تقي زاده

تقي زاده

La présence publique de Yahya al-Sinwar, chef du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza, et ses avertissements à l’adresse du régime d’occupation simultanément à la rencontre Gantz/Abbas et au sommet tripartite du Caire, a été largement rapportées dans les médias israéliens puisque Al-Sinwar est une figure ayant une audace et une bravoure sans précédent et ne laisse aucun doute dans sa décision de se battre. Yahya Al-Sinwar a averti que la deuxième bataille de l’Épée de Qods serait lancée si le siège de la bande de Gaza n’était pas complètement levé.

Le quotidien en ligne Rai al-Youm s’est attardé dans son éditorial sur les inquiétudes du régime israélien quant à Yahya al-Sinwar, chef du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza.

« Ces jours-ci, Yahya Al-Sinwar est devenu un grand cauchemar pour le gouvernement et les colons israéliens, car ce grand homme, selon la description de ses proches, a une audace et une bravoure sans égal et ne laisse aucun doute sur sa décision de se battre et il est plein de surprises », a fait savoir le journal.

Le journal a poursuivi : « Quant à la cause palestinienne, Yahya Al-Sinwar est une figure qui ne croit en aucune solution autre qu’une solution militaire. Selon lui, la solution militaire est le moyen le plus court pour libérer la terre de Palestine de la présence des Israéliens et éliminer le régime sioniste. Il est plein de surprises pour Israël ».

« Les sanctions imposées à l’Iran devront être levées », a déclaré le nouveau président iranien lors d’une conversation téléphonique avec Emmanuel Macron. 

Le président iranien, Ebrahim Raïssi, a déclaré, dimanche 5 septembre, dans un entretien téléphonique avec son homologue français, que l’indépendance politique de l’Iran et de la France était une solide base pour établir des relations équilibrées, raffermies et stables entre les deux pays. « Nos intérêts communs demandent qu’aucun élément extérieur ne puisse affecter nos relations », a souligné M. Raïssi. 

Répondant à une question d’Emmanuel Macron sur le Sommet des pays voisins d’Irak, tenu à Bagdad, le président iranien a déclaré : « l’Iran a toujours été aux côtés du peuple irakien dans les différentes époques ».

« Conformément à sa politique, la République islamique d’Iran soutient le peuple irakien en faveur du rétablissement de la paix et de la stabilité dans la région et nos coopérations interrégionales profitent beaucoup au renforcement de la sécurité », a-t-il indiqué. 

On aimerait bien croire que cette apparition du président français en Irak lors d'un sommet "régionale" où Assad était absent puisque M.Macron ne voulait pas voir sa tête mais en réalité parce que impliquée jusqu'où dans les toutes les basses oeuvres en Syrie est la seule partie avec qui Assad refuse toute coopération est pour rien dans ce qui s'est passé ce dimanche a Salahhedine.Mais Macron a lui lui-même dit "avoir beaucoup de projets" en Irak, s'est même porté candidat à remettre en état l'aéroport de Mossoul ce que personne ne lui demande ou encore à livrer des Rafales aux Irakiens. Bref autant d'intérêt soudain pour un Irak où l'US Army vit désormais en clandestinité par crainte des attaques des Hachd,  un Irak où la CIA et le Mossad survivent au péril de leur vie traqués et chassés qu'ils sont par les drones et les roquettes de la Réserve est suspect. Que s'est-il passé ce dimanche à Salaheddine? 

Dimanche, une source de sécurité du gouvernorat de Kirkouk a déclaré que 13 policiers fédéraux avaient été tués et 5 autres blessés dans le village d'al-Sataha du district d'al-Rashad, à la suite d'une attaque menée par le groupe terroriste Daech.

La source a déclaré à NRT Arabiya que "les résidus de Daech, tard samedi soir ont attaqué le secteur de la police fédérale dans le village d'al-Sataha dans le district d'al-Rashad, ce qui a conduit à un affrontement entre les combattants des Hachd al-Chaabi et les daechistes.

Conakry, capitale de la Guinée, s’est réveillée au son des tirs d’armes à feu et des mouvements militaires. Selon le magazine Jeune Afrique, il s’agirait d’une tentative de putsch menée par des éléments du Groupement des forces spéciales (GPS).

Des tirs nourris d’armes automatiques retentissaient ce 5 septembre dans le centre de Conakry, capitale de la Guinée, et de nombreux soldats étaient visibles dans les rues, ont rapporté plusieurs témoins dans la matinée.

« À la suite d’une tentative de coup d’État militaire des tensions sécuritaires ont éclaté dimanche 5 septembre dans la capitale ouest-africaine, Conakry », ont fait savoir les médias en rapportant que des images de l’arrestation du président guinéen ont été diffusées.

« La tentative de coup d’État aurait été menée par les éléments du Groupement des forces spéciales (GPS), une unité d’élite de l’armée aussi bien entraînée de l’armée nationale de Guinée dirigée par un ancien légionnaire de l’armée française, Mamady Doumbouya », a indiqué le magazine Jeune Afrique.

Préoccupé par une possible infiltration de l’est en Afghanistan, Washington pourrait projeter de déclencher une guerre civile en Afghanistan.

Alors que le départ hâtif et inorganisé des Américains de l’Afghanistan, qui a entraîné la chute du gouvernement de Kaboul et la prise de pouvoir par les talibans est de plus en plus critiqué de toutes parts, les responsables américains tentent de se justifier par un prétexte ou un autre. 

Le chef d’état-major de l’armée américaine, le général Mark Milley, a estimé que « les conditions d’une guerre civile » étaient « susceptibles d’être réunies » en Afghanistan.

L'armée syrienne a confirmé l'interception réussie de 21 des 24 missiles israéliens et a indiqué qu'à la suite des trois frappes israéliennes, personne n'a été blessé et que les dommages n’étaient pas importants, car les missiles ont été déviés de leurs cibles d'origine. Selon la partie syrienne, les systèmes de missiles de défense aérienne Osa et les S-200 ont également été en mesure d’interception des missiles de croisière de l'ennemi. 

lundi, 06 septembre 2021 08:37

Les USA royalement piégés par le Hezbollah

Le gouvernement syrien s’est dit prêt à aider Beyrouth pour ses approvisionnements en énergie, a déclaré le secrétaire général du Conseil suprême libano-syrien. 

À l’issue d’une réunion de la délégation libanaise qui s’est tenue dans le bâtiment du ministère syrien des Affaires étrangères à Damas, Nasri Khouri a déclaré : « Beyrouth a demandé à Damas de permettre le transit du gaz égyptien et de l’électricité jordanienne à destination du Liban via le territoire syrien et Damas a accepté cette demande en disant qu’il est prêt à délivrer les licences nécessaires. »

Nasri Khouri a ajouté qu’une équipe, composée d’experts libanais et syriens, allait examiner les aspects techniques de cette question. 

Eilat et son aéroport mi-civil mi-militaire Ramon qui en mai, ont figuré en très bonne place sur la liste des cibles à abattre par les salves de missiles tactiques palestiniens ont fait parler d'eux ces derniers jours : mercredi dernier, à titre d'exemple,  la Ve flotte de l'US Navy y a fait une première apparition, aux côtés des forces navales sionistes, histoire de se faire rappeler à la bonne mémoire du camp d'en face, qui se trouve en ce moment même en pleine opération de liquidation du régime des sanctions US au Levant, via ces pétroliers iraniens qui ont pour mission de relier la Syrie au Liban, économiquement, financièrement, énergétiquement et qui mine de rien, sont parvenus avant même leur arrivée à Beyrouth, à déclencher un extraordinaire mécanisme politique et économique, sans même que le Hezbollah ait besoin de tirer, ne serait-ce qu'un seul missile et ce, en piégeant royalement  l'axe US/Israël dans son propre piège, en le dénaturant et en en faisant même "le promoteur malgré lui" de la normalisation des relations Beyrouth-Damas. Cette première manœuvre navale conjointe a été très peu commentée côté américain mais excessivement médiatisé côté Tel-Aviv pour la simple et bonne raison qu'elle n'a été qu'un pétard mouillé. Et comment? Avec une marine inexistante depuis 2006, date à laquelle un missile antinavire Nasr du Hezbollah a eu la peau d'une Corvette Sa'ar, l'US Navy n'avait réellement pas de quoi trop mettre en jeu sa réputation.

Qui aurait cru que le très prudent président tunisien finisse par s'avérer un si redoutable Résistant au combat? Après avoir nargué Biden et son MAE, Blinken qui sous peine de menace à peine voilée lui ont recommandé il y a peu, de " réintégrer la voie de la démocratie" version occidentale,  ou ce qui revient au même à revenir sur la décision d'amputer l'appareil de l'Etat de cette frange pro US, pro Israël qui sous les dehors des "Frères de l'islam"  n'a fait depuis 2011 que de miner la souveraineté tunisienne au profit de l'OTAN, des USA, du FMI et Cie, un peu comme au Maroc où la percée israélienne est en grande partie l'effet de la trahison des Frères, le président Saied commence peu à peu à entrer dans la phase de confrontation frontale.

La famille du Prophète saws, en captivité après le tragédie de Karbala

*Les Veuves...* *les Orphelins et*
*La Mutilation des Cadavres*
*Le campement d'al-Hussayn fut dans un état de dévastation et de désolation terrible. Il offrait aux pilleurs et aux assassins un spectacle macabre. Partout des tentes brûlées et fumantes, des cadavres mutilés et démembrés, des femmes et des enfants assoiffés, effrayés et hébétés, des cris et des gémissements.* *Le corps décapité du petit-fils du Prophète gisait déchiqueté, dénudé, recouvert seulement de la poussière soulevée par la bataille, et du sang qui formait autour de lui une petite mare.* *Le nombre de martyrs du camp d'al-Hussayn s'élevait à soixante-dix-sept: soixante compagnons et dix-sept frères, cousins et neveux de l'Imam.*
*Parmi les survivants du camp il n'y avait que les femmes et les enfants, et 'Ali al-Sajjâd, fils d'al-Hussayn que la maladie avait empêché de quitter son lit.*
*Mais pour le commandement des assaillants, ce spectacle lugubre ne semblait pas suffisamment macabre pour produire l'effet voulu chez les spectateurs à qui il tenait à présenter une scène inoubliable qui leur servirait de leçon.*
*En effet, en osant s'attaquer si ouvertement et si sauvagement au petit-fils du Prophète et à ses compagnons pieux, les Omayyades voulaient effrayer et terroriser toute la communauté musulmane et mâter chez elle toute velléité de contester un régime illégitime et usurpateur.* *L'ordre fut donc donné pour que les chevaux chargent de nouveau et piétinent les cadavres des martyrs et écrasent de leurs sabots les parties encore indemnes de leurs corps mutilés.* *On s'acharna particulièrement sur le corps d'al-Hussayn, puisque 'Omar Ibn Sa'ad ordonna à dix de ses cavaliers de passer sur son cadavre.*
*Après s'être livrée à cette furie sadique et à un* *pillage mesquin où même les boucles d'oreilles furent arrachées des oreilles des orphelins en pleur, l'armée de mercenaires procéda à la décapitation des martyrs pour que chaque groupe participant à cette tuerie horrible, se charge de porter sur ses lances un certain nombre de têtes qu'il devrait remettre entre les mains de 'Obeidullah Ibn* *Ziyâd le gouverneur représentant de Yazid Ibn* *Mu'âwiyah - en guise d'allégeance et comme témoignage d'obéissance et de soumission.* *Ainsi le cortège de têtes se mit en route, laissant derrière lui les cadavres décapités des martyrs.*
*En tête du cortège Khawla Ibn Yazid al-Asbahi et* *Hamid Ibn Muslim al-Azdi portaient sur une longue lance la tête d'al-Hussayn.* *Venaient ensuite les Kindah, le groupe de Qaïs Ibn al-Ach'ath avec 13 têtes; puis les Huwâzen, le groupe de Chemr Ibn Dil Jawchan, avec 12 têtes; puis les Temim, avec 17 têtes; puis les* *Bani Assad avec 16 têtes; les Med-haj avec 7 têtes, les autres avec 13 têtes.*
*L'armée omayyade quitta donc le champ de bataille et se dirigea vers Kûfa, avec pour principal butin de guerre les têtes des martyrs, ainsi que leurs veuves et orphelins qu'elle prit comme captifs.*
*Quant aux cadavres, ils restèrent sur place à la merci du soleil brûlant de l'été, durant trois jours.* *Après quoi, les Bani Assad qui habitaient al-Ghadhiriyya, à proximité du théâtre des événements, vinrent aux nouvelles.* *Voyant ce spectacle macabre, ils prièrent sur les martyrs. Ils enterrèrent al-Hussayn là où se trouve actuellement son sépulcre, et son fils à ses pieds.* *Un peu plus loin de là, ils mirent en terre les autres martyrs tous ensemble. Quant à al-'Abbas Ibn 'Ali, le frère* *d'al-Hussayn, ils l'enterrèrent là où il fut tué sur la route d'al-Ghadhiriya, un peu plus loin des autres, à l'endroit où se dresse encore le dôme de sa tombe.*
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*Source :* *bostani.com*