تقي زاده

تقي زاده

Le fonctionnaire perse s'exprimait à l'issue d'une réunion de cinq heures, tenue le lundi avec des représentants des États-Unis sur le dossier nucléaire de l'Iran.

Il a également sous-ministre iranien des Affaires étrangères pour les affaires juridiques et internationales précisé que la République islamique a été fermement réitéré son programme de missiles est non négociable et se poursuivra avec la même attitude.

Il a dit que l'équipe de négociation iranienne résister vigoureusement contre les demandes excessives des représentants de la contrepartie.

S'adressant au peuple de Perse, dit qu'il n'y a pas de place pour l'inquiétude, comme la capacité de défense du pays ne sera pas discutée du tout.

Les pourparlers sur le nucléaire Iran -États-Unis ont eu lieu dans la ville suisse de Genève et a été suivi par le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l'Union européenne (UE), Helga Schmid.

L'événement a eu lieu à la veille de la prochaine réunion entre l'Iran - G5 +1 le 16 et 20 Juin à Vienne, capitale autrichienne.

Iran et le nucléaire Sextet atteint un accord provisoire six mois Novembre 2013, dans la ville suisse de Genève, qui est entré en vigueur le 20 Janvier et se termine le 20 Juillet.

Depuis lors, les partenaires ont tenu plusieurs séries de réunions bilatérales afin de créer un climat de confiance et de réaliser un accord global avant la fin de la date limite de l'accord de Genève enfin.

Le journal britannique "The Indépendant" fait publier un article signé Robert Fisk...

où le journaliste dresse le portrait de l'un des commandants les plus compétents de l'armée syrienne surnommé Guépard, " homme que tout le monde aime". " il s'agit du colonel Soheil Hassan alias Guépard qu'adorent ses soldats et la personne d'Assad . c'est un brave soldat et connu comme tel . Guépard écrit aussi des poèmes et attend à chaque moment la mort puisqu'il relève les plus grands défis qui soient. Guépard a commandé les opérations militaires depuis Hama à Alep . il dit avoir tenté de convaincre via un haut parleur les terroristes d'Al Nosra et de l'Etat islamique en Irak et au Levant et autres anti Assad à déposer leurs armes à se rendre car " ces gens n'avaient pas d'autres choix ". " je voulais les convaincre que la poursuite de la guerre n'aura d'autres résultats que davantage de destruction, de morts , de déplacés ? ces centaines d'entre eux ont répondu à mon appel et se sont rendus . mais ces gens croyaient que les assadistes cherchaient à les tromper. c'est pourquoi, une fois qu'ils ont déposé leurs armes , les terroristes ont tenté de nous attaquer ! mais ceux qui trahissent leur promesse , devront mourir, dit Guépard cité par Fisk. " ce qui se passe en Syrie est certes une guerre civile , mais une guerre civile à laquelle prennent part les parties internationales, celles qui complotent contre le peuple syrien!" et Guépard de poursuivre : " j'appellerai ces terroristes , créatures de Dieu et non pas " hommes". puisque ces gens-là portent des ceintures explosives , des armes lourdes et sophistiqués et ne savent rien d'autre que de tuer " " Des militaires comme Al Namer ( Guépard) sont nombreux dans les rangs de l'armée arabe syrienne et si on me demande pourquoi Assad se maintient toujours à la tête de l'Etat , je répondrai : en raison de la présence des militaires comme Guépard" .

l'engagement militaire du Hezbollah en Syrie n'a cessé de faire l'objet de nombreuses analyses : au Liban et ailleurs dans la région, nombreux ont été les commentateurs qui ont dénoncé la "présence militaire hezbollahi" en Syrie à tire d'"une grave erreur stratégique", erreur " qui finira par éroder l'ancrage populaire de la Résistance auprès des peuples arabes et musulmans ainsi que la puissance de frappe de ce mouvement". et pourtant, l'ennemi numéro un du Hezb contre qui le Hezbollah s'est battu et a gagné multiplie des analyses qui vont toutes dans le sens contraire : les experts israéliens font remarquer ces jours -ci , le "grand acquis balistique du Hezb" , acquis remporté grâce à sa présence militaire en Syrie! en effet la tache la plus difficile de ces deux dernières années des experts du renseignement israélien a consisté à bloquer l'envoie des convois de missiles " syriens" en direction du Liban et plus précisément du Hezbollah! Israël revendique d'ailleurs plusieurs raids aériens contre le territoire syrien au nom des efforts " qu'il est censé fournir afin d'empêcher le Hezbollah de grossir son arsenal balistique" . ceci étant dit , " les propos des sionistes laissent transpercer une totale déception, le Hezbollah ayant déjà réussi à se procurer les pièces essentielles des missiles et à les stocker. tout ce que le renseignement sioniste s'emploie en ce moment à faire c'est de compter le nombre de missiles qui gîtent dans les arsenaux balistiques de la Résistance . l'un des commandants de l'armée israélienne a reconnu récemment que seuls 4 ou 5 pays au monde possèdent des arsenaux balistiques plus grands que ceux du Hezbollah ! " cet arsenal est identique à celui d'une armée nationale". le général Ayoun a ajouté : " de grandes organisations terroristes (!!!) comme le Hezbollah ont connu ces derniers temps une croissance exponentielle en termes de puissance de frappe et de capacités militaires . le Hezbollah s'est transformé en une organisation paragouvernementale . avec un arsenal pareil, le Hezb n'a pas à avoir honte devant les grandes armées du monde. c'est un arsenal rare en terme de précision et de qualité de ses composantes , ajoute le général. Alors l'engagement militaire en Syrie, une erreur? d'aucuns affirment tout le contraire vu que la présence militaire du Hezbollah en Syrie lui a également permis un rapprochement sans précédent avec la Russie , rapprochement qui n'ira pas sans se répercuter sur la puissance militaire du Hezb !!

Le président iranien Hassan Rohani doit effectuer une visite en Turquie lundi, sa première dans ce pays depuis son élection l’an dernier, a annoncé jeudi une source officielle turque.

M. Rohani s’entretiendra notamment à Ankara avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan des relations bilatérales et de la situation au Proche-Orient, a précisé ce responsable à l’AFP sous couvert d’anonymat.

Cette visite était prévue depuis un certain temps et le président iranien sera accompagné d’une importante délégation de ministres, a-t-il ajouté.

La Turquie et l’Iran, deux Etats voisins, tentent d’améliorer leurs rapports crispés par le conflit syrien, dans lequel Ankara a pris fait et cause pour les rebelles et Téhéran soutient le gouvernement syrien.

M. Erdogan s’est rendu en janvier en Iran, où il avait annoncé l’intention des deux pays de doubler en 2014 le volume de leurs échanges commerciaux, de 13,5 milliards de dollars (10 milliards d’euros) à 30 milliards de dollars (22 milliards d’euros).

Largement dépendante de l’Iran et de la Russie pour ses ressources énergétiques, la Turquie envisage d’augmenter ses importations de pétrole et de gaz en provenance de Téhéran à la faveur de la levée des sanctions internationales prévue dans le cadre de l’accord intérimaire sur le nucléaire iranien.

Pour la première fois, des représentants américains et iraniens vont se rencontrer en bilatéral lundi à mardi à Genève pour discuter du programme nucléaire iranien.

L'annonce de cette rencontre surprise a été faite samedi par les Iraniens. Washington a confirmé laconiquement la rencontre sans commentaire, en ajoutant toutefois, qu'il n'y aura aucun point presse.

C'est la première fois que Téhéran mène des discussions bilatérales hors des séances des négociations avec le groupe 5+1 (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne).

Ni le lieu, ni le programme des rencontres n'ont été annoncés. Dans les milieux diplomatiques à Genève, on s'attend cependant à ce que que les rencontres aient lieu à l'hôtel Intercontinental, prisé par les Iraniens.

Les discussions seront focalisées sur la levée des sanctions américaines en cas d'accord définitif sur le nucléaire iranien, que les deux parties souhaitent conclure d'ici le 20 juillet.

En janvier dernier, un accord préliminaire est entré en vigueur sur la levée des sanctions, en échange de la limitation de l'enrichissement d'uranium. L'accord, valable 6 mois le temps d'élaborer un texte définitif, se termine en principe le 20 juillet. Il peut cependant être prolongé.

La diplomate en chef de l'Union européenne, Catherine Ashton, qui mène les négociations au nom des pays du groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), sera représentée à Genève lundi et mardi par son adjointe, Mme Helga Schmid.

L'accord global que les 5+1 cherchent à conclure avec l'Iran devrait régler une question entre Téhéran et la communauté internationale, qui dure depuis plus de 10 ans.

Côté américain, la délégation qui viendra lundi à Genève sera conduite par le sous-secrétaire d'État William Burns.

Après les discussions genevoises, une rencontre bilatérale est également prévue par les Iraniens avec la Russie, mais à Rome cette fois-ci, soit mercredi et jeudi.

L'Iran aura des négociations avec tous les membres du groupe 5+1 mais les Etats-Unis sont le principal et le plus important interlocuteur car ce sont les Américains qui ont créé tout ce brouhaha à propos du programme nucléaire pacifique de l'Iran, a déclaré à l'AFP Cyrus Nasseri, membre de l'équipe de négociateurs nucléaires entre 2003 et 2005 lorsque l'actuel président Hassan Rohani était en charge des négociations.

Toute la question est de savoir si les Etats-Unis sont désormais prêts à faire le pas et accepter une solution raisonnable gagnant-gagnant pour les deux parties.

Les dirigeants iraniens, y compris le président Rohani ont répété ces dernières semaines que l'Iran ne renoncera pas à ses droits nucléaires, notamment posséder un programme de production de combustible nucléaire pour ses futures centrales et réacteurs.

Mais pour Téhéran, il s'agit aussi de discuter des modalités de la levée des sanctions économiques.

L'un des principaux sujets de discussions (avec les Etats-Unis, ndlr) est comment défaire la toile d'araignée des sanctions pour permettre à l'Iran de rétablir ses relations économiques avec le reste du monde, estime encore M. Nasseri, qui se dit en tout cas optimiste sur les négociations.

Officiellement, Téhéran a indiqué que les réunions bilatérales ont pour but de préparer la prochaine session avec les 5+1, prévue du 16 au 20 juin à Vienne, et ajouté que des réunions bilatérales avec d'autres membres du groupe étaient en préparation.

Selon une source diplomatique française, la réunion de Genève évoquera des aspects spécifiquement américains concernant la levée des sanctions en cas d'accord. Cette réunion est concertée avec l'ensemble du 5+1.

Depuis le 20 janvier, plusieurs séries de discussions ont été menées entre l'Iran et les grandes puissances pour mettre fin à dix ans de crise sur la question nucléaire, mais la dernière séance, en mai à Vienne, s'est achevée sans résultat.

L'étendue du programme d'enrichissement (nombre de centrifugeuses et niveau de la production d'uranium enrichi), le réacteur à eau lourde d'Arak, capable de produire du plutonium, et le site d'enrichissement de Fordo sont les principaux sujets.

Au moins 10 personnes et 10 militants ont été tués dans l'échange de tirs qui a fait suite à l'attaque terroriste de dimanche soir à l'aéroport international de Jinnah dans la ville portuaire de Karachi, sud du Pakistan, ont rapporté des médias locaux lundi.

Aaj TV a rapporté qu'au moins 10 personnes, dont sept membres de la Force de sécurité aéroportuaire, un policier, un employé de l'autorité de l'aviation civile et un capitaine de Pakistan International Airlines ont été tués dans l'attaque.

Au moins 17 agents de sécurité ont également été blessés dans l'attaque. Ils ont été transportés à l'hôpital Abbasi Shaheed.

Un insurgé qui tentait de fuir a été arrêté et transporté en un lieu non identifié par les forces de sécurité.

Selon une déclaration du porte-parole du bureau du Premier ministre, au moins 10 insurgés lourdement armés sont entrés dans l'aéroport à partir d'un terminal utilisé pour les frets et les opérations VIP, vers 23h20 (heure locale).

Les assaillants ont réussi à entrer dans l'aéroport en lançant des grenades sur le personnel de sécurité en service et ont ouvert le feu sur eux.

Les insurgés ont mis le feu à deux avions, y compris un avion-cargo d'une société étrangère, et en ont partiellement endommagé quatre autres en leur tirant dessus.

Les représentants du gouvernement ont par la suite nié les reportages faisant état de dommages aux avions. Cependant, les médias locaux continuent d'insister sur le fait que les assaillants ont lourdement endommagé les avions stationnés à l'aéroport.

Des chaînes de télévision locales ont également présenté des images d'un énorme incendie qui semble engloutir un avion.

Des militants auraient également incendié un terminal pétrolier.

L'incendie de l'aéroport a été éteint par les pompiers, qui ont indiqué que 30 véhicules ont été impliqués dans l'opération.

La Cour suprême libyenne a jugé anticonstitutionnelle l'élection début mai du Premier ministre Ahmed Miitig. Cette mesure a ouvert la voie à un règlement de la crise en Libye où deux gouvernements se disputaient la légitimité du pouvoir.

"La Cour a jugé anticonstitutionnelle l'élection de M. Miitig au Congrès général national (CGN, Parlement)", a souligné à l'AFP un juge de la Cour à l'issue d'une brève audience.

Le gouvernement d'Ahmed Miitig avait pris lundi dernier à Tripoli possession du siège de la primature malgré le refus du cabinet sortant d'Abdallah al-Theni de lui remettre le pouvoir.

Le gouvernement sortant d'Abdallah al-Theni avait affirmé mercredi qu'il s'en remettait à la justice pour établir s'il devait céder le pouvoir au nouveau cabinet, évoquant les recours déposés par des députés contre l'élection de M. Miitig au Parlement.

La controverse remonte à début mai lorsque M. Miitig avait été élu au Parlement. Plusieurs députés libéraux avaient accusé les blocs islamistes d'avoir laissé le vote ouvert pour des retardataires après l'annonce du résultat, afin d'atteindre les 121 voix requises, alors que M. Miitig n'avait recueilli initialement que 113 votes.

Selon The Independent, le cours des événements et les prises de positions de l’Iran et du Hezbollah libanais ont créé un véritable désaccord au sein du cabinet du régime sioniste. L’auteur de l’article publié par The Independent cite le général Benny Gantz, qui a déclaré hier lors de la conférence de sécurité de Herzliya, que le Hezbollah libanais dispose d’une puissance de feu très puissante, comparable à celle de certaines grandes armées du monde. « A mon avis, quatre ou cinq armées du monde ont une puissance de feu supérieure à celle du Hezbollah libanais : les Etats-Unis, la Russie, Israël, la France et la Grande-Bretagne », a-t-il précisé.

Dans ses propos, le général Benny Gantz a déclaré au le Hezbollah est la plus grande menace qui existe pour les intérêts du régime israélien. Il a ajouté que depuis 2006, le Hezbollah n’a cessé de renforcer son potentiel militaire, notamment depuis le début de la crise en Syrie. « Pour nous c’est une mauvaise nouvelle d’entendre que le Hezbollah se bat sur trois front. Car cela permet aux effectifs du Hezbollah d’acquérir de grandes expériences de combat, expériences qu’ils utiliseront un jour contre nous »., a déclaré le général Benny Gantz. En effet, Benny Gantz croit que la guerre en Syrie va durer au moins dix ans, et pendant ce temps, le Hezbollah libanais restera un ennemi formidablement armé à la frontière de la Palestine occupée.

Le quotidien The Independent ajoute que derrière le Hezbollah, c’est l’Iran qui fait peur au Premier ministre du régime israélien Benyamin Netanyahu et les autres autorités de Tel-Aviv comme une menace substantielle pour l’Etat hébreux. Selon Benny Gantz, l’Iran n’a pas réellement abandonné ses « ambitions nucléaires », et qu’il faut à tout prix l’empêcher l’Iran d’avoir accès à la bombe atomique, avec ou sans recours à la force. Le général Benny Gantz estime que les sanctions imposées à la République islamique d’Iran ont été efficaces. D’ailleurs, à l’époque où le Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu battait le tambour de la guerre, le général Gantz s’était opposé au calendrier proposé par le Premier ministre israélien. Dans ses propos d’hier, le général Gantz a estimé que le gouvernement iranien se trouve devant de véritables tensions et pressions intérieures en ce qui concerne l’accès à l’arme atomique.

En outre, tandis que les diplomates de haut rang des Etats-Unis et de l’Iran se sont réunis à Genève, Youval Steintz, Affaires stratégiques et du Renseignement, a déclaré à la conférence de sécurité de Herzliya que le gouvernement israélien serait informé du contenu des négociations bilatérales entre les diplomates américains et iraniens. Cependant, dans son discours, il a essayé de présenter l’image d’un Iran doté de l’arme atomique et des centaines de missile balistiques de long portée capables de toucher Israël, l’Europe et la côte est des Etats-Unis. « Il ne s’agit pas seulement de l’avenir d’Israël ou du Moyen-Orient, mais du sort de la planète tout entière », a-t-il prétendu. En outre, il a estimé que les pays sunnites de la région comme l’Arabie saoudite et la Turquie seront entrés, à leur tour, dans une course aux armements nucléaires, de manière incontrôlable, pour ne pas rester en arrière par rapport à leur rival chiite. Dans ses propos, il a soutenu l’idée du président américain Barack Obama qui avait dit que l’absence d’un accord serait préférable à un mauvais accord avec l’Iran. Il en a conclu qu’un accord avec l’Iran qui laisserait ce pays au seuil nucléaire, en se contentant seulement de retarder la nucléarisation de l’Iran (comme c’était le cas de la Corée du Nord) serait inutile.

Il a estimé que les grandes puissances doivent exiger de l’Iran de donner des concessions réelles, sinon le régime israélien s’opposerait à tout accord avec Téhéran. Mais quels seraient les conséquences de l’absence d’un accord avec l’Iran ? La poursuite des sanctions ? Des frappes militaires ? Les ministres du gouvernement israéliens ont déclaré devant la conférence de sécurité de Herzliya que Tel-Aviv pourrait prendre tout seul la décision d’une frappe militaire contre les installations nucléaires iraniennes, sans l’aval de Washington. Pourtant, cette idée n’est pas très appréciée à Tel-Aviv. La semaine dernière, le général Benny Gantz et Moche Yaloun, ministre de la guerre du régime sioniste ont annoncé l’annulation des manœuvres dont l’objectif était de préparer les habitants de la Palestine occupée à contrer les attaques balistiques de l’ennemi. Cette annulation s’explique officiellement par le manque de budget, mais en général, cela pourrait dire aussi que d’après les dirigeants du régime sioniste, une attaque militaire iranienne contre Israël n’est pas imminente

En outre, l’idée générale c’est que les Etats-Unis et l’Occident ne sont pas en mesure de pouvoir ouvrir un nouveau front de guerre, étant donné la crise actuelle tant en Syrie qu’en Ukraine. Autrement dit, à Tel-Aviv on a ce sentiment que Netanyahu a perdu le jeu face à Barack Obama, surtout depuis que la Maison Blanche a rejeté la demande de Tel-Aviv de ne pas reconnaître le nouveau gouvernement palestinien issu conjointement du Hamas et du Fatah. Les opposants à Benyamin Netanyahu prétendent qu’il déteste Barack Obama. Cela revient surtout à l’époque où l’ancien miinstre du cabinet de Netanyahu, Isaac Herzog avait accusé le Premier ministre israélien de ne pas respecter la demande de la communauté internationale, sans pouvoir arriver à un accord de paix avec les Palestiniens en collaboration avec les Etats-Unis. Herzog avait dit : « C’est une tragédie dans laquelle la répugnance et l’animosité que Netanyahu exprime pour Obama mettent en danger la sécurité d’Israël ».

Le gouvernement du régime sioniste a annoncé qu’en représailles à l’accord conclu entre le Hamas et le Fatah pour former un gouvernement d’union nationale, des centaines de logements seront construits dans les colonies israéliennes en Cisjordanie et à Qods orientale. Cependant, les différends persistent encore entre le Hamas et le Fatah. Les cadres et les fonctionnaires issus du Fatah reçoivent leurs salaires, tandis que ceux issus du Hamas ne gagnent rien. Pourtant le Qatar s’est engagé de payer le salaire des cadres et des fonctionnaires issus du Hamas aussi. Dimanche dernier, quatre autres personnalités ont prononcé des discours devant la conférence de sécurité de Herzliya, dont l’ancien Premier ministre, Tzipi Livni,. Ses propos ont prouvé que le cabinet de coalition du régime sioniste souffre encore de sérieux discords intérieurs.

Cela a été rapporté samedi l'agence iranienne nouvelles IRNA, citant un article de Barbara Slavin, correspondant à Washington pour le portail " Almanitor ".

Selon Slavin, la conclusion des travaux de ces deux autorités (européennes et autres États) à la fin de cette année et la primauté possible des républicains au Sénat après les prochaines élections, pourrait créer un climat d'urgence quant à la réalisation accord final Iran-G5+1.

Citant une source bien informée, le journaliste pose la candidature éventuelle de sous-secrétaire d'État adjoint aux affaires politiques Wendy Sherman (actuellement en tête de la délégation des États-Unis de négocier à Vienne, Autriche), en remplacement de la secrétaire d'État des États-Unis, William Burns.

Toutefois, le gouvernement veille à ce que le président américain Barack Obama veut Sherman conclure les négociations nucléaires avec l'Iran avant sa promotion.

Par ailleurs, un autre fonctionnaire de l'administration Obama a indiqué que le secrétaire d'État, John Kerry, n'a pas encore pris de décision sur qui va remplacer Burns.

Selon l'auteur de l'article, Ashton et son équipe ont gagné la confiance des États-Unis et l'Iran, et il serait difficile pour une nouvelle équipe a rapidement conclu les négociations.

Ashton quittera son poste à la fin de cette année pour conclure la période maximale qui peut être en face de lui (5 ans).

Iran et le Sextet repris en 2011 les négociations sur le programme nucléaire iranien.Dans ces dialogues nucléaires a atteint un accord provisoire six mois Novembre 2013, dans la ville suisse de Genève, qui est entré en vigueur le 20 Janvier et se termine le 20 Juillet.

Depuis lors, les partenaires ont tenu plusieurs séries de réunions bilatérales afin de créer un climat de confiance et de réaliser un accord global avant la fin de la date limite de l'accord de Genève enfin.

Lors d'une réunion tenue le lundi avec un groupe de chercheurs universitaires, l'ayatollah Khamenei a déclaré que l'objectif principal de scientifiques iraniens devrait être " très avancées scientifiques dans le monde entier développement de nouveaux produits. "

" Aujourd'hui, l'Iran possède certaines des technologies les plus complexes qui sont considérés comme importants, sans doute, mais ces succès avait déjà fait dans d'autres pays. Ensuite, les chercheurs iraniens à rechercher de nouveaux produits scientifiques ", a souligné.

Le guide suprême de l'Iran a souligné la " gestion efficace " comme une clé pour mettre fin à l'écart scientifique entre les pays occidentaux et d'autres facteurs nations.

Il a également exhorté les Iraniens à renforcer " la confiance nationale ", rappelant que le fondateur de la République islamique, l'imam Khomeiny (que Dieu ait son Gloria) " défini le slogan « nous pouvons » qui a conduit au développement de pays Persique dans différents domaines ".

L'ayatollah Khamenei a ensuite précisé que le progrès scientifique devrait avoir lieu dans le contexte des valeurs divines et humanitaires, mais sera dommage pour l'homme.

À son avis, bien que le monde actuel bénéficie d'avancées scientifiques répandues, souffre également de politiques hégémoniques adoptées par certains pays qui exploitent la science pour répondre à leurs propres intérêts.

A titre d'exemple, le Guide suprême a fait allusion à l'énergie nucléaire, en dépit de sa grande importance pour tous les pays, pourrait être utilisé pour construire des bombes atomiques.