
تقي زاده
Comment ai-je découvert le bon chemin ?
BisMillah Hir Rahman nir Rahim
Mon voyage a commencé lorsque, au début d'un nouvel emploi, j'ai rencontré un adepte des Ahl ul-Bayt. Jusqu'à ce moment-là, je savais peu de choses sur ceux qu’on appelle « chiites » - sauf ce que j'avais entendu des frères sunnites, qui du moins n'était pas très « élogieux ». Je n'avais rien lu à leur sujet, car je n'avais jamais rien trouvé à lire: tous les livres sur l'islam sur lesquels j’étais tombé pendant plusieurs années concernaient l'islam sunnite et étaient normalement écrits par les frères sunnites. Tous les musulmans que j'ai rencontrés, dans mon pays de résidence et dans d’autres endroits comme en Egypte, étaient sunnites, et même sur ce moyen de communication moderne, l'Internet, je n'avais croisé aucun site chiite, peut-être parce que je mes recherches ne concernaient pas ces sites spécialement et que je suivais les liens d'un site sunnite qui me dirigeait vers un autre site Internet sunnite.
Comment, moi qui étais un sunnite hanafite suivant le fiqh, ai-je été amené à trouver et à adopter le droit chemin des Ahl ul-Bayt? Toutes mes louanges et tous mes remerciements vont à Allah (Subhana wa'tala) qui, m'a guidé vers la vérité par sa miséricorde et sa compassion.
Mon voyage a commencé lorsque, au début d'un nouvel emploi, j'ai rencontré un adepte des Ahl ul-Bayt. Jusqu'à ce moment-là, je savais peu de choses sur ceux qu’on appelle « chiites » - sauf ce que j'avais entendu des frères sunnites, qui du moins n'était pas très « élogieux ». Je n'avais rien lu à leur sujet, car je n'avais jamais rien trouvé à lire: tous les livres sur l'islam sur lesquels j’étais tombé pendant plusieurs années concernaient l'islam sunnite et étaient normalement écrits par les frères sunnites. Tous les musulmans que j'ai rencontrés, dans mon pays de résidence et dans d’autres endroits comme en Egypte, étaient sunnites, et même sur ce moyen de communication moderne, l'Internet, je n'avais croisé aucun site chiite, peut-être parce que je mes recherches ne concernaient pas ces sites spécialement et que je suivais les liens d'un site sunnite qui me dirigeait vers un autre site Internet sunnite. Je savais aussi très peu de choses sur l'histoire des premières années de l'Islam, sauf bien sûr ce que j'avais lu dans les livres sunnites sur la piété des califes.
Et pourtant, j'avais déjà commencé à réfléchir sérieusement à certaines questions, comme celle de la prédestination, et j’avais commencé à être un peu préoccupé par certains hadiths que j'avais lus dans Bukhari et Muslim, qui me semblaient, dans la mesure de mon innocence et de mon manque de connaissance, en contradiction avec certains versets du Saint Coran. J'avais aussi des préoccupations sur les érudits que je devais suivre, car on me disait toujours que je pouvais décider du madhab qui me convenait, et que si je n'étais pas personnellement satisfait de quelque chose, je pourrais suivre une autre école en certaines matières, comme je pouvais de même suivre les conseils de tout érudit de toute école. Cela n'avait pas l’air d’être juste.
Peut-être que je devrais ajouter que à cette époque-là, j'étais un relativement nouveau converti à l'islam, ayant été amené au bout de quelque années à découvrir la vérité sur l'Islam et sur le Prophète Muhammad (s.) et ayant acquis la conviction que non seulement Allah était le seul et unique Dieu, mais aussi que Muhammad (s.) était son messager et son Prophète. [J'avais déjà été chrétien, et en effet, un moine catholique pendant un certain temps.]
Le frère chiite et moi étions les seuls musulmans dans notre lieu de travail, de sorte qu'il était naturel que fassion nos prières de Zuhr et d’Asr ensemble. Il était gentil, attentionné et de bonne humeur- en fait, un exemple de ce qu’un musulman devraient être - et il n'avait pas important qu'il priât d’une manière légèrement différente de moi. Je supposé dans ma naïveté qu'il suivait tout simplement un madhhab différent.
Bon, comme je viens de le dire, je priais avec ce frère chiite à la mosquée locale. Sa réaction négative m’a poussé à en savoir plus sur eux. J’ai posé donc quelques questions à mon frère chiite. Il répondit avec simplicité, toujours en soulignant que je devais faire mon propre jugement et de me servir de la raison.
Il y a eu un événement dont je me souviens très bien. J'avais reçu plusieurs articles de la part d’un groupe qui était influencé par le wahhabisme, et qui était violemment anti-chiite, et qui faisait toutes sortes d'allégations au sujet des adeptes des Ahl ul-Bayt. J’ai parlé de ce groupe avec mon frère chiite, et il a dit calmement: «Qu'est-ce que vous pensez d’eux, vous ?"
Je lui ai répondu que je croyais que le Prophète Muhammad (s.) lui-même n’aurait jamais agi d'une manière si intolérante, car je me rappelais le Hadith sur la façon dont le Prophète avait traité l'homme qui était tellement impudent qu’il était allé même jusqu’à uriner dans une mosquée tandis que le Prophète lui-même (a.) était là.
Mon frère chiite n’a rien dit, mais quelques jours plus tard (comme je m'en souviens), il m’a fourni un exemplaire d'une traduction en anglais de Nahj al-Balagha contenant une partie de la Sagesse de l'Imam Ali (a.s.). Je l'ai lu, et je me suis vraiment émerveillé de cette sagesse, et ‘a décidé d'essayer de trouver plus d'informations sur les chiite - à ce moment-là, je savais encore si peu de choses que je ne savais même pas que le mot chiite signifiait « suiveur », et que les chiites étaient des adeptes des Ahl ul -Bayt, un nouveau terme qui ne signifiait rien pour moi.
Puis, peu de temps après, j'ai quitté mon emploi pour en trouver un autre et par conséquent j’ai perdu le contact avec mon frère chiite. Malgré mes tentative pour reprendre contact avec lui, le mél que je lui avais adressé a été retourné, ce qui veut dire que je m’était trompait de l’adresse du courriel que je ne me rappelait plus . Plusieurs mois s'écoulèrent avant que je commence une étude plus sérieuse, motivé surtout par mes lectures sur le sermon de Ghadir Khoum tel que relaté dans Tirmidhi et Muslim, sources sunnites que je reconnaissait toujours implicitement.
Il y avait là le Prophète (s.) qui indiquant que nous devrions suivre et nous attacher à ses Ahl ul-Bayt, et comme je l'avais déjà lu, il (le Prophète) avait plusieurs fois fait l'éloge d’Imam Ali (alayhi salam) en de pareils termes qui sûrement signifiaient qu'il avait désigné Ali (a.s.) comme être son successeur.
J'ai découvert quelques-unes des croyances fondamentales des adeptes de Ahl ul-Bayt, comme taqlid et les Quatorze Infaillibles et plus je réfléchissait à ceux-ci, plus ils me semblaient logiques et rationnels. Ils étaient naturels, résultant logiquement du Saint Coran lui-même. Cela m'a vraiment éclairé sur les chiites: c'était comme si j’avais trouvé une vérité fondamentale pour la première fois, quelque chose qui était simple et pourtant profond.
Quelques jours plus tard, sur un site Internet, j'ai lu des choses sur Karbala. J'avoue que j'ai pleuré. Comment ceux qui se disaient musulmans traitaient-ils leurs frères musulmans d’une telle manière - et en particulier comment pourraient-ils battre et tuer le petit-fils du Saint Prophète lui-même? J'ai trouvé cela tout à fait étonnant. Comment cette tragédie s’est-elle produite? Et puis, j'ai lu quelques-uns des discours prononcés par le quatrième Imam (a.s.) à propos de cette tragédie, ce que cette tragédie signifiait et ce qu’elle signifie toujours.
J'ai ensuite passé plusieurs jours à étudier l'histoire des premières années de l'Islam - sur les Omeyyades et les Abbassides et la façon vicieuse dont ils ont persécuté les disciples des Ahl ul-Bayt. En plus de plusieurs autres livres et de nombreux articles écrits par des disciples de Ahl ul-Bayt j'ai lu « Alors j’ai été guidé » de Muhammad Tijani et son « Les chiites sont les vrais Ahl al-Sunna ». J'ai lu le sermon de l'Imam Husain (alayhi salam) à Mina, qui décrit l'état lamentable de l'Arabie cinquante ans après la mort de Mahomet (a.) - la corruption de Yazid, et la corruption des savants de cette époque. Et je me suis alors rappelé un célèbre dicton que j'avais lu quelque part: «Chaque jour est Achoura et chaque terre est Karbala».
Je réfléchissais profondément sur les questions soulevées à travers mes lectures, et j’ai été convaincu qu'il était de mon devoir, en tant que musulman, de suivre les Ahl ul-Bayt - car c'était clairement la volonté du Saint Prophète (s.) qui était, lui, le révélateur de la volonté d'Allah, que, en tant que musulman, je m’y soumette. Il n’y avait vraiment pas d’arguments rationnels contre les croyances des adeptes de Ahl ul-Bayt, car il me semblait que ces croyances ne s'exprimaient pas seulement sur ce qui était raisonnable et logique, mais elles ont également été basées sur les enseignements du Saint Prophète lui-même (s.).
C'est ainsi que j'ai essayé de trouver mon frère chiite. J'ai trouvé un nom semblable à la sienne dans l'annuaire téléphonique de la ville où je savais qu'il vivait, et j’ai téléphoné. Il s’agissait d’un numéro de fax. Alors j'ai envoyé un fax bref, pour lui demander de me contacter, ne sachant pourtant pas s'il allait jamais le recevoir.
Alhamdoulillah, le télécopieur appartenait à son oncle et moins d'une semaine plus tard, j'étais avec lui, dans la mosquée de son quartier, où j’entendais l’imam de la mosquée affirmer qu’Ali (a.s.) était le successeur légitime du Prophète (s.).
Sagesse et esthétique : deux ailes de l’artiste chiite
Comment l’art peut s’enrichir de l’influence du chiisme ? Pour répondre à cette question, il faut rappeler les deux éléments constituants de l’art : le concept que l’œuvre d’art veut « montrer », et la manière dont ce concept est représenté. Autrement dit, il y a d’abord le sujet d’une activité artistique, ensuite sa représentation en tant qu’objet d’art. Je qualifie le premier de « sagesse » et le second d’« esthétique ». Pour moi, ce sont les deux ailes de l’artiste chiite.
La première lui permet d’entrevoir dans un éclair les vérités mystiques et célestes qui lui deviennent perceptibles par une révélation artistique. Il enrichit et développe ensuite cette perception des vérités ésotériques par la « sagesse ».
Le deuxième lui permet de représenter ce qui lui a été révélé pour créer un changement dans le monde de la matière par tous les moyens que le beau et l’« esthétique » mettent à sa disposition.
Pour décrire l’influence du chiisme sur l’art iranien, il faut donc se représenter à l’esprit l’influence que la foi chiite exerce sur l’artiste au niveau de la « sagesse » et de l’« esthétique ».
Les chercheurs focalisent souvent leur attention sur le deuxième niveau, à savoir l’influence des croyances chiites de l’artiste iranien au niveau de l’esthétique. En effet, il est plus aisé d’étudier cette influence là où il prend une forme matérielle et extérieurement visible. Mais l’influence du chiisme sur la « sagesse » de l’art ne fait guère l’objet d’études critiques, car elle est moins perceptible et plus cachée. Or, il est évident que la foi religieuse chiite exerce son influence plutôt sur l’esprit de l’artiste et de sa créativité artistique que sur l’objet d’art proprement dit.
En ce qui concerne l’artiste chiite, pour que sa création soit considérée comme la manifestation extérieure de sa foi religieuse, il faut d’abord que le chiisme ait éclairé son cœur de la lumière de la vérité. La représentation extérieure de cette lumière extraordinaire que Dieu répand dans l’âme d’un homme sera possible par l’« esthétique » où il faut rechercher de nouveau l’influence de la foi chiite. A ce stade, nous devons être particulièrement sensibles au fait que l’influence de la croyance chiite sur la représentation extérieure de l’œuvre d’art peut nous échapper, car dans nos jugements esthétiques, nous avons pris souvent l’habitude de nous contenter des apparences immédiates.
Les motifs de l’interdiction de la transcription du Hadith
Les Uléma du Hadith ont tenté de rechercher les motivations des tenants de l’interdiction de la transcription du Hadith. Ils ont avancé plusieurs raisons possibles: les uns expliquent cette interdiction par:
- Un intérêt quelconque qu’auraient trouvé Abû Bakr et de ’Omar pour cette interdiction;
- La crainte de voir le Coran abandonné au profit du Hadith;
- La peur de confusions entre le Coran et le Hadith;
- L’ignorance des Compagnons de l’écriture;
- La conservation de la faculté de mémorisation;
- La peur de se concentrer sur les apparences du Hadith et la négligence des actes;
- L’empêchement de la propagation des mérites des Ahl-ul-Bayt, mérites dont la propagation aurait conduit à s’interroger sur la légitimité du Califat de Omar et d’Abu Bakr etc..
Source: “Man’ Tadwîn Al-Hadith” (L’Interdiction de la Transcription du Hadith), publié à Qom en 1418 H.
Les résultats de l’interdiction de la transcription du Hadith
L’interdiction de la transcription du Hadith eut des conséquences fâcheuses durant des siècles. En voici quelques-unes:
1- La disparition d’un grand nombre de Hadith (perdus ou brûlés)
2- La propagation de Hadith inventés, après que les Musulmans eurent constaté le grand vide laissé dans leur vie à cause de l’interdiction de la transcription du Hadith, vide que les gouvernants exploitèrent pour laisser libre cours à l’invention de hadith complaisants, sous prétexte de vouloir combler ce vide
3- La proscription des Ahl-ul-Bayt de la direction de la Umma, ou même de la vie musulmane en général, conséquemment à la dissimulation de leurs mérites et leur préséance qui prévalent dans le Hadith.
À cause de cette courte période noire de l’Histoire de la Umma, celle-ci a subi des dégâts considérables et a enregistré un retard de plusieurs siècles par rapport aux objectifs qui lui avaient été fixés.
Les facultés de l’âme
A sa création, l’âme de l’homme est comme une plaque vierge, dépouillée de toutes facultés (traits), bonnes ou mauvaises. Au fur et à mesure qu’on avance dans la vie, on développe des facultés qui sont directement liées à son mode de vie, à ses idées et à ses actes. La parole et les actes de l’homme produisent, lorsqu’ils sont répétés pendant une longue période, un effet durable sur l’âme, effet connu comme "faculté". Cette faculté pénètre l’âme et devient l’origine et la cause des actions de l’homme. En d’autres termes, l’âme humaine s’habitue à cette faculté, établit avec elle une union et détermine la direction de l’être humain en accord avec les exigences de ladite faculté. Si de telles facultés (malakãt) sont nobles, elles se manifestent sous forme de parole et de conduite morales chez l’homme. Et si, au contraire, elles sont mauvaises et basses, elles se manifestent sous forme de conduite perverse et immorale.
Ces mêmes facultés jouent un rôle décisif dans la détermination du sort de l’individu dans le monde éternel de l’Au-delà. Là, l’âme sera accompagnée des mêmes facultés auxquelles elle a été associée dans ce bas-monde. Si ces facultés sont vertueuses, l’âme aura une béatitude éternelle, et si elles sont malades, elle subira une éternelle damnation.
Cette question des malakãt fournit la réponse à ceux qui se demandent comment Allãh Clément et Miséricordieux pourrait condamner un individu à une damnation éternelle pour un péché commis en un court laps de temps. Ce qu’il faut garder présent à l’esprit, à ce propos, c’est que lorsqu’un péché commis répétitivement conduit au développement d’une faculté chez l’homme, la torture et la punition qu’elle appelle affecte également l’âme, puisqu’elle y est incorporée.
L’âme et ses pouvoirs
L’âme est l’essence Divine qui emploie le corps et en utilisant les divers organes pour atteindre ses buts. L’âme a aussi d’autres noms, tels que: "esprit", "intelligence", et "cœur", bien que ces termes aient également d’autres usages.
Les plus importantes des facultés de l’âme sont:
1 - Le pouvoir d’intelligence - angélique.
2 - Le pouvoir de colère- féroce
3 - Le pouvoir de désir- animal.
4 - Le pouvoir d’imagination - domestique.
La fonction et la valeur de chacun de ces pouvoirs de l’âme sont communément bien comprises. Si l’homme n’avait pas le pouvoir de raison, il lui aurait été impossible de distinguer le bien du mal, le bon droit de l’erreur, et le vrai du faux. S’il ne possédait pas le pouvoir de colère, il n’aurait pas pu se défendre contre les attaques et les agressions. Si la force du désir n’existait pas chez l’homme, la permanence de l’existence de l’espèce humaine aurait été en danger. Et enfin, si l’homme manquait de pouvoir d’imagination, il n’aurait pas pu se représenter ce qui est universel et ce qui est particulier, ni tirer aucune conclusion fondée sur eux. Avec cette explication, les caractéristiques mentionnées pour chacune des quatre facultés humaines deviennent claires et compréhensibles.
La "raison" est l’Ange qui guide l’homme. Le pouvoir de colère et de férocité en l’homme suscite en lui la férocité et la violence. Son pouvoir de désir et de passion le propulse ers l’immoralité et la licence. Et le pouvoir d’imagination chez l’homme lui fournit le matériel préliminaire pour l’élaboration d’intrigues, de complots et de machinations démoniaques.
Maintenant, si la faculté de raison est utilisée pour contrôler les autres facultés, elle les garde à leur juste place et modère leurs excès, et les autres facultés travailleront dès lors pour le bien-être de l’homme, et accompliront des fonctions utiles autrement, elles ne seraient capables que de faire le mal.
La corrélation entre ces quatre facultés de l’âme humaine est décrite de la façon allégorique suivante: imaginons un voyageur monté sur un cheval et suivi d’un chien et d’un homme qui l’espionne pour le compte de quelques bandits. Supposons que l’homme à cheval représente la raison, sa monture le désir et la passion, le chien le pouvoir de colère et de férocité et l’espion le pouvoir d’imagination. Si le voyageur réussit à contrôler sa monture, le chien et l’espion, et à maintenir son autorité sur eux, il arrivera à sa destination saine et sauve autrement, il sera détruit. L’âme humaine est donc une scène ou un champ de bataille sur lequel il y a une lutte continuelle entre ces quatre forces. Quelles seront la caractéristique dominante et la nature de l’âme de l’individu, cela dépend entièrement de l’issue de cette lutte.
En d’autres termes, cette issue déterminera le caractère et l’inclination de ladite âme. C’est pour cela que certaines âmes sont angéliques, d’autres bestiales, et d’autres encore démoniaques.
Les négociations entre l’Iran et l’AIEA, constructives
Le représentant iranien, auprès de l’Agence internationale de l’Energie atomique (AIEA), a qualifié de constructives, les négociations, tenues, à Téhéran, entre l’Iran et le directeur général adjoint de l’AIEA.
"Les négociations avec Herman Nackaerts et sa délégation l’accompagnant étaient positives", a annoncé, jeudi, Ali-Asqar Soltaniyeh, a indiqué Press TV. "Lors des négociations avec le directeur général adjoint de l’Agence, nous avons réalisé des progrès", a déclaré le représentant iranien, auprès de cette instance.
Les deux parties sont parvenues à un accord, sur le prochain tour des négociations, fixé au 16 janviers 2013. "La RII poursuit, en tant que pays responsable et attaché aux règlements internationaux, ses coopérations avec l’Agence", a souligné Ali-Asqar Soltaniyeh.
Réunion quadripartite des ambassadeurs, iranien, russe, chinois et syrien
Les ambassadeurs iranien, syrien, chinois et russe, au Liban, ont examiné les dernières évolutions, en Syrie, et les voies censées régler la crise, dans ce pays.
Lors de cette réunion, tenue, vendredi après-midi, à l’invitation de Ghazanfar Rokn-Abadi, ambassadeur iranien, à Beyrouth, les ambassadeurs de ces quatre pays ont estimé que les affrontements militaires, en Syrie, soutenus par certains pays étrangers, contre le gouvernement, n’avaient d’autres résultats que massacres et ruines, qu’il fallait qu’ils cessent, immédiatement. Les ambassadeurs, iranien, syrien, russe et chinois, tout en se déclarant d’accord, sur la nécessité d’une solution politique, comme l’unique porte de sortie de la crise syrienne, ont mis l’accent sur l’arrêt du financement et équipement des groupes armés, le massacre et l’effusion de sang, le début des négociations et le suivi de la tenue d'élections législatives libres et saines, puis, des présidentielles, en 2014, ainsi que la détermination du sort politique de la Syrie, sur la base de la vox populi.
Le personnel technique de l'Agence internationale de l'énergie atomique est arrivé à Téhéran
Nakarts Hermann , directeur général adjoint de garanties de l'AIEA à la tête de négociations avec l'Iran sur ses sept membres de la délégation sont arrivés à Téhéran sur les questions en suspens et a été accueilli par Ali Asghar Soltanieh .
Les entretiens d'une journée susceptibles d'être tenues à huis clos. Il a également des plans pour visiter ou inspecter personnel de l'agence est composé d'experts provenant d'installations nucléaires de l'Iran et des installations ou d'autres sites n'est pas divulgué.
Fereydoun Abbassi , chef de l'Organisation de l'énergie atomique , a déclaré que certains pays peuvent utiliser les services de renseignement et de sécurité , accusant les autres pays et les agences devraient reprendre le chemin correcte selon le rapport des inspecteurs.
Les inspecteurs ont déclaré que l'Iran se conformer pleinement aux règlements de l'AIEA et toutes les matières et activités nucléaires sont également surveillés.
Inspecteurs de l'AIEA à visiter et d'inspecter le site de Parchin militaire à deux reprises et n'avons aucune preuve que les activités nucléaires de l'Iran est disponible sur ce site ne sont pas réalisés.
Iran dépose un "acte d'accusation" contre 18 responsables américains
La République islamique a déposé un "acte d'accusation" contre 18 responsables américains pour de la perpétration des crimes contre l'humanité et surtout l'Iran.
Le premier adjoint du Pouvoir Judiciaire iranien a déclaré qu'il existe beaucoup de revendications contre les crimes des américains dont les communautés des avocats du monde et des tribunaux internationaux, influencés par les Etats-Unis, n'ont pas encore appelés ces responsables à la cour.
Il a ajouté que cet acte d'accusation qui sera très long, sera réglé par rapport aux documents que l'Iran possède sur les crimes évidents perpétrés par les américains.
"L'accusation contre 18 responsables américains est un premier pas pour poursuivre les Etats-Unis en justice et les autres actions de l'Iran seront bientôt communiquées", a confirmé cette autorité iranienne.