تقي زاده

تقي زاده

À Kirkouk en Irak, les Peshmergas ont reculé de certaines zones.

Selon le journaliste de l’agence de presse iranienne IRNA à Kirkouk en Irak, « les forces des Peshmergas ont reculé de la ville de Touzkhormatou, dans le nord de la province de Salaheddine, ainsi que des zones situées entre Zargah et Touzkhormatou. Et actuellement, ce sont les Hachd al-Chaabbi, les Unités de mobilisation populaire irakiennes, qui ont pris le contrôle de la région ».

La raison du recul des Peshmergas, affiliés au gouvernement régional du Kurdistan irakien, ne serait pas encore connue.

samedi, 30 septembre 2017 11:21

Le plan énergétique des USA contre l'Iran

Selon Farsnews, le ministre américain de l’Intérieur, Ryan Zinke, a menacé l’Iran, ce vendredi 29 septembre, avec le plan énergétique du gouvernement américain de Trump qui vise à réduire les recettes pétrolières de Téhéran et d’ainsi limiter ses activités balistiques.

« Je suis inquiet en ce qui concerne la capacité nucléaire de l’Iran ainsi que les activités balistiques intercontinentales de ce pays » a-t-il affirmé lors de son discours à Heritage Foundation. 

Il a ensuite réitéré que l’Iran est une menace sérieuse et que les États-Unis devraient se doter des options économiques et aussi militaires pour faire face à ces menaces.

« Avec un plan d’influence économique, nous pourrons remplacer toutes les ressources pétrolières brutes produites par l’Iran », a-t-il dit.

Le ministre américain de l’Intérieur, Ryan Zinke.

Selon le quotidien Washington Examiner, les USA sont devenus les plus grands producteurs de gaz naturel et de pétrole brut et dépendent, de moins en moins, du Moyen-Orient.

Ce média américain prétend que les USA n’ont plus besoin de l’Iran et pourront aussi devenir un fournisseur de pétrole.

Le ministre américain de l’Intérieur, Ryan Zinke, a également affirmé qu’en se servant du revenu du pétrole américain, ils n’auraient plus le besoin d’envoyer les jeunes du pays faire la guerre dans d’autres pays.

 
 
 

La chaîne 2 de la télévision israélienne a diffusé un programme dans lequel étaient clairement relatées les pressions exercées dans les années 60 par le Mossad sur les juifs du Maroc, de Tunisie et d’Algérie pour les conduire à émigrer en masse en Palestine occupée.

Et selon le site d’information Rai Tunisia, lors des premières années de son occupation, le régime israélien a mis en place des groupes armés et des centres de renseignement dans les pays du nord de l’Afrique, groupes et centres auxquels des armes et des équipements militaires ont été livrés. Et l’historien juif Yigal Bin-Nun a écrit dans une étude qu’au début des années 1960, le Mossad a envoyé un groupe pour procéder à des attentats terroristes contre les juifs habitants au Maghreb tout en faisant passer ces attentats pour des crimes commis par des autochtones. Il cherchait ainsi à faire croire aux juifs que leurs pays n’étaient plus un lieu sûr pour vivre. 

Bin-Nun affirme également que le Mossad cherchait à ce que le mouvement sioniste s’étende aussi parmi les juifs de l’Afrique du Nord pour les inciter à émigrer en Palestine occupée.

L’historien juif aurait indiqué aussi que le Mossad ne lésinait sur aucun moyen pour débaucher les juifs et qu’il faisait tout pour leur insuffler l’idée qu’après 2 millénaires, le temps était venu pour eux de retourner en Palestine.

La chaîne 2 de la télévision israélienne a elle-même annoncé que le service d’espionnage du régime israélien était très puissant dans les années 1960 en Afrique du Nord et que les dirigeants du Mossad ne cessaient de faire des allées et venues secrètes dans cette région, le tout évidemment dans le but de ramener avec eux le plus de juifs possible.

Alors que le Gouvernement espagnol réitère son rejet du référendum sur l'indépendance en Catalogne, les autorités de la Generalitat soulignent qu'elles n'arrêteront pas la consultation.

L'Iran plaide à nouveau pour l'intégrité territoriale de l'Irak et prétend qu'il ne reconnaît pas la séparation de la région semi-autonome du Kurdistan.

Les musulmans chiites du monde participent aux cérémonies de deuil pour l'anniversaire du martyre d'Imam Hussein (P).

vendredi, 29 septembre 2017 10:43

Qui est l’Imam al-Hussein?

Qui est l’Imam al-Hussein?

«Je ne me rendrai jamais à vous comme un soumis, ni ne me résignerai jamais comme un esclave».

L'écho de ce cri de refus et de défi qu'a lancé l'Imam al-Hussein, à la face de la puissance déviationniste omayyade avant de tomber en martyr, retentit encore dans la vallée de Tûfûf, comme il a toujours retenti dans les oreilles de toutes les générations qui se sont succédées depuis son assassinat.
Il n'a cessé d'agiter toutes les phases de l'histoire, comme un tourbillon qui moissonne les tyrans, ou un volcan qui fait trembler les trônes des injustes, en réveillant toutes les consciences libres et en galvanisant l'esprit révolutionnaire et de jihad missionnaire chaque fois que la déviation et les forces du mal poussent à l'excès leur arrogance.

Depuis son martyre, des millions et des millions de Musulmans se sont rendus à sa tombe pour se rappeler que la sauvegarde du Message et de la Sunna (la Tradition du Prophète) exige parfois le sacrifice de soi, même si l'on a toutes les possibilités de l'éviter.

Aujourd'hui, cette tombe, transformée au fil des siècles en un site imposant de merveilles, dressant ses dômes et ses minarets dorés au centre de Karbalâ' (ville située à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Bagdad) témoigne par sa splendeur de l'attachement profond et inébranlable des générations successives de Musulmans à cette personnalité islamique hors du commun, par le sens qu'il a su donner à son combat pour préserver l'Islam d'une déviation imminente.

Au fil des siècles des écoles littéraires spécifiques se sont créées pour dépeindre les tableaux épiques du martyre d'al-Hussein, et des milliers de littérateurs et des poètes ont consacré leurs plumes et leurs talents à l'évocation et à la description de sa tragédie, de son héroïsme et des moindres détails de sa noble vie.

Aujourd'hui, on ne compte plus le nombre de révoltes, de soulèvements et de révolutions qui ont éclaté en ayant pour moteur et agent galvanisateur, la mémoire de la Révolution d'al-Hussein, l'exemple de son sacrifice, de sa foi, et de ses principes.

Quel est donc ce personnage qui a tant marqué l'histoire et les coeurs des musulmans, en général, et des adeptes des "Ahl-ul-Bayt" en particulier?
Pourquoi, des Musulmans légitimistes qui se disent avant tout attachés au Coran et à la Sunna du Prophète prennent-ils pour symbole de cet attachement, la personnalité et l'action de cette figure de proue de la légitimité en Islam, al-Hussein, petit-fils du Prophète?

Passé inaperçu en Occident, le sommet du BRICS de Xianmen marque une nouvelle étape dans le développement de cette institution internationale. Zhao Minghao rapporte les trois principaux objectifs du sommet et le concept de « BRICS Plus ».

 
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Le BRICS rassemble depuis 2009 le Brésil, la Russie l’Inde, la Chine —et deux ans plus tard— l’Afrique du Sud (Brazil, Russia, India, China, South Africa), soit plus de 40 % de la population mondiale.

Après plusieurs mois, le conflit à propos de la frontière du Doklam opposant la Chine et l’Inde s’est résolu de manière pacifique. Les deux parties sont des membres fondateurs du BRICS et espèrent toutes deux maintenir leur unité avec les autres économies émergentes. Comme a dit le président Xi Jingping : « La coopération du BRICS est une innovation, qui transcende le vieux schéma d’alliance politique et militaire et qui préfère les partenariats aux alliances. » De plus, les pays du BRICS tentent les uns les autres de dépasser les différences entre leurs idéologies et systèmes politiques respectifs pour chercher des ententes « gagnant-gagnant » plutôt que de jouer à somme nulle.

La première réunion des ministres des Affaires étrangères du BRICS fut convoquée en septembre 2006, marquant alors la fondation du mécanisme du BRICS. Dix ans plus tard, le BRICS était devenu un bloc économique international majeur représentant quelques-uns des plus importants pays en développement et économies émergentes.

Depuis, les États membres du BRICS ont accru leur part de l’économie globale, passant de 12 % à 23 %, leur commerce a augmenté de 11 % à 16 % et l’investissement est passé de 7 % à 12 %. Plus important encore, la contribution des économies du BRICS à la croissance de l’économie mondiale a maintenant dépassé les 50 %.

Face à la politique de Donald Trump, « L’Amérique d’abord », l’économie mondiale court un risque de diminution du multilatéralisme. Si les pays développés et émergents continuent de se tourner vers eux-mêmes et de reculer en matière de coopération dans les politiques macro-économiques, la flamme vacillante de la guérison économique mondiale pourrait être soufflée.

Dans les derniers mois, plusieurs économistes dont la directrice du Fond monétaire internationale (FMI), Christine Lagarde, a déclaré que l’économie mondiale montre finalement des signes d’un nouvel élan, dix ans après la crise financière. Les États-Unis, l’Europe et le Japon ont connu une croissance constante pendante que la Russie, le Brésil et l’Afrique du Sud ont également rapporté des chiffres en hausse. La Chine et l’Inde, de leur côté, ont maintenu leur croissance à des niveaux moyens à élevés.

Le sommet du BRICS de Xiamen entend faire entrer le mécanisme dans sa seconde décennie dorée.

Premièrement, les pays du BRICS ont été diligents à mettre en place de nouvelles mesures afin de stimuler les échanges dans les services, l’investissement et le commerce électronique. En 2015, les exportations des membres du BRICS en termes de services ont atteint 540 milliards de dollars, soit seulement 11,3 % du total mondial. Avec l’expansion de la classe moyenne dans les pays du BRICS, les opportunités de coopération foisonnent de toute part, en santé, en tourisme, en éducation ainsi que dans plusieurs autres secteurs.

De plus, les pays du BRICS ont travaillé à implanter des schémas afin de faciliter l’investissement, incluant des mesures pour améliorer l’efficacité de l’approbation administrative et l’ouverture des diverses industries. Le groupe de travail sur le commerce électronique du BRICS a été établi en août afin d’aider le développement des petites et moyennes entreprises de commerce électronique et en faire une force dynamique soutenant, pour le futur, la coopération et l’échange du groupe.

Deuxièmement, les pays du BRICS cherchent à promouvoir activement l’amélioration de la gouvernance globale. Mis à part les réformes déjà prévues émanant des institutions internationales telles que le Conseil de Sécurité de l’ONU et du FMI, le pays du BRICS ont déjà établi des mécanismes de coopération dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, de la gestion spatiale, la cyber-sécurité et de la sécurité énergétique. Comme ils sont parmi les plus grands consommateurs et exportateurs d’énergie au monde, les pays du BRICS vont mettre en place des mécanismes de coopération afin d’augmenter les réserves stratégiques d’énergie, de développer les énergies renouvelables et d’améliorer l’efficacité énergétique.

Troisièmement, les membres du BRICS visent à améliorer la coopération sur les questions de sécurité nationale et régionale relatives à certains points stratégiques. Pendant la septième rencontre des hauts représentants sur les questions de sécurité en juillet, il a été décidé qu’une coopération plus en profondeur, autant au niveau politique que sur les questions de sécurité, serait la clé du renforcement du mécanisme du BRICS. La situation politique du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord fut au centre de l’attention et des questions relatives à la situation en Afghanistan furent évoquées à plusieurs reprises dans la déclaration conjointe [1].

Plus important encore, le sommet de Xiamen entend pousser le concept de « BRICS Plus ». Celui-ci encourage les membres du BRICS à approfondir les relations avec les autres pays en voie de développement pour soutenir et garantir leurs intérêts, avec comme objectif final d’étendre leur influence internationale. Des négociations entre le BRICS et les dirigeants des États africains furent arrangées pendant le sommet du BRICS de 2013 à Durban, en Afrique du Sud, alors que l’Inde invitait les dirigeants de pays riverains du Golfe du Bengale au Sommet de Goa l’an passé. Cette année, les dirigeants de pays tels que le Mexique, l’Égypte et le Tajikistan ont participé au sommet de Xiamen grâce à l’initiative du BRICS Plus.

Il n’y a aucun doute que la coopération à l’intérieur du BRICS fait face à de nombreux défis. La Chine, la Russie et l’Inde doivent mieux gérer les effets négatifs des relations géopolitiques entre leur pays et contribuer à construire une identité collective plus forte pour leur bloc. Le BRICS doit aussi travailler à transformer les documents promettant la coopération en des actions concrètes plutôt qu’à s’enliser dans des discussions futiles.

On estime qu’en 2021, la Nouvelle banque de Développement du BRICS aura prêté un total de 32 milliards de dollars. Le bureau africain de la banque vient également de lancer ses opérations en Afrique du Sud en août dernier.

Il est clair que de tels mécanismes internationaux sous la bannière du BRICS doivent jouer un rôle complémentaire bien plus grand dans la gouvernance mondiale qu’ils ne le font aujourd’hui.

L'armée israélienne a accusé l'Iran de fournir au Hezbollah des missiles de haute précision.

L'armée du régime israélien a publié, jeudi 28 septembre, un communiqué, prétendant que l'État iranien se livrerait à des efforts 24 heures sur 24 pour pouvoir fabriquer des missiles de haute précision et les fournir au Hezbollah libanais.

"L'Iran continue de renforcer sa présence en Syrie où il soutient le Hezbollah dans l'espoir d'y ouvrir un deuxième front anti-israélien", indique le communiqué, publié par le site web The Times of Israel.

L'armée israélienne a prétendu que l'Iran respectait le texte de l'accord nucléaire mais transgressait son esprit et qu'il se préparait à reprendre la fabrication des armes nucléaires après l'expiration de l'accord.

Selon les estimations de l'armée israélienne, le Hezbollah détient actuellement plus de 120 000 missiles et roquettes, ce qui lui permettrait de tirer un millier de roquettes par jour, vers les territoires occupés, en cas du déclenchement d'une guerre contre Israël.

Bien que l'armée et le ministère des Affaires militaires d'Israël aient dépensé des sommes faramineuses pour renforcer leur système de défense antiaérien, nombre d'officiers et de commandants de haut rang israéliens sont d'avis que ces systèmes ne sont pas en mesure de contrer toutes les roquettes qui pourraient être tirées par le Hezbollah.

Par ailleurs, l'armée israélienne prétend vouloir empêcher l'Iran de créer une artère chiite vers la Méditerranée, via l'Irak et la Syrie. 

Ces allégations anti-iraniennes des autorités civiles et militaires du régime israélien interviennent à un moment où l'axe de la Résistance, dont l'Iran constitue un maillon très important, va de victoire en victoire dans la région, de l'Irak jusqu'en Syrie en passant par le Liban et le Yémen et tout cela au grand dam de l'axe Tel-Aviv/Washington et de ses alliés régionaux.  

Les diplomates russes et nord-coréens vont s'asseoir à la même table des négociations pour discuter les voies censées dénouer la crise sévissant en péninsule coréenne.

Les diplomates russes et nord-coréens vont s’entretenir vendredi 29 septembre à Moscou sur la crise secouant la péninsule coréenne.

Oleg Burmistrov, un responsable auprès du ministère russe des Affaires étrangères, mènera des échanges de vue à Moscou avec Choe Son-Hui, cheffe du département Amérique du Nord au ministère nord-coréen des Affaires étrangères, sur la crise de la péninsule coréenne et les voies censées alléger la tension.

Sans la moindre allusion à l’axe des négociations entre les responsables russes et nord-coréens, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a confirmé pour sa part une rencontre entre les diplomates russes et nord-coréens à Moscou.

« Au terme de cette réunion, le ministère russe des Affaires étrangères publiera un communiqué sur les résultats », a-t-elle assuré.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a envoyé deux lettres, l'une à destination de l'Organisation des Nations unies et l'autre à l'adresse du Conseil de sécurité, afin de leur demander de réagir aux crimes barbares que commet la coalition internationale, sous le commandement des États-Unis, en Syrie.

"Damas réclame la fin des crimes commis par la coalition internationale contre la Syrie et les civils syriens. Nous demandons, une fois de plus, au Conseil de sécurité de l'ONU de passer à l'acte pour mettre fin, dans les plus brefs délais, aux crimes barbares et à la violation des lois internationales par la coalition américaine", indiquent les lettres.

Les avions de chasse de la coalition internationale, sous le commandement des États-Unis, ont, à plusieurs reprises, bombardé les régions civiles, tuant ainsi un grand nombre de personnes dont des femmes et des enfants.

Les prix du pétrole remontaient jeudi en cours d’échanges européens, alors que les tensions entre le Kurdistan irakien, l’Irak et la Turquie montent. Par contre, l’écart se resserre entre le WTI américain et le Brent européen.

Vers 10 h 10 GMT (12 h 10 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 58,27 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 37 cents par rapport à la clôture de mercredi.

Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour la même échéance gagnait 54 cents à 52,68 dollars.

Après la nette baisse du Brent mercredi alors que le WTI montait légèrement, l’écart continuait de se resserrer entre les deux types de brut, le WTI atteignant même son plus haut niveau en séance depuis plus de cinq mois à 52,86 dollars vers 9 h 40 GMT.

Les tensions entre le Kurdistan irakien et les autorités turques et irakiennes après un référendum sur l’indépendance de la région font craindre une perturbation des exportations de cette région, qui fournit entre 500 000 et 550 000 barils par jour sur les marchés mondiaux.

Dernier développement en date, la Turquie a informé l’Irak qu’elle ne traiterait désormais plus qu’avec le gouvernement de Bagdad concernant les exportations pétrolières, a indiqué jeudi le bureau du Premier ministre irakien.

Furieux de la tenue du scrutin, le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé lundi que des « mesures » allaient être prises cette semaine contre la région autonome. L’exportation du pétrole du Kurdistan irakien cessera une fois que la Turquie aura « fermé les vannes », a-t-il prévenu.

Ankara est le premier concerné par la question puisque 550 000 des 600 000 barils/jour produits par le Kurdistan irakien sont exportés via le terminal turc de Ceyhan (sud).

La Turquie peut donc fermer l’oléoduc qui relie l’Irak à Ceyhan, où les dépôts de brut construits dans les années 1980 ont appartenu à Bagdad avant que le gouvernement autonome kurde ne mette la main dessus en 2014.

Avec zonebourse et AFP