
تقي زاده
Rohani : la présence du peuple au scrutin présidentiel était sans précédent
Deux jours après sa réélection aux présidentielles, le président iranien Hassan Rohani a participé ce lundi 22 mai, à sa première conférence de presse, retransmise à l'antenne de la télévision nationale.
Le président Rohani a apprécié « la présence sans précédent » du peuple iranien aux urnes électorales du vendredi 19 mai. Selon lui, le peuple iranien a participé à ces élections avec un taux de participation à l’échelle des pays qui se targuent d'être les plus grandes démocraties du monde.
« La grande nation iranienne a fait preuve de sa plus grande participation aux élections dans l’histoire du pays. 42.000.000 de personnes ont voté et s’il était possible de prendre les votes de ceux qui étaient dans les files d’attente, les bulletins de vote glissés dans les urnes auraient pu se chiffrer à 45.000.000. »
Devant les représentants des médias nationaux et étrangers, Rohani a affirmé que les Iraniens avaient voté pour la modération et la raison.
Selon le président Rohani, la présence massive du peuple aux élections présidentielles a prouvé que la multitude des idées s’est réalisée en Iran ; « toutes les idées, toutes les factions sont présentes et c’est en profitant de toute cette multitude qu’il faudra bâtir un Iran glorieux », a-t-il précisé.
Rohani n’a pas manqué de parler du sommet des dirigeants arabes en présence du président américain, et au cours duquel, il a été dit que « l’Iran doit arrêter son appui aux terroristes, au front de la Résistance et au Hezbollah libanais ». Là-dessus, Rohani a dénoncé une « réunion théâtrale » sans aucune valeur ou utilité, ajoutant que ce n’était pas la première fois que l’Arabie saoudite accueillait de telles mascarades.
« Ce n’est pas avec des réunions trompeuses ou en dépensant la richesse de toute une nation que le terrorisme pourra être exterminé. Ceux qui, dans cette région, n'ont pas cédé au terrorisme sont les peuples d’Irak, de la Syrie et du Liban. L'Iran, par sa diplomatie et ses consultations militaires a toujours soutenu et soutiendra ces peuples », a ajouté le président iranien Hassan Rohani.
Au regard du président Rohani, les Iraniens ont su également transmettre un message, en ce sens que notre pays est disponible à interagir avec le monde, sur fond de respect mutuel et d’intérêts communs, « car, sans l’unité et sans coopération, le progrès de la région ne sera pas envisageable ».
Le président Rohani a fait également allusion à l’approche de Washington vis-à-vis de l’Iran :
« Les États-Unis ont essayé différentes tentatives contre l’Iran mais en vain. Du scénario de Tabas, jusqu’aux sanctions anti-iraniennes, en passant par leurs ingérences durant les huit années de guerre imposée au peuple iranien, ils ont toujours échoué», a poursuivi le président iranien, Hassan Rohani.
Rohani a émis l’espoir que le gouvernement américain prenne en compte les intérêts du peuple américain, avant de chercher à répéter son approche erronée au Moyen-Orient.
Les intérêts de Pékin et de Paris se heurtent en Afrique
La Chine est en train d’évincer la France de la côte atlantique de l’Afrique.
Tout en renforçant ses positions en Afrique, la Chine s’applique à évincer la France de l’ouest du continent, région riche en ressources naturelles, où les intérêts de Pékin et de Paris se heurtent.
Du 19 au 23 mai, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi effectue des visites en Mauritanie, au Cap Vert et en Côte d'Ivoire, et c'est déjà la deuxième mission diplomatique de Pékin en Afrique depuis le début de l'année en cours.
« Cette mission diplomatique doit faciliter l'accès de la Chine aux ressources naturelles de ces pays et aux ports de l'Atlantique », a estimé dans un entretien avec Sputnik le directeur adjoint de l'Institut de l'Afrique de l'Académie des sciences de Russie, Dmitri Bondarenko.
Selon un autre interlocuteur de l'agence, le doyen de l'Institut des relations internationales de l'Institut de la langue de Pékin, Jia Lieying, l'une des tâches principales du ministre chinois des Affaires étrangères consiste à montrer les avantages de la Route de la soie.
Les experts soulignent que la politique de la Chine en Afrique, tout comme en Amérique latine, consiste à s'étendre sur l'ensemble du continent sans tenir compte des systèmes politiques en place. En Afrique de l'Ouest, les intérêts de Pékin se heurtent à ceux de Paris. Ces dernières années, en Mauritanie, au Mali, en Côte d'Ivoire et au Niger, anciennes colonies françaises, la Chine s'emploie à évincer la France en quelque sorte.
Les observateurs soulignent que cela fait partie de la politique générale de Pékin qui s'applique à s'affirmer en Afrique et y poursuit principalement des intérêts économiques.
Jia Lieying estime qu'il s'agit également pour la Chine de promouvoir sa Route de la soie et de stimuler le développement régional, notamment dans le cadre de son projet d'expansion économique La Ceinture et la Route. Selon Pékin, les pays d'Afrique sont une région propice à ce genre de coopération où bien des projets sont déjà en cours de réalisation.
Trump arrive en Palestine occupée en pleine Journée de colère
Les Palestiniens ont commencé une grève générale à Gaza, en Cisjordanie, dans les territoires occupés en 1948 et à noble Qods où ils sont également descendus dans la rue, répondant à un appel pour une "Journée de colère".
Simultanément au déplacement du président américain à Tel-Aviv, une grève générale et des manifestations de protestation ont commencé lundi 22 mai, à Gaza, en Cisjordanie, dans les territoires occupés en 1948 et à noble Qods.
Plusieurs manifestants palestiniens ont été blessés par les militaires israéliens.
Dans la foulée, un grand nombre de Palestiniens qui habitaient à Ramallah, en Cisjordanie, se sont dirigés vers le poste de contrôle de Qalandiya afin d'exprimer leur solidarité avec les prisonniers palestiniens et leur colère contre la visite de Donald Trump en Palestine occupée.
Les manifestations, pourtant pacifiques, des Palestiniens ont été réprimées par les militaires israéliens qui ont tiré du gaz lacrymogène et des balles en caoutchouc sur la foule. Neuf Palestiniens ont été blessés près du poste de contrôle de Qalandiya.
De plus, 18 Palestiniens ont été blessés suite à l'inhalation de gaz lacrymogène, dans l'est de Qalqilya, en Cisjordanie.
À al-Khalil aussi, deux Palestiniens ont été blessés dans une attaque des militaires israéliens contre un rassemblement de protestation.
À l'heure actuelle, d'intenses affrontements sont en cours entre les militaires israéliens et les Palestiniens à Bethléem, en Cisjordanie.
Quelque 2 000 prisonniers palestiniens sont en grève de la faim depuis le 17 avril pour sensibiliser la communauté internationale quant aux conditions de vie défavorables qu'ils vivent dans les prisons israéliennes.
Paris, pour le dialogue avec l’Iran pour résoudre les crises régionales
En réaction aux déclarations anti-iraniennes avancées par le président américain, le ministre français des Affaires étrangères a souhaité la coopération avec l’Iran pour résoudre les crises dans la région.
Dans le sens du règlement des crises dans la région, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a appelé l’Iran à multiplier les dialogues politiques, a rapporté Farsnews.
Les déclarations de Jean-Yves Le Drian interviennent un jour après celles faites par le président américain, Donald Trump, contre l’Iran, a-t-on appris de Reuters.
Dans un discours à Riyad devant les représentants d’une cinquantaine de pays musulmans, dont 37 chefs d’État ou de gouvernement, Trump a accusé l’Iran de soutenir le terrorisme au Moyen-Orient et appelé à des mesures coordonnées pour isoler ce pays.
En réponse à une question pour savoir si Paris répondrait à l’appel lancé par Trump à isoler l’Iran, Le Drian a précisé que la France s’emploierait à multiplier les dialogues politiques qui devaient faire partie d’une approche constructive pour résoudre les crises régionales.
Le nouveau président français, Emmanuel Macron, a félicité dimanche Hassan Rohani pour sa réélection à la tête du pays et espéré que le gouvernement iranien applique minutieusement l’accord nucléaire.
Un cessez-le-feu unilatéral a été annoncé au Soudan du Sud
Le président sud-soudanais, Salva Kiir, a annoncé lundi 22 mai à Juba, la capitale, un cessez-le-feu unilatéral, faisant part de la libération de l’ensemble des prisonniers politiques, simultanément à l’amorçage du dialogue national.
Selon la version française de l’agence turque Anadolu, Salva Kiir a annoncé cette nouvelle lors d’un discours lundi à l’occasion du commencement du processus de dialogue national :
« J’annonce un cessez-le-feu unilatéral à compter de ce jour [lundi 22 mai] et j’appelle le commandement de l’armée populaire à se conformer à ses directives (…) Nous savons tous qu’un cessez-le-feu unilatéral n’engage pas l'autre partie [les forces de l'opposition dirigées par l'ancien vice-président Riek Machar] et, par conséquent, nous nous réservons le droit de nous défendre en cas d’attaque.»
Il a pourtant demandé aux forces de sécurité sud-soudanaises d’éviter d’arrêter les dirigeants de l’opposition, au cas où ces derniers exprimaient leur souhait de participer au processus de dialogue à Juba.
Une Allemande tuée à Kaboul, une Finlandaise portée disparue
La nouvelle a été rendue publique dans la matinée de dimanche par un message du porte-parole du ministère de l'Intérieur Najib Danish, affirmant sur son compte Twitter: "Une Allemande et un garde afghan ont été tués samedi soir vers 23H30 près du poste de police n°3 à Kaboul. Une Finlandaise a été enlevée".
Dans un communiqué, le ministère finlandais des Affaires étrangères a confirmé l'enlèvement d'un ressortissant finlandais à Kaboul sans autre précision: "Pour le moment l'identité des ravisseurs est inconnue. La Finande appelle à la libération immédiate de la personne enlevée", indique-t-il.
Sur son site internet, le gouvernement finlandais a également annoncé qu'une enquête était en cours sur "cette affaire qui a également couté la vie à des ressortissants d'autres pays".
Selon lui, "35 civils finlandais et une trentaine de soldats sont présents" en Afghanistan. Les Allemands de leur côté, outre les diplomates, ont plusieurs dizaines d'instructeurs militaires déployés, notamment dans le nord, sous bannière de l'Otan.
Dans un discours télévisé en direct, le président Rohani s’adresse au peuple iranien
Dans un discours diffusé en direct, ce samedi 20 mai, par la télévision nationale, Hassan Rohani qui a été réélu, vendredi 19 mai, à sa propre succession, en tant que président de la République islamique d’Iran, s’est adressé, au peuple iranien.
« Le message de l’élection présidentielle était clair : aujourd’hui le monde entier réalise que le peuple iranien a choisi la voie de l’interaction avec le monde. Le peuple iranien veut vivre en paix et dans la sérénité, mais en même temps, n’accepte pas les menaces ni les humiliations. »
Le président Rohani a réitéré que l’Iran était disponible à étendre ses relations avec le monde sur fond des intérêts nationaux.
« Notre scrutin a transmis un message aux pays de la région, en ce sens que l’unique voie d’assurer la sécurité dans cette région consiste à y renforcer la démocratie et à respecter la voix du peuple, pas à s’appuyer sur les puissances étrangères. »
Le 12e tour des élections présidentielles en Iran a eu lieu vendredi 19 mai. Selon le ministre de l’Intérieur, Abdolreza Rahmani-Fazli, presque 41 220 000 bulletins de vote glissés aux urnes, Hassan Rohani a été élu président pour un deuxième mandat avec environ 23 600 000 votes, soit 57 % des suffrages.
Réponse démocratique des Iraniens à l’animosité américaine
L’analyste arabe de renom, Abdel Bari Atwan, s’attarde sur l’attitude du président américain Donald Trump qui n’a pas félicité à Hassan Rohani, à l’occasion de sa réélection à la présidence iranienne pour un deuxième mandat, alors que les dirigeants de beaucoup de pays de la région voire du monde, de la Chine, jusqu’à la Russie, l’ont fait.
En visite à Riyad pour participer, entre autres, à un sommet des dirigeants des pays islamiques, en tant que « leader de la démocratie libérale dans le monde », le président américain Donald Trump n’a pas félicité le président Hassan Rohani pour « sa victoire électorale à l’issue d’un scrutin reconduit à 3 reprises et avec un taux de participation élevé ». L’éditorialiste du journal Rai al-Youm affirme qu’il n’en est pas étonné et par contre, il affirme bien connaître la raison de cette attitude.
« La raison en est très simple : cet homme, c’est-à-dire, Donald Trump, et ses soi-disant hôtes démocrates, s’occupent exactement de créer une alliance qu’on pourrait aussi appeler “l’Otan arabe” avec la participation d’Israël, pour combattre l’Iran. »
Selon Abdel Bari Atwan, la victoire de Rohani au scrutin présidentiel sans qu’il y ait besoin d’un second tour montre qu’en Iran, ce sont les urnes électorales et vox populi qui déterminent le président du pays. « En choisissant Rohani, les Iraniens ont montré leur volonté de poursuivre la politique d’ouverture qui a abouti à la signature de l’accord sur le nucléaire avec les 6 grandes puissances, malgré toutes les critiques sur le bilan économique de son gouvernement », précise l’analyste arabe.
« L’élection de Rohani reflète la réaction populaire et à la fois officielle des Iraniens à la vaste campagne menée par Trump et ses alliés contre l’Iran ; et cette réaction est d’une grande importance, parce qu’elle est démocratique et moderne et puisqu’elle sort des urnes électorales. »
L’analyste arabe de renom, Abdel Bari Atwan, s’attarde sur l’attitude du président américain Donald Trump qui n’a pas félicité Hassan Rohani, à l’occasion de sa réélection à la présidence iranienne pour un deuxième mandat, alors que les dirigeants de beaucoup de pays de la région voire du monde, l’ont fait.
En visite à Riyad pour participer, entre autres, à un sommet des dirigeants des pays islamiques, en tant que « leader de la démocratie libérale dans le monde », le président américain Donald Trump n’a pas félicité le président Hassan Rohani pour « sa victoire électorale à l’issue d’un scrutin reconduit à 3 reprises et avec un taux de participation élevé ». L’éditorialiste du journal Rai al-Youm affirme qu’il n’en est pas étonné et par contre, il affirme bien connaître la raison de cette attitude.
« La raison en est très simple : cet homme, c’est-à-dire, Donald Trump, et ses soi-disant hôtes démocrates, s’occupent exactement de créer une alliance qu’on pourrait aussi appeler “l’Otan arabe” avec la participation d’Israël, pour combattre l’Iran. »
Selon Abdel Bari Atwan, la victoire de Rohani au scrutin présidentiel sans qu’il y ait besoin d’un second tour montre qu’en Iran, ce sont les urnes électorales et la voix du peuple qui déterminent le président du pays. « En choisissant Rohani, les Iraniens ont montré leur volonté de poursuivre la politique d’ouverture qui a abouti à la signature de l’accord sur le nucléaire avec les 6 grandes puissances, malgré toutes les critiques sur le bilan économique de son gouvernement », précise l’analyste arabe.
« L’élection de Rohani reflète la réaction populaire et à la fois officielle des Iraniens à la vaste campagne menée par Trump et ses alliés contre l’Iran ; et cette réaction est d’une grande importance, parce qu’elle est démocratique et moderne et puisqu’elle sort des urnes électorales. »
Cette approche interprète, selon l’analyste arabe, un penchant auprès des Iraniens de préférer l’équilibre et éviter l’extrémisme. « Ce qui est aux antipodes du discours du prince saoudien Mohammad ben Salmane qui bat sur le tambour de la guerre contre l’Iran », a-t-il précisé.
« Mais si le président des États-Unis a manqué de féliciter Rohani, son homologue russe, Vladimir Poutine, a compensé ce fait, surtout, là où il réitère que Moscou et Téhéran vont poursuivre leur coopération pour assurer la sécurité de la région et dans le monde, en ajoutant que tous les accords signés au cours de la récente visite de Rohani à Moscou vont être complètement réalisés y compris l’accord de construction de 45 centrales atomiques, sans oublier les missiles S-300 sophistiqués que les Russes ont prévu de fournir à l’Iran », conclut l’analyste arabe Abdel Bari Atwan.
Cette approche interprète, selon l’analyste arabe, un penchant auprès des Iraniens dans le sens de préférer l’équilibre et éviter l’extrémisme. « Ce qui est aux antipodes du discours du prince saoudien Mohammad ben Salmane qui bat sur le tambour de la guerre contre l’Iran », a-t-il précisé.
« Mais si le président des États-Unis a manqué de féliciter Rohani, son homologue russe, Vladimir Poutine, a tout compensé, surtout, là où il réitère que Moscou et Téhéran vont poursuivre leur coopération pour assurer la sécurité de la région et dans le monde, en ajoutant que tous les accords signés au cours de la récente visite de Rohani à Moscou vont être complètement réalisés y compris l’accord de construction de 45 centrales atomique, sans oublier les missiles S-300 sophistiqués que les Russes devront fournir à l’Iran », conclut l’analyste arabe Abdel Bari Atwan.
Hamed Alizadeh premier lauréat des compétitions coraniques malaisiennes
Le Guide suprême de la Révolution islamique a salué la vaste présence du peuple à la présidentielle
Le Guide suprême de la Révolution islamique a salué la vaste et fervente présence du peuple iranien aux élections présidentielles du vendredi 19 mai 2017 (29 Ordibehesht 1396 du calendrier iranien).
Selon le site leader.ir, suite à la présence grandiose et épique du peuple iranien au 12e tour des élections présidentielles et 5e tour des élections des conseils municipaux et ruraux, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a publié un message de remerciement à l’adresse du peuple iranien.
Au président élu et à toutes les personnes qui feront partie du futur président, l’Ayatollah Khamenei a tenu à recommander de s’atteler à résoudre les problèmes du pays.
Le message du Guide suprême ajoute :
« Par sa présence massive et en glissant plus de 40 millions de bulletins de vote dans les urnes, le peuple iranien a marqué hier un nouveau record dans l’histoire des élections présidentielles en RII, ce qui, d’ailleurs, a démontré la présence forte et grandissante du peuple iranien sur la scène politique du pays. »
Le message de l’Ayatollah Khamenei contient aussi des recommandations pour le futur gouvernement :
« Au cher M. le président et à toutes les personnes qui feront partie du futur gouvernement, je tiens à recommander qu’ils se lancent avec motivation, vitalité et réflexion, dans les efforts censés régler les problèmes du pays, sans se dévier, même un seul instant, de ce droit chemin. Et les programmes les plus importants du futur gouvernement devront consister à ménager les couches appauvries, privilégier les régions rustiques ou défavorisées, respecter les priorités et enfin, prendre des mesures nécessaires contre la corruption et les problèmes sociaux. »