
تقي زاده
La Corée du Sud, examinera la levée des sanctions contre la Corée du Nord
Les autorités sud-coréennes sont en train d’examiner une levée de sanctions contre la Corée du Nord.
« La question de la levée des sanctions est en cours d’examen avec les autres autorités sud-coréennes et des efforts sont déployés pour engager un dialogue entre Washington et Pyongyang sur la dénucléarisation de la Corée du Nord », a annoncé ce lundi 10 septembre le ministre sud-coréen des Affaires étrangères, cité par l’Agence de presse Yonhap.

« Sur la base d’une coopération étroite avec les États-Unis, nous jouons un rôle actif dans la création d’un terrain d’entente entre la Corée du Nord et les États-Unis. »
Beaucoup pensent que le président sud-coréen Moon Jae-in a été le médiateur des pourparlers entre le dirigeant nord-coréen Kim Jon-Un et le président américain, Donald Trump.
L’année dernière, le dirigeant nord-coréen a rencontré le président sud-coréen à 3 reprises. Les deux parties ont discuté de diverses questions notamment le désarmement nucléaire. Ils ont examiné les moyens susceptibles d’atténuer les tensions sur la péninsule coréenne.
Kim et Trump se sont également rencontrés pour la première fois en juin dernier à Singapour. La deuxième réunion entre les États-Unis et la Corée du Nord aura lieu après les élections de mi-mandat aux États-Unis après le 6 novembre.

Le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, s’est rendu à Pyongyang dimanche dernier et a rencontré le dirigeant nord-coréen. Les deux parties ont convenu d’une nouvelle rencontre entre Kim et Trump.
Un navire américain qui a frappé la Syrie quitte l'est de la Méditerranée pour des exercices de l'OTAN
L’Amiral James G. Foggo, commandant des forces navales de l’OTAN, a annoncé mardi à Bruxelles, où siège l’OTAN : « Le porte-avions USS Harry S. Truman et son groupe aéronaval, participeront à Trident Juncture. »
Les USA accordent une licence à BP et Serica pour l'exploitation de champs gaziers iraniens
Comme l’Iran l’avait déjà promis, il a pu mettre en échec les tentatives américano-saoudiennes visant le secteur énergétique iranien. Ce mardi 9 octobre, l’administration Trump a reculé pour la première fois face aux sanctions prévues contre l’Iran, permettant à un champ gazier, en partie détenu par l’Iran en mer du Nord, de continuer à fonctionner.
Le champ Rhum au nord-est d’Aberdeen, qui fournit environ 5 % de la demande de gaz britannique, a maintenant reçu une nouvelle licence d’exploitation du Trésor américain, a annoncé mardi le producteur britannique Serica Energy.
La licence permettra à Serica de finaliser l’acquisition de la participation de BP dans les gisements de Rhum, Bruce et Keith, ainsi que celle des participations de Total dans Bruce et Keith, a annoncé Serica dans un communiqué.
En vertu de la licence qui est valide jusqu’au 31 octobre 2019, mais peut être renouvelée, les produits de l’Iran provenant du terrain seront détenus sur un compte séquestre tant que des sanctions seront en place.
En mai dernier, BP avait annoncé l’arrêt des travaux sur Rhum, alors que Serica souhaitait obtenir une annulation des nouvelles sanctions imposées par les États-Unis contre l’Iran.
« Sous réserve du respect des conditions, la licence permettra à certaines entités détenues ou contrôlées par les États-Unis de fournir des biens, des services et un soutien au champ Rhum », a déclaré Serica dans un communiqué mardi.
Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du Trésor américain a également assuré que les entités non américaines fournissant des biens, des services et une assistance impliquant Rhum ne seraient pas exposées à des sanctions secondaires des États-Unis.
« Ces actions OFAC permettront à la production du champ Rhum de ne pas être affectée par les sanctions US », a ajouté la société.
Les précédentes sanctions américaines entre 2012 et 2014 avaient forcé la fermeture du champ Rhum.
Iran: le Parlement adopte un projet de loi contre le financement du "terrorisme"
Le Gafi est un organisme intergouvernemental fondé en 1989 par le G7, visant à développer et promouvoir des politiques nationales et internationales de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du "terrorisme".
En juin, il avait donné trois mois à l'Iran pour adopter plusieurs lois nécessaires à son retrait de la liste noire des pays ou territoires non coopératifs.
"Ni le président ni moi ne pouvons garantir que tous les problèmes seront résolus si nous adhérons" à la Convention onusienne, a affirmé le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, au cours d'un débat précédent le vote.
"Mais je peux assurer que ne pas y adhérer donnera aux Etats-Unis plus d'excuses pour accroître nos problèmes", a-t-il ajouté.
Le projet de loi a pour objectif de permettre à l'Iran de s'aligner avec les normes internationales et d'adhérer à la Convention de l'ONU pour la répression du financement du terrorisme.
Indonésie: 5.000 personnes présumées disparues
Mais les secours craignent que des milliers d'autres dépouilles ne se trouvent dans deux quartiers de Palu particulièrement dévastés.
Attaque armée en Cisjordanie: deux des Israéliens blessés sont décédés
La zone industrielle se trouve à côté des colonies de Barkan et d'Ariel, dans le nord de la Cisjordanie, un territoire palestinien occupé illégalement par Israël depuis plus de 50 ans.
Assad : une victoire à Idlib ferait échouer le Deal du siècle
En réaction aux verbiages des parties occidentales avant le début de la bataille d’Idlib, le président syrien a affirmé que la libération de cette province déjouerait les plans des États-Unis et de l’Occident.
Le Comité central du parti Baath a tenu aujourd’hui une réunion présidée par le secrétaire régional du parti, le président Bachar al-Assad.
« La question du Deal du siècle est aussi ancienne que la cause palestinienne, mais elle s’est accélérée dernièrement en vue de bénéficier de la défection d’un certain nombre d’États du front anti-israélien », a-t-il fait savoir.
L’Inde défend farouchement son indépendance face aux États-Unis
De retour de Moscou où il a rencontré de hauts responsables militaires russes, le commandant des forces armées indiennes, le général Bipin Rawat, a déclaré que l’Inde poursuivrait sa politique indépendante.
L’Inde, qui a toujours été proche de la Russie, a clairement défié les États-Unis, en achetant vendredi à Moscou le système de défense antiaérienne S-400 à l’occasion de la visite en Inde du président russe Vladimir Poutine. Ce contrat va à la fois agacer et embarrasser les États-Unis. La transaction s’élève à 5,2 milliards de dollars, selon des responsables diplomatiques indiens joints par l’AFP.Dans ce droit fil, le général Bipin Rawat a déclaré que New Delhi poursuivrait sa politique indépendante et qu’il comptait acquérir des hélicoptères Kamov et d’autres équipements russes.
« Suite à l’achat de S-400 à la Russie, l’Inde encourt des sanctions américaines. Néanmoins, les Russes se réjouissent de la coopération avec l’armée indienne. Ils savent que notre armée est puissante et capable de défendre nos intérêts », a-t-il souligné.
Au sujet du développement de la coopération indo-américaine, il a dit avoir assuré les autorités russes qu’il a rencontrées à Moscou de l’autonomie de New Delhi.
L’Inde cherche aussi à accéder à la technologie aérospatiale russe.
Hmeimim : un radar volant de l’OTAN intercepté par la DCA syrienne
Un radar volant de l’OTAN a été intercepté par la DCA syrienne alors qu’il menait une mission de reconnaissance sur une base militaire russe en Syrie où sont désormais déployés des systèmes de défense antiaérienne S-300.
La DCA syrienne a intercepté l’avion de détection et de commandement de l’OTAN, Boeing E-3A Sentry, connu également sous le nom d’AWACS, qui de provenance d’Allemagne, a survolé pour une durée de 3 heures les eaux internationales de l’est de la Méditerranée à proximité du Liban afin de scanner la base militaire russe Hmeimim près de Lattaquié en Syrie, a rapporté Sputnik.
Depuis la livraison de systèmes russes de défense antiaérienne S-300 à l’armée syrienne, les avion-espions de l’US Air Force font régulièrement des tours à proximité des côtes syriennes où sont situées les bases militaires russes.
Ayant promis de renforcer les systèmes de guerre radio-électroniques en Syrie, Sergueï Choïgou, le ministre russe de la Défense avait fait état lors d’une réunion avec le président russe Vladimir Poutine et les membres du Conseil de sécurité de la fédération de Russie, du débarquement du dispositif de guerre électronique « Krassukha-4 » le 25 septembre en Syrie dans le cadre de la livraison des S-300.
Deir ez-Zor : les terroristes de Daech héliportés par la coalition US
Les médias syriens ont fait part, samedi soir, d’une opération héliportée de la coalition américaine lors de laquelle elle a sorti un nombre d’éléments supposément de Daech de la localité d’al-Shaafa, au sud-est de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie. Au nombre de ces éléments, il se pourrait qu'il y ait des officiers occidentaux.
En effet, ce sont les hélicoptères de la coalition américaine qui ont effectué l’opération de transfert des terroristes de Daech vers l’extérieur de Deir ez-Zor.
Les terroristes dont la plupart étaient blessés ont été transférés vers un endroit inconnu. La localité d’al-Shaafa est occupée par Daech, supplétifs takfiristes des forces US basées à Al-Tanf.
D’après des rapports officiels, les Américains ont, à maintes reprises, aidé les terroristes de Daech à quitter la région dans la mesure où Daech n'est qu'un nom d'emprunt pour dissimuler la vraie identité des parties impliquées dans la guerre contre l'Etat syrien et ses alliés.