
تقي زاده
Le troisième suspect de l'aéroport de Bruxelles identifié
Un troisième homme apparaissant sur des images de vidéosurveillance avec les deux kamikazes auteurs de l'attaque à l'aéroport de Bruxelles-Zaventem a été identifié comme étant Fayçal Cheffou par la presse belge samedi.Vendredi, le parquet fédéral de Belgique avait indiqué dans un communiqué qu'un individu identifié comme "Fayçal C" était l'un des trois suspects détenus par la police près des bureaux du procureur.
Samedi, le parquet fédéral a inculpé "Fayçal C" de participation à un groupe terroriste ainsi que de meurtres terroristes et de tentative de meurtres terroristes. Un autre homme, Aboubakar A., a lui aussi été inculpé de participation aux activités d'un groupe terroriste.
Le parquet n'a jusqu'à présent pas précisé si "Fayçal C" était bel et bien le troisième homme portant un chapeau qui apparait sur les images de vidéosurveillance de l'aéroport en compagnie des deux auteurs présumés de l'attentat.
Le quotidien Le Soir rapporte que Fayçal C a été identifié par un chauffeur de taxi qui a conduit les trois hommes à l'aéroport. Le journal, citant des sources policières, avait auparavant annoncé qu'il était fortement probable que le troisième homme soit Fayçal Cheffou.
Un autre média belge fait état de la même information et précise que Cheffou travaillait comme journaliste pigiste.
Neuf personnes ont été arrêtées depuis jeudi en Belgique et deux autres en Allemagne après les attentats qui ont fait 31 morts à l'aéroport de Zaventem et à la station de métro Maelbeek dans le centre de Bruxelles.
Exposition des traductions du Saint Coran à Moscou
L’ayatollah Khamenei : L’Economie de résistance pourrait aider à combattre le chômage
Dans un message à l'adresse de la nation, le Guide Suprême de la Révolution islamique a présenté ses vœux de Nouvel An. L’ayatollah Seyyed Ali Khamenei a mis l’accent sur la mise en œuvre de l’Economie de résistance
L’ayatollah Seyyed Ali Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, dans un message à l’occasion du Nouvel An 1395 sur le calendrier de l’hégire solaire, a présenté ses vœux du Nouvel An et de la fête de Norouz à tous les Iraniens, en particulier les familles respectées des martyrs et mutilés de la guerre. Tout en honorant la mémoire des martyrs et du fondateur de la République islamique, feu imam Khomeiny, que sa demeure soit au paradis, l’ayatollah Khamenei a nommé le Nouvel An l’année de « l’Économie de résistance ; l’initiative et l’action ».
L’ayatollah Khamenei a fait remarquer que l’anniversaire de Fatima Zahra (SA), la fille du prophète Mohammad, que le salut de Dieu soit sur lui et sa descendance, sera marqué deux fois en cette nouvelle année, une fois au début et une fois vers la fin de l’année. Le Guide suprême de la Révolution islamique a émis l’espoir que le Nouvel An soit une année bénie pour la nation iranienne pour que chacun, tout en bénéficiant des vertus de Notre Dame, tirera une leçon de ses guidances et sa vie.
Dans son évaluation de l’année qui vient de s’achever, le Guide suprême de la Révolution islamique a noté que l’année 1394, comme cela fut le cas pour les années précédentes, était une année pleine de « mémoires douces et amères », « de hauts et de bas » ainsi que des « opportunités et des menaces ».
« À commencer par ‘l’incident tragique de Mina’ (la bousculade de La Mecque en septembre dernier), le doux mémoire du rassemblement du 22 Bahman (le 11 février, jour anniversaire de la victoire de la Révolution islamique) et de l’élection du 7 Esfand (le 26 février), et l’expérience du Plan d’action conjoint et les espoirs qu’il a suscités et les inquiétudes associées qui existent : Ce furent tous parmi des événements de l’année 1394. »
En faisant référence aux espoirs, opportunités et aux menaces qui se dressent au cours du Nouvel An, l’ayatollah Khamenei a dit : « L’œuvre consiste à bénéficier de ces opportunités au sens propre du mot et transformer les menaces aux opportunités pour qu’à la fin de l’année, on pourrait sentir les différences dans le pays. Or, pour que nous souhaits se réalisent, il faut des efforts, du travail 24h sur 24 et des démarches incessantes. »
L’ayatollah Khamenei a aussi expliqué les principaux points dans la tendance générale de la nation iranienne, en disant : « La nation iranienne se doit de prendre l’initiative de ne plus être vulnérable aux menaces posées par les ennemis et réduire au néant sa vulnérabilité vis-à-vis de l’ennemi. »
Le Guide suprême de la Révolution islamique a mis l’accent sur la priorité et l’urgence de l’économique dans la tendance générale de la nation, en disant : « Si la nation, le gouvernement et tous les responsables prennent des mesures appropriées, pertinentes et fermes, on pourrait espérer que d’autres secteurs comme ‘les questions et les vices sociales’ et ‘les questions culturelles et éthiques’ seraient influencées aussi. »
L’ayatollah Khamenei a souligné la « production nationale », « la création d’emplois et l’élimination du chômage », « le dynamisme et la prospérité économique » comme étant des questions principales économiques, tout en disant : « Ce sont les questions auxquelles le peuple est confronté et dont le peuple exige le règlement. A ce propos, les chiffres officiels et les paroles des autorités indiquent aussi que ces exigences du peuple sont pertinentes et explicables. »
Le Guide suprême de la Révolution islamique a proposé « l’Economie de résistance » comme le remède aux problèmes économiques et la réponse aux besoins du peuple. « Muni de l’Économie de la résistance, on peut combattre le chômage et la stagnation, juguler l’inflation, résister aux menaces des ennemis et créer d’innombrables opportunités pour le pays et les appliquer. »
L’ayatollah Khamenei a cité les efforts sur la base de l’Économie de résistance comme condition préalable au succès dans lesdits domaines, en ajoutant : « Les bilans fournis par le gouvernement montrent qu’un bon travail a déjà été accompli, mais cela n’a été qu’une démarche préparatoire qui se limite aux circulaires et directives adressés aux divers organes. »
Le Guide suprême de la Révolution islamique a noté que les responsables iraniens sont tenus d’entreprendre des « démarches pratiques » à propos de l’Économie de résistance. « Il faut que les plans et initiatives liés à l’Économie de résistance se poursuivent et que le résultat final soit montré au peuple sur le terrain. »
L’ayatollah Khamenei a décrit « l’Économie de résistance ; l’initiative et l’action » comme un sentier direct et illuminé qui mène à la couverture des besoins du pays. Tout en remerciant tous les contributeurs de ce domaine, le Guide suprême de la Révolution islamique a renchéri : « Bien sûr, on ne s’attend pas à ce que les initiatives et les actions règlent tous les problèmes en une seule année, mais si les initiatives et les actions s’accompagnent de préparation appropriée, les résultants et les effets seront définitivement tangibles à la fin de l’année. »
Les racines du sens de la religion
L’homme s’est familiarisé avec la religion depuis un temps si lointain qu’il couvre toute l’histoire enregistrée de la vie humaine et remonte aux profondeurs des époques préhistoriques.
Le Saint Coran a décrit la religion comme la nature innée de l’homme et l’ordre établi d’Allah. En effet, il dit à ce propos: « … La Religion est en harmonie avec la nature qu’Allah a donnée à l’homme en le créant ». (Sourate Al-Roum; 30:30)
Les recherches menées par les sociologues et les historiens montrent que les lieux de culte, qu’ils soient sous une forme simple ou élaborée et complexe avaient toujours une influence sur la vie humaine, et que la religion sous ses formes diverses s’est toujours imbriquée dans l’histoire de l’homme.
Will Durant, après avoir discuté d’une façon détaillée de l’athéisme de certaines gens, écrit, que malgré tout ce qui a été dit à ce propos, il y a des cas exceptionnels où l’ancienne idée selon laquelle la religion est un phénomène qui s’étend généralement à tous les êtres humains, est vraie. La question de la religion est du point de vue du philosophe, l’une des questions fondamentales de l’histoire et de la psychologie.
Il ajoute que depuis les époques immémoriales la religion allait toujours de pair avec l’histoire de l’humanité. L’idée de la piété ne peut jamais quitter le coeur humain (« Histoire de la Civilisation », vol. I, pp. 88-89).
Du point de vue psychologique cette relation historique entre l’homme et la religion prouve que le « sentiment religieux » est l’un des instincts humains fondamentaux et l’un des éléments naturels de l’âme humaine.
Il est clair que parfois, lorsque le niveau de la pensée humaine était bas et que les sciences n’avaient pas encore réalisé un progrès remarquable, ce sentiment intime était incroyablement mélangé avec des superstitions; mais que graduellement, avec le progrès des sciences d’une part, les efforts persistants et le s enseignements des Prophètes de l’autre, il s’est purifié des adultérations, et a recouvré par conséquent sa pureté et son originalité.
Les vagues anti-religieuses pendant les siècles passés
Dans ces circonstances, il paraît surprenant que pendant les siècles passés, notamment depuis le XVIème siècle, une vague anti-religieuse violente ait englouti les pays occidentaux, et que beaucoup de libre-penseurs européens se soient séparés de l’Eglise. Ceux qui voulaient rester loyaux envers la religion se sont tournés vers certaines religions orientales ou plutôt vers une sorte de gnosticisme, alors qu’un grand nombre de gens ont été attirés par le matérialisme et tout ce qui est de ce genre.
Mais lorsqu’on examine de plus près les racines de ce sujet, on remarque que dans les circonstances spécifiques qui prévalaient en Europe à cette époque, ce phénomène n’avait rien d’inattendu.
Pour l’expliquer, on doit considérer les facteurs ayant conduit aux mouvements anti-religieux et à la tendance au matérialisme en Europe, dans le contexte de la politique suivie par l’Eglise à l’égard de la Renaissance et du progrès réalisé dans les divers domaines de la science naturelle.
En effet, au Moyen Age et notamment durant la période allant du XIIIème au XVème siècles l’Eglise a entrepris une campagne contre la science et s’est efforcée d’écraser les mouvements scientifiques à travers l’Inquisition. A la suite du décret papal condamnant la science, des gens comme Galilée furent persécutés et forcés à renier la théorie du mouvement de la terre. Cette campagne a continué jusqu’à la dernière partie du XVIIème siècle. Il est évident que cela a provoqué la réaction des scientifiques contre l’Eglise, lesquels scientifiques oeuvraient avec détermination en vue de l’avancement de la science.
Une erreur d’analogie et une comparaison indue entre la position spécifique de l’Eglise au Moyen-Âge et l’attitude des autres religions a conduit certains scientifiques à entreprendre une campagne en règle contre toutes les religions et à les rejeter toutes. Ils sont allés jusqu’à inventer une doctrine dénommée « discorde entre la religion et la science ».
Mais une étude du mouvement scientifique en Islam, commencé dès le premier siècle de l’hégire et portant ses fruits au IIème et IIIème siècles de cette ère, montre que dans la Société musulmane le cas était tout à fait différent. Ce mouvement avait vite donné naissance à des scientifiques tels que al-Hassan Ibn Haytham, le célèbre physicien musulman, Jâbir Ibn Hayyân que les Européens appellent « le Père de la Chimie », et d’autres hommes semblables. Leurs écrits ont laissé une grande influence sur des scientifiques tels que Roger Bacon, Johannes, Kepler et Leonardo Da Vinci. Il est intéressant de noter que tout le progrès scientifique réalisé dans la Société islamique a eu lieu à une époque que les Occidentaux appellent le Moyen-Age, et qui coïncide avec l’opposition violente de l’Eglise à la Renaissance et aux pionniers du mouvement scientifique naissant.
Des historiens éminents de l’Est et de l’Ouest, ayant étudié la culture islamique sont unanimement d’avis que les travaux des scientifiques musulmans ont donné naissance à un mouvement scientifique largement répandu et dont l’influence sur la Renaissance et le mouvement scientifique de l’Europe à été remarquable.
Ainsi, les facteurs qui ont conduit les intellectuels de l’Occident à s’éloigner de la religion, n’existaient pas dans la Société musulmane. Au contraire, l’Islam a créé une atmosphère meilleure et plus favorable à l’avancement de l’enseignement et à la promotion de la science.
Bref, l’Islam avait stimulé les mouvements scientifiques dans le monde et pour cette même raison, il était devenu la principale fontaine du vaste développement de la science et de la connaissance.
Cependant, il est indéniable que des disputes et des dissensions dans une partie de la Société musulmane se sont développées intensivement depuis le Vème siècle de l’hégire, et que la myopie de cette partie de la société, son insouciance des vrais enseignements de l’Islam, son apathie pour le progrès, son indifférence à l’esprit du temps se sont reflétées sur l’arrière -plan de plusieurs pays musulmans.
Un autre facteur a compliqué le problème. L’Islam n’était pas présenté correctement aux générations suivantes. Ainsi, le rôle constructif de l’Islam a décliné progressivement dans différents domaines. A présent, beaucoup de jeunes gens croient que l’Islam a toujours été dans cet état lamentable.
Cependant, l’Islam a un avenir prometteur. En ravivant les idéaux de l’Islam et en le projetant sous une forme adéquate, notamment à l’intention des esprits influençables de la jeune génération, on peut espérer ardemment que l’Islam reprendra rapidement son caractère originel et son appel universel.
La religion et les écoles philosophiques de la pensée
Aucune religion n’approuve le matérialisme, qu’il soit sous sa forme simple ou sous forme de matérialisme dialectique qui est la base même du marxisme et du communisme, car le matérialisme professe que l’univers est une série d’événements non prémédités et sans but.
En critiquant le matérialisme, la Religion se fonde sur un nombre de principes tout à fait logiques, car:
1. L’interprétation de l’ordre de l’univers, avancée par l’école matérialiste est non scientifique, car la science se fonde dans ses recherches sur des systèmes bien calculés et précis qui ne sauraient être interprétés par des événements fortuits et accidentels.
La science reconnaît que le Créateur de cet univers est le plus grand physicien et chimiste, le médecin le plus expérimenté, le meilleur anthropologiste et cosmologiste, car en accomplissant son travail, il a utilisé toutes les lois scientifiques. Naturellement, il n’aurait pas pu faire ce qu’il a fait sans avoir une connaissance complète de ces lois. Il va sans dire que des facteurs naturels et des développements naturels ne peuvent guère avoir une telle connaissance.
2. Le matérialisme a accepté la doctrine de la compulsion comme l’une de ses bases principales. Il soutient que toute action humaine et tout mouvement humain est le résultat d’une succession de causes obligatoires. Sur cette base, selon le point de vue matérialiste, tous les efforts de l’homme sont comme les mouvements des roues d’une machine. Il est évident que l’acceptation de cette vue va à l’encontre de l’idée de toute responsabilité sociale, morale ou humaine.
D’une façon contrastante, la religion accepte le principe de l’obligation et de la responsabilité, et fonde donc ses enseignements sur la liberté de la volonté humaine.
Il est indéniable que l’acceptation du principe de la compulsion porte un coup au dynamisme, au sens du devoir et de la responsabilité, et contribue aux crimes et aux agressions, puisque les délinquants peuvent se déclarer non responsables de leurs crimes, et prétexter que ce qui les a conduits à commettre ces crimes ce sont un tas de facteurs, tels que l’éducation, l’environnement, la situation sociale, etc. Mais de tels effets nuisibles ne sont pas possibles si le principe de libre volonté est admis.
3. Avec l’idée de « la matière gagne du terrain », les matérialistes ont pratiquement évincé toutes les valeurs sublimes et morales. Les effets de ce mode de penser sont très pernicieux, car sans des vertus telles que la philanthropie, la tolérance, le sacrifice, la sincérité et l’amour, l’homme serait n’importe quoi, sauf un être humain, et aucun problème ne serait résolu à l’échelle mondiale, car la croyance à la domination exclusive de la matière n’est évidemment pas compatible avec les principes de vertus.
La religion et la liberté individuelle
Certaines gens pensent que la religion restreint la liberté individuelle et empêche la satisfaction de certains désirs, alors qu’en réalité, le but des enseignements religieux n’est nullement de réprimer la liberté logique, mais plutôt de diriger les efforts de l’homme vers des voies plus constructives et plus fructueuses, afin qu’il réalise la paix et le contentement intérieurs dans la vie d’ici-bas et qu’il s’assure une récompense dans l’autre monde.
Par exemple, si la religion interdit l’usage des stupéfiants, des jeux de hasard et la permissivité illégale dans la vie sexuelle, elle l’a fait pour le bien du corps et de l’âme de l’individu et aussi pour le maintien d’un ordre social harmonieux.
Ce tabou moral est en parfait accord avec le vrai esprit de liberté, car la liberté signifie que l’homme doit être capable de tirer pleinement avantage des biens de son existence, lesquels constituent l’une des innombrables bénédictions de la Providence. En contrepartie de quoi, il doit rendre des services louables en concourant à l’établissement d’un monde meilleur et plus stable.
La religion encourage toute liberté qui aide l’homme à améliorer les moyens de vie légaux, et c’est cela seulement la liberté au vrai sens du terme. Tout le reste n’est que pseudo-liberté, car ne servant ni les individus ni la société.
C’est pourquoi la religion permet à l’homme d’utiliser toutes les bonnes choses de la vie, à porter n’importe quel vêtement raisonnable, à savourer toute nourriture pure et tout passe-temps sain. En un mot, elle a autorisé l’usage de tous les conforts et convenances de la vie, et demande qu’on n’abandonne aucune chose de ce genre.
Le Saint Coran dit: « Dis: « Qui donc a déclaré illicites la parure qu’Allah a produite pour Ses serviteurs, et les nourritures pures qu’il leur a accordées. » (Sourate al-A`râf; 7:32)
En outre, notre religion nous demande de satisfaire la plupart des besoins et des exigences de l’époque. L’Islam nous recommande d’une façon on ne peut plus éloquente d’acquérir le savoir et d’avoir une connaissance toujours renouvelée dans tous les domaines.
L’un des dirigeants de l’Islam, l’Imam al-Çâdiq a dit: « Celui qui connaît son époque et ses exigences, ne sera pas pris de court par les malheurs de la vie. » « Uçûl al-Kâfî », d’al-Kulayni, chap.I, Hadith No 29.
Notre religion nous apprend qu’en dehors des idées nouvelles, des coutumes et des usages, nous devrions choisir ce qui est utile et valable et écarter ce qui est inconvenant et incorrect. Nous ne devons ni suivre les autres aveuglément, ni adopter ce qui n’est pas compatible avec la dignité humaine et avec l’esprit rationnel. Le Saint Coran dit: « Annonce la bonne nouvelle à mes serviteurs qui écoutent la Parole et qui obéissent à ce qu’elle contient de meilleur. Voila ceux qu’Allah dirige! Voilà ceux qui sont doués de bons sens. » (Sourate al-Zumar; 39: 17-18)
Extrait de : » La rationalité de l’Islam »
Les musulmans d’Europe face à l’islamophobie et à l’extrémisme
Egypte: le ministre de la Justice obligé de présenter sa démission
Vendredi soir, Ahmed el-Zind avait répondu à un présentateur de télévision qui lui demandait s'il serait prêt à faire emprisonner sept journalistes l'ayant diffamé: Même s'il s'agissait d'un prophète, la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui, une révérence qui ne se réfère qu'au noble prophète de l'islam.
La remarque du ministre, qui avait déjà défrayé la chronique dans le passé en appelant au meurtre de milliers d'opposants, a déclenché une campagne de protestation sur Twitter et Facebook.
Iran deuil pour le martyre anniversaire de Fatima (P)
Des millions de personnes en deuil ont assisté croyants ce samedi à de nombreuses cérémonies de deuil pour commémorer les souffrances de la fille du Prophète de l'Islam (P) pour la défense de Velayat (Jurisprudence) et le message du Prophète Mohammad (paix soit sur lui et ses descendants).
Demain, dimanche, jour de deuil à travers l'Iran, ont organisé de nombreuses manifestations dans différentes régions du pays où il départira sur les vertus morales et de la personnalité de Fatima az-Zahra (P), décrit comme «la mère de son père" pour le même prophète, puisque les 12 imams descendants de Fatima et sont les seuls successeurs légitimes du prophète de l'Islam Mohammad (P).
Fatima (lumière), fille unique du Prophète de l'Islam (P), est née en 607 à La Mecque et a été martyrisé en 632 à Médine (Arabie Saoudite). Elle est l'émetteur de la succession consanguine de la maison prophétique.
L’Iran condamne fermement l'attentat terroriste à Ankara
« Les attentats terroristes organisés successivement dans les différentes zones de la région et du monde affirment la nécessité et l’urgence d’un combat uni et intégré contre le terrorisme et l’extrémisme en tant que menace commune de la communauté mondiale », a déclaré M. Jaberi-Ansari.
Une violente explosion a secoué, dans la soirée de dimanche 13 mars, le cœur de la capitale turque, Ankara. Le ministre de la santé a fait savoir que cette déflagration, « causée par un véhicule rempli d’explosifs », a fait au moins 34 morts et 125 blessés, dont 19 dans un état grave, laissant craindre un bilan humain encore plus élevé.
L’explosion s’est produite à 18 h 45, à proximité d’un arrêt de bus, le long du parc public Güven, près de la place très fréquentée de Kizilay. Une voiture s’est encastrée dans un autobus municipal, puis une déflagration d’une puissance inouïe a suivi. Toutes les vitres alentour ont été soufflées, et une boule de feu s’est ensuite propagée aux voitures qui se trouvaient à proximité
34 tués et 125 blessés dans un attentat en Turquie
Le précédent bilan annoncé par le gouvernorat faisait état de 27 morts et 75 blessés.
Le ministre de l'Intérieur, Efkan Ala, à ses côtés, a expliqué que c'est un véhicule piégé circulant dans le trafic du centre névralgique de la métropole qui est à l'origine de l'attaque, sans pointer du doigt une quelconque organisation.
Nous disposons de sérieux éléments dans cette enquête mais tout ceci sera annoncé ultérieurement, peut-être demain (lundi), a dit M. Ala. La Turquie ira de l'avant avec détermination dans sa lutte contre le terrorisme, a-t-il ajouté.
Selon son collègue de la Santé, une ou deux des victimes sont à l'origine de cette attaque.
L'explosion s'est produite à 18h45 heure locale (16h45 GMT) sur la place très fréquentée de Kizilay, située en plein coeur d'Ankara, qui abrite de nombreux commerces et par laquelle passent de nombreuses lignes de bus et une station de métro.
Cet attentat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat.
Le régime israélien interdit à une ministre indonésienne d'entrer en Palestine
Les autorités israéliennes, qui contrôlent l'ensemble des frontières des Territoires palestiniens, à l'exception du terminal de Rafah qui relie la bande de Gaza à l'Egypte, n'ont pas commenté cette interdition. Contactés par l'AFP, le ministère des Affaires étrangères israélien a refusé de répondre tandis que le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu n'avait pas de commentaire dans l'immédiat.
Mme Marsudi devait effectuer une visite officielle à Ramallah et rencontrer le président Mahmoud Abbas et son homologue Ryad al-Malki, ainsi qu'inaugurer un consulat honoraire d'Indonésie en Palestine, poursuit le texte du ministère palestinien.
M. Malki a donc pris la route vers la Jordanie voisine où il pourra rencontrer à Amman Mme Marsudi, ajoute la même source.
Un porte-parole du ministère des Affaires étrangères indonésien Arrmanatha Nasir a affirmé dans un communiqué qu'Israël n'a pas autorisé le vol en hélicoptère de Jordanie vers la Cisjordanie, sans donner plus de détails sur les motifs du refus israélien.
L'Indonésie et Israël n'entretiennent pas de relations diplomatiques et, selon la presse israélienne, la visite palestinienne de Mme Marsudi a été empêchée car elle aurait refusé de rencontrer des officiels israéliens à Jérusalem.
Cet incident diplomatique survient également moins d'une semaine après que Jakarta a accueilli un sommet de l'Organisation de coopération islamique (OCI) au cours duquel les 57 pays membres ont appelé au boycott des produits provenant des colonies israéliennes dans les Territoires occupés.