تقي زاده

تقي زاده

Le Fonds monétaire international avertit les ministres des Finances de l’UE qu’il s’attend à ce que l’inflation élevée persiste et recommande des mesures pour promouvoir la croissance économique dans le bloc des 27.

En octobre dernier, nous avons parlé au commerçant bruxellois, Abdullah Ehsan, de la hausse des coûts. Nous y revenons juste pour faire le point. Il dit que les prix de détail continuent d’augmenter en raison des frais plus élevés des fournisseurs. Mais les clients semblent s’habituer au problème.

Les prix du logement ont commencé à chuter dans les pays plus riches de l’UE comme l’Allemagne et la Suède. Les économistes disent que la hausse des taux d’intérêt est un facteur clé. Si la chute du marché immobilier s’aggrave et s’étend à d’autres pays, l’ensemble du système financier de l’UE sera en danger, avertissent les experts.

Les responsables du Fonds monétaire international ont déclaré aux ministres des Finances de l’UE qu’un manque de croissance économique dans le bloc des 27 devrait être considéré comme une grande préoccupation. Le FMI affirme que l’UE a besoin de réformes structurelles.

La plupart des difficultés économiques de l’UE sont liées à la guerre en Ukraine. Le bloc a fourni 65 milliards d’euros à Kiev au cours des 14 derniers mois. D’autres sont en route.

La plupart des pays membres de l’UE sont également membres de l’OTAN. Les ministres de la Défense attachés à l’alliance militaire viennent de se réunir dans la capitale belge pour proposer l’envoi d’armes plus meurtrières à l’Ukraine. Des millions de citoyens européens en difficulté financière préfèrent pourtant des pourparlers de paix.

Le président iranien Ebrahim Raïssi a déclaré que le succès obtenu dans l’industrie nucléaire iranienne sous les sanctions et les menaces devrait servir de modèle à d’autres industries.

« Les acquis de l’industrie nucléaire montrent comment les jeunes experts et les scientifiques du pays ont transformé les menaces et les sanctions en opportunités », a-t-il déclaré lors d’une visite à l’exposition des capacités nucléaires iraniennes à Téhéran dimanche 18 juin.

« Nous devons étendre les capacités et les technologies acquises dans l’industrie nucléaire à d’autres industries, en particulier le secteur automobile, afin qu’elles puissent atteindre ce stade de succès. »

Le chef de l’exécutif iranien a également souligné les effets de la technologie nucléaire sur la vie des gens, en particulier dans les domaines de la santé et de la médecine, de l’agriculture et de l’industrie, ainsi que des secteurs pétrolier et gazier.

 

Lors de la rencontre avec le chef de la diplomatie saoudienne, le président iranien a déclaré que les ennemis, en particulier Israël, étaient les seuls à être furieux contre l'amélioration des relations entre Téhéran et Riyad.

Lors d'une réunion avec le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal ben Farhan, à Téhéran samedi 17 juin, le président de la RII, Ebrahim Raïssi, a déclaré que de nombreux pays musulmans ont salué le rapprochement entre l'Iran et l'Arabie saoudite, deux pays influents du monde musulman.

Il a déclaré que l'Iran ne fixait aucune limite à l'expansion des liens avec les pays musulmans. « Seuls les adversaires des musulmans, notamment le régime sioniste, ne se réjouissent pas du renforcement de la coopération entre l'Iran et l'Arabie saoudite. »

Le président russe Vladimir Poutine a salué samedi à Saint-Pétersbourg, dans le nord-ouest du pays, « l'approche équilibrée » des pays africains face au conflit ukrainien, avant les pourparlers officiels avec la délégation visant à faire pression pour la paix entre Kiev et Moscou.

« Nous nous félicitons de l'approche équilibrée des amis africains face à la crise ukrainienne », a déclaré Poutine aux dirigeants africains de sept pays.

L'équipe diplomatique de haut niveau, qui s'est rendue vendredi à Kiev, espère porter sur la table la voix d'un continent qui a beaucoup souffert des contrecoups du conflit ukrainien notamment par la hausse des prix des céréales.

Des dizaines de milliers d'Israéliens ont organisé de nouveaux rassemblements anti-régime dans les territoires occupés de la Palestine, manière de condamner la détermination du Premier ministre israélien à faire passer une série de « réformes judiciaires » très controversées.

Les rassemblements ont eu lieu à Tel-Aviv et dans d'autres villes des territoires occupés samedi 17 juin pour la 24e semaine consécutive.

Des manifestants ont allumé des fusées éclairantes et scandé des slogans anti-régime. Certains ont brandi une immense banderole arborant la photo du Premier ministre Benjamin Netanyahu sur laquelle était libellée « persona non grata ».

Pour la première fois depuis que les deux puissances d’Asie occidentale ont convenu de rétablir les relations après une rupture de sept ans, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhan, est arrivé, samedi 17 juin, à Téhéran, à la tête d’une délégation de haut rang.

À son arrivée, M. Farhan a été accueilli par le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian.

Les deux hauts diplomates se sont entretenus avant de tenir une conférence de presse conjointe.

M. Farhan rencontrera également le président de la République islamique d’Iran, Ebrahim Raïssi, ainsi que d’autres hauts responsables iraniens.

La chaîne d’information saoudienne, Al-Arabiya, a rapporté, citant M. Farhan, que cette visite a visé à finaliser l’accord entre l’Iran et l’Arabie saoudite, signé en mars à Pékin, dans le but de reprendre les relations conjointes.

« Je suis heureux d’être à Téhéran. Nous rouvrirons bientôt l’ambassade de l’Arabie saoudite à Téhéran », a déclaré Fayçal ben Farhan.

 

Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale (SNSC) a salué la « résistance sans précédent » du peuple palestinien, soulignant que soutenir les Palestiniens et les groupes de résistance fait partie des politiques fondamentales de la République islamique d’Iran.

« Nous considérons qu’il est de notre devoir de soutenir le mouvement du Jihad islamique conformément à l’idée de libérer la Palestine, et nous poursuivrons ce soutien avec fermeté et honneur », a déclaré, samedi 17 juin, le général de brigade Ali Akbar Ahmadian, lors d’une réunion avec le secrétaire général du mouvement du Jihad islamique Ziad al-Nakhala, à Téhéran.

Les deux responsables ont discuté des derniers développements dans la région, notamment la situation dans les territoires palestiniens occupés.

« L'expansion de la résistance dans toute la Palestine, tout en mettant en échec le rêve imaginaire des sionistes d'un Grand Israël, marquera leur effondrement », a indiqué le général Ahmadian, précisant que le Jihad islamique et d’autres groupes de résistance ont pris l’initiative d’affronter le régime israélien.

Selon le secrétaire du SNSC, la résistance des Palestiniens conduira à la libération de la ville sacrée de Qods.

« La guerre des 5 jours a montré que le régime sioniste est en déclin et que les groupes de résistance sont en plein essor », a-t-il déclaré.

Le général Ahmadian a également souligné que la résistance contre Israël était l’axe de l’unité parmi les groupes de résistance, ajoutant que les « manœuvres de division du régime d’occupation doivent être contrecarrées avec vigueur ».

 

Selon le dernier rapport sur les perspectives alimentaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), publié le 16 mai, l'Iran a été le premier exportateur laitier d'Asie au cours de l'année écoulée.

Selon ce rapport, l'Iran a produit sept millions et 840 mille tonnes de lait et de produits laitiers en 2022, ce qui a augmenté par rapport à l'année précédente.

De ce nombre, 1 million 583 000 tonnes ont été exportées et seulement 86 000 tonnes ont été importées, ce qui montre que 13 % du lait et des produits laitiers iraniens ont été exportés vers d'autres pays cette année.

D'autre part, selon le montant des exportations de produits laitiers en Asie, l'Iran détient 17% des exportations de produits laitiers de ce continent. L'exportation totale de lait et de produits laitiers des pays du continent asiatique était de 9 millions et 148 000 tonnes l'année dernière.

Depuis le début de cette année, le régime israélien a approuvé 22 projets de colonisation et d'installation d'immigrants à Qods afin de faire avancer la guerre démographique dans cette ville à son propre profit, ont rapporté les médias palestiniens.

L'ONG israélienne Ir Amim, spécialisée dans les affaires de Qods, a admis dans un rapport que « depuis le début 2023, 22 projets de développement de colonies ont été approuvés, dans lesquels 16 600 unités résidentielles seront construites dans cette ville ».

Cela survient alors que le cabinet de Netanyahu a donné la reprise de la construction de 3 412 unités résidentielles supplémentaires dans cette ville.

Selon cette ONG, les progrès de la construction de colonies dans la ville de Qods se sont accélérés de manière sans précédent, de sorte que le plan de construction de plus de 7 000 nouvelles unités résidentielles à Qods sera également examiné le mois prochain.

L’ONG israélienne a également révélé que ce qu'on appelle « le Grand Qods » et qu’Israël cherche à le réaliser n'est pas possible sans le développement des agglomérations périphériques de Qods et leur connexion avec le noyau principal de la ville afin de s'unir et de former un réseau unique de connexions urbaines.

Le président de la RII déclare que l’Iran et de nombreux pays d’Amérique latine partagent un désir commun d’indépendance et de justice. Ebrahim Raïssi a fait ces remarques après son arrivée à Téhéran vendredi 16 juin, à la fin d’une tournée de quatre jours dans les trois pays d’Amérique latine, le Venezuela, le Nicaragua et Cuba.

Il a déclaré que l’Amérique latine était une région stratégique dans le monde avec d’abondantes ressources naturelles et de nombreux intellectuels.

Le président a ajouté que de nombreuses nations d’Amérique latine résistaient au système impérialiste, qu’elles combattaient l’ordre mondial injuste actuel depuis des décennies et que la poursuite de la liberté et de la justice étaient au centre de leurs soucis.

« Cet esprit prévaut aussi dans la République islamique », déclare le président Raïssi, ajoutant : « Le désir d’indépendance, le respect de la vox populi et le désir de justice constituent les fondements de la Révolution islamique d’Iran. »