à 165 Palestiniens, 26 Israéliens, selon un décompte de l'AFP.
M. Netanyahu a également demandé au procureur général Avichai Mandelblit de se prononcer sur la légalité de la visite des trois députés.
Le journaliste politique de la chaîne de télévision privée Channel 2, Amit Segal, doute pour sa part qu'une loi permettant au Parlement de suspendre un de ses membres obtienne l'approbation de la Haute cour de justice.
Pour l'heure, un député peut être suspendu seulement s'il est reconnu coupable d'un crime.
Manifestation des Palestiniens pour un journaliste gréviste de la faim en danger de mort
Samedi soir, les défenseurs du reporter de 33 ans de la chaîne al-Majd publiaient un communiqué affirmant qu'il luttait contre la mort sur le lit de l'hôpital israélien d'Afoula, où il est toujours menotté. Mohammed est dans un état d'extrême faiblesse, chaque centimètre de son corps le fait souffrir et les médecins disent qu'il peut mourir à tout instant.
Aussitôt, des rassemblements de soutien se sont formés, à Gaza et dimanche à Hébron et Bethléem, dans le sud de la Cisjordanie occupée, ainsi qu'à Jénine et à Naplouse dans le nord, ainsi qu'à Ramallah, où vivait le journaliste palestinien avant son incarcération.
Là, parmi les Palestiniens réunis à l'appel du syndicat des journalistes et des organisations de défense des détenus palestiniens dans les prisons d'Israël, des militants ont annoncé une grève de la faim en solidarité avec M. Qiq. Parmi eux, Khader Adnane, qui avait lui-même obtenu la levée de sa détention administrative au prix de deux mois d'une grève de la faim qui l'avaient amené au bord de la mort.
L'ONU, l'UE et la Croix-Rouge se sont à plusieurs reprises alarmées notamment après que les médecins ont fait état de possibles dommages irréversibles pour le journaliste.
Situation "désespérée" des civils fuyant les combats au Soudan
Les déplacés vivent dans des conditions "assez désespérées. Ils manquent pratiquement de tout", a déclaré à l'AFP la coordinatrice humanitaire de l'ONU au Soudan, Marta Ruedas.
La poussée de violence "a eu pour résultat le pire déplacement de populations civiles dont l'ONU a été témoin dans la dernière décennie" dans la zone de Jebel Marra, théâtre de violents affrontements dans le passé, a-t-elle souligné.
"Nous ne pouvons pas connaître le nombre exact de personnes déplacées, nous avons seulement pu vérifier un petit pourcentage" à cause d'un accès limité à la région en conflit, a indiqué Mme Ruedas.
Selon le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (Ocha), quelque 38.000 personnes auraient fui vers l'Etat du Darfour-Nord. Dans le Darfour-Centre, il est encore plus difficile d'évaluer le nombre de déplacés, estimés à quelque 50.000 personnes.
"Il est du devoir du gouvernement soudanais de faciliter l'accès libre et total à toutes les zones touchées par le conflit", a insisté l'expert indépendant de l'ONU sur la situation des droits de l'Homme au Soudan, Aristide Nononsi.
Jebel Marra est considérée comme un fief du SLA-AW, l'un des groupes rebelles combattant le régime de Béchir.
En 2003, des rebelles non arabes se sont soulevés pour réclamer la fin de la "marginalisation économique" du Darfour et un partage du pouvoir avec le gouvernement de Khartoum dominé par les Arabes. Depuis, les combats n'ont jamais cessé même s'ils sont parfois moins intenses.
M. Béchir est recherché depuis 2009 par la CPI pour des accusations de crimes de guerres, crimes contre l'humanité et génocide dans cette région.
Il a décrété l'an dernier une trêve au Darfour et dans les Etats du Nil bleu et du Kordofan-sud, qu'il a prolongée d'un mois le 31 décembre.
L’Iran, bientôt, une nouvelle Chine ?
L’Iran adopte un projet de développement à la chinoise, cela peut donner un poids considérable à son statut géopolitique et à son importance.
Le Président chinois, Xi Jinping, ou le Président iranien, Hassan Rohani ? Quand il s’agit de nommer le négociateur géopolitique le plus redoutable, on joue souvent à pile ou face. Leurs routes se sont croisées, la semaine dernière, [le 23 janvier, NdT], à Téhéran, d’une manière spectaculaire, puisque Xi et Rohani ont scellé un accord crucial de partenariat stratégique. Les deux nations se sont mises d’accord, pour augmenter leurs échanges bilatéraux, au niveau de $600 milliards, pour les 10 prochaines années. Géo-stratégiquement, comme je l’ai, déjà, souligné, c’est un coup de maître. Pékin ne considère pas, simplement l’Iran, comme un pays de l’Asie moyen-orientale, mais aussi, de l’Eurasie, comme la plaque tournante essentielle, pour contrer le pivot vers l'Asie, dont Washington parle tant, manoeuvre basée sur l'hégémonie navale américaine. Il n'est pas étonnant que Xi ait précisé que l’Iran devrait être accepté, comme membre, à part entière, de l’Organisation de coopération de Shanghai, (OCS), dès cette année. Un partenariat stratégique implique que Pékin soutiendra, pleinement, la renaissance économico-politique et diplomatique iranienne, de part et d’autre de l’arc, allant du golfe Persique à la mer Caspienne – et au-delà. Il se trouve que cet arc rejoint les routes maritimes et terrestres de la Nouvelle Route de la Soie, qui est d’une importance vitale, pour la projection mondiale du rêve chinois, conçu par Xi. Et alors, à peine, quelques jours plus tard, Rohani était, à Rome, pour une rencontre chaleureuse et privée avec le Pape François, après avoir conclu avec l’Italie une série de contrats, d’un montant de dix-sept milliards de dollars. Cette activité frénétique post-sanctions fait ressortir, en perspective, l’absurdité de la crise nucléaire iranienne, fabriquée de toutes pièces, à Washington. Le réalisme géopolitique, de l’Europe à l’Asie, ne peut ignorer une nation, placée à l’intersection des mondes arabe, turc, indien et russe, dont le rôle privilégié est de donner un point de passage au vaste ensemble Caucase-Asie centrale, qui inclut, aussi, l’Afghanistan. D’un point de vue géostratégique, comme ultime carrefour eurasien, l’Iran ne peut être ignoré, car il relie le Moyen-Orient, le Caucase, l’Asie centrale, le sous-continent indien et le golfe Persique ; entre trois mers – la Caspienne, le golfe Persique et la mer d’Oman, relativement, proche de la Méditerranée et de l’Europe, et au seuil de l’Asie. Xi n’a pas eu besoin de parler, explicitement, de politique à Téhéran ; il lui suffit de signer contrat sur contrat, pour appuyer ses arguments. La tendance, à long terme, inévitable, est à la vision chinoise Une Ceinture [terrestre], Une Route [maritime], pour franchir les obstacles, qui s’opposent à un leadership sino-russe, au travers de l’Eurasie, ce qui correspond à la mise sur la touche du continuum territorial impérial anglo-américain. En attendant, l’Italie et la France, pendant la tournée européenne de Rohani, se sont empressées de rattraper leur retard. La scène frénétique iranienne, depuis la fin des sanctions, a, au moins, le mérite de mettre un terme à l’impitoyable diabolisation du pays, par l’Occident, et pose les bases, pour un développement économique, dans, à peu près, tous les domaines. La République islamique d’Iran a subi un handicap énorme, pendant les trente-six dernières années – quelque chose, qui aurait brisé une société avec moins de ressources. Au cours des dix dernières années, les sanctions ont coûté, au moins, 480 milliards d’euros à l’Iran, c’est, à peu près, un an de PIB iranien. Dans un monde, qui ne serait pas dirigé par les suspects habituels d’une oligarchie financière délinquante, Téhéran aurait des raisons de traîner Washington en justice, pour se venger. Au sujet du simulacre, qui, malgré tout, continue, de l’agression iranienne, c’est une sale blague impériale, [qui fait un bide, NdT]. L’Iran a dépensé 3,9% de son PNB, pour sa Défense ; chiffre à comparer avec les 10,3% de la Maison des Saoud. Finalement, l’Iran a dépensé sept fois moins d’argent, pour ses forces armées, que les pétromonarchies du Golfe, qui ne peuvent subsister qu’avec leur armement, essentiellement, fourni par les Américains, les Britanniques et les Français. L’avenir pour l’Iran sera plein de cahots. Il y a de sérieux problèmes – la corruption, l’incompétence bureaucratique, les secteurs d’activité réservés à certains intérêts ou interdits d’investissements étrangers. Des sections de l’élite au pouvoir – les bonyad, (des banques religieuses), et les Pasdaran, (les Gardiens de la Révolution), ne sont pas du tout enclines à relâcher leur emprise, sur des secteurs vitaux de l’économie. L’ouverture économique de l’Iran va, forcément, accélérer la transformation de la société du pays. Ce qui arrivera, ensuite, dépendra des élections législatives cruciales, qui auront lieu, en février, pour accoucher d’un nouveau majlis, (parlement), qui devra élire le nouveau Guide suprême. L’Iran est un cas géopolitique unique, où une république tire sa légitimité, à la fois, de l’Islam et du suffrage universel. Ce ne sera jamais notre démocratie parlementaire classique, mais ce ne sera jamais, non plus, l’autoritarisme brutal de l’Arabie saoudite. Un système assez complexe de contrôles et de contre-pouvoirs est en place, concernant la Présidence, le Parlement, le Conseil des gardiens, l’Assemblée des experts et différents corps constitués, comme le Conseil du discernement et le Conseil de sécurité nationale. Le Guide suprême, l'Ayatollah Khamenei, l’a dit, de façon très claire, il surveillera de près les conséquences culturelles, politiques et sécuritaires de l’ouverture économique, qui pourraient affaiblir l’idéologie révolutionnaire de la République islamique. Ce qui est certain, c’est que le Guide suprême – tel un arbitre – préservera l’équilibre très précis des forces politiques, en Iran. Ce qui signifie, en pratique, que l’équipe Rohani ne sera pas autorisée à récupérer tout le capital politique de l’ouverture économique, et que la transformation sociale et économique du pays ne sera jamais synonyme d’invasion culturelle occidentale. L’accord nucléaire de Vienne, conclu l’été dernier, n’est rien moins qu’un séisme géopolitique, en Iran. A l’intérieur, il règle le consensus entre l’administration de Téhéran et la majorité de la population, qui souhaitait que l’Iran redevienne un pays normal. Mais voilà, maintenant, le plus dur. Le scénario le plus probable dessine une République Islamique d’Iran, engagée dans un programme de développement à la chinoise. Une sorte de «c’est magnifique de s’enrichir», sous un contrôle politique vigilant. La question est posée : sommes-nous prêts à traiter avec un Guide suprême qui serait un Deng Xiaoping iranien ?
Au moins 35 migrants noyés dans deux naufrages au large de la Turquie
Au moins 35 migrants ont trouvé la mort lundi en mer Egée, au large des côtes occidentales de la Turquie, dans deux naufrages survenus alors qu'ils tentaient de rallier les îles grecques, a rapporté l'agence de presse Dogan.
Un premier drame s'est produit au large de la localité de Dikili, dans la province d'Izmir, dans l'ouest du pays, d'où étaient partis les migrants en direction de Lesbos, faisant 11 morts, a précisé l'agence. Trois passagers de l'embarcation ont été secourus par les garde-côtes turcs. Dans une deuxième tragédie, 24 migrants, eux aussi en route pour Lesbos, se sont noyés lorsque leur embarcation a fait naufrage cette fois au large de la localité d'Edremit, dans l'ouest, au nord de Dikili. Quatre personnes ont pu être sauvées. Les garde-côtes poursuivaient par air et par mer les recherches en début d'après-midi aux alentours d'Edremit pour essayer de retrouver d'éventuels rescapés, a ajouté Dogan.
La semaine dernière aussi deux bateaux ont été renversés en mer Egée suite à quoi 49 réfugiés ont été tués.
D’après des statistiques officielles, plus de 3.000 migrants qui voulaient se rendre à un pays européen dans l’espoir d’une meilleure vie, ont trouvé la mort entre 1993 et 2014.
La croyance dans le « Ghayb » (le monde caché) !
J’avais décidé de lire le Coran jusqu’à satiété et le mis devant moi. Je commençai par le début : la sourate al-Fâtiha, puis la sourate La Vache : {Par la [Grâce du] Nom de Dieu le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux, Alif, lam, mîm, c’est le Livre au sujet duquel il n’y a aucun doute, un guide pour les pieux qui croient au mystère/caché, qui accomplissement leurs prières}. (1-2./2 La Vache)
Je relus ces trois premiers versets de la seconde sourate mais ne plus continuer. Un troisième essai et même résultat : c’est quoi ces « mystères » (ou cet « invisible ») auxquels nous devons croire pour être un croyant, résultat de notre piété, de notre vertu et de notre obéissance à Dieu, dont la négation est cause de péchés et de mensonges ?
Le mot « ghayb » communément traduit par « mystères » renvoie à quelque chose qui est « absent », donc que l’on ne voit pas de nos propres yeux, que l’on ne sent pas de nos sens. Puisque nous devons y croire, c’est donc avec les yeux du cœur, avec les vérités de la foi que l’on doit pouvoir les voir.
Le Messager de Dieu(s) nous parle de vastes « mondes grandioses » que le Coran nomme parfois « malakût » : un monde plein d’habitants et de créatures, de l’Esprit, des Anges, des Esprits purs (les Prophètes et les Imams), des martyrs et autres créatures qui sont cachées. S’y trouvent les soldats de Dieu, les six cieux et ce qui ne vient pas à nos esprits.
La vision de ce monde est un Bienfait de Dieu accordé aux gens de cœur, détenteurs d’intelligence.
En pensant à ces mondes du Mystère si grandioses, je me sentais si petit, si mesquin, je réalisai que le monde auquel je m’accrochai était insignifiant, sans valeur : « Comme c’est étrange que j’oublie Dieu comme cela, que je Le néglige à ce point alors qu’Il détient toute chose et qu’Il m’a créé pour me donner accès à tout cela ! » J’étais gêné et avais honte de moi-même.
L’ensemble des habitants de ces mondes ne désobéissent pas à Dieu ni ne se rebellent contre Lui ! Voilà la particularité commune à tous ces habitants d’élite !
‘Alî ibn Abi-Taleb, après le Messager de Dieu(s), nous montre comment les cieux sont pleins d’Anges, nous les décrivant prosternés, inclinés, ou alignés en rang, ne se lassant pas de glorifier Dieu. D’autres ont les pieds ancrés sur terre, fixés au sol, leurs cous accrochés au ciel le plus élevé .. Ces créatures ne connaissent pas le sommeil des yeux, ni la distraction des raisons, ni la paresse des corps, ni la négligence de l’oubli, ni la faim ni la soif, étant dispensés de manger et de boire. Ils adorent Dieu nuit et jour et agissent selon Son Ordre.
Voilà quelques particularités de certains habitants de ce monde des Mystères. Et les autres, qui sont-ils ? Le Messager parle d’« esprits », de « martyrs ». Qui sont-ils ? Bien sûr il nous vient à l’esprit Al-Mahdi qui est attendu. Pourquoi bénéficient-ils d’une telle faveur, car non seulement ils voient ce monde mais ils en font partie, même, ils le sont !
Cela demande davantage de réflexion et de recherche pour découvrir ce que sont les Mystères avec l’aide de Dieu. Cela est même nécessaire pour être un vrai croyant.
Islam et protection de l’environnement
C’est certain, l’activité humaine à un impact direct sur dégradation de l’environnement.
Pollution, raréfaction des ressources naturelles, perte de la biodiversité sont la conséquence directe des progrès technologiques, électroniques et chimiques. L’homme altère, sans réfléchir aux conséquences, l’équilibre de la planète terre.
L’eau, l’air, les ressources naturelles, la biodiversité et aussi notre propre santé sont en danger.
Les musulmans doivent se sentir impliqués et trouver des solutions pour stopper ce désastre.
Voyons ensemble quelle importance apporte l’Islam à la protection de l’environnement.
Allah, Le Très Haut, a créé cet univers avec une précision impressionnante, qui n’a pas d’égal. Il a fait de la Terre un système complexe qui n’existe que par son équilibre. Avec harmonie, corrélation et cohérence entre la création.
Écosystème , Biocénose et Biotope
Allah a créé chaque chose dans un temps spécifique, dans un endroit spécifique, avec une organisation spécifique et d’une manière spécifique. Par sa sagesse, Il a doté chacune de ses créatures de spécificités qui lui sont propres.
« Nous avons créé toute chose avec mesure » La lune verset 49
« Celui à qui appartient la royauté des cieux et de la terre, qui ne S’est point attribué d’enfant, qui n’a point d’associé en Sa royauté et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions. » Sourate 25 – Al Furqâne: Le Discernement verset 2
Si cette harmonie venait à être troublée, il en découlera des catastrophes diverses. Peut-être même jusqu’à la disparition de la Nature et de l’Homme.
L’Homme, un khalifat sur terre:
Allah, Le très Haut , a mis à disposition cette planète pour l’Homme et a fait de lui un khalifat sur terre. Il l’a honoré mais aussi éprouvé. Il devra rendre des comptes de tous ses agissements. Cette responsabilité découle de l’honneur qui lui été fait et de son droit à user de ce qui s’y trouve. Tout en lui accordant ces privilèges, Allah lui a indiqué la manière d’utiliser ces bienfaits, dans son intérêt et celui des autres, par l’intermédiaire de la révélation. Il lui a ordonné de préserver la planète tout en jouissant des bienfaits qui lui a octroyés et sans en abuser.
Allah dit : « Et ne semez pas la corruption sur la terre après qu’elle ait été réformée. Et invoquez-Le avec crainte et espoir, car la miséricorde d’Allah est proche des bienfaisants. » Sourate 7 – Al-A’râf Verset 56
On comprend de ce verset qu’Allah a créé la Terre et l’a prédisposée pour que l’Homme puisse y vivre heureux et prospère, par ce qu’elle contient comme eau, animaux, montagnes, plantes et aussi ces biens matériels ou non. L’Homme doit entretenir ce don et en jouir sans pour autant le déstabiliser ou même altérer son équilibre et son harmonie.
Ces 50 dernières années, l’Homme à causé d’importants dérèglements et déséquilibres de l’écosystème. L’activité humaine perturbe l’équilibre planétaire et fait obstacle à la préservation de l’environnement. Tout ceci empêche de conserver la Terre tel qu’Allah l’a crée.
« La corruption est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains; afin qu’ [Allah] leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont œuvré; peut-être reviendront-ils (vers Allah) » Sourate 30 – Ar-Rûm : Les Romains Verset 41
Il y a de nombreux hadiths (paroles prophétiques) qui mettent en avant la responsabilité humaine vis-à-vis de la planète : « Vous êtes tous des bergers et vous êtes tous responsable de votre troupeaux » ce hadith est concis mais il englobe énormément de points. Et notamment la responsabilité de l’homme envers la nature.
Tandis que ceux qui nuisent aux créatures d’Allah sont appelés en Islam « les corrupteurs » ou ceux qui sèment le désordre (moufsidoune) « Dès qu’il tourne le dos, il parcourt la terre pour y semer le désordre et saccager culture et bétail. Et Allah n’aime pas le désordre! » Sourate 02 – Al-Baqara : La Vache verset 205.
RESPECTER L’ENVIRONNEMENT, C’EST RESPECTER LA CREATION D’ALLAH
En réalité, l’Islam est à la pointe de la protection de l’environnement comme on a pu le voir ensemble. Reste à nous d’agir en fonction des valeurs inculquées par le Coran afin de contribuer activement à la préservation de ce dépôt qui nous a été confié.
La contre- attaque pétrolière de Poutine?
Lors des mois à venir, la Russie et l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, (OPEP), en particulier, l’Arabie saoudite, pourraient parvenir à un accord, sur la diminution planifiée de la production de pétrole, ce qui entraînerait une hausse des prix, sur le marché de l’or noir.
Lors des mois à venir, la Russie et l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, (OPEP), en particulier, l’Arabie saoudite, pourraient parvenir à un accord, sur la diminution planifiée de la production de pétrole, ce qui entraînerait une hausse des prix, sur le marché de l’or noir. Dans cette situation, c'est l'approche de la Russie, qui pourrait exercer une influence décisive, sur le mouvement des prix pétroliers vers le haut, estime Business Insider. Cette diminution de la production pétrolière, de la part de l'OPEP, ainsi que des pays, qui ne font pas partie du cartel, en particulier, la Russie, serait planifiée, estime la chef du département des matières premières de RBC Capital Markets, Helima Croft. Selon l'analyste, la série de rencontres bilatérales, tenues, récemment, entre le Président russe, Vladimir Poutine, et Mohammed ben Salman Al-e Saoud, vice-prince héritier saoudien et ministre de la Défense du royaume, qui a apporté des accords, sur des milliards de dollars d'investissements, dans l'économie russe, pourrait servir de bonne base, pour le début des négociations pétrolières entre Moscou et Riyad. L'Arabie saoudite est, également, intéressée par des achats d'armes russes, ce qui signifie que les deux pays ont un point supplémentaire d'accroche. Selon les analystes de RBC Capital Markets, les canaux de dialogue, déjà, existants pourront être utilisés, pour planifier des actions communes. Business Insider admet qu'il n'y a aucune garantie que la Russie et l'Arabie saoudite vont rapidement procéder à la diminution de la production pétrolière, vu que les relations entre les deux pays connaissent, parfois, certaines difficultés. "Cependant, tout indique que la Russie est un acteur important, qui retient, en ce moment, toutes les attentions", conclut Business Insider.