تقي زاده

تقي زاده

Le président russe met en cause l'Alliance atlantique et ses membres. Il s'agit d'un instrument de la politique étrangère des États-Unis. 

Le chef du Kremlin a considéré les membres de l'Otan comme des «vassaux de Washington» qui servent les intérêts US.

L'Alliance atlantique est un levier de la politique étrangère des États-Unis selon le président russe Vladimir Poutine qui l'a rappelé lors d'un entretien avec Oliver Stone pour son documentaire The Putin Interviews.

« Aujourd'hui, [l'Otan] est un instrument de la politique étrangère des USA, il n'y a pas d'alliés dans ses rangs, il n'y a que des vassaux. Lorsqu'un pays devient membre de l'Otan, il a bien de la peine à résister aux pressions d'une puissance telle que les États-Unis », a déclaré M. Poutine.

Selon Poutine, l'opposition de Moscou à l'élargissement de l'Alliance s'explique notamment par les « principes de prise de décisions » au sein de l'Otan.

Avec Sputnik

Chaque année, des centaines de milliers d'Iraniens se rassemblent au mausolée de l'Imam dans le sud de Téhéran, la capitale, pour réitérer son attachement aux valeurs révolutionnaires et les idéaux de leur grand chef.

L'événement sera précédé d'un discours prononcé par le chef de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei. Et pour la fermeture, les fidèles iraniens assistent à une cérémonie Iftar (le repas pour rompre le jeûne du mois sacré du Ramadan).

Selon les estimations des organisateurs, l'événement mettra en vedette la participation de centaines de milliers d'Iraniens de différentes villes ainsi que des invités étrangers et des représentants d'autres pays résidant en Iran.

Processions de deuil similaires ont lieu dans d'autres parties du territoire iranien dans lequel les participants renouvellent leur allégeance aux idéaux et aux aspirations de la révolution islamique dirigée par l'imam Khomeiny et son successeur, l'Ayatollah Khamenei.

Imam Khomeiny est mort le 3 Juin 1989 à l'âge de 87 ans, quand environ 10 ans après le triomphe de la Révolution et la création de la République islamique était passé.

Pour ses partisans, ce caractère sans précédent qui avance sur son temps, est le symbole de la résistance et de la lutte contre la suprématie et l'impérialisme, et le champion des valeurs de l'islam véritable.

Il a passé plusieurs années de sa vie à traiter avant que le régime monarchique de Pahlavi à la fois au cours de leur séjour dans le pays perse et pendant son exil en Turquie, l'Irak et la France pour la réalisation ultime de la révolution islamique d'Iran le 11 Février 1979.

Dans les années qui ont suivi, l'imam Khomeiny a dirigé et protégé le pays perse à diverses conspirations internes et externes, y compris la guerre imposée par ex-régime baasiste de Saddam Hussein de l'Iran (1980-1988).

Les Égyptiens ont commencé à signer une pétition, manière d’exprimer leur opposition à la cession de deux îles d’Égypte à l’Arabie saoudite.

En Égypte, les figures de proue, les partis d’opposition et les forces révolutionnaires se sont mobilisés pour faire circuler une pétition qui demande aux députés du Parlement égyptien de renoncer à la cession des îles de Tiran et de Sanafir à l’Arabie saoudite.

Le Comité populaire pour le soutien au Sinaï a publié une vidéo sur son site web officiel, montrant plusieurs citoyens et politiciens ayant une lettre à la main. Cette lettre exige aux parlementaires de renoncer à céder les deux îles égyptiennes à l’Arabie saoudite.

Dans la foulée, le Comité populaire pour le soutien à la patrie a mis sur pied un quartier général avec pour titre « l’Égypte n’est pas à vendre ».

Ledit Comité a appelé les citoyens égyptiens à signer une pétition intitulée « Non à l’accord ».

L’ancien président du Parti égyptien social-démocrate Mohammed Abou El-Ghar a déclaré que les forces de sécurité auraient rencontré des députés du Parlement afin de les contraindre à voter pour la cession de Tiran et de Sanafir.

Le ministère marocain des AE a déclaré dans un communiqué que le roi Mohammed VI ne participera pas au sommet de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), en raison des polémiques liées à la participation du Premier ministre israélien.

Le roi Mohammed VI avait prévu de se rendre à Monrovia, la capitale libérienne, afin de participer au sommet de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest qui devrait notamment examiner la candidature du Maroc pour adhérer à cette organisation.

Selon certains médias africains et occidentaux dont France Soir, au cours des derniers jours, des pays importants de la Cédéao ont décidé de réduire au minimum leur niveau de représentation à ce sommet, en raison de l’invitation adressée au Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.

La diplomatie marocaine a de son côté insisté sur le fait que le roi marocain ne participera pas à ce sommet.

Suite à son retour réussi au sein de l’Union africaine (UA) après plus de 33 ans, le Maroc s’est porté candidat pour devenir membre de la Cédéao.

La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest est composée de 15 pays et son siège se trouve à Abuja, au Nigeria.

Le bureau du Premier ministre israélien a de son côté annoncé que Benyamin Netanyahu se rendrait au sommet de Monrovia à partir de dimanche, à la tête d’une haute délégation diplomatique et économique.

Avec médias

Des cérémonies se tiennent ce dimanche 4 juin, à l'occasion de l'anniversaire de la disparition de l'imam Khomeiny (s), dans les centres islamiques à travers l'Europe.Le centre islamique de Grande-Bretagne organise aujourdhui dès 20 heures locales, des cérémonies à cette occasion.
 
Des cérémonies similaires se tiennent également au centre culturel islamique des Ahl el Bayt (as) à Genève en Suisse.
 
Le centre islamique Imam Ali (as) à Vienne organisera ce dimanche des cérémonies à l'occasion du 28e anniversaire de la disparition du grand fondateur de la république islamique d'Iran.
 
Une conférence est également prévue sur la sirah de l'imam Khomeiny (s) à Hambourg.

Le conseil présidentiel du gouvernement libyen d’union nationale a annoncé sa décision de répartir le pays en 7 zones militaires.

Cette décision est annoncée dans un communiqué, rendu public jeudi, sur la page Facebook officielle du bureau de communication du chef du conseil présidentiel, Fayez el-Sarraj.

Les 7 zones militaires relèveront de l’armée et seront sous la tutelle directe du chef d’état-major. Leurs rôles sont de préserver la sécurité dans la région, de la défendre et de contrecarrer les menaces auxquelles elle est exposée.

Par cette mesure, le conseil considère que l’armée relève de son autorité.

Cette répartition se définit selon le communiqué, comme suit: de la zone militaire de Tripoli, celle de Benghazi, celle du Centre, de l’Ouest, de Sebha, de Tobrouk, et de Koufra.

Le chef de la zone militaire sera chargé du contrôle et du renforcement des forces sous son commandement. Il est également responsable de développer leurs aptitudes et de les guider en état de paix et de guerre, selon la décision prise par le conseil présidentiel.

Le communiqué indique que le chef d’état-major s’engage à fournir tous les besoins en effectif de la zone militaire. Le ministère de la Défense s’engage à garantir le budget nécessaire pour la restructuration et la réorganisation des unités dans les zones militaires.

Sous le régime de l'ancien dictateur libyen, le colonel Mouammar Kadhafi, la Libye était répartie en seulement trois zones militaires.

Avec Agence Anadolu (AA)

Plusieurs explosions ont eu lieu samedi à Kaboul durant les funérailles d'un homme tué la veille lors d'une manifestation demandant la démission du gouvernement afghan, a annoncé un témoin à l'AFP, parlant de nombreux "morts et blessés"."De nombreuses personnes ont été tuées et blessées aux obsèques de Salim Ezadyar", le fils d'un éminent homme politique afghan, a déclaré Abdul Wudood.
 
La Russie est proche de la signature d'un contrat avec la Turquie portant sur la livraison de systèmes de défense antiaérienne dernier cri S-400, a indiqué samedi le conglomérat d'Etat Rostec."Moscou et Ankara ont quasiment terminé les négociations concernant les détails techniques du contrat sur les S-400", a indiqué le PDG de Rostec Sergueï Tchemezov dans un communiqué.

Les ministres des finances des deux pays discutent désormais de "la possibilité de fournir à Ankara un prêt pour l'achat" des S-400, selon la même source.

M. Tchemezov a refusé de donner davantage de détails sur cette livraison "tant que le contrat n'est pas signé".

Cette vente de systèmes de défense antiaérienne dernier cri russes à un pays membre de l'Otan symboliserait une nouvelle étape dans la spectaculaire réconciliation entre Moscou et Ankara, qui ont traversé pendant un an une grave crise dans leurs relations.

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné mercredi la levée de la majorité des sanctions mises en place par Moscou à l'encontre d'Ankara après la destruction par l'aviation turque d'un bombardier russe au-dessus de la frontière syrienne en 2015.

Suite à cet incident, la Russie a installé des systèmes S-400 pour protéger ses avions en Syrie, où elle mène une opération militaire en soutien aux forces syriennes.
 
30 personnes sont hospitalisées et 3 suspects ont été abattus par la police. Sur le London Bridge une camionette a fauché des dizaines de passants.
Attentat de Londres : 9 personnes tuées et une trentaines de blessées
Un attentat a de nouveau frappé samedi soir le coeur de Londres, où une camionnette a foncé dans la foule sur le trottoir du London Bridge, selon des témoins, faisant "plusieurs victimes". La police a indiqué qu'elle traitait ces violences comme "des actes de terrorisme". Il s'agit de la troisième attaque qui frappe la Grande-Bretagne en moins de trois mois. Elle intervient à cinq jours des élections législatives du 8 juin.
 
La police a indiqué avoir été appelée samedi peu après 21h00 GMT (22h00 heures française) sur le London Bridge, dans le centre de la capitale britannique, des témoins faisant état d'un véhicule ayant foncé sur la foule. La police des transports a indiqué dans un communiqué qu'il y avait "plusieurs victimes" à la suite de cet événement "qui semble avoir impliqué un véhicule et un couteau".
 
La police a ensuite annoncé deux autres attaques, dans le quartier du marché de Borough Market, proche du pont, sur la rive sud de la Tamise, et à Vauxhall, toujours sur la rive sud. Cette dernière attaque s'est avérée ne pas être lié aux deux autres, traitées comme des "actes de terrorisme" par la police.
 
La Première ministre Theresa May avait peu auparavant évoqué un "possible acte de terrorisme" dans un communiqué. Le maire de Londres, Sadiq Khan, a condamné des "actes barbares" "Des coups de feu ont été tirés" à Borough Market, a indiqué la police. Au total, selon un bilan établi peu après 5 heures du matin, six personnes ont été tuées dans ces attaques. Par ailleurs, trois suspects ont été abattus par les forces de l'ordre, a indiqué la police londonienne. Trente personnes ont été hospitalisées dans six établissements de la capitale britannique.
 
 Un homme avec un couteau 
Stations de métro et rue fermées, fêtards enfermés dans les bars et restaurants, voitures de police passant toutes sirènes hurlantes : ces deux sites touristiques et festifs du centre de Londres sont passés de la fête au cauchemar peu après 22h00.
 
"J'ai vu une camionnette rouler en zigzag en tentant de faucher un maximum de personnes. Les gens essayaient d'échapper à la course du véhicule. J'ai ensuite essayé d'aider les blessés, des jeunes essentiellement", a raconté un témoin, Alessandro, à la BBC. "C'est une attaque terroriste, j'en suis sûr. J'ai vu une camionnette heurter la rambarde de London Bridge, puis un homme sortir avec un couteau pour se diriger vers un bar", a déclaré Dee, une habitante de Londres de 26 ans, à l'AFP. "Et il y avait un homme avec un couteau qui courait, il a descendu les escaliers et s'est dirigé vers un bar, il n'est pas entré... Je pense à mes amis, j'espère qu'ils sont sains et saufs", a-t-elle ajouté.
 
Holly Jones a raconté à la BBC qu'elle avait vu une camionnette blanche se déporter sur le trottoir et heurter plusieurs personnes. Elle a parlé de cinq personnes à terre. "Il y a plusieurs bateaux de police qui fouillent la Tamise avec des torches en ce moment", a-t-elle ajouté. La camionnette roulait à environ 80 kilomètres/heure, selon ce témoin.La police a lancé un appel au calme sur Twitter, demandant aux citoyens "d'être en alerte et vigilants".
 
Le président américain Donald Trump a proposé son aide à la Grande-Bretagne. "Quoi que les Etats-Unis puissent faire pour apporter leur aide à Londres et au Royaume-Uni, nous sommes là. Nous sommes avec vous. Que Dieu vous bénisse !", a-t-il écrit sur Twitter. "Mes pensées sont avec les victimes et leurs familles. Merci aux services d'urgence", a tweeté le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn.
 
Troisième attentat en moins de trois mois
Cet attentat est le troisième en moins de trois mois : le 22 mars, également à Londres, un homme avait là aussi foncé sur la foule sur le pont de Westminster, tuant quatre personnes avant de poignarder à mort un policier. L'assaillant, Khalid Masood, un Britannique converti à l'islam, avait été tué.
 
Deux mois plus tard jour pour jour, un attentat suicide a fait 22 morts et plus de 100 blessés le 22 mai à Manchester, lorsqu'un jeune Britannique d'origine libyenne s'est fait exploser à la sortie d'un concert de la jeune chanteuse américaine Ariana Grande. L'attentat de Manchester a été revendiqué par l'organisation terroriste Daech(EI).
 
Après cet attentat, Mme May avait relevé à son maximum le niveau d'alerte terroriste, avant de le ramener samedi dernier au niveau "critique", soit celui d'un attentat "hautement probable".

Les tensions qui viennent d'être déclenchées depuis quelques jours entre les États européens et la Maison-Blanche menacent plus que jamais les relations transatlantiques de l'Union européenne.

Les propos très durs du chef de la diplomatie allemande, Sigmar Gabriel, les doutes qu'a exprimés la chancelière allemande Angela Merkel quant à la pertinence de l'alignement européen sur les États-Unis et finalement son appel destiné aux Européens de "prendre leur destin entre leurs propres mains", prouvent que la nouvelle administration américaine menace l'Union européenne.

Le lundi 29 mai, le ministre allemand des Affaires étrangères Sigmar Gabriel a souligné que les politiques de Donald Trump avaient affaibli l'Occident.

Il a ajouté que les politiques à court terme de Trump contredisaient les intérêts de l'Union européenne.

"L'Occident s'est affaibli", a-t-il regretté.

Sigmar Gabriel a critiqué le refus du président américain de soutenir les principes de la défense collective de l'OTAN ainsi que l'accord de Paris sur le changement climatique lors du sommet du G7 et de celui de l'OTAN.

Sigmar Gabriel à Berlin le 29 mai 2017. ©AFP

"Quiconque accélérant le rythme du changement climatique en affaiblissant la protection de l'environnement, vend des armes aux pays étant à l'origine des conflits et refuse de trouver une solution politique aux conflits interconfessionnels et intercommunautaires représente certainement un risque sérieux pour la sécurité des pays occidentaux", a déclaré M. Gabriel.

Le ministre allemand des Affaires étrangères a ensuite regretté l'attitude de Donald Trump quant à la crise migratoire, au réchauffement climatique et à la guerre.

À la veille de ces déclarations anti-Trump sans précédent, la chancelière allemande Angela Merkel s'était exprimée sur la pertinence de l'alignement européen avec Washington avec beaucoup de doutes.

En outre, le chef du groupe parlementaire social-démocrate au Bundestag, Thomas Oppermann a mis en garde, le 28 mai, contre toute coopération sur le plan du renseignement avec les États-Unis.

Interviewé par le journal allemand Der Westen, Thomas Oppermann a déclaré: "J'ai l'impression que Donald Trump et ses collègues parlent trop. Alors, c'est dangereux de se livrer à une coopération sécuritaire et un partage de données avec une telle administration. C'est dangereux et nuisible plutôt que bénéfique".

La semaine dernière, des médias américains ont révélé que Donald Trump avait laissé fuir, des informations hautement confidentielles, lors de ses récents entretiens avec les responsables russes à Washington.

Dans la conjoncture où le torchon brûle entre l'Union européenne et les États-Unis, la Chine montre des signes de son grand intérêt de sceller une alliance avec les Européens, manière de montrer les dents au nouveau locataire de la Maison-Blanche.

Entre autres, la Chine et l'Allemagne ont rappelé, jeudi 1er juin, leur engagement aux efforts destinés à freiner le changement climatique.

Cela s'ajoute à la décision du Premier ministre chinois Li Keqiang de choisir l'Allemagne en tant que la première destination de sa tournée européenne.

Au moment où Donald Trump déstabilise les règles du jeu mondiales, l'Allemagne et la Chine semblent vouloir faire cause commune sur les plans du libre-échange ou de l'environnement.

Angela Merkel et Li Keqiang s'expriment dans une conférence de presse conjointe à Berlin, le 1er juin 2017. ©AFP

C'est dans ce contexte que la chancelière allemande a accueilli, jeudi 1er juin à Berlin, le Premier ministre chinois.

« Nous vivons à une époque d'incertitudes mondiales et nous considérons qu'il est de notre responsabilité de (...) nous engager en faveur d'un ordre mondial basé sur les règles », a déclaré Angela Merkel, citée par Les Échos.

Pour le rappel, le président chinois Xi Jinping avait mis en garde, lors du forum de Davos, le président des États-Unis contre ses politiques ultras- protectionnistes, disant que la mondialisation et le libre-échange constituaient des processus irréversibles.

Angela Merkel (C) et Li Keqiang (G) aux côtés du patron du groupe chinois BAIC Xu Heyi et d'un responsable du groupe allemand Daimler Hubertus Troska, le 1er juin 2017 à Berlin. ©AFP

Pendant les dernières années, les relations politiques et économiques entre Pékin et Berlin ont connu une croissance considérable si bien que l'Allemagne a reconnu voir en Chine un important partenaire stratégique.

À peine quelques heures après le retrait des États-Unis de l’accord sur le climat, Pékin s'est dit d’ores et déjà prêt à prendre l’initiative sur divers plans, particulièrement le climat.

À travers une déclaration commune, la France, l'Allemagne et l'Italie ont rejoint, jeudi 1er juin, un tollé international qu'a suscité le retrait des États-Unis de l'accord de Paris. Ces trois pays ont déclaré qu'ils croyaient fermement que l'accord de Paris ne devrait pas faire l'objet de nouvelles négociations.