
تقي زاده
L’Imam Al Hussein et son mouvement de réforme
Depuis que l'Homme existe sur terre, le bien et le mal, la justice et l'injustice, le vrai et le faux sont en continuelle confrontation, et de chaque côté ses représentants. Par exemple, le Prophète Ibrahîm (Psl) fut confronté à Nemroud et à son peuple aussi, qui représentaient l'injustice et le polythéisme, Moussa (Psl) avec Pharaon, Dawoud (Psl) avec Jâlout, Souleimân (Psl) avec la reine de Saba, Sâlih (Psl) avec son peuple, 'Issa (Psl) avec les romains, notre Prophète (Pslf) avec les Qoraichs, etc...
Nous savons tous à travers les textes que ces saintes personnes (Ibrahîm, Moussa, Mohammed, ...) sont venues avec un message réformateur, c'est-à-dire, sauver les gens de la servitude des tyrans, et instaurer à la place la justice divine qui est basée sur le respect, la liberté, la paix, et le bien être de l'Homme.
L'Imam al-Hussein, malgré qu'il n'est pas un Prophète, fait partie de ces réformateurs, car à travers son soulèvement contre le pouvoir de l'époque, il voulait réinstaurer la justice perdue du message de son grand père (Pslf) .
Mais 50 ans après la mort du Prophète (Psl) , vient au pouvoir de l'état islamique un homme qui selon al-Hussein (petit fils du Prophète) ne mérite pas d'être à ce poste, car comme il le cite: " Nous sommes la famille du Prophète. C'est par nous que Dieu a débuté (le Message) et c'est par nous qu'Il l'a parachevé. Par contre Yazîd est un libertin qui ne cache pas son libertinage, un alcoolique et un assassin de l'âme innocente que Dieu a interdit de tuer. Quelqu'un comme moi ne saurait donc prêter serment d'allégeance à quelqu'un comme lui " (Al Foutouh-v.5, p.14.).
Par conséquent, pour cette noble cause, al-Hussein (Psl) a donné sa vie en contre partie, car les réformateurs sincères et véridiques sont prêts à tous les sacrifices pour concrétiser ce noble but, qui est d'instaurer la justice divine, la paix, l'amour, l'harmonie et le bien être de l'Homme sur cette terre. Selon nos croyances, c'est le Mahdi (Psl) qui accomplira cette noble et difficile tâche.
Les responsables de Bagdad restent préoccupés quant à l’unité inter-irakienne
Les dirigeants de l’Alliance irakienne unifiée ont demandé, à l’issue d’une réunion, au gouvernement central de Bagdad d’utiliser tous les moyens et mécanismes possibles pour maintenir, voire renforcer, l’unité inter-irakienne.
Lors d’une réunion tenue le lundi 18 septembre, les responsables de l’Alliance irakienne unifiée, dirigée par Seyyed Ammar al-Hakim, ont refusé de reconnaître la légitimité du référendum sur l’indépendance du Kurdistan et ont appelé les autorités irakiennes à avoir recours à tous les mécanismes possibles pour renforcer l’unité inter-irakienne.
Les participants à cette réunion ont proposé un dialogue national sérieux, profond et équilibré afin d’arrondir les angles de désaccord entre le gouvernement fédéral d’Irak et le gouvernement régional du Kurdistan.

Par ailleurs, Humam Hamoudi, le numéro deux du Conseil suprême islamique irakien, et Qais al-Khazali, le co-leader du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, ont souligné, lors d’une réunion, que l’Irak était plus prêt que jamais pour neutraliser le complot de la partition du pays.
Toujours dans ce contexte, le chef de la région du Kurdistan irakien, Massoud Barzani, a publié un communiqué, le mardi 19 septembre, à l’issue de sa rencontre avec le ministre britannique de la Défense Michael Fallon.
Dans ce communiqué, rendu public par le site web de la chaîne de télévision irakienne Al-Sumaria News, Massoud Barzani a prétendu qu'il ne restait aucune autre option que l’indépendance. Il a dit que les demandes visant à faire reporter le référendum et organiser un dialogue avec Bagdad, sans que la teneur de ce dialogue et la nature des garanties internationales soient déterminées, n’aboutiraient pas au report du référendum.
Accord nucléaire : l’AIEA a confirmé sept fois l’engagement de l’Iran
La chef de la diplomatie de l’Union européenne a rappelé son engagement à l’accord nucléaire, disant que l’Agence internationale de l’énergie atomique avait, à maintes reprises, confirmé le respect par l’Iran des engagements qu’il avait pris, dans le cadre de l’accord nucléaire.
Ce mardi 19 septembre, la chef de la diplomatie de l’Union européenne Federica Mogherini a déclaré, devant un parterre de journalistes, à New York, que l’accord nucléaire, signé avec l’Iran, était efficient.
« L’Agence internationale de l’énergie atomique a confirmé, à sept reprises, le respect par l’Iran du contenu de l’accord nucléaire », a expliqué Mme Mogherini.
Interrogée pour savoir si les États-Unis pourraient se retirer de l’accord nucléaire, Federica Mogherini a répondu que cet accord est un document multilatéral dont la responsabilité est assumée par la communauté mondiale.
Dans la foulée, le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, a affirmé hier, lundi 18 septembre, que l’Iran avait rempli sa part du contrat.
De son côté, le président de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, Ali Akbar Salehi, a appelé tous les signataires de l’accord nucléaire à respecter l’intégralité de l’accord nucléaire.

Le lundi 18 septembre, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Antonio Guterres, a qualifié l’accord nucléaire d’« accord très important » et de « facteur de stabilité », exhortant toutes les parties à l’honorer.
Par ailleurs, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, en visite à New York pour participer à la 72e Assemblée générale de l’ONU, a fait part de la tenue d’une réunion sur l’accord nucléaire, au niveau des adjoints et des directeurs politiques, ce mardi à New York.
Les ministres des Affaires étrangères de la République islamique d’Iran et des six pays signataires de l’accord nucléaire ainsi que Federica Mogherini se réuniront ce mercredi 20 septembre à New York pour la deuxième fois. La première réunion avait eu lieu en octobre 2016 à New York, au niveau des ministres des Affaires étrangères.
Washington ne vendra plus d'armes aux gardes du corps d'Erdogan
Le gouvernement américain a décidé de geler les ventes d'armes au service de protection du président turc Recep Tayyip Erdogan, dont des gardes du corps s'en étaient pris à des manifestants en mai dernier à Washington, ont affirmé lundi deux sénateurs des États-Unis.
Selon les membres du Congrès Patrick Leahy et Chris Van Hollen, la décision a été prise après le dépôt de leur proposition de loi qui allait en ce sens.
La nouvelle position de Washington devrait donc bloquer une vente d'armes d'une valeur de 1,2 million de dollars par une société basée dans le New Hampshire, Sig Sauer, à ce service de protection. Celui-ci avait été au centre d'une vive controverse après avoir agressé des manifestants qui protestaient contre Erdogan durant sa visite présidentielle dans la capitale américaine le 16 mai.
«Cette vente aux agents qui assurent la sécurité du président Erdogan n'aurait jamais dû être approuvée, compte tenu de leurs antécédents en matière d'utilisation excessive de la force», ont dénoncé MM. Leahy et Van Hollen dans un communiqué commun.
Dix-neuf membres du service de sécurité de M. Erdogan ont été poursuivis pour les faits qui se sont produits devant la résidence de l'ambassadeur de Turquie et qui ont conduit à l'hospitalisation de plusieurs manifestants.
En réponse à ces accusations, le président turc a dénoncé une «démonstration scandaleuse de la façon dont la justice américaine fonctionne», qualifiant au passage les manifestants de «terroristes».
Source: AFP
Des avions de reconnaissance de l’Otan ont été détectés près des frontières russes
En plein exercice militaire conjoint Russie-Biélorussie, des avions de reconnaissance de l’Otan survolaient les frontières russes.
« Au moins six avions appartenant aux États-Unis et à d’autres pays membres de l’Otan ont effectué lundi 18 septembre des vols de reconnaissance près des frontières russes dans le sud de la mer Baltique », rapporte l’agence de presse russe Interfax.
Selon les données des sites aérospatiaux russes de l’Ouest qui surveillent les vols de l’aviation militaire, la région a été survolée par les avions militaires américain, britannique, français, allemand, danois et suédois au moment où la Russie et la Biélorussie menaient leurs manœuvres militaires conjointes Zapad 2017, le long de la frontière avec la Pologne et la Lituanie.
Les dits avions se sont approchés des frontières russo-biélorusses en mer Baltique, non loin de la ville côtière russe de Kaliningrad, la région la plus occidentale de la Fédération de Russie.
Selon les informations, un avion de reconnaissance stratégique américain RC-135W, un avion radar français Awacs ont été observés. A cela s’ajoute le bombardier nucléaire américain B-52H, un avion stratégique capable de faire des vols de longues distances sans ravitaillement en vol.
Les motifs et les détails sur ces vols de patrouille restent toujours inconnus. Le ministère russe de la Défense a démenti lundi l'information fournie par les autorités lituaniennes, selon laquelle des avions russes auraient violé l'espace aérien de la Lituanie durant les manœuvres militaires. « Nos pilotes connaissent les principes du droit internationale et les ont respectés », a souligné le ministère.
En Libye, Daech cherche à restaurer ses fiefs aux portes de l'Europe
"Daech a formé un certain nombre de cellules clandestines en Libye, un an après avoir perdu son principal bastion dans ce pays chaotique de l'Afrique du Nord. C'est vraisemblablement un effort pour se regrouper aux portes de l'Europe", écrit dans sa dernière publication le journal Wall Street journal.
Ces petites cellules souterraines composées de plusieurs dizaines de [terroristes] ont été formées à l'extérieur des villes libyennes au cours des derniers mois. Au débit, elles ont commencé à détourner de l'argent des camions commerciaux sur les routes et en extorquant des réseaux de trafic de migrants, rapporte le journal américain citant les responsables de sécurité libyens et européens.
Les chefs de Daech auraient par la suite contraint leurs combattants en Syrie et en Irak à aller en Libye. "La Libye est considérée comme la principale porte d'entrée en Europe", confie au journal Abu Baara al-Ansari, un ancien membre syrien de Daech à Raqqa qui s'est désormais installé en Turquie.
Un autre ex-daechiste révèle que le groupe terroriste formait ses combattants libyens, dans les bases de Raqqa, à la fabrication et à la maintenance des matières explosives.
Les efforts de Daech pour regagner la Libye après avoir perdu le contrôle de la ville côtière de Syrte l'année dernière, ont suscité la profonde inquiétude des responsables européens. Les éléments qui ont voyagé de Syrie à l'Europe, ont participé à de nombreuses attaques terroristes, y compris à Paris et à Bruxelles.
L'officier de renseignement de la ville de Misrata qui travaille avec des forces fidèles à Tripoli, a affirmé au Wall Street Journal: "Bien que les combattants de Daech aient quitté Syrte à destination de Bani-Walid, ils sont récemment sortie de leurs cachettes pour détourner de l'argent des camions commerciaux sur les routes proches de la ville. Ils convoitent par ailleurs les champs pétroliers du pays." Selon lui, "Daech devient définitivement un problème pour la Libye."
Les responsables de la sécurité européenne croient que les terroristes, y compris les Syriens, les Irakiens ainsi que les Libyens, tentent d'entrer en Libye dans l'espoir d'atteindre l'Europe et y perpétrer des attentats. "Dans ce cas, ils sont déjà passés par la Turquie et le Soudan avant d'atteindre le sol libyen", dit le journal.

"Bien conscient que certains daechistes ont profité de sa frontière poreuse à l'ouest pour s'infiltrer en Libye, le gouvernement y a par conséquent déployé des forces pour endiguer leur accès illégal", indique Rabie Abdelati, qui dirige le bureau politique du Parti national du Congrès du Soudan.
De tout cela, on pourrait conclure que depuis la mort du colonel Mouammar Kadhafi en 2011, plusieurs factions belligérantes et des cellules de Daech parmi tant d'autres groupes terroristes ont vu le jour en Libye pour en faire leur nouveau bastion.
Mais que cherchent-ils vraiment là-bas ? De prime abord, ils semblent combattre pour les champs de pétrole dont dépend leur survie. Malgré tout, l'économie du troisième plus grand pays de l'Afrique du Nord est en lambeaux. Mais leur forte appétence serait de se venger de l'Europe qui est la patrie d'un grand nombre de ces terroristes, qui avant même de rejoindre Daech au Moyen-Orient, avaient un passé criminel insoupçonnable.
Afrique francophone: des centaines de militants anti-CFA dans les rues
Plusieurs centaines de manifestants se sont réunis samedi dernier dans plusieurs villes d'Afrique francophone, à l'appel du mouvement Urgences panafricanistes, pour s'opposer au franc CFA (devise officielle des huit États membres de l'union économique et monétaire de l'Afrique de l'Ouest depuis 1994).
Les manifestants africains croient que le franc CFA "empêche le développement", sur fond d'une polémique qui gagne notamment le Sénégal et le Bénin.
Deux cents personnes se sont réunies à Cotonou, la plus grande ville économique du Bénin, quatre cents à Dakar et un grand nombre à Libreville et à Bamako, capitales du Gabon et du Mali.
"On ne peut pas se dire souverains et dépendre d'une monnaie comme le franc CFA", a déclaré à l'AFP à Dakar, Simon Kouka, responsable de groupe de société civile sénégalaise Y'en a marre. "La souveraineté implique avoir sa propre monnaie."
"Le franc CFA est un handicap sociologique, économique, politique et social", a déclaré Amadidjè Sèmevo Mondésir, qui se réclame comme "premier ambassadeur" au mouvement anti-CFA. "Il s'agit du combat de la jeunesse et de l'Afrique". En effet, le mouvement populaire réunit essentiellement des jeunes qui dénoncent l'héritage colonial, même si dans le milieu des économistes les avis restent partagés sur ce vieux débat.
Le candidat échoué à la dernière présidentielle au Bénin, Lionel Zinsou, est à son égard l'un des défenseurs de la devise de l'Union monétaire de l'Afrique de l'Ouest. Le politicien béninois est pourtant accusé par ses détracteurs d'être trop proche de l'ancienne colonie française, a regretté que la question du franc CFA soit perçue comme "un tête-à-tête entre la France et l'Afrique, la dernière phase de la colonisation."
Selon lui, la stabilité d'une monnaie "commune" est plus importante que les débats "populistes" et les questions de "narcissisme politique", citant la Côte d'Ivoire comme succès économique.
Monnaie commune pour environ 155 millions d'habitants, le franc CFA est accusé par ses détracteurs de favoriser les intérêts de la France, ex-puissance coloniale, tandis que ses défenseurs soulignent l'importance d'une monnaie commune stable, à la différence du naira nigérian ou du rand sud-africain, monnaies flottantes, qui souffrent de la chute des cours des matières premières, calculées sur la base du dollar.
Avec le site Alterinfo et AFP
Le président souhaite la pression des Européens sur les Etats-Unis au sujet de l'accord nucléaire
"L'Iran s'attend également à ce que l'UE envoie ce message fort à l'administration américaine", a déclaré M. Rouhani lors d'une rencontre avec le président de la Chambre des représentants de la Belgique, Siegfried Bracke, en visite à Téhéran.
Selon M. Rouhani, l'Iran s'était engagé à respecter ses obligations, ce qui a été confirmé à maintes reprises par l'Agence internationale de l'énergie atomique, l'organisme de contrôle nucléaire de l'ONU.
L'Iran est déterminé à profiter de l'atmosphère post-JCPOA et à élargir ses relations avec les pays européens, en particulier la Belgique, a-t-il ajouté.
La Belgique attache une grande importance au respect du JCPOA et cherche à élargir ses relations avec Téhéran, a déclaré M. Bracke.
L'accord nucléaire international, signé en juillet 2015 entre l'Iran et les six puissances mondiales (Allemagne, Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie), menace de s'effondrer en raison de la politique étrangère de Trump.
Le président américain Donald Trump, qui considère que l'accord sur le programme nucléaire iranien est une "catastrophe" et "le pire jamais négocié", a approuvé de nouvelles sanctions contre l'Iran en août dernier en représailles au programme de missiles de la République islamique.
Téhéran a accusé Washington d'avoir violé le Plan d'action global conjoint, mais Washington affirme que ces sanctions ne relèvent pas de l'accord.
Suu Kyi pratique la politique de l'autruche (Amnesty international)
"Nettoyage ethnique". "Il existe des preuves écrasantes que les forces de sécurité sont engagées dans une campagne de nettoyage ethnique", affirme l'ONG qui regrette que la prix Nobel de la paix n'ait pas dénoncé, dans son discours mardi, le rôle de l'armée dans ces troubles qui ont poussé plus de 410.000 musulmans rohingyas à fuir au Bangladesh depuis fin août.
Les Européens tentent de sauver l'accord nucléaire iranien
Le président américain est sollicité de toutes parts à ce sujet. A l'occasion de l'Assemblée générale annuelle de l'ONU cette semaine, il a d'abord rencontré lundi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a réitéré son aversion pour "l'épouvantable accord nucléaire avec l'Iran", dont il réclame l'annulation, ou a minima la révision.
M. Trump s'est ensuite entretenu avec son homologue français Emmanuel Macron, qui à l'inverse a tenté de le convaincre de ne pas remettre en cause un accord qualifié d'"historique" lors de sa signature en 2015.
Dans un contexte explosif, notamment avec la crise nord-coréenne, "cela ouvrirait une boite de Pandore", a expliqué l'entourage du président français, qui entretient une relation amicale avec le bouillant milliardaire.
L'accord de Vienne, conclu le 14 juillet 2015 entre Téhéran et les grandes puissances (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Chine, Russie et Allemagne) est pourtant plus que jamais remis en cause par Donald Trump, qui le qualifie d'"horrible" et a promis de le "déchirer".
Arraché après plus d'une décennie de négociations sous tensions et entré en vigueur en janvier 2016, cet accord garantit la nature exclusivement pacifique du programme nucléaire iranien, en échange d'une levée progressive des sanctions internationales.
Or une échéance cruciale s'approche: Donald Trump doit "certifier" mi-octobre auprès du Congrès que Téhéran se conforme bien à ses engagements, et certaines de ses déclarations laissent penser qu'il pourrait décider de ne pas le faire.
Cette non certification, qui irait à l'encontre des conclusions de l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) selon qui Téhéran respecte ses engagements, ouvrirait la voie à une réimposition des sanctions américaines.
Et inquiète au plus au point les autres signataires du texte de 2015.
"L'accord n'appartient pas à un pays ou un autre, il appartient à la communauté internationale", a ainsi martelé la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini.