
تقي زاده
Iran: Production de l'organe greffable de l'homme chez les animaux
Les chercheurs iraniens ont mise au point un projet de la production des membres conjonctifs de l'homme dans le corps des animaux.
ABNA: Les chercheurs de l'institut iranien de recherches "Royan" ont commencé un projet dans lequel les animaux produiront les membres conjonctifs de l'homme, des membres qui pourront être greffés, à l'avenir, sur l'être humain.
En cas de réalisation, cette découverte sera une première dans le monde entier.
Dans cette nouvelle technologie de l'institut de recherches biotechnologique de Royan, les chercheurs trouvent le gène qui reproduise l'organe spécifique de l'animal, par exemple le foie ou le cœur de l'embryon d'animal sera supprimé et les cellules souches du patient seront remplacées par ceux de l'embryon qui reproduira l'organe nécessaire.
Croire en Dieu
Au nom d'Allah , le Tout Miséricordieux , le Très Miséricordieux
L'Homme est parvenu à croire en Dieu depuis les temps les plus reculés. Il L'a adoré, Lui a voué sa fidélité, et a éprouvé un profond attachement à Lui, avant de connaître toute abstraction spéculative et philosophique et d'atteindre la compréhension complète des modes de démonstration.
Cette croyance n'est ni le rejeton d'une contradiction des classes, ni le produit d'exploiteurs injustes voulant consacrer leur exploitation, ni le fait d'exploités, victimes d'injustice et désireux d'y trouver une échappatoire; car elle a précédé dans l'histoire de l'humanité, toutes contradictions de ce genre.
Elle n'est pas non plus la conséquence d'appréhensions quelconques, ni d'un sentiment d'effroi devant les catastrophes naturelles et leurs comportements hostiles. Si la religion était le fruit de la peur et le résultat d'un sentiment de terreur, les gens les plus religieux seraient, tout au long de l'histoire, les plus peureux et les plus enclins à l'effroi. Or, ce sont les gens les plus courageux et les plus aguerris qui ont porté l'étendard de la religion à travers les temps.
Au contraire, cette croyance est le reflet d'un penchant original qui pousse l'Homme à s'attacher à son Créateur, et d'un sentiment intime et solide qui lie l'être humain d'une façon infuse au Seigneur et à son Existence.
Dans une étape ultérieure de son histoire, l'homme s'est mis à philosopher sur les choses de l'existence qui l'entouraient. Il en a tiré des notions générales telles l'existence, le néant, le devoir, la possibilité, l'impossibilité, l'unité, le nombre, la complexité, la simplicité, la partie, le tout, le progrès, le sous-développement, la cause et l'effet. Il a tendu à les utiliser et à les appliquer plutôt dans le domaine de la démonstration afin de mieux étayer sa croyance originelle en Dieu, de la traiter philosophiquement et de la remettre en évidence par des méthodes de recherche philosophique.
Lorsque l'expérience est devenue un instrument de savoir dans le domaine de la recherche scientifique, et que les penseurs ont réalisé que ces notions générales ne suffisaient pas, à elles seules, à découvrir les lois de la nature, ni à connaître les secrets de l'Univers, ces derniers (les penseurs) ont acquis la conviction que la sensation et l'observation scientifique constituent le point de départ essentiel pour la recherche des dits secrets et lois.
Ce courant sensualiste de la recherche était en général utile pour développer l'expérience humaine de l'Univers et pour l'élargir dans une grande mesure.
Il commença sa démarche par l'affirmation que la sensation et l'expérience sont deux instruments que la raison et la connaissance humaine doivent utiliser pour découvrir les secrets de l'univers et son système complet qui entourent l'homme. Ainsi, au lieu d'un Aristote - par exemple - qui s'assiérait dans sa chambre fermée et calme, méditant sur le type de lien qui existerait entre le déplacement d'un corps, d'un point donné de l'espace vers un autre, et la force motrice, et en concluant que le corps en mouvement s'immobilise dès que la force motrice s'épuise, un Galilée arrive qui observe les corps mobiles pour en prendre note et en déduire un autre résultat et un lien différent entre le mouvement du corps et la force qui l'anime: lorsqu'un corps rencontre une force qui le met en mouvement, il ne cesse son mouvement (lors même que cette force s'épuise) que s'il s'expose à une autre force qui l'arrête.
Le sensualisme en question tend donc à encourager les chercheurs dans le domaine de la nature et des lois des phénomènes de l'Univers, d'accomplir leur recherche à travers deux étapes: la première est celle de la sensation et de l'expérience et du rassemblement de leurs données; la seconde est l'étape rationnelle, celle de la déduction et de la coordination de ces données, en vue de parvenir à une interprétation générale et acceptable.
Le sensualisme, dans sa réalité scientifique et à travers les pratiques de ses savants, ne prétendait point se passer de la raison. Par ailleurs, aucun des savants de la nature n'a pu découvrir, par la sensation et l'expérience, un secret de l'univers ni une loi de la nature sans le concours de la raison. Car le savant rassemble dans la première étape les notes que lui fournissent ses expériences ainsi que ses propres notes, et dans la seconde étape, il les confronte dans sa raison, jusqu'à ce qu'il parvienne à un résultat. A notre connaissance, aucune conquête scientifique n'a pu se réaliser sans la conjugaison des deux étapes, le premier traitant de l'aspect sensible, la seconde ayant trait à l'aspect déductif et rationnel que la raison réalise et qui ne peut être perçu directement par les sensations.
Ainsi, prenons l'exemple de la loi de l'attraction universelle. Newton n'a perçu par la sensation directe ni la force d'attraction entre deux corps ni le fait qu'ils sont inversement proportionnel au carré de la distance entre leurs centres et directement proportionnels au produit de la multiplication de leurs masses; mais il a perçu par la sensation la chute de la pierre lorsqu'elle est lâchée dans l'air, ainsi que la révolution des planètes autour du Soleil. Il s'est mis alors à penser aux deux phénomènes ensemble, et s'est efforcé de les expliquer tous deux en s'aidant des théories de Galilée et de l'accélération régulière des corps tombant sur terre ou dégringolant sur des surfaces en pente, et en bénéficiant des lois de Kepler qui traitent du mouvement des planètes et dont l'une stipule que "le carré du temps de la révolution de chaque planète autour du soleil est proportionnel à la distance qui l'en sépare".
C'est donc à la lumière de toutes ces connaissances et observations qu'il découvrit la loi de l'attraction universelle en vertu de laquelle "tous les corps matériels s'attirent mutuellement, en raison de leurs masses et en raison inverse du carré de leurs distances".
Cette tendance sensualiste et expérimentale de recherche sur le système de l'Univers aurait pu et dû fournir un nouvel argument excellent à la croyance en Dieu, en raison de ses possibilités de découvrir toutes sortes d'harmonie (dans les phénomènes de l'Univers) et les preuves de la sagesse qui indiquent l'existence du Créateur. Mais les savants naturalistes, en tant que savant de la nature, n'étaient pas préoccupés par l'éclaircissement de cette question, considérée encore à l'époque comme un problème philosophique, selon la classification en vigueur, des problèmes et des questions du savoir humain. Néanmoins, des tendances philosophiques rationnelles n'ont pas tardé à faire leur apparition dans le domaine de la philosophie et à l'extérieur du cadre de la science, et à tenter de rationaliser ce sensualisme et à l'ériger en philosophie. Elles ont annoncé que le seul moyen de la connaissance est la sensation, que là où s'arrête la sensation, s'arrête la connaissance de l'homme, et que tout ce qui ne peut être soumis ni d'une façon ni d'une autre, à l'expérience, l'homme n'a pas moyen de le prouver.
Partant de cette affirmation, on a vite fait de se servir de ce sensualisme et de la science expérimentale pour réfuter l'idée de la croyance en Dieu: puisque Dieu n'est pas un être perceptible par la sensation, et qu'on ne peut ni Le voir ni avoir la sensation de Son Existence, on ne peut donc pas Le prouver.
Cette utilisation impertinente du sensualisme n'était pas le fait des savants qui avaient pratiqué avec succès l'expérimentation, mais d'un groupe de philosophes de tendance rationaliste qui lui ont donné une interprétation philosophique ou rationnelle inexacte.
Mais peu à peu, ces tendances extrémistes sont tombées dans la contradiction. Sur le plan philosophique, elles se sont trouvées acculées à renier, en bloc et en détail, la réalité objective, c'est-à-dire l'Univers dans lequel nous vivons, puisque d'après elles, l'Homme ne possède que la sensation et que celle-ci lui fait connaître les choses telles qu'il les sent et non pas telles qu'elles sont. Ainsi lorsque nous percevons une chose, nous pouvons affirmer qu'elle existe dans notre sensation; quant à son existence, en dehors de notre conscience, d'une façon objective, indépendante et antérieure à la sensation, nous ne pouvons la prouver. En voyant la lune dans le ciel, nous pouvons affirmer seulement que nous voyons et percevons la lune en ce moment-là. Quant à savoir si la lune existe réellement dans le ciel et si elle existait avant que nous n'ouvrions nos yeux pour la voir, les tenants de ces tendances étaient incapables de l'affirmer, exactement comme le strabique qui voit des choses qui n'existent pas et affirme qu'il les voit, mais sans pouvoir affirmer leur existence dans la réalité.
Ainsi, la sensation elle-même a cessé d'être le moyen de connaissance du sensualisme philosophique. Au lieu d'être son moyen de connaissance, elle est devenue son terme final. La connaissance sensitive n'existait plus comme un phénomène indépendant de notre conscience et de notre perception.
Sur le plan rationnel, le sensualisme dans sa version la plus moderne s'est acheminé vers la position suivante: si la véracité ou la fausseté de la signification d'une phrase ne peuvent être vérifiées par la sensation ou l'expérience, la phrase est considérée comme un groupe de mots dépourvus de sens, exactement comme des lettres de l'alphabet qu'on prononce dans un ordre dispersé. Mais lorsque l'on peut vérifier la véracité ou la fausseté de sa signification, elle constitue un mot ayant un sens. Dans ce second cas, si la sensation établit la conformité de sa signification à la réalité, la phrase est véridique. En revanche, si cette sensation établit le contraire, elle est considérée comme fausse. Ainsi, si l'on dit: «La pluie tombe du ciel en hiver», on fait là une phrase significative - par son contenu. Mais si l'on dit: «La pluie tombe en été», la phrase a un sens, mais dont le contenu est faux. Et si on dit: «Une chose qu'on ne peut ni voir ni percevoir tombe la "Nuit du Destin"», on a là une phrase dépourvue de sens, abstraction faite de sa véracité ou de sa fausseté, puisqu'on ne peut en vérifier le contenu ni par la sensation ni par l'expérience; car c'est exactement comme si on disait: «"DIZE" descend la Nuit du Destin». De même que cette phrase-ci n'a pas de sens, cette phrase-là n'en a pas non plus.
Par conséquent dire: «Dieu existe», c'est comme si l'on disait: «"Dize" existe». De même que la seconde phrase est dénuée de sens, la première l'est aussi. Puisqu'on ne peut connaître Dieu par la sensation et l'expérience.
Ce courant rationaliste se heurte lui aussi à une contradiction pour la simple raison que son raisonnement, basé lui-même sur l'extrapolation, ne peut être perçu par la sensation et la perception directe, et devient ainsi une parole dénuée de sens, dans la conclusion qu'il a tirée ici. En prétendant que toute phrase dont la signification ne peut être vérifiée par la sensation et l'expérience est dénuée de sens, ce rationalisme procède lui-même de ce fait par généralisation. Or toute généralisation dépasse le cadre de la sensation; car celle-ci ne couvre que des cas partiels limités. De cette façon, ce courant a fini par se contredire lui-même, outre qu'il contredit toutes les généralisations scientifiques par lesquelles les savants interprètent d'une façon globale les phénomènes de l'Univers; car la généralisation - toute généralisation - ne peut être perçue directement par la sensation, elle est plutôt induite et démontrée à partir des indices fournis par des phénomènes sensibles limités.
Heureusement, la science n'a pas prêté attention, dans son cheminement et son évolution continuelle, à ces courants. Elle poursuivait ses recherches sur les découvertes de l'univers, toujours à partir de la sensation et de l'expérience; et tout en passant outre les limites étroites des tendances philosophiques et rationalistes, elle déployait des efforts rationnels en vue de coordonner les phénomènes, de les replacer dans des cadres normatifs généraux et de découvrir les liens et les relations qui existent entre eux.
Parallèlement, l'influence philosophique et rationnelle des tendances extrémistes s'est réduite, même au niveau des doctrines philosophiques matérialistes. Ainsi, la philosophie matérialiste moderne représentée par les matérialistes-dialecticiens, refuse franchement toutes ces tendances et s'arroge le droit d'outrepasser le cadre de la sensation et de l'expérience qui constitue la première phase par laquelle le savant commence sa recherche, ainsi que celui de la seconde phase par laquelle il achève sa recherche, afin de pouvoir comparer les différentes données de la science, de leur donner une interprétation théorique générale et de déterminer les liens et les relations éventuels qui existent entre elles.
Lorsque le matérialisme dialectique, dernier héritier du matérialisme dans l'histoire, a abouti à une interprétation globale de l'Univers dans un cadre dialectique, il est devenu lui-même, métaphysique, selon le point de vue des tendances sensualistes extrémistes.
Cela signifie que le matérialisme et le théisme s'accordent pour dépasser le cadre de la sensation (que les tendances matérialistes extrémistes affirmaient pourtant qu'il ne faut pas franchir) et qu'il serait admis désormais que la connaissance passe par deux phases, celle de la ressemblance des données de la sensation et de l'expérience, et celle de l'interprétation théorique et rationnelle de ces données. Mais ce qui sépare le théisme du matérialisme, c'est le type de l'interprétation qu'il faut déduire des différentes données de la science au terme de la deuxième phase. Alors que le matérialisme propose une interprétation qui renie l'existence d'un créateur avisé, le théisme pense que ces données ne peuvent être convaincantes que si elles admettent l'existence d'un Créateur Avisé.
Nous allons à présent exposer deux types de démonstration de l'existence du Créateur Avisé. Chacune d'elles incarne les données de la sensation et de l'expérience d'une part, l'organisation rationnelle de ces données en vue d'en déduire l'existence d'un Créateur Avisé de cet Univers, d'autre part. Nous appelons la première démonstration, scientifique (inductive), la seconde démonstration, philosophique. Avant de commencer par la première démonstration, c'est-à-dire la démonstration scientifique, il convient tout d'abord, de la définir. La démonstration scientifique est toute démonstration basée sur la sensation et l'expérience et suivant la méthode du raisonnement inductif fondé sur le calcul des probabilités.
C'est donc cette méthode du raisonnement inductif fondé sur le calcul des probabilités, que nous allons adopter comme méthode de démonstration scientifique en vue de prouver l'existence du Créateur. C'est pourquoi nous appellerons la démonstration scientifique de l'existence du Créateur: démonstration inductive.
14 Hadiths de L’Imam Ali (AS)
1. Le cœur des jeunes est comme une terre vierge, quelque soit ce qu'on y plante, elle l'accepte.
2. Le plus grand mal qui peut atteindre les savants c'est l'amour du pouvoir.
3. Vraiment, l'obtention d'une bonne morale vous est plus nécessaire que l'obtention de l'or et de l'argent.
4. Certes, la nuit et le jour agissent sur toi, agis donc durant la nuit et le jour; de même, ils prennent de ta vie, tire donc quelque chose de la nuit et du jour.
5. Certes l'ennemi de Mohammad, que la paix de Dieu soit sur lui et sa Famille, est celui qui désobéit à Dieu; même s'il fait partie de ses proches.
6. Sache que parmi les malheurs il y a la misère, et pire que la misère, la maladie du corps, et pire que la maladie du corps, la maladie du cœur.
7. L'homme est mesuré par sa parole et est évalué par ses actions, dis donc ce qui a le plus de poids et fais ce qui a le plus de valeur.
8. Chaque fois qu’il y a un pauvre qui souffre de faim, c’est parce qu’il y a quelque part un riche qui mange trop.
9. Le plus grand mal qui peut atteindre les dirigeants, c'est la faiblesse dans la politique.
10. Certes, rien ne t'enrichira après la mort, à part les bonnes actions, dote-toi donc de bonnes actions.
11. Si tu fais en sorte que ta vie d'ici-bas suive ta religion, tu possèderas ta religion et ta vie d'ici-bas et tu sera dans l'autre monde parmi les gagnants.
12. Sache que parmi les malheurs il y a la misère, et pire que la misère, la maladie du corps, et pire que la maladie du corps, la maladie du cœur.
13. Le temps c'est deux jours, un jour à ton avantage, un jour à ton désavantage. Ainsi, le jour qui est à ton avantage, ne le méprise pas et le jour qui est à ton désavantage, endure-le avec patience.
14. La perfection est dans trois choses : la patience dans les malheurs, la retenue dans les désirs, la sollicitude envers les nécessiteux.
14 Hadiths à propos de l'imam Hussein
1. Le Noble Prophète (S) dit : « Assurément, il existe dans les c½urs des Mu’minin (croyants), en respect au martyre d’Al-Hussayn (AS), une ardeur qui ne s’apaise nullement ».
Mustadrak al-Wasa’il, vol. 10, p.318
2. Le Noble Prophète (S) dit : « Ô Fatima ! Tout ½il pleurera le Jour du Jugement excepté l’½il qui a versé des larmes sur la tragédie d’Al-Hussayn (AS) car assurément, cet ½il sera joyeux et il lui sera donné les bonnes nouvelles des bontés et des conforts du Paradis ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 44, p. 193
3.L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Il n’y a personne qui ne récite un poème concernant Al-Hussayn (AS) et pleure et fait pleurer les autres par ce moyen sans qu’Allah ne lui accorde le Paradis et ne lui pardonne ses péchés ».
Rijal al-Sheikh al-Tusi, p. 189
4. L’Imam ‘Ali Ibn Al-Hussayn (AS) disait : « Tout Mu’min (croyant) dont les yeux versent des larmes sur la mort d’Al-Hussayn Ibn ‘Ali (AS) et ses compagnons, de telle sorte que les larmes coulent sur ses joues, Allah le recevra dans les lieux élevés du Paradis ».
Yanabi’ al-Mawaddah, p. 419
5. L’Imam Al-Baqir (AS) dit : « Le Prince des Croyants (AS), avec deux de ses compagnons, était passés par Karbala et lorsqu’il fit ainsi, des larmes remplirent ses yeux. Il [leur] dit : "C’est le lieu où resteront leurs animaux ; et c’est l’endroit où leurs bagages seront posés ; et c’est ici que leur sang sera versé. Bénie sois-tu, Ô terre où le sang de l’aimé se répandra sur toi". ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 98, p. 258
6. L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Pour ce qui est de ‘Ali Ibn Al-Hussayn (AS), il pleura sur Al-Hussayn (AS) durant vingt ans [après la tragédie de Karbala] ; jamais une nourriture n’était placée devant lui sans qu’il ne commençât à pleurer ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 46, p. 108
7. L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Ô Zurarah ! Le ciel avait pleuré durant quarante jours sur [le martyre d’]Al-Hussayn (AS) ».
Mustadrak-ul-Wasa’il, vol. 1, p. 391
8. L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Allah a désigné à la tombe de [l’Imam] Al-Hussayn (AS) quatre milliers d’Anges souffrant et frappés par la peine, qui pleurent sur lui [et continueront de la sorte] jusqu’au Jour du Jugement ».
Kamil al-Ziyarat, p. 119
9. L’Imam Ar-Rida (AS) dit : « Ceux qui pleurent devraient pleurer sur les semblables à Al-Hussayn (AS) car assurément, pleurer sur lui débarrasse les grands péchés d’une personne ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 94, p. 184
10. L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Le za’ir (pèlerin, visiteur) de l’Imam Al-Hussayn (AS) rentre [de sa visite] de telle façon que pas un seul péché demeure sur lui ».
Wasa’il-ush-Shi’a, vol. 14, p. 412
11. Le Noble Prophète (S) dit [à la Sainte Fatima (AS)] : « Le Jour du Jugement, tu intercéderas pour les femmes et j’intercéderai pour les hommes ; toute personne qui a pleuré la tragédie d’Al-Hussayn (AS), nous le prendrons par la main et l’emmènerons au Paradis ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 94, p. 192
12. [Concernant le fait qu’une personne aille visiter le sanctuaire de l’Imam Al-Hussayn (AS)], l’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Celui qui pleure pour l’Imam Al-Hussayn (AS), assurément, l’Imam (AS) l’observe et cherche le pardon pour lui et demande à ses nobles père sde chercher [aussi] le pardon pour lui ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 44, . 181
13. L’Imam As-Sadiq (AS) dit : « Il (l’Imam Al-Hussayn (AS)) voit ceux qui viennent à son sanctuaire et il les connaît par leurs noms, les noms de leurs pères et leurs rangs aux yeux d’Allah, le Tout-Puissant, le Sublime, mieux que vous ne connaissez vos propres enfants ».
Wasa’il-ush-Shi’a, p. 411
14. Abu Basir rapporta que l’Imam Al-Baqir (AS) dît : « Les humains, les djinns, les oiseaux et les bêtes sauvages font [tous] le deuil et pleurent sur [la tragédie qui est advenue à] Al-Hussayn Ibn ‘Ali (AS) ».
Kamil al-Ziyarat, p. 79
Une vidéo qui divise les familles des otages français d'Aqmi
Les familles des six otages français d'Aqmi au Sahel sont divisées sur la démarche du frère de l'un d'eux de s'adresser directement aux ravisseurs dans une vidéo dimanche.
Quatre d'entre eux (Daniel Larribe, Pierre Legrand, Marc Féret et Thierry Dol), des salariés d'Areva et de son sous-traitant la Satom, ont été enlevés le 16 septembre 2010 au Niger sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit. Deux autres (Serge Lazarevic et Philippe Verdon) l'ont été le 24 novembre 2011 dans le nord-est du Mali.
Trois groupes se dessinent. C'est une idée qui a été prise en famille, a déclaré à l'AFP Alain Legrand, père de l'un des otages d'Arlit, avant d'être validée par les proches de Marc Féret et Thierry Dol.
Cette démarche, qui traduit l'exaspération face au manque d'informations que les proches disent recevoir, est une démarche commune des proches des employés de la Satom, a confirmé auprès de l'AFP Frédéric Cauhapé, beau-frère de Marc Féret. Cela fait 27 mois et on n'a pas de nouvelles, a-t-il dit.
Palestine: Hamas et Fatah multiplient les appels à l'unité
Les mouvements palestiniens rivaux Hamas et Fatah ont échangé dimanche des déclarations conciliantes, au lendemain de l'appel du chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, à mettre fin à la division entre la Cisjordanie et la bande de Gaza.
ABNA: "La division n'est pas le fait des Palestiniens, mais nous a été imposée. La division politique est naturelle, mais ce qui ne l'est pas, c'est la division du régime politique en deux entités géographiques séparées", a affirmé Khaled Mechaal, en référence à la Cisjordanie et Gaza, gouvernés respectivement par l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas, chef du Fatah, et par le Hamas.
"Nous sommes sous occupation, il nous faut des élections libres et équitables, puis un partenariat national pour assumer les responsabilités", a-t-il ajouté lors d'une rencontre avec des familles de "martyrs" et de prisonniers à Gaza, où il effectue depuis vendredi sa toute première visite.
Lors d'une réunion arabe à Doha, Mahmoud Abbas a pour sa part réaffirmé que l'unité nationale passait par les élections prévues dans l'accord de réconciliation conclu en 2011 entre les deux mouvements, resté pour l'essentiel lettre morte.
"Sans ces élections, il n'y aura pas de réconciliation", a-t-il prévenu.
Auparavant, Khaled Mechaal avait plaidé pour l'unité nationale autour de toutes les formes de "résistance" face à Israël, dans un discours à l'Université islamique de Gaza dimanche.
"Nous voulons l'unité nationale sur la résistance armée et la résistance populaire. Je vous exhorte à la réconciliation, à l'unité nationale et des rangs palestiniens", a déclaré le chef du Hamas.
"La Palestine est trop grande pour qu'un seul mouvement en assume la responsabilité. La Palestine est à nous tous, nous sommes partenaires dans cette nation. Le Hamas ne peut se passer du Fatah ni le Fatah du Hamas, ni d'aucun mouvement", a-t-il insisté.
"La résistance est la base, mais parfois nous faisons une trêve, parfois nous faisons une escalade sous des formes variées, parfois nous tirons des roquettes, parfois non", a reconnu M. Mechaal, laissant entendre que le maintien de la trêve avec Israël en vigueur depuis le 21 novembre était dans l'intérêt des Palestiniens.
Le responsable du dossier de la réconciliation au sein du Fatah, Azzam al-Ahmad, a salué "le discours de Khaled Mechaal, qui a été très positif sur la question des divisions interpalestiniennes".
"L'importance du discours est qu'il a été prononcé à Gaza en présence de la direction en exil du Hamas. Nous espérons qu'il reflète la position de l'ensemble du Hamas", a ajouté M. Ahmad, en référence au discours prononcé la veille devant une foule de plus de 100.000 personnes par Khaled Mechaal, dans lequel il a notamment appelé à "tourner la page de la division".
Khaled Mechaal est en butte depuis plus d'un an aux critiques d'une partie des dirigeants du Hamas à Gaza, qui lui reprochent des positions jugées trop favorables au Fatah sur le dossier de réconciliation.
L'Iran condamne un test nucléaire des Etats-Unis
L'Iran a condamné samedi un test nucléaire mené par les Etats-Unis dans un site souterrain au Nevada (ouest), selon la télévision Etat.
ABNA: L'Iran a condamné samedi 8 décembre un test nucléaire sous-critique mené par les Etats-Unis dans un site souterrain au Nevada, qui démontre selon Téhéran le refus américain d'un "désarmement total". "L'Iran condamne le récent test nucléaire mené par les Etats-Unis", a déclaré Ramin Mehmanparast, porte-parole du ministère des affaires étrangères, cité par le site internet de la télévision d'Etat.
Ce test démontre le refus de Washington d'accepter "un désarmement total" nucléaire, a-t-il ajouté, alors que l'Iran "victime des armes de destruction massive [durant la guerre Iran-Irak], cherche à faire appliquer sur la scène internationale l'application de la fatwa [du guide suprême l'ayatollah Ali Khamenei] selon laquelle l'islam interdit la production, la possession et l'utilisation de telles armes".
Les Etats-Unis ont mené mercredi un test nucléaire afin d'étudier le comportement de matériaux nucléaires sans recourir à la fission. Le test, baptisé Pollux, avait pour objectif de rassembler des données scientifiques qui "fourniront des informations cruciales pour maintenir la sécurité et l'efficacité des armes nucléaires nationales", a indiqué l'administration de la sécurité nucléaire nationale (NNSA) du ministère de l'énergie.
Le Pentagone admet:"le drone capturé par l’Iran est américain"!
«Le drone capturé, par l’Iran, semble être un "Scan Eagle" fabriqué aux Etats-Unis», a reconnu le Porte-parole du Pentagone? contrairement aux déclarations américaines précédentes ayant démenti l’annonce iranienne.
Le Pentagone admet:"le drone capturé par l’Iran est américain"!
ABNA: Les forces des gardiens de la révolution iranienne avaient déclaré mardi dernier qu’un drone américain qui survolait la zone du Golfe persique pour recueillir des renseignements a été intercepté grâce au système de surveillance des forces navales iraniennes.
Trois jours après le démenti américain, le Pentagone a fini par reconnaitre que le drone capturé par l’Iran était américain.
L'Iran a déclaré que cette capture du drone démontre que la nation du Golfe persique peut se protéger contre l'agression étrangère.
La mission du drone était de «recueillir des données militaires et des informations relatives au secteur de l'énergie et du transport du pétrole brut à partir des terminaux pétroliers de l'Iran», a dit le général de brigade Ramezan Sharif, chef du département des relations publiques des gardiens de la révolution.
Le ScanEagle, fabriqué par Boeing Co. (BA), est utilisé par un certain nombre de pays et est moins avancée que d'autres avions sans pilote utilisé par le Pentagone et la CIA, comme le Global Hawk et Predator.
La télévision iranienne anglophone Press TV a montré des images du drone Scan Eagle capturé. L'avion a été saisi après avoir violé l'espace aérien de la République islamique, ont affirmé des responsables iraniens.
La capture du Scan Eagle "n'est pas quelque chose que les Américains peuvent facilement nier", a déclaré Sharif.
Vers la déshumanisation
Nous sommes sortis de l’humanisme, qui est un concept rangé dans les rayons du musée de l’histoire humaine. L’Occident suit une pente qu’un autre avocat de l’Islam devant les attaques de ses compatriotes et contemporains, Gobineau énonce en loi et qu’il faut avoir le courage de dire: l’abaissement de toute grandeur humaine. Cet acharnement à voir l’homme par le bas est le contenu de la caricature de Charlie Hebdo; mais il ne faut pas se contenter de dire que cette volonté de tout niveler par la médiocrité, de regarder l’homme comme le ferait son valet de chambre soit propre à une islamophobie stratégique, opportuniste dictée par le souci de complaire à M.Netanyaou qui voudrait pousser par intimidation, jointe aux assassinats, les Musulmans et les Chrétiens à le servir dans son Enfer sioniste. Non, c’est la grandeur, ainsi que le philosophe allemand Hegel réfutait ce mépris des hauts personnages de l’Esprit, j’entends que l’Esprit création divine anime et expose à l’attention publique comme un drapeau, c’est cette grandeur qui est brisée continuellement par ceux qui attirent l’humanité vers le bas, vers sa destruction, sont des décadents en art, comme en morale.
Il y a un passage de Kant en faveur du Prophète, qui reprend l’accusation portée aujourd’hui de fanatisme –expression signifiant en latin se tenir proche des «fana» ou des temples- et il dit que ce qui est reproché au Prophète est en réalité un reproche adressé à la moralité, car celle-ci doit reposer sur le moteur de l’enthousiasme et non la limite du calcul!
La prétendue laïcité –à jeter un regard sur la France, pays des droits de la caricature- est devenue un substitut de religion, de cette «religion de la république», qui n’est pas celle d’un peuple, mais de conjurés qui, abusant du terme de peuple, voient la force de l’homme dans l’abaissement ou l’effacement de Dieu, et s’il faut trouver une parole de la Raison, dont nos sectaires d’ici sont si fiers, il faut la chercher chez celui qui disait, chez les Grecs, que «les hommes justes paraissent plus sages, meilleurs et plus capables d’agir, cependant que les injustes n’agissent en rien ensemble.» (livre premier de la République de Platon 352 b-c)
Le fait d’avoir fondé et maintenu une communauté, alors que ses adversaires ruinaient leur propre Empire, démontre que le Prophète a su, grâce à Dieu, réussir ce que nos libertaires et en réalité liberticides, et suicidaires, échouent à produire. Leur soi disant audace à caricaturer n’est que la rage sentie de leur échec constant.
On ne peut céder ni un pouce ni une partie de la Palestine
Le chef en exil du mouvement islamiste Hamas, Khaled Mechaal, a appelé samedi à Gaza à "libérer toute la Palestine", excluant toute reconnaissance de l'Etat d'Israël et prônant l'unité palestinienne sur ce programme.
"La Palestine, de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), du nord au sud, est notre terre et notre nation, dont on ne peut céder ni un pouce ni une partie", a-t-il dit la voix cassée, lors d'un discours à l'occasion du 25e anniversaire de la création du mouvement palestinien Hamas.
"Nous ne pouvons pas reconnaître de légitimité à l'occupation de la Palestine ni à Israël", a-t-il argué devant une foule de plus de 100,000 personnes --plus de 200,000 selon des sources de sécurité. "Libérer la Palestine, toute la Palestine, est un droit, un devoir et un but".
M. Mechaal, qui effectue sa première visite dans la bande de Gaza, s'exprimait sur la tribune officielle, aux côtés du chef du gouvernement du Hamas, Ismaïl Haniyeh, et d'autres responsables du mouvement à Gaza et en exil.
Il était entouré de portraits géants du fondateur du Hamas, cheikh Ahmad Yassine, assassiné par l'armée israélienne en 2004, et du chef militaire du Hamas Ahmad Jaabari, tué par la première frappe de l'opération israélienne du 14 au 21 novembre.
Sur l'estrade, devant une maquette de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, était posée une réplique de roquette M75 du Hamas, utilisée pendant les hostilités, avec l'inscription en anglais "Made in Gaza".
"La résistance est un moyen et non une fin", a-t-il néanmoins lancé devant une marée humaine dont beaucoup de femmes et d'enfants, arborant les emblèmes verts du Hamas, avec par endroits les bannières jaunes du Fatah du président Mahmoud Abbas et des drapeaux de pays comme l'Egypte ou le Qatar.
"Toutes les formes de lutte, politique, diplomatique, juridique et de mobilisation sont légitimes pour recouvrer ses droits mais aucune n'a de sens sans la résistance", a ajouté M. Mechaal, dont le mouvement est considéré par Israël et les Etats-Unis comme une "organisation terroriste".
"La démarche du frère Abou Mazen (Mahmoud Abbas) aux Nations unies est un petit pas mais un progrès. Nous voulons que ce soit un soutien à la réconciliation nationale et serve le projet national", a plaidé le chef du Hamas, qui avait cautionné l'accession de la Palestine le 29 novembre au statut d'Etat observateur.
"Il est temps de tourner la page de la division", a-t-il répété. "La division a été imposée au moment où certains ont refusé les élections de 2006, mais c'est du passé", a-t-il dit en allusion au conflit avec le Fatah et au boycottage international qui ont suivi la victoire du Hamas aux législatives.
"Nous sommes une seule Autorité et notre référence est l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), dont nous voulons l'unité", a-t-il en outre dit, en référence à l'organisation dirigée par M. Abbas, signataire en 1993 des accords d'Oslo avec Israël.
"De Gaza, à mes frères du Fatah en Cisjordanie, au frère Abou Mazen, nous disons: 'Venez à la réconciliation et à l'unité nationale, construire notre patrie et reconsidérez la résistance, qui est honorable et un choix stratégique", a-t-il exhorté.
"Nous avons expérimenté la politique de négociations pendant plus de 20 ans", a-t-il rappelé, en pressant de "réviser une approche politique qu'Israël et la pusillanimité internationale ont fait échouer".
Selon AFP, un porte-parole des Brigades Ezzedine al-Qassam avait auparavant averti que la branche armée du Hamas n'avait utilisé que "10% de ses capacités" contre Israël lors des hostilités en novembre.
Les forces de sécurité ont été placées en état d'alerte pour assurer le bon déroulement des festivités.
Le Hamas célèbre cette année, avec quelques jours d'avance, son 25e anniversaire, pour coïncider avec celui de la première Intifada palestinienne qui avait éclaté le 8 décembre 1987 à Gaza.