
تقي زاده
Nasrallah prononce un discours à l'occasion de la Deuxième libération
Selon le rapport, Nasrallah prononcera le discours à 20h30 heure locale.
Seyyed Hassan Nasrallah devrait également aborder une série de développements nationaux, régionaux et internationaux au cours de ce discours.
L'US Army fuit le sud d'Irak!
Un responsable irakien a fait état de l'arrivée suspecte d'un grand convoi militaire américain de la province de Bassora vers celle d'al-Anbar, dans la base aérienne d'Aïn al-Asad.
Le convoi militaire américain, transportant du matériel et des véhicules militaires, se dirige vers la base aérienne d'Aïn al-Asad dans l'ouest de la province d'al-Anbar.
Le convoi militaire américain entrant sur le territoire irakien a été durant tout son trajet escorté par des avions américains jusqu'à ce qu'il atteigne sa destination dans la province d'al-Anbar, a déclaré la source.
Par ailleurs, des troupes américaines se sont rendues à Aïn al-Asad pour être ensuite transférées dans les zones tenues par les États-Unis en Irak.
Tous les postes-frontières de la province de Bassora, à l'exception de Jarishan, sont contrôlés par Bagdad. 18 ans après la guerre entre l'Irak et le Koweït, le poste de Jarishan est toujours sous le contrôle des forces d'occupation américaines. Il n’y a que des gardes-frontières irakiens qui y sont stationnés. Le gouvernement irakien n’a aucune mainmise sur le point de contrôle. Les forces américaines sont donc libres de faire entrer ou sortir leurs troupes et leurs équipements du territoire.
Il y a dix jours, une source de sécurité bien informée dans la province irakienne d'al-Anbar a révélé que les forces américaines avaient dépensé d'importantes sommes d'argent pour développer des bâtiments dans la base aérienne d'Aïn al-Asad dans le district d'al-Baghdadi de la ville de Heet.
La source a ajouté que les forces américaines ont construit des dizaines de nouveaux halls et bâtiments pour leurs forces à l'intérieur de la base d’Aïn al-Asad, et y ont installé un système de défense anti-missile pour assurer la sécurité.
« Ces aménagements à Aïn al-Asad ne se font pas sous la supervision des commandants de la sécurité en charge du dossier de sécurité d'al-Anbar. La présence des forces américaines sur la base concerne le bureau de Mustafa al-Kadhimi, le commandant en chef des forces armées irakiennes. La base continue de s'étendre, Bagdad et Washington annonçant que les forces américaines se retireront bientôt complètement d'Irak.
La base aérienne d'Aïn al-Asad est située à 160 km à l'ouest de Bagdad, dans la province d'al-Anbar, plus précisément dans la ville de Heet, et à 8 km d'un village appelé Khan al-Baghdadi. Elle s’étend sur une superficie de 10 kilomètres, soit à peu près la taille de la Zone verte de Bagdad. Elle est actuellement la plus grande base militaire américaine en Irak.
Des actions suspectes contre la souveraineté nationale y sont programmées, et selon les observateurs politiques, la base d'Aïn al-Asad est le centre des opérations militaires américaines en Irak.
Malgré les déclarations de responsables américains et irakiens selon lesquelles la mission des troupes étrangères se limitait à former et conseiller les forces irakiennes, les groupes de résistance irakiens ont signalé l'entrée généralisée de convois logistiques américains.
Niger: l'armée repousse l'offensive US/OTAN
Niger: les plans de Barkhane déjoués:
Depuis le double coup d’état au Mali et l’assassinat du président Déby, les pays voisins dont le Niger et le Burkina Faso semblent avoir mis les bouchés doubles afin de renforcer la sécurité de leur pays, en s’appuyant aussi bien sur leurs forces nationales que sur cette coalition interafricaine qui fait tant peur à l’axe US-OTAN.
À part les tentatives de l’armée nigérienne de garder le contrôle sur son espace aérien en se dotant des drones locaux et en provenance de l’axe de l’Est, et non pas de l’axe occidental, de créer sa force de défense et de sécurité populaire et de se désengager de plus en plus de l’axe occidental, le Niger a essayé de reconduire les réfugiés ayant fui leur village et habitation suite aux attaques terroristes, vers leur foyers, une prise de position qui va totalement à l’encontre des velléités occidentales qui cherchent à travers ces attaques menées par terroristes interposés de provoquer l’exode de la population, afin de pouvoir ensuite s’installer plus facilement dans ces zones et mener ces plans contre les pays concernés.
En effet, entre juin et juillet, 26.573 personnes ayant fui ces violences ont été reconduites dans 19 villages, dont Baroua. La sécurité avait été «renforcée» autour de ces villages, avaient alors affirmé les autorités. «Compte tenu de l'évolution positive de la situation (sécuritaire) sur le terrain, le gouvernement» a décidé «de donner son feu vert aux populations déplacées pour retourner dans leurs villages d'origine», avait alors déclaré Issa Lémine, gouverneur de la région de Diffa, qui avait accueilli les premiers arrivants à Baroua. Avant leur rapatriement, ces déplacés avaient trouvé refuge dans des sites autour de villages plus sécurisés, des camps de l'ONU ou encore chez des proches à travers toute la région.
Mais, ce retour de la population étant une pilule très difficile pour l’axe US-OTAN, le plan B a été mis en œuvre, et cette région a été attaquée le 24 août.
« L'armée du Niger a repoussé mardi 24 août au soir une attaque contre Baroua, une localité du sud-est proche du Nigeria, où s'étaient réinstallés des milliers d'habitants qui avaient fui de précédentes attaques terroristes, a appris l'AFP mercredi de sources humanitaires et locales. «Il y a eu une attaque contre Baroua mardi soir et des pertes en vies humaines, même parmi les FDS (Forces de défense et de sécurité)», a indiqué à l'AFP une source humanitaire à Diffa, capitale régionale du sud-est, sans être en mesure de donner un bilan».
Quand on sait que Baroua situé dans la région de Diffa a été complètement vidé de ses habitants et c’est le 20 juin dernier, après presque six années, que les populations déplacées du village et installées dans les alentours de Diffa, ont pu retourner chez eux à l’occasion du nouveau programme de réinstallation des déplacés de la région mis en œuvre par les autorités sur instruction du chef de l’État, l’annonce faite par le Niger sur son intention de construire construire une base aérienne dans la région de Diffa clarifie mieux la raison pour laquelle l’attaque a été menée.
L’axe US-OTAN attendait depuis des années que cette région soit vidée de population, pour qu’elle puisse enfin s’y installer, mais manque de bol, la population y est retournée et l’armée nigérienne a décidé de construire elle-même une base sans pour autant avoir besoin de la puissance néo-colonialiste.
En fin de compte, le fait que le Niger construise sa propre base militaire aérienne constitue le déclenchement d’un effet domino que l’Occident n’arrive plus à arrêter. C’est pourquoi on assiste à des déploiements massifs de militaires dans le Sahel, qui reflètent la panique dans le camp occidental. Le Sahel reste une région que les Occidentaux n’arrivent pas à gérer ni à contrôler, pour la simple et bonne raison que les populations ne sont pas dupes et rejettent maintenant tout ce qui vient de l’Occident néocolonialiste, mais en plus, elles les poussent de plus en plus vers la sortie de l’Afrique.
Tanzanie: le peuple se venge de l'Occident:
Il n’est plus caché à personne que les présidents d'Haïti, de Tanzanie et du Burundi ont été "assassinés" parce qu'ils s'opposaient aux vaccins contre le Covid-19.
«Les présidents de trois nations différentes sont morts peu après avoir refusé la distribution du vaccin contre le COVID-19», assure une publication postée le 19 juillet sur Facebook. Ce message est accompagné de photos des présidents Jovenel Moïse (Haïti), John Magufuli (Tanzanie) et Pierre Nkurunziza (Burundi), tous trois décédés au cours de l'année écoulée. «Après leur mort, les trois pays distribuent désormais les vaccins contre le COVID à leurs citoyens», insiste l'auteur de la publication, qui s'interroge sur cette "coïncidence".
Les médias occidentaux insistent sur le fait que le président tanzanien et même burundais n’ont pas été assassinés, mais morts suite à des « maladies » et ce sont les velléités anti-vaccins et surtout anti-vaccin occidental de ces présidents qui leur ont coûté la vie.
Mais il est quand même assez bizarre de voir qu’exactement les trois présidents opposés aux vaccins anti-covid19 ont été tués les uns après les autres et bien que les médias mainstream tentent de mettre ces décès sur le dos d’un « arrêt cardiaque », le peuple africain est beaucoup plus intelligent que ceci et en Tanzanie, il passe même à l’acte :
«Un individu dont les motivations sont encore inconnues a tué trois policiers et un agent de sécurité près de l'ambassade de France à Dar es Salaam en Tanzanie. L'homme a été ensuite abattu par les forces de l'ordre. Trois policiers et un agent de sécurité privée ont été tués ce 25 août dans une fusillade à proximité de l'ambassade de France dans la capitale économique tanzanienne Dar es Salaam», a annoncé un responsable de la police.
L'agresseur, dont les motivations sont pour l'instant inconnues, a été abattu par les forces de police. Ces échanges de tirs ont eu lieu à la mi-journée sur Ali Hassan Mwinyi Road, où se trouvent plusieurs ambassades et représentations étrangères. Des vidéos diffusées par un média local montrent un homme armé d'un fusil automatique, vêtu d'une chemisette à carreaux et portant un kufi (calotte de prière musulmane) blanc, marchant sur un trottoir, longeant notamment un bus et un tuk-tuk. On le voit ensuite être abattu alors qu'il se trouvait devant l'ambassade de France.Bien que les responsables français essaient de justifier cette attaque par «le rôle de la Tanzanie au Mozambique qui y a envoyé des soldats combattre les insurgés terroristes », il semble plutôt que cet acte a été une protestation du peuple tanzanien contre les complots concocté par l’axe US-OTAN contre leur pays…La bio arme Covid-19 n'a pas trop fonctionné en Afrique, comme l'espéraient ses concepteurs : c'est dû sans doute à la vigilance des Africains qui, pour avoir été pendant des décennies victimes des colonialistes blancs, savent comment s'y prendre.
Certes, les médias mainstream ne cessent de parler de la résurgence de la maladie dans tel ou tel pays africain, mais comparé aux États-Unis et à l'Europe, l'Afrique a merveilleusement réussi l'endiguement de la maladie. Mais cela n'a pas empêché le cynique lobbyiste pharmaceutique, Bille Gates, de chercher à faire encore une fois de l’Afrique un terrain d'expérimentation du vaccin anti-Covid.
Tchad: mort de Hissène Habré, analyse:
Hissène Habré est décédé des suites du Covid-19, mardi 24 août, à 79 ans, a annoncé le consulat du Tchad à l'AFP. L'ancien président de ce pays d'Afrique centrale était emprisonné depuis 2016 au Sénégal, où il avait été condamné à la prison à vie « pour crimes contre l'humanité ». Luc Michel, géopoliticien nous en dit plus à ce sujet.
Possible, mais il pourrait y avoir des surprises en vue
Une ambassade des États-Unis à Kaboul suivie des Britanniques et des Australiens qui multiplient les alertes à l'attaque terroriste, un Biden qui crie aux infiltrations daechistes à l'aéroport de Kaboul et des tirs "inconnus" qui viennent de viser il y a quelques minutes à peine un avion militaire italiens évacuant des militaires de ce pays de ce cloaque qu'est devenu désormais l'aéroport de Kaboul. Il y a quelques heures Hill reconnaissait très clairement la présence des agents de la CIA à l'aéroport mais la qualifiait très hypocritement de "normale". Ajoutons évidemment à ceci le fait que ces "pauvres interprètes afghans" dont certains se sont faits balancer du haut des C-170 US il y a quelques jours tandis que d'autres ont été transité vers l'Ouganda en Afrique comptent une bonne dose de collabos de la CIA et qu'avec un ingrédient pareil, il est très facile de monter un false flag semblable à celui de 11/9. Non pas cette fois pour occuper l'Afghanistan où les Américains sont en débandade , mais pour foutre le chaos aux alentours.
Les cinq chocs anti-US si le pétrole iranien arrive au Liban
Tous les Libanais, même les opposants au Hezbollah, pensent que l’importation du carburant d'Iran par la Résistance est une action intelligente, porteuse de messages importants aux États-Unis. À cet égard un analyste libanais estime que l'importation de dérivés pétroliers au Liban en provenance d'Iran entraînera de profonds changements au Liban et renforcera la position des courants politiques qui appellent à tourner l'attention vers l'Est et pour coopérer avec l’Iran, la Chine et la Russie.
Dans sa note éditoriale publiée par le journal Al-Quds Al-Arabi basé Londres, l’analyste libanais Essam Noman a fait état de deux événements qui, ayant eu lieu ces dernières semaines, ont contribué à changer l’équation de force dans les pays d'Asie de l’Ouest : l’un étant le retrait désordonné des États-Unis d'Afghanistan et l'autre, l'importation de dérivés du pétrole depuis l’Iran à destination du Liban, évoqué par le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan aurait des conséquences politiques et stratégiques, qui pourraient bien affecter tous les pays de la région, en particulier le régime sioniste ; en termes de sécurité, la récente mesure du Hezbollah libanais a soulevé des questions sur l’éventuelle réaction d'Israël.
Comment l'axe US/Israël compte casser le S-400 à partir de Deraa?
Israël se bat-il pour ne pas perdre son dernier "carré" en Syrie et ce, à l'aide de la Russie? Au vu des événements tels qu'ils se déroulent à Deraa, certains analystes n'en écartent plus la possibilité même s'il s'agit plutôt d'un engagement que veut respecter la Russie que d'une quelconque complicité. En effet, et alors même que les violences continuent à se multiplier dans cette province stratégique bordant à la fois la Jordanie et le Golan occupé, que l'armée syrienne et ses alliés de la Résistance ont massé leurs troupes autour de Deraa al Balad, un car vert avec à son bord un nombre limité de rebelles a quitté cette province, ce mercredi à destination d'Idlib, dans le cadre d'une trêve bis imposée par la Russie. Au fait, les cellules terroristes, directement armés et soutenus par l'entité sioniste continuent à agir contre l'armée et les responsables syriens, cherchant à empêcher un retour à la normale. Ce mercredi une première patrouille de l'armée russe a patrouillé à Deraa al Balad avec l'objectif de faire régner la sécurité et un respect du cessez le feu qui n'a toutefois pas été respecté : Les terroristes ont visé les quartiers de la ville de Deraa avec des obus de mortier mardi soir, dans le but de perturber tous les efforts et les tentatives visant à mettre fin à la présence des terroristes dans la région et à remettre les armes.
A quoi riment les accords militaires signés entre Riyad et Moscou?
La visite du vice-ministre saoudien de la Défense en Russie et la signature d'un accord militaire sont les signaux d’un avertissement tacite aux États-Unis lancés par Riyad, qui aurait trouvé une alternative à son allié. En effet, les relations entre Riyad et Washington se sont quelque peu affaiblies. Celles avec Moscou se chauffent.
Le journal Al-Akhbar cite l’ex-président égyptien Hosni Moubarak, qui a dit cette phrase, bien avant sa démission et le déclin de son pouvoir : « Ceux qui sont couverts par les États-Unis sont en réalité dépouillés ». C’est sans doute depuis quelques années que les Saoudiens se reconnaissent le plus dans cette déclaration.
Grande stupeur : Un Sioniste ciblé par une attaque à l'arme blanche ...
A peine quelques heures après la tonitruante sortie anti sioniste du super MAE algérien Lamamram, comme quoi les liens Alger Téhéran ne sont jamais allés au -delà des coopérations commerciales limitées et que ces liens même si les deux parties décidaient à leur donner du punch et une nouvelle impulsion, cela ne gardait personne qu'Alger n'est pas du genre à se laisser impressionner par les fanfaronnades sionistes" surtout qu'il suit de très près les moindres évolutions au Moyen Orient et voit de ses propres yeux comme Israël qui menaçaient il y a peu de lancer ses F-35 Adir à l'assaut des sites nucléaires iraniens, a peur désormais pour sa survie et qu'une simple salve de 20 roquettes tirés depuis le sud Liban ou un triplet roquettesque lancé depuis Gaza suffisent à le mettre sens dessus dessous, un premier choc maghrébine anti Israël vient de se produire.
« Daech prévoit d’attaquer l’aéroport de Kaboul », dit Biden
On le voyait venir : Des milliers de soldats US/OTAN stationnés à l'aéroport de Kaboul, des vols militaires à n'en pas finir entre les bases US dans le golfe Persique d'une part et la capitale afghane de l'autre, des milliers de passagers afghans, pris de facto en otage sous prétexte d'évacuation humanitaire et qui servent, comme partout où s'applique le principe occidental d'"ingérence humanitaire", passagers qui servent non seulement de bouclier humain aux militaires occidentaux mais encore de paravents aux agents de la CIA et du Mossad puis un bain de sang tant recherché qui n'a pas eu lieu et un Pantsir qui au lieu de se révolter contre les talibans préfèrent le dialogue et tout ceci sur fond d'efforts iraniens pour arracher des dialogues inter afghans en cours un gouvernement élargi et représentatif, surtout que les Talib commencent à parler supra ethniquement, supraconfessionellement puis un président Biden qui parle soudain de la possible apparition de Daech à l'intérieur de l'aéroport et de sa possible action contre les forces américaines!
Au seuil de la guerre aéronavale contre Israël, le Hezbollah prêt à jouer la méga carte, un Fateh-110 "version" Hezbollah .... transformé en missile sol-air?
Ce n’est vraiment pas le signe d’une « profonde amitié US » et d’un « engagement irréversible à préserver » le soi-disant « avantage militaire » d’un Israël dont le Premier ministre, chancelant, vient d’atterrir à Washington avec dans sa sacoche des « plans détaillés » pour poursuivre « le sabotage des sites nucléaires iraniens » que de largement médiatiser le refus du Pentagone de LIyod Austin de s’acheter le Dôme de fer israélien à l’effet de faire face aux « menaces de drones et de missiles de croisière », et ce, dans le sillage de la défaite historique des Patriot au Moyen-Orient que les drones yéménites et les roquettes irakiennes ont réduit en mille morceaux sous les yeux ahuris des Golfiens.
Ce devrait être d’autant moins compréhensible pour Bennett que juste avant sa rencontre de ce mercredi 25 août avec le chef du Pentagone, ce dernier avait fustigé la menace anti Israël de « l’Iran et de ses mandataires », se disant déterminé « à faire en sorte que le système Dôme de fer, épine dorsal de la DCA multicouche sioniste, « continue de protéger les Israéliens », dans une claire allusion à la catastrophique défaite du mois de mai d’Israël marquée par 11 jours de bombardement sans relâche de l’armée de l’air sioniste à raison de 150 sorties en moyenne par jour et de quelques centaines de tonnes de JDAM et de GBU larguées quotidiennement contre Gaza, les quels bombardement n’ont détruit que 1% de ses réseaux-silos à missiles sous-terrains de Gaza surnommés péjorativement « Metro » alors même que la moitié sud et centre de l’entité s’est fait noyer littéralement sous les 4000 missiles gazaouites, et que cette noyade-choc sous le tsunami balistique a littéralement épuisé et dès le 10e jour de la bataille, les stocks de missiles antimissile « Tamir ».