تقي زاده

تقي زاده

Selon les médias afghans, un hélicoptère américain s’est écrasé dans la province de Parvan en Afghanistan.

Selon les premières informations, une avarie technique serait à l’origine de ce crash.

Des informations contradictoires ont été diffusées à ce propos, alors que le porte-parole de la province de Parvan a fait état d’une défaillance technique comme étant à l’origine de ce crash. Selon lui, aucune victime ne serait à déplorer.

Mais d’après les talibans, cet hélicoptère servait pour le transport et plusieurs militaires ont été tués dans cet incident.

Le porte-parole des talibans a affirmé qu’il avait été abattu par une mitrailleuse DshK.

Il est à noter que la province de Parvan est lieu très fréquenté par les hélicoptères américains en raison de la présence d’une base américaine dans la ville de Bagram.

Un parlementaire russe, rentré il y a quelques heures d’une visite en Corée du Nord, a déclaré que ce pays se préparait à tester un missile à longue portée pouvant atteindre la côte ouest des États-Unis.

Selon l’agence de presse russe Sputnik, ce député se nommant Morozov a affirmé expressément : « Ils [les Nord-Coréens] se préparent à tester un nouveau missile à longue portée. Ils nous ont même transmis les données mathématiques qui leur permettent de croire que ce missile pourrait atteindre la côte ouest des États-Unis. »

Ce parlementaire russe a ajouté qu’une rapide intervention de tous les États liés à la question de près ou de loin était désormais impérative pour éviter que des crises à plus grande échelle n’éclatent dans un avenir proche.

Une délégation de parlementaires russe était en visite officielle dans la capitale nord-coréenne du 2 au 6 octobre, a déclaré l’ambassade de Russie en Corée du Nord. Les députés ont discuté de la coopération entre les deux pays.

Il est utile de rappeler qu’il y a une semaine, des bombardiers américains de type B1-B ont survolé une zone proche de la côte est de la Corée du Nord, opération qualifiée aussitôt par le ministre nord-coréen des Affaires étrangères de « mission suicide ». Ce dernier a également déclaré devant l’ONU, où il faisait un discours, que les dernières déclarations et actions américaines « rendent inéluctables la visite de nos missiles sur le sol américain. »

Le Pentagone a fait part d’un contrat d’armement de 173 millions de dollars entre le Qatar et les États-Unis.

Le département américain de la Défense a annoncé, le mercredi 4 octobre, dans un communiqué de presse, d’un contrat d’armement de 173 millions de dollars entre le Qatar et l’entreprise américaine Raytheon, spécialisée dans les domaines des systèmes de défense et d’électronique et dans l’aérospatiale.

« Raytheon Missile Systems a décroché un contrat de 173 millions de dollars pour fournir au Qatar 200 missiles air-sol AGM-154 Joint Standoff Weapon (JSOW) ainsi que des pièces détachées et un soutien technique et d’ingénierie », a annoncé le Pentagone.   

« Raytheon Missile Systems, dont le siège se trouve à Tucson, en Arizona, reçoit un contrat de 172 874 170 $ pour fournir 200 armes collectives AGM-154C Block III, 212 conteneurs, diverses pièces et équipements de soutien pour les pièces de rechange, et un appui technique au gouvernement du Qatar », a déclaré le communiqué.

Le JSOW fournit aux forces navales la possibilité de frapper des navires en mouvement ainsi que des cibles terrestres fixes, selon les informations publiées sur le site web de Raytheon. Il utilise un système de navigation équipé d’un système de guidage GPS et d’un détecteur infrarouge d’imagerie thermique pour atteindre sa cible.

Les travaux de production liés à ce contrat militaire seront effectués dans les États américains de l’Arizona, du Texas, du Vermont, du Minnesota, du Massachusetts, de l’Oklahoma, du Missouri, de la Californie, de la Pennsylvanie, de l’Arkansas, de New York, de la Floride et du Colorado, a ajouté le communiqué. Le reste aura lieu au Royaume-Uni. Ces travaux devraient être achevés d’ici juin 2020.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré en marge des funérailles de Jalal Talabani que Téhéran resterait toujours l’ami des Kurdes irakiens.

En marge de la cérémonie de funérailles de l’ex-président irakien Jalal Talabani, Mohammad Javad Zarif a déclaré : « La République islamique d’Iran restera toujours l’amie du peuple irakien, dont les Kurdes. Par ailleurs, nous ne mettons pas sur le dos des Kurdes de l’Irak les erreurs stratégiques qui sont commises par certaines personnalités [politiques, NDLR]. »

Le ministre iranien des Affaires étrangères a également redit l’attachement de l’Iran à la préservation de l’unité nationale et territoriale de l’Irak.

Il a invité en outre tous les Kurdes d’Irak à poursuivre la voie de Jalal Talabani, symbole de l’unité de ce pays. Le chef de la diplomatie iranienne a indiqué que Talabani, qui était un ami de l’Iran, s’était battu avec persévérance contre le régime dictatorial de Saddam Hussein et qu’il avait toujours défendu l’unité et la souveraineté de l’Irak.

Selon Mark Loukuk, président du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) des Nations unies, le non-accès à l’aide humanitaire dans l’État de Rakhine au Myanmar est inadmissible.

Auparavant, la petite mission onusienne qui s’était rendue au Myanmar avait qualifié d’inimaginable la situation dans laquelle vivent les musulmans dans certaines régions de ce pays.

Une réfugiée rohingya à la frontière du Bangladesh. ©Reuters

« Une équipe de hauts responsables de cette organisation se rendront dans les jours à venir dans l’État de Rakhine », a ajouté Mark Loukuk.

Il a également indiqué que les Nations unies avaient demandé au gouvernement du Myanmar d’assurer un accès sans entrave de l’aide humanitaire.

De même, Amnesty International a annoncé le 4 octobre que la communauté internationale devrait contribuer à ce qu'aucun réfugié rohingya ne soit renvoyé de force au Myanmar, tant que ces réfugiés risquent d'y subir de graves violations des droits humains en raison de la campagne de nettoyage ethnique menée par l'armée.

Dans des déclarations recueillies vendredi par officiel russe Agence Spoutnik, le législateur a rappelé que, dans une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU), respect par Téhéran de tous les engagements de l’accord est ratifié nucléaire, signé en juillet 2015 entre l’Iran et le groupe 5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie et Chine, plus d’Allemagne).

Ozerov détails qu’il est en hausse, à partir de 2020, des interdictions sur la vente à l’Iran d’armes conventionnelles, y compris des avions et hélicoptères, navires de guerre, missiles, réservoirs, systèmes d’artillerie blindés et systèmes de combat de gros calibre.

Ces déclarations sont produites lorsque le porte-parole de la Maison-Blanche, Sara Sanders, rapport jeudi que le Président des Etats-Unis, Donald Trump a pris une décision sur l’accord nucléaire et qui doit déclarer à un moment opportun.

Trump dispose d’un délai jusqu’au 15 octobre pour certifier si l’Iran est conforme à sa part dans le Pacte, nom officiel Plan intégral d’action commune (JCPOA, par son sigle en anglais). Dans le cas contraire, tels que les médias locaux Advanced, Congrès aura 60 jours pour examiner le Pacte et décider si elle restaure les sanctions qui étaient sous elle.

Avant que Trump conteste au Pacte nucléaire, haute représentante de l’UE pour la politique étrangère et de sécurité commune de l’Union européenne (UE), Federica Mogherini, il a souligné le 19 septembre que l’accord iranien « fonctionne ».

Le chef de la diplomatie européenne a confirmé que l’Iran ne s’acquitte de ses engagements stipulés dans l’accord, de la même manière, ce qui a été certifiée par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) « à sept reprises » et a demandé à faire en sorte « que l’accord continue étant pleinement mis en œuvre par toutes les parties ».

"Les militaires de la base américaine d’al-Tanf ne laissent pas passer les convois humanitaires sur le territoire de l’un des plus importants camps de réfugiés dans le sud de la Syrie", affirme le ministère russe de la Défense.

"Les réfugiés du camp syrien de Rukban, dans le sud du pays, servent actuellement de "boucliers humains" pour la base américaine d'al-Tanf", a déclaré, ce vendredi 6 octobre, le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.

L'un des plus importants camps en Syrie, le camp de Rukban, est situé dans la zone de sécurité de Deraa, à proximité de la base américaine d'al-Tanf, et abrite actuellement plus de 60.000 femmes et enfants venant de Raqqa et de Deir ez-Zor.

Cependant, affirme M. Konachenkov, les Américains ne laissent approcher ni les convois des autorités syriennes ni ceux provenant de la Jordanie, ni de l'ONU, ni d'aucune autre organisation étrangère.

Le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, le 26 septembre 2016 à Moscou. ©AP

"Les réfugiés de Rukban sont actuellement des otages, et plus précisément des "boucliers humains" de la base américaine. Je rappelle qu'outre les Américains, seuls ceux que ces derniers sont venus combattre utilisent des barrières de "protection" de ce type en Syrie, et il s'agit des terroristes", a indiqué le porte-parole.

Al-Tanf héberge une base de la coalition internationale où les militaires américains forment et équipent les détachements de l'opposition syrienne armée pour la lutte contre Daech.

En mai et en juin, la coalition avait opéré des frappes sur les troupes gouvernementales syriennes qui s'étaient rapprochées des détachements de l'opposition près d'al-Tanf. Toutefois, les heurts entre l'opposition, soutenue par les États-Unis, et les forces gouvernementales avaient par la suite cessé dans cette région.

 

"Les représentants du Pentagone ont affirmé à plusieurs reprises que les instructeurs américains, britanniques et norvégiens, qui sont couverts par l'aviation tactique et un système de lance-roquettes multiple, formaient les combattants de l'Armée syrienne libre (ASL). En fait, la localité d'al-Tanf s'est transformée en "trou noir" d'un rayon de 100 kilomètres sur la frontière jordano-syrienne. Au lieu de l'ASL, ce sont des groupes mobiles de Daech qui, jaillissant comme des diables en boite, réalisent des attaques terroristes et subversives contre les troupes syriennes et les civils", a déclaré Igor Konachenkov.

Selon le porte-parole du ministère russe de la Défense, le déploiement illégal en avril 2017 de cette base militaire américaine sur la frontière jordano-syrienne a été justifié publiquement "par la nécessité de mener des opérations contre Daech".

Cependant, au cours des six mois de l'existence de cette base, aucune opération américaine contre Daech n'a été effectuée.

Comme l'a indiqué le ministère russe de la Défense, Daech a attaqué à plusieurs reprises les troupes syriennes depuis une zone située dans un rayon de 50 kilomètres autour de la localité d'al-Tanf, à la frontière jordano-syrienne, où se trouve la "mission militaire US".

Source: Sputnik

Le président de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique a appelé tous les signataires de l'accord nucléaire à honorer ce document.

En visite à Rome pour participer à la Conférence internationale sur la non-prolifération des armes nucléaires, le président de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique Ali Akbar Salehi a dénoncé, ce jeudi 5 octobre, l'idée de renégocier l'accord nucléaire dans ses aspects techniques.

"Non seulement les Iraniens, mais les Russes, les Chinois et Mme Mogherini sont également d'avis que l'accord nucléaire n'est pas renégociable. Si les États-Unis se retirent de l'accord nucléaire et les autres pays y emboîtent le pas, le document sera annulé, mais si la décision se borne aux États-Unis, ça sera à la commission iranienne de supervision de l'accord nucléaire de prendre une décision convenable", a expliqué Ali Akbar Salehi.

Il a souligné que la République islamique d'Iran n'accepterait jamais de renégocier l'accord nucléaire.

"La meilleure approche est de respecter l'accord nucléaire qui renforce le régime de la non-prolifération des armes nucléaires. Si l'accord nucléaire est annulé, quel facteur pourrait pousser la Corée du Nord à s’asseoir à la table du dialogue pour parvenir à un accord nucléaire?", a affirmé Ali Akbar Salehi.

"Le nombre des terroristes de nationalité française qui se battent aux côtés de Daech en Syrie et en Irak a été réduit probablement en raison de l'intensité des combats", a déclaré Florence Parly.

La ministre française des Armées, Florence Parly a déclaré, vendredi 6 octobre, que près de 500 terroristes de nationalité française se battaient actuellement aux côtés des terroristes de Daech en Irak et en Syrie et que le nombre avait été probablement réduit en raison de l'intensité des combats.

La ministre française des Armées Florence Parly à Bagdad, le 26 août 2017. ©AP

Le nombre de 700 terroristes avait été évalué, il y a quelques mois, par les responsables français.

"Le nombre des terroristes français qui luttaient en Syrie et en Irak pour le compte de Daech était plus élevé que ça, mais il a été réduit compte tenu de l'intensité des combats", a-t-elle expliqué, ajoutant qu'il ne sera pas facile de recenser un bilan exact.  

Selon Europe 1, la ministre a précisé que le flux de candidats français à la guerre en Irak et en Syrie s'était pratiquement tari et que, parallèlement, celui des retours était inexistant.

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, en visite officielle à Téhéran, a rencontré mercredi après-midi le Guide suprême de la Révolution islamique,
Au cours de cette rencontre, le Guide suprême de la Révolution islamique a insisté sur la nécessité du développement de la coopération économique entre l’Iran et la Turquie. L’honorable Ayatollah Khamenei a affirmé que l’entente et la coopération entre les deux pays sur diverses questions importantes du monde musulman seraient efficaces et déterminantes.
 
Ensuite, en évoquant les intérêts particuliers que les États-Unis et le régime israélien souhaitent réaliser après la tenue du référendum dans la région autonome du Kurdistan irakien, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : « Les États-Unis et les autres puissances extra-régionales ne sont pas dignes de confiance, et essaient de créer un nouvel Israël dans notre région. »
 
L’honorable Ayatollah Khamenei a mis l’accent aussi sur les sérieux problèmes actuels du monde musulman de l’Asie de l’Est — avec le Myanmar — à l’Afrique du Nord, avant de déclarer : « Face à ces problèmes, si l’Iran et la Turquie pouvaient accéder à une entente générale, ils pourraient être sûrs que ce plan sur lequel ils se mettent d’accord se réalisera, et cela sera, certes, dans l’intérêt des deux pays et de l’ensemble du monde musulman. »
 
Insistant sur l’importance du développement accru de la coopération économique entre l’Iran et la Turquie, le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré : « Malheureusement, le niveau de notre coopération économique n’a pas été élevé et il faut sans aucun doute y consacrer plus d’énergie et de travail. »
 
L’honorable Ayatollah Khamenei s’est félicité de la bonne coopération entre l’Iran et la Turquie à l’approche de la conférence d’Astana, capitale du Kazakhstan, sur la Syrie, en estimant que le processus diplomatique d’Astana a contribué à l’amélioration de la situation sur le terrain. « Il est évident que le problème de Daech et du takfirisme ne sera pas résolu complètement, car la solution définitive de ce problème nécessite un plan réel et réaliste à long terme », a ajouté le Guide suprême de la Révolution islamique.
 
Dans une autre partie de ses propos, l’honorable Ayatollah Khamenei a souligné que la tenue du référendum dans la région autonome du Kurdistan irakien était une trahison envers les peuples de la région et pourrait devenir une source de menace pour leur avenir, risquant d’avoir des impacts durables pour les pays voisins. « L’Iran et la Turquie doivent mobiliser leurs moyens pour contrer ces événements, et le gouvernement irakien doit s’engager à prendre des décisions sérieuses à ce propos », a ajouté le Guide suprême de la Révolution islamique.
 
Dans l’optique de l’honorable Ayatollah Khamenei, l’Iran et la Turquie devront faire preuve de coopération, de consultations régulières et de prises de décisions politiques et économiques coordonnées pour faire face à cet événement important.
 
Le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté : « Le regard que portent les États-Unis et les États européens à ce sujet est entièrement différent du point de vue de l’Iran et de la Turquie. Le gouvernement des États-Unis souhaite avoir à sa disposition un moyen de harcèlement permanent contre l’Iran et la Turquie. Par conséquent, il est tout à fait impossible de pouvoir faire confiance à la position des Américains et de leurs alliés européens. »
 
Le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré au président turc, Recep Tayyip Erdogan : « Comme vous l’avez rappelé vous-même, ces récents événements rendent service d’abord au régime sioniste, puis aux dirigeants des États-Unis. »
 
L’honorable Ayatollah Khamenei a ajouté que les ennemis tentaient d’occuper l’Iran et la Turquie avec des questions secondaires afin de détourner leur attention des événements importants de la région. « Les puissances extrarégionales et le régime sioniste veulent créer un nouvel Israël dans notre région et le transformer en un instrument qui leur servira à créer de nouveaux conflits », a ajouté le Guide suprême de la Révolution islamique.
 
« Pour faire face à ce problème, il nous faudra une vision stratégique à long terme et une prise de position commune, sérieuse et rapide », a conclu l’honorable Ayatollah Khamenei.
 
Au cours de cette rencontre à laquelle a également participé le président Hassan Rohani, le président turc Recep Tayyip Erdogan a insisté, pour sa part, sur la nécessité de la création d’une alliance puissante entre la Turquie et l’Iran au niveau régional. « Lors des négociations que j’ai eues aujourd’hui avec le président de la République islamique d’Iran, nous sommes arrivés à un accord mutuel concernant les événements de Syrie et d’Irak », a déclaré le président turc.
 
Le président Recep Tayyip Erdogan a insisté ensuite sur l’importance d’une action commune et coordonnée de la Turquie, de l’Iran et de l’Irak au sujet des événements de la région autonome du Kurdistan irakien. Et d’ajouter : « D’après des documents et des indices irréfutables, les États-Unis et Israël se sont mis d’accord sur un plan général à propos du Kurdistan irakien, et le président Massoud Barzani a commis une erreur impardonnable en organisant son référendum. »
 
Le président Recep Tayyip Erdogan a déclaré qu’à l’exception d’Israël, personne n’avait reconnu le référendum organisé au Kurdistan irakien. « Les voisins de l’Irak ne peuvent évidemment pas accepter [l’action du gouvernement de la région autonome du Kurdistan irakien], et désormais les responsables du Kurdistan irakien ne pourront plus continuer sur cette voie et ne pourront pas échapper aux conséquences [de leur décision]. »
 
Le président Erdogan a affirmé que le plan commun des États-Unis, de la France et d’Israël consistait à démembrer les pays du Moyen-Orient afin d’assurer leurs propres intérêts. Le président turc a ajouté : « C’est d’ailleurs le plan qu’ils veulent réaliser également en Syrie. Donc, une décision commune de la Turquie et de l’Iran s’avère très importante. »
 
Plus loin dans ses propos, le président Recep Tayyip Erdogan a insisté aussi sur la nécessité du développement de la coopération économique et des échanges commerciaux jusqu’à 30 milliards de dollars par an. Le président turc a conclu : « Il y a tellement de projets que nous pourrons réaliser ensemble. Certes, il y aura certaines puissances à qui cela déplaira et qui feront tout pour empêcher nos pas positifs vers l’avenir. »    
 
Finalement, le président Recep Tayyip Erdogan a émis l’espoir que la réunion annuelle du haut conseil stratégique irano-turc préparera le terrain à l’application des décisions et des accords communs.
presstv