تقي زاده

تقي زاده

samedi, 16 novembre 2019 08:27

La Palestine retrouvera son indépendance

Le président du Parlement, le chef du pouvoir judiciaire, plusieurs hommes d’État, les ambassadeurs des pays islamiques en Iran et les participants à la 33ème Conférence internationale de l’Unité islamique, ont été reçus ce vendredi 15 novembre par le Leader de la Révolution islamique d’Iran, l’ayatollah Khamenei, à l’occasion de la bienheureuse naissance du grand prophète de l’islam et de l’Imam Jaafar Sadeq.
Lors de cette rencontre, le Leader de la Révolution islamique a déclaré: « La semaine intitulée "Semaine de l’Unité" dans le calendrier de la République islamique d’Iran n’est pas une simple appellation. Il ne s'agit pas non plus d'une tactique politique. Cette designation est une conviction et une foi venant du cœur. La République islamique d’Iran croit, au vrai sens du terme, en l’unité de l’Umma islamique. L’unité la plus élémentaire est celle qui lie les différentes ethnies et confessions et qui les empêche de s'entre-attaquer; celle qui les appelle à s'unir devant l'ennemi commun. Une autre sorte d'unité est celle requière la coopération entre les pays islamiques. Vient ensuite la plus importante d'unité qui demande l'union entre les pays du monde musulman afin de concrétiser une nouvelle civilisation islamique. Si les pays islamiques avaient respecté la plus élémentaire des unités, de telles catastrophes ne se seraient jamais produites au sein du monde musulman. La question de la Palestine est actuellement le plus grand désastre pour le monde musulman ».     
 
Le Leader de la Révolution islamique a souligné que la position de Téhéran concernant la cause palestinienne était « définitive » et « de principe ». « Avant la victoire de la Révolution islamique, l’Imam Khomeini évoquait le risque de l’infiltration et de la tyrannie des sionistes. Peu après la victoire de la Révolution islamique, la République islamique a confié aux Palestiniens, un centre, à Téhéran, qui appartenait aux sionistes. Il s’agissait d’un vrai acte et en même temps d’un geste symbolique. Nous avons aidé les Palestiniens et nous les aiderons encore. On ne connaît aucune considération à ce propos et c’est ce que tout le monde musulman devra faire ».
 
L’Ayatollah Khamenei a ensuite ajouté que « l’élimination du régime israélien », évoquée par le défunt Imam Khomeini et des responsables de la République islamique d’Iran, ne signifiait pas l’élimination du peuple juif. « Ce n'est pas au peuple juif que nous en voulons. Nous parlons de l’élimination du régime imposé. L’élimination du régime sioniste signifie que le peuple palestinien, véritable propriétaire de ces territoires, choisisse, lui-même, son gouvernement et qu’il élimine les racailles comme Netanyahu. C’est ce qui se passera ; tout comme ce qui s'est passé aux Balkans et où la nation a retrouvé son indépendance après 60 ans. Nous soutenons le peuple et l’indépendance de la Palestine. Nous ne sommes point des antisémites. Dans notre pays, les juifs vivent en toute sécurité », a déclaré le Leader de la Révolution islamique.        
 
Dans une autre partie de ses propos, l’Ayatollah Khamenei a réaffirmé que les ennemis de l’islam, dont et surtout les États-Unis, s’opposaient à l’islam et à tous les pays musulmans et que la principale arme qu’ils utilisaient dans la région était « l’infiltration dans les centres délicats et les centres de prises de décision ». Ils veulent « semer la discorde parmi les nations » et « suggérer la soumission aux États-Unis en tant que solution aux problèmes ». « Le seul remède qui pourra neutraliser ces plans est de faire la lumière et de résister sur la voie du juste », a-t-il ajouté. Pour l’Ayatollah Khamenei, « les catastrophes qui pèsent sur le monde musulman y compris la question de la Palestine et les guerres sanglantes en cours au Yémen, en Asie de l’Ouest et dans le nord d’Afrique puisent dans le fait que l’on ne respecte pas le principe du rejet de conflit ni celui de l’unité vis-à-vis de l’ennemi commun ». Et d’ajouter : « L’animosité des États-Unis, du régime sioniste et des ennemis de l’unité islamique prend pour cible tous les pays musulmans car l’islam rejette par nature la tyrannie, l’arrogance et la domination. Ils s’opposent donc à l’islam et à tous les pays islamiques. Ceci dit, il est clair que leur animosité ne prend certes pas pour cible uniquement la Révolution islamique ». Évoquant les commentaires insultants des Américains sur les Saoudiens, l’Ayatollah Khamenei a déclaré : « Ils disent explicitement que la seule chose que possèdent les Saoudiens c'est l’argent et qu'il faut aller les piller. C’est une animosité manifeste envers un pays et une nation et leurs interlocuteurs devront savoir ce qu’il faut faire par leur dignité arabe et islamique face à de telles insultes ». Le Leader de la Révolution islamique a souligné que la présence des États-Unis dans la région était à l’origine du mal, de la corruption, de l’insécurité et de la formation des groupes tels que Daech. Il a appelé les nations musulmanes à connaître le vrai visage divisionniste des États-Unis. Ailleurs dans ses propos, le Leader de la Révolution islamique a déclaré que toute déclaration, tout mouvement et tout acte du monde musulman visant à renforcer « l’indépendance politique, culturelle et économique des nations musulmanes », « l’unité et l’autorité de l’Umma islamique », « aider les peuples et les déshérités », « propager les réalités et combattre les hallucinations » et à « propager la science et les recherches dont l’énergie nucléaire » constituaient de bonnes actions. « L’énergie nucléaire pacifique est un besoin des nations alors que les monopolistes occidentaux cherchent à la monopoliser afin de pouvoir en donner progressivement aux autres nations en échange de leur dignité et indépendance ».
 
Le Leader de la Révolution islamique a déclaré que les Occidentaux savaient bel et bien que nous ne cherchions pas à acquérir l’arme nucléaire dans le cadre de nos convictions et principes. « Ils s’opposent donc à nos progrès nucléaires afin d’empêcher l’Iran d’atteindre le savoir-faire, l’industrie et les capacités nucléaires ». L’Ayatollah Khamenei a ajouté que les élites et les savants du monde musulman devraient défendre leur droit avec puissance et qu’ils ne devraient pas craindre l’ennemi. « Grâce à Dieu, le monde musulman verra, dans un avenir non lointain, ses vœux brillants se concrétiser », a-t-il conclu.
Une réunion des associations pour la proximité des écoles islamiques s'est tenue vendredi dans la capitale iranienne.
Selon le correspondant d'IQNA, la réunion faisait partie de la 33e Conférence internationale sur l'unité islamique, qui se déroule actuellement à Téhéran.

Les participants ont notamment discuté de l'unité islamique, de l'importance de la résistance pour renforcer l'unité, de la promotion du discours de l'unité dans le but de libérer la mosquée Al-Aqsa et de la création d'un front mondial contre le prétendu « Deal de siècle ».

Le Cheikh Ahmed al-Qattan, président de la Société libanaise pour la parole et l'action, était l'un des intervenants à la réunion. Il a souligné la nécessité pour les associations de proximité de prendre des mesures concrètes afin de renforcer l'unité islamique.
 

Dans une analyse publiée ce jeudi, 15 novembre, le journal israélien, Haaretz a souligné l'échec de la politique du Premier ministre Benjamin Netanyahu face à l’Iran.

Il y a dix-huit mois, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a connu les 48 heures de sa carrière politique les plus réussies. Le 8 mai 2018, le président américain, Donald Trump a annoncé que son pays se retirait de l'accord nucléaire avec l'Iran.

Le lendemain de cette décision de Trump, Netanyahu s'est rendu en Russie pour assister en tant qu'invité à la fête annuelle de la victoire de l'URSS sur l'Allemagne nazie pour faire croire au monde entier qu'Israël était un allié clé non seulement pour les États-Unis, mais également pour la Russie.

L'auteur évoqué ensute le début de l’échec des politiques de Netanyahu et du gouvernement américain face à l’Iran.

Nous ne nous arrêterons jamais ni ne reculerons dans le domaine en ce qui concerne le renforcement de notre capacité de défense. Notre capacité de défense est notre ligne rouge, elle n’est donc pas négociable », a déclaré le général Hossein Salami, le commandant en chef du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI).

 

« Pour ce qui est de notre capacité de défense nous avons réalisé des progrès considérables et le nombre de nos acquis est si grand que nous n’arrivons pas à les médiatiser tous », a affirmé le général Salami, ce jeudi 14 novembre dans la matinée en marge de la cérémonie de commémoration des martyrs de la force aérospatiale dont le célèbre général, Téhérani-Moghaddam.

« Nous assurons le peuple iranien sur le fait que nos forces armées sont si talentueuses qu’elles sont capables de faire face à tout ennemi », a affirmé le général Salami.

« Cela ne se produira jamais; nous ne nous arrêterons jamais ni ne reculerons parce que c'est l'une de nos lignes rouges. Notre capacité de défense n’est ni négociable, ni modifiable, ni susceptible d’être arrêtée ou restreinte », a ajouté le général Salami, en réponse à une question sur l'éventualité de négociations concernant la capacité balistique, à la suite des sanctions imposées à l’Iran.

Des sources israéliennes ont fait état du tir de près 400 roquettes et missiles depuis la bande de Gaza pendant les deux premiers jours de guerre anti-Israël de Gaza par les Brigades d’al-Qods, branche militaire du Jihad islamique de la Palestine, et ce, en représailles à l’assassinat du commandant Baha Abou Atta. Selon l’armée israélienne, plus de 120 roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza vers la Palestine occupée pendant la seule journée de mercredi 13 novembre.

Quel type de roquettes la Résistance palestinienne a sorti de son arsenal balistique ? Jusqu’à présent, les combattants palestiniens ont tiré essentiellement des roquettes à courte portée comme la roquette Qassam, la roquette Grad et des obus de mortier.

Alors que le Premier ministre sortant israélien bloque à tout prix la formation d’un nouveau cabinet, Benny Gantz et Avigdor Liebermann ont promis de faire tout leur possible pour éviter la tenue d’une troisième élection dans les territoires occupés.

Beny Gantz, dirigeant du parti centriste israélien, Bleu Blanc et Avigdor Liebermann, celui d’Yisrael Beiteinu sont sortis de leur réunion tenue ce jeudi 14 novembre, en promettant de faire le nécessaire pour empêcher une troisième élection sans précédent dans les territoires occupés.

Toutefois le journal Jerusalem Post écrit : « On voit peu d’avancées dans la formation d’un gouvernement d’union nationale d’ici mercredi prochain, conformément au délai donné par Reuven Rivlin à Benny Gantz ».

Dans une déclaration à la presse faite après la réunion, Gantz a imputé l'impasse au Premier ministre Benjamin Netanyahu.

"Netanyahu continue de maintenir le bloc et de se battre pour la tenue des élections", a déclaré Gantz en ajoutant : "J'ai clairement indiqué ma position concernant toutes les options sur la table - je suis prête à envisager toute option conforme à mes principes. Nous avons prévu de nous revoir au début de la semaine prochaine. Nous ne voulons pas d'élections et nous fournirons tous nos efforts jusqu'à la dernière minute pour les éviter".

Le suicide politique! En assassinant lâchement le haut commandant du Jihad islamique de la Palestine, le couple agonisant Netanyahu-Bennett a prouvé une nouvelle fois les failles organiques et systémiques dont souffre l'armée israélienne. En deux jours de combat et au bout de presque 400 roquettes Grad et Qassem, l'armée "la plus puissante" du Moyen Orient s'est pliée quitte à quémander une trêve, au Jihad islamique de la Palestine, l’une des multiples composantes de l'axe de la Résistance. Ces deux jours de combats ont prouvé que le ciel israélien était une passoire et que les sites vitaux israéliens sont très exposés et qu'il suffit de moins de 500 missiles pas forcément très sophistiqués en plus, pour qu'Israël se trouve transformé en une « entité » fantôme ...Liberman qui a affirmé ce jeudi vouloir faire tout y compris faire des alliances avec ses ennemis politiques pour éviter un troisième scrutin à Israël a dit aussi ceci, dans l'un des rares moments de sincérité de sa vie politique: "A Gaza Israël a perdu, l'Iran a gagné"...

En allusion à l’entente sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, négociée sur la base des conditions fixées par la Résistance palestinienne, le porte-parole du Mouvement du Jihad islamique a parlé d’un grand acquis de la Résistance.

« La Résistance a affirmé qu’elle est capable de causer un grand ennui aux occupants », a ajouté Davoud Chahab.

« L’accord sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été conclu sur la base des conditions de la Résistance », a-t-il souligné.

Selon une autre information, Ophir Chilah, un député à la Knesset a reconnu ce jeudi la victoire du Mouvement du Jihad islamique lors d’une bataille tous-azimuts contre les occupants.

L'armée syrienne a lancé une nouvelle opération militaire sur l'axe sud-est d'Idlib, dernière base du groupe terroriste le Front al-Nosra et alliés dans le nord-ouest de la Syrie.

Selon Sputnik, l'opération a débuté par des attaques aériennes et à l’artillerie et les unités de l'armée syrienne ont réussi à dominer la ville de Lweibdeh, au nord d'Abou Dali, dans la banlieue sud-est d'Idlib.

Par la suite, les avions de combat syro-russes ont lancé des attaques contre les positions des terroristes afin d'empêcher le bombardement continu des villes libérées et d'étendre le rayon d'action de l'armée sur l'axe sud d'Idlib.

Le président syrien Bachar al-Assad avait précédemment déclaré que la libération d'Idlib ne serait pas longue mais que les civils auraient d'abord une chance de quitter la région.

Idlib est occupé depuis début 2015 après une coalition entre des groupes terroristes baptisée Jaysh al-Fatah, dont al-Nosra est la principale aile. Cette coalition qui était soutenue à l’époque par l’Arabie saoudite, la Turquie et le Qatar, s’est effondrée et elle n’existe plus en raison des discordes ayant divisé ces trois pays.

Il y a environ 10 jours, après que les forces de l’armée syrienne ont avancé dans le nord du pays et pris le contrôle de plusieurs régions, le président syrien a déclaré que si l'option politique consistant à expulser les terroristes d'Idlib ne fonctionnait pas, Damas opterait alors pour l’option militaire.

Assad rappelle à tous ceux qui insistent sur un changement constitutionnel syrien que la guerre n'a pas éclaté à la suite de différends sur cette constitution.

« L’élément le plus important de l’axe de la lutte contre le terrorisme est de recourir à des principes immuables. A l’aide de nos amis, en infligeant des coups aux mercenaires de l’Occident et des Etats colonialistes, nous poursuivrons notre combat contre leur cupidité », a souligné le président syrien.

« La guerre en Syrie n'a pas éclaté en raison d'un désaccord ou d'une scission au sujet de la constitution, mais du fait que le terrorisme a commencé à tuer, à intimider et à détruire, la guerre ne prendra fin que lorsque le terrorisme aura pris fin », a indiqué Assad lors de sa rencontre à Damas ce jeudi 14 novembre avec une délégation iranienne présidée par le président de la commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du parlement iranien, Mojtaba Zonnour.

« Ils tentent de faire croire que la guerre pourrait prendre fin avec un comité constitutionnel. Ce n’est pas juste car cette guerre n’a pas éclaté à la suite de divergences sur la Constitution. Cette guerre a commencé après que le terrorisme se soit mis à tuer et à détruire. La guerre prendra donc fin avec la fin du terrorisme », a souligné Assad.

jeudi, 14 novembre 2019 12:45

L'abondance de la miséricorde divine

Dieu, le Très-Haut, dit dans Son Noble Livre : ((Lorsque ceux qui croient en Nos signes viennent à toi, dis-leur : "Salut sur vous ! Votre Seigneur s'est prescrit à Lui-même la miséricorde)) (Coran V, 54). Il a dit aussi : ((Invoquez votre Seigneur avec crainte et désir ardent. La miséricorde de Dieu est proche de ceux qui font le bien)) (Coran VII, 56).
Dieu, le Très-Haut, affirme dans ces deux Versets que, dans la conception que l'homme se fait de Dieu doit être principalement dominée par  l'idée de miséricorde. En effet, Dieu est le Clément et le Miséricordieux, et l'existence toute entière est une manifestation de Sa miséricorde. Cela permet à l'homme de se sentir toujours proche de Dieu grâce à cette miséricorde qui englobe toute chose. Il lui permet de sentir que, proche, la Miséricorde de Dieu panse ses blessures, soulage ses douleurs, dissipe ses soucis, lui assure la satiété quant il a faim, le désaltère quant il a soif, pardonne ses péchés, réalise ses aspirations, dirige ses pas dans sa marche et ouvre toute son existence à la satisfaction de Dieu, dans ce monde-ci et dans l'Autre monde.    
La miséricorde de Dieu intervient pour rendre plus fervente la prière de l'homme, plus entendues et réalisées ses invocations et plus acceptables -auprès de Dieu- ses actions. Dans ces conditions, l'homme se rend compte qu'il ne peut aucunement se conduire sans la miséricorde de Dieu, le Très-Haut. Le Messager de Dieu (P) a dit à ce propos : "Sachez que rien ne vous sauve qu'une action conjuguée à la clémence". Il a dit aussi: "Dieu n'a créé une chose sans créer une chose destinée à la vaincre. Il a créé Sa miséricorde pour vaincre Sa colère".
La clémence est une qualité que Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire, a donnée à Son Messager (P) : ((Il vous est venu un Envoyé élu parmi vous-mêmes. Lourdes lui sont vos fatigues. Vous êtes sa passion. Aux croyants vont sa tendresse et sa miséricorde)) (Coran IX, 128). Sa Miséricorde est aussi immense et englobe tous les hommes : ((Nous ne t’avons envoyé que par miséricorde pour les univers)) (Coran XXI, 107).
La clémence des hommes

Tout cela nous suggère,  que le Musulman doit vivre et donner à la clémence une place importante dans sa vie et dans ses relations avec les autres qui l'entourent. La clémence est une recommandation que chacun doit faire aux autres dans la société islamique. Dieu, le Très-Haut, dit : ((Ils se sont conseillés mutuellement la patience et la miséricorde)) (Coran XC, 17). Le Messager de Dieu (P) l'a affirmé lorsqu'à un homme qui lui a dit: "J'aimerais que Dieu soit miséricordieux envers moi", il a répondu : "La clémence envers celui qui n'est pas clément te prive de la Miséricorde de Dieu. Et laisser la vie sauve à celui qui ne laisse pas aux autres la vie sauve fait périr la Nation". Et louange à Dieu, le Seigneur des Monde.