تقي زاده

تقي زاده

15 Rajab , jour béni et triste, toutes nos condoléances à notre Imam Mahdi (ajf) et à la communauté musulmane en ce jour de commémoration du décès de Setna Zaynab (as) fille de l'Imam Ali (as) et de la pure Fatima al Zahra (as), sœur de Imam Al Hassan et Imam al Houssein (as)* 

*Quand Setna Zaynab (as) tomba malade elle sut par la lumière d'Allah SWT qu’il s’agissait de la maladie de sa mort. On proposa de lui convoquer un médecin mais elle répondit :*
*« Ô gens! Nous ne sommes pas de ceux qui aspirent à l’ici-bas et souhaitent y rester. La meilleure rencontre pour nous, descendants du Prophète (Paix et bénédictions sur lui et sa descendance) est la rencontre avec notre Seigneur. En plus, le médecin n’avancera ni ne reportera ma fin. Son remède n’est qu’un tranquillisant alors que la fin prédestinée devra arriver »*

*Oh ! Zaynab al Kobra vous avez subi beaucoup de malheurs et d'injustices, on vous a traité en tant qu'ennemis.*
*Quelle chose abominable que les nobles de la terre, et proches d'Allah aient été tués et maltraités.*
*Mais aujourd'hui vous êtes logés chez Dieu, contents et satisfaits de suivre les consignes d'Allah SWT*.
*Vous êtes auprès de votre grand-père le Sceau des Prophètes (psl) de votre père* *Imam Ali (ps) Prince des croyants et de votre mère Fatima al Zahra (ps) maîtresse des femmes du monde et de* *vos frères Imams Hassan et Hussein (ps) maîtres de la jeunesse du paradis..*
*Quel bonheur et quelle délivrance peut s'égaliser avec cela ? "*

*Et nous aujourd'hui, nous avons besoin de votre regard vers nous, jetez un bref regard de votre rang et votre station à Illiyin, un regard affectueux pour cet amour sincère et du grand respect que nous vous portons dans notre cœur*.
*Nous sommes amis de vos amis et ennemis de vos ennemis et nos intentions sont de suivre votre chemin..*
*Paix et Bénédictions sur toi habibte*  *Labbayki Ya Zaynab*

Cette « première frappe militaire » de l’Amérique de Biden contre l’axe de la Résistance que les médias mainstream décrivent comme étant à la fois « défensive », « précise » et « calibrée pour pas qu’il n’y ait un embrasement avec l’Iran et ses alliés que Biden drague en ce moment avec des tas de vrai-faux carottes enfouies dans son sacoche », est une « cata » dans le vrai sens terme. Pourquoi ?

Diplomatiquement parlant, le raid qui a été lancé, en riposte, selon le couple Austin-Biden, aux frappes au missile visant la base US à Erbil suivies des tirs de roquettes contre la base de l’US Air force à Balad et puis celle de l’US Army dans la zone verte surnommée Ambassade US n’a été en rien plus sécurisant. « Depuis quand les USA répondent à des attaques qui visent leurs troupes là où sont implantées à la demande du gouvernement, dans un pays tiers où leur présence est illégale? », se demande le chroniquer de The Amrican Conservative dans un article qui ajoute.

Redoutant les missiles de haute précision du Hezbollah libanais, le régime sioniste a renforcé les mesures de sécurité dans la centrale nucléaire de Dimona, comme le montrent les images satellites fournies par Panel on Fissile Materials (Panel international sur les matières fissiles qui est un groupe d'experts nucléaires indépendants de 17 pays du monde).

Les changements effectués au sein de la centrale nucléaire de Dimona sont liés au développement de missiles par l'Iran et le mouvement libanais du Hezbollah, a indiqué la chaîne 12.

Le correspondant militaire de la chaîne 12 va, de son côté, jusqu’à préciser que les changements ont pour objectif de mettre la centrale à l'abri des missiles de haute précision.

« Il semble que, indique-t-il, l'enjeu soit lié au projet de stabilisation, selon lequel les installations existantes au sol seront déplacées vers le sous-sol où le risque d’endommagement est moins élevé en cas de frappes contre le réacteur », indique-t-il, bien que les experts avancent diverses raisons à cette décision des sionistes dont la cause exacte n’a pas encore été annoncée.

La frappe aérienne signée Biden qui a visé dans la nuit de jeudi à vendredi la ville d'Abou Kamal, faisant un mort dans les rangs de la Résistance irakienne alliée de l'armée syrienne, pourrait s’avérer particulièrement dangereuse pour les Américains puisque la Syrie « a le S-300 » et qu’elle « compte bien s'en servir ». En allusion aux frappes aériennes américaines contre l’Est de la Syrie, le chef du comité international du Conseil de la Fédération Konstantin Kosachev a déclaré vendredi aux journalistes que l'agression militaire américaine contre la Syrie conduirait à une escalade de tensions dans la région et à l'échec de la normalisation esquissée de l'interaction entre Washington et Téhéran dans le cadre de l'accord nucléaire.

« L'attaque américaine intervient alors que les détails d'une attaque à la roquette du 22 février contre la zone verte de Bagdad ne sont toujours pas définis. Ainsi, les États-Unis s'arrogent une fois de plus le droit de mener une enquête, de prononcer une sentence et de l'exécuter à l'amiable et sans respecter les normes et principes du droit international. Or, cette histoire devient étrangement dangereuse, lorsqu'elle intensifie la possibilité d'un affrontement militaire dans la région et perturbe la normalisation de l'interaction Iran-USA dans le cadre du PGAC (Plan global d’action commun) », a-t-il déploré.

Le contre-amiral Hossein Khanzadi, commandant de la marine iranienne, a déclaré que l'envoi de flottes navales dans les eaux internationales avait vaincu les conspirations des ennemis. 

Cité par Al-Alam, le contre-amiral Hossein Khanzadi, commandant de la marine de l'armée iranienne, a fait ces remarques lors d'une visite dans la province méridionale d'Hormozgan dans le golfe Persique pour assister à une réunion avec les officiers de la marine de l'armée iranienne tenue ce jeudi 25 février.

samedi, 27 février 2021 13:15

Objectifs cachés de l'OTAN en Irak

Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré jeudi 18 février que l’Alliance atlantique cherchait à multiplier par huit ses forces en Irak et souhaitait faire passer ses effectifs de 500 à 4 000 hommes.

Cette décision de l'OTAN s'est heurtée à la réaction des responsables et des personnalités d’Irak, dont beaucoup l'ont condamnée. De plus, alors que certains responsables du gouvernement irakien ont déclaré que la mission des forces de l'OTAN était une mission consultative et de formation, certains députés du Parlement irakien parlent du nouveau jeu de l'OTAN pour maintenir la présence américaine en Irak.

 

Le chef du Comité révolutionnaire suprême yéménite a appelé les États-Unis à retirer leurs officiers de Maarib, s'interrogeant également sur le silence assourdissant du Conseil de sécurité au cours de six années de conflits dévastateurs contre le Yémen.

« Que les Etats-Unis retirent leurs experts militaires de Maarib », a déclaré Mohammed Ali al-Houthi, chef du Comité révolutionnaire suprême yéménite.

« La province [Maarib] n’a jamais été calme et le Conseil de sécurité, autrefois silencieux, si s'est prononcé aujourd'hui, c'est plutôt par hostilité », a-t-il affirmé en allusion aux opérations de libération de Maarib, devant un rassemblement populaire ce vendredi 26 février à Sanaa en guise de protestation contre le blocus imposé au Yémen.

« Où était le Conseil de sécurité depuis le début de l’agression, qui appelle désormais à la fin du conflit ? », s'est-il interrogé.

L’agression américaine contre l’est de la Syrie n’a pas tardé à susciter la vive réaction de Pékin et de Moscou appelant tous deux au respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Syrie.​​​​​​​

Réagissant à l’attaque contre l'est de la Syrie, le ministère chinois des Affaires étrangères a appelé toutes les parties à respecter l'intégrité territoriale et la souveraineté de la Syrie.

L'armée américaine a bombardé des positions appartenant à des groupes de résistance dans l'est de la Syrie sur l’ordre directe de Joe Biden, président américain, selon le communiqué du Pentagone publié dans la matinée de ce vendredi 25 février.

 

Le Venezuela et l'Iran ont trouvé un moyen de s'entraider alors que les compagnies maritimes évitent de négocier avec les deux pays producteurs de pétrole de peur de se heurter aux sanctions américaines, a rapporté l’agence de presse russe Russia Today citant Reuters.

Le Venezuela expédie du carburéacteur (kérosène) vers l'Iran dans les mêmes pétroliers que ceux dans lesquels l'Iran livre de l'essence et des pièces de rechange pour les raffineries du Venezuela, a rapporté Reuters mercredi, citant des sources proches du dossier et des documents de la société pétrolière publique vénézuélienne PDVSA.

Le Venezuela, qui a un excès de kérosène dû aux vols ratés dans le pays au cours de l'année écoulée en raison du coronavirus, envoie du carburant d'aviation en Iran, après avoir reçu de l'essence de la République islamique, selon les sources de Reuters.