
تقي زاده
lavage de cerveau, pour effectuer des attentats suicides chez des groupes takfiris
Au nom de Dieu, clément et miséricordieux
Comme vous le savez, les musulmans actuellement, sont dans une situation particulière, avec l’éveil islamique, la chute des dictatures en Tunisie, en Égypte, en Libye et au Yémen, et les complots du front de l’arrogance dirigé par les États-Unis et leurs alliés, pour développer l’islamophobie et des conflits ethniques et religieux, qui ont créé des situations difficiles et dangereuses.
Des gens ignorants et trompés, dans des attaques et des explosions terroristes dans les régions habitées, ont tué un grand nombre de musulmans, chiites et sunnites, détruit leurs habitations et pillé leurs biens, créant ainsi une crise très sérieuse.
Les chiites opprimés d’Irak, du Pakistan, du Liban, du Bahreïn, de Syrie, d’Afghanistan, d’Indonésie et d’autres pays, sont les plus visés et ces dernières semaines, des centaines d’entre eux, sont tombés en martyrs ou ont été blessés, lors d’attaques terroristes, ont vu leur maison détruite ou ont été forcés à l’exil.
Les raisons des groupes takfiris dont certains membres ont subi un lavage de cerveau, pour effectuer ces attentats suicides, sont les mensonges portés contre les chiites, accusés d’insulter les compagnons et les valeurs des musulmans sunnites, accusations qui rendent à leurs yeux, licite et nécessaire le meurtre des chiites. Malheureusement selon cette logique, jusqu’à présent, des milliers de chiites ont été tués dans différentes régions du monde, et cette pratique, contraire aux enseignements évidents de l’islam, se poursuit.
Ceci alors que la Révolution islamique, dirigée par l’imam Khomeiny, a toujours défendu l’union de l’ummah islamique, et que les grandes Références religieuses jusqu’à présent, ont fait des pas importants et sérieux dans ce domaine.
C’est la raison pour laquelle nous avons demandé l’avis de ces religieux sur les personnes qui insultent les valeurs des musulmans, à savoir les épouses et les compagnons du prophète (as), qui sèment la division dans les rangs des adeptes du prophète de l’islam (as), et effectuent ces attaques suicides et destructrices, un avis qui pourra servir à la défense des musulmans spécialement des chiites, et mettre un terme à
ces tueries et à ces violences.
Je demande à Dieu, qu’Il vous accorde la santé, une longue vie et des réussites successives
Le représentant du Vali-e-Faghi aux affaires du Hadj et responsable des pèlerins iraniens
"Tout blocus maritime US est une déclaration de guerre à la Russie"
Selon un sénateur russe, tout blocus maritime instauré par les États-Unis à l’encontre de la Russie pourrait être considéré comme une déclaration de guerre.
Ryan Zinke, secrétaire à l’Intérieur des États-Unis, a prétendu vendredi dernier que les États-Unis étaient en mesure d’imposer un blocus maritime et d’empêcher ainsi l’entrée de la Russie sur le marché de l’énergie.
Les responsables russes n’ont pas tardé à fournir une réponse aux allégations de Ryan Zinke.
Le sénateur russe, Alekseï Pouchkov, a estimé ce dimanche que tout blocus maritime instauré par les États-Unis serait considéré comme une déclaration de guerre.
Vers une capitulation israélienne au Golan ?
Israël serait-il en passe de lâcher du lest ? La Russie a entamé la livraison de S-300 à la Syrie, amenant Israël à réfléchir à un véritable compromis, notamment sur le Golan.
La livraison de S-300 russes à l’armée syrienne est une nouvelle des moins désopilantes pour Israël. Elle signifie, en premier lieu, la fin de sa suprématie militaire au Moyen-Orient, et deuxièmement, l’ébauche de véritables négociations pour arriver à un compromis, notamment sur la situation du Golan, peut-on lire dans la récente édition du journal panarabe Al-Quds al-Arabi.
L’histoire a montré que dans une guerre, la victoire appartient à la partie qui est avantagée par sa puissance militaire, faisant donc de l’armement un marqueur indétrônable du pouvoir d’un pays. Il forme aussi un bouclier en temps de paix.
Les États-Unis et les pays européens ont fourni les armes les plus avancées à Israël avant que ce dernier ne devienne une grande puissance régionale. Le gouvernement israélien posséderait aussi entre 60 et 80 ogives nucléaires, bien qu’officiellement, il maintienne une « position ambiguë », ne confirmant ni ne niant la possession d’armes nucléaires.
Par ailleurs, l’échec des pays arabes résultait de l’impossibilité d’acquérir des armes sophistiquées à l’époque de l’ex-Union soviétique.
La Russie a armé la Syrie de ses systèmes de défense antiaérienne S-300 pour deux raisons : premièrement, le monde est entraîné vers une nouvelle guerre froide. La Russie ne possède pas autant de bases militaires à l’étranger que les États-Unis. Les plus importantes sont celles de Tartous et de Hmeimim en Syrie. Deuxièmement, selon les dires du chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, Moscou n’approuve guère le plan de paix américain, le « Deal du siècle », destiné à résoudre le conflit israélo-palestinien. Or, la livraison de systèmes de défense avancés à la Syrie permettrait de contrer les desseins stratégiques de Washington au Proche-Orient.
Ces raisons énoncées sont celles-là mêmes qui déconcertent les régimes israélien et américain et qui ont suscité l’établissement de nouvelles sanctions contre la Russie.
Après la guerre de 2006, le Hezbollah, fort d’une panoplie incroyable de missiles, a réussi à renverser l’équilibre des pouvoirs. Depuis, Israël réfléchit à deux fois avant d’entreprendre toute autre offensive contre le Liban.
Le Hezbollah a acquis une puissance militaire telle qu’il est capable de viser la totalité des territoires occupés par Israël avec ses missiles. Son arsenal en 2018 n’est plus comparable à celui de 2006.
« Les S-300 russes ramèneront la paix en Syrie, affirme Al-Quds al-Arabi. Si Israël envisage de frapper le pays, Moscou fournira sans hésitation des S-400 à Damas. »
L’Union européenne se rapproche de l’Iran au détriment des USA
Selon un célèbre analyste des questions internationales, l’Iran agit de sorte que l’Union européenne se positionne à l’encontre des États-Unis.
Pepe Escobar, journaliste et analyste brésilien, a écrit un article pour le site web Asia Times afin d’examiner une alliance qui semble se former en Eurasie contre le dollar américain.
« La semaine dernière aux Nations unies, Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l’Union européenne, et Mohammad Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères, ont annoncé un Fonds commun de créances (FCC), chargé d’aider l’Iran à contrer les sanctions que lui a imposées l’administration Trump après son retrait unilatéral de l’accord nucléaire iranien.
À ce propos, Mme Mogherini a déclaré : “Cela signifie que les États membres de l’Union européenne créeront une entité juridique pour faciliter les transactions financières légitimes avec l’Iran, ce qui permettra aux entreprises européennes de continuer à faire du commerce avec l’Iran.”
Le FCC, qui, selon Mme Mogherini, “vise à maintenir le commerce avec Téhéran pendant que les sanctions américaines sont en place”, pourrait entrer en vigueur avant le début de la deuxième phase des sanctions américaines début novembre.
Cette initiative unique signifie que Bruxelles tente de se positionner comme un acteur géopolitique de premier plan, défiant ouvertement les États-Unis et leur campagne de diabolisation, lancée par la Maison-Blanche, la CIA et le département d’État américain.
C’est vrai que cela a pris quelques mois, mais l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni ont finalement appris ce que Moscou et Pékin savaient déjà : tout commerce qu’on fait avec l’Iran est dans l’intérêt de tous les acteurs et il faut contourner le dollar américain.
Nous vivons maintenant une situation où la troïka européenne (Allemagne, France et Royaume-Uni) mettra en place un mécanisme financier multinational pour aider les entreprises européennes à faire du commerce en euros avec l’Iran, un processus qui sera donc hors de portée des autorités financières américaines.
En parallèle, la Russie et la Chine vont faire du commerce avec l’Iran en roubles et en yuans.
Les acteurs du marché de l’énergie ont appris que les membres des BRICS, Moscou et Pékin, continueraient leurs transactions pétrolières et gazières avec Téhéran. L’Inde, elle aussi membre des BRICS, s’est cependant rétractée sous la pression américaine.
Les diplomates européens ont confié à Asia Times qu’une atmosphère d’exaspération absolue à l’égard de l’administration Trump régnait à Bruxelles.
Un diplomate résume cette atmosphère en quelques phrases : “Nous n’allons plus être victimes d’intimidation extraterritoriale. L’accord nucléaire était le premier succès de la politique étrangère de l’Union européenne. Nous avons travaillé très dur pour parvenir à ce succès et nous sommes déterminés à ce qu’aucune circonstance ne vienne influencer l’accord.”
Le correspondant d’Euronews à Torquzabad pour vérifier les propos de Netanyahu
Le correspondant de la chaîne de télévision Euronews s’est rendu à Torquzabad, dans la banlieue de la capitale iranienne, pour vérifier les allégations qu’a prononcées, le jeudi 27 septembre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies.
À Torquzabad, le correspondant d’Euronews a visité le bâtiment que Netanyahu avait montré sur une image et interviewé des habitants du quartier.
Aucune protection ni caméra de surveillance, le lieu n’était qu’un simple bâtiment dont le gardien en avait assez des visites d’habitants du quartier après les propos du Premier ministre israélien. Quant aux habitants, ils restent bouche bée tout en croyant que Netanyahu voulait détourner l’attention de l’opinion publique.
Nous sommes allés sur place à Torquzabad, un quartier de Téhéran, en Iran. L'entrepôt serait une entreprise de lavage de tapis, comme il en existe beaucoup dans la zone.
Le jeudi 27 septembre, Benjamin Netanyahu a montré des cartes à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies en prétendant que l’Iran abriterait un « site de stockage atomique secret » à Téhéran.
La chancelière allemande met en garde le président américain contre sa tentative de détruite les Nations unies
Ce dimanche 30 septembre, la chancelière allemande Angela Merkel a mis en garde le président américain Donald Trump contre sa tentation de « détruire » le multilatéralisme, et notamment les Nations unies, a rapporté RTL.
« Les Nations unies ont été fondées sur les décombres de la Seconde Guerre mondiale, et évidemment, c’est loin d’être parfait », a déclaré Mme Merkel lors d’un meeting de campagne pour les élections législatives régionales en Bavière, selon la même source.
« Mais détruire quelque chose sans avoir développé autre chose de nouveau est extrêmement dangereux et peut détruire l’ordre actuel qui garantit la paix, plus vite que nous ne le pensons », a-t-elle averti.
La chancelière a martelé que le multilatéralisme était la voie à suivre. Or, a-t-elle souligné, « l’actuel président américain dit que le multilatéralisme n’est pas la réponse aux problèmes, et croit qu’il n’y a que des situations avec un seul gagnant, contrairement à moi ».
« Cela remet en question les systèmes multilatéraux [...], la capacité des Nations unies à fonctionner », a-t-elle estimé, a déclaré Radio Algérie.
Devant l’Assemblée générale de l’ONU, Donald Trump a fait mardi l’éloge de la « souveraineté » et dénoncé « l’idéologie du mondialisme », a jouté cette source.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré mardi que l’ordre mondial est « de plus en plus chaotique », constatant que la confiance dans la gouvernance mondiale est « fragilisée ».

« Aujourd’hui, l’ordre mondial est de plus en plus chaotique. Les rapports de pouvoir sont moins clairs qu’auparavant. Les valeurs universelles sont érodées », a déclaré le chef de l’ONU à l’ouverture du débat général annuel de l’Assemblée générale de l’ONU.
L'Iran trie des missiles sur un camp terroriste en Syrie
"Selon les premières informations, de nombreux terroristes takfiri et les chefs responsables du crime terroriste d'Ahvaz ont été tués ou blessés dans cette attaque aux missiles", ajoutent les Gardiens. Ils ne précisent pas à partir d'où les fusées ont été lancées.
Le terme "takfiri" est utilisé par les autorités iraniennes pour désigner les terroristes extrémistes. Il dérive du mot arabe "takfir" (anathème), accusation utilisée par ces extrémistes comme justification de la violence contre ceux qu'ils estiment être des impies.
Selon l'agence de presse iranienne Fars, deux types de missiles ont été utilisés par les Gardiens: des Zolfaghar (d'une portée de 750 km) et des Qiam (800 km).
Le 21 septembre, 24 personnes ont été abattues par un commando de cinq personnes ayant ouvert le feu à l'arme automatique sur un défilé militaire à Ahvaz dans le sud-ouest de l'Iran.
L'attentat a été revendiqué par le groupe Daech (État islamique, contre lequel l'Iran est engagé en Syrie au côté de Damas.
Le jour même de l'attaque, le président iranien Hassan Rohani avait promis qu'elle serait vengée par une réponse "terrible".
La méthode la plus sanglante d’Israël pour faire face à la Marche du grand retour
« Le type de blessures que présentent les morts et les blessés palestiniens ayant participé au 27e vendredi de la Marche du grand retour puis ayant été transférés dans les hôpitaux et centres médicaux, témoigne du fait que les militaires occupants israéliens ont eu recours à la plus sanglante et la plus brutale méthode après celle employée lors du crime du 14 mai, pour faire face aux protestataires palestiniens », a-t-il indiqué.
Lors du 27e rassemblement des Palestiniens dans le cadre de la Marche du grand retour, appelée également « Intifada d’al-Aqsa », au moins sept Palestiniens ont été tués par les balles tirées par l’armée israélienne et plus de 500 autres blessés.
La vaste manifestation d’hier a eu lieu à l’appel du comité national chargé d’organiser la Marche du grand retour. Après avoir participé à la prière collective, des milliers de Palestiniens ont marché vers l’est de Khan Younes, au sud de Gaza.
Les snipers israéliens ont ouvert le feu sur un manifestant palestinien désarmé à l’est de Gaza. Il a reçu une balle dans la tête et a succombé sur le coup.
La Marche du grand retour est organisée chaque vendredi depuis le 30 mars dans l’est de la bande de Gaza.
Indonésie: des dizaines de morts après un fort séisme
Il y a "48 morts, 356 blessés" à Palu, ville de quelque 350.000 habitants frappée par une vague de 1,5 mètre vendredi, a indiqué Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l'agence de gestion des catastrophes au cours d'une conférence de presse.
Mais ce bilan pourrait rapidement s'alourdir, a-t-il prévenu: "A Palu (…) il y a des bâtiments, des maisons, qui ont été détruites. (...) des hôtels, des hôpitaux".
Vive réaction israélienne : Ahed Tamimi a été reçue par Real Madrid
Le Real Madrid a suscité les critiques de responsables israéliens samedi en accueillant dans son stade, selon la presse, l'adolescente Ahed Tamimi, devenue une icône de la résistance palestinienne à l'occupation israélienne après avoir passé huit mois en prison pour avoir giflé deux soldats.
Selon le quotidien espagnol spotif Marca, photo à l'appui, la jeune femme, âgée de 17 ans, en visite en Espagne cette semaine avec sa famille pour participer à différents événements sociaux et politiques, s'est vu offrir un maillot du Real et a posé sur des photos avec Emilio Butragueno, le directeur des relations institutionnelles du Real Madrid.
Le club merengue n'a, en revanche, pas communiqué sur cette invitation sur ses réseaux sociaux ni sur son site internet. Contacté par l'AFP, le Real n'a fait aucun commentaire, se référant à son site internet pour toute information officielle.
"Ahed Tamimi ne combat pas pour la paix, elle défend la violence et la terreur. Les institutions qui l'ont reçue et célébrée encouragent indirectement l'agression et non le dialogue et l'entente dont nous avons besoin. Je ne vais pas au Bernabeu aujourd'hui" (samedi), a dénoncé Daniel Kutner, l'ambassadeur d'Israël en Espagne, sur Twitter.Emmanuel Nachshon, le porte parole du ministre israélien des Affaires étrangères, a lui qualifié de "honteux" l'accueil qu'a réservé le Real Madrid à Ahed Tamimi, qu'il considère comme "une terroriste incitant à la haine et la violence".
Ahed Tamimi avait attiré l'attention internationale avec la diffusion en décembre 2017 d'une vidéo la montrant frappant près de sa maison, en Cisjordanie, des soldats israéliens impassibles. Arrêtée puis condamnée à huit mois de prison par un tribunal militaire israélien, la jeune femme avait ensuite vu sa demande de libération anticipée rejetée en juin, avant d'être libérée fin juillet.
L'affaire a trouvé un large écho chez les Palestiniens comme les Israéliens. Les premiers louent en elle un exemple de courage face aux abus israéliens dans les territoires palestiniens occupés par l'Etat hébreu. Israël, qui occupe la Cisjordanie et Jérusalem-Est depuis plus de 50 ans, accuse de son côté la famille de l'adolescente, connue pour son militantisme, de manipuler la jeune femme.
Les organisations de défense des droits de l'Homme ont critiqué Israël pour la sévérité de la peine infligée à la jeune fille au regard des faits.