تقي زاده

تقي زاده

Préoccupé par les récents agissements militaires iraniens près de ses frontières, Israël a annulé la participation de ses F-15 à l’exercice conjoint avec les États-Unis en Alaska.  

Selon la chaîne de télévision NBC News, Israël a fait part de la suspension de la participation de ses avions F-15 dans l’exercice commune avec États-Unis en Alaska. L’armée israélienne a annoncé dans un communiqué que la participation de l’armée de l’air d’Israël à la manœuvre Red Flag sur le territoire états-unien prévue en mai prochain n'aura pas lieu.

Pour la chaîne américaine, cette décision serait prise après le "récent déploiement des militaires iraniens sur le long de la frontière syrienne avec Israël".

Un porte-parole de l’armée israélienne – qui a requis l’anonymat – a confirmé la nouvelle de NBC News.

Depuis 2012, l’aviation israélienne a frappé, à maintes reprises, le territoire de son voisin, prétendant qu’elle avait visé les convois d’armements appartenant au Hezbollah libanais.  

Lire aussi Après la frappe israélienne contre la base T4, il faut s'attendre à tout

Depuis l’attaque d’Israël contre la base syrienne T4 à Homs, les autorités israéliennes ont d’une manière ou d’une autre exprimé leur souci des "représailles possibles de l’armée iranienne".

La crainte d’une riposte forte de l’Iran aux dernières agressions israéliennes contre la Syrie a même brouillé les célébrations du 70e anniversaire du régime factice de Tel-Aviv.

En réponse aux demandes formulées par les autorités saoudiennes et américaines d’envoyer des forces en Syrie, un ancien haut responsable des services de renseignement égyptiens a affirmé que les forces armées égyptiennes ne sont pas des mercenaires.

Lors d’une conférence de presse conjointe à Riyad avec Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, hier, mercredi 18 avril, le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, a déclaré que son pays était disposé à envoyer des forces en Syrie pour lutter contre le terrorisme, a rapporté l'agence d'information iranienne, Fars News.

Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres et le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, assistent à une conférence de presse conjointe à Riyad, le 12 février 2017. ©Reuters

Le ministère saoudien des Affaires étrangères a annoncé que Riyad avait formulé la proposition d’envoyer en Syrie les forces de « la coalition islamique antiterroriste » à laquelle participe également l’Égypte.

Plus tard, al-Jubeir a déclaré que le Wall Street Journal avait révélé dans un rapport que les États-Unis avaient l’intention d’atteindre leurs objectifs en Syrie en s’en retirant et y renforçant l’influence de plusieurs pays arabes.

John Bolton, conseiller à la sécurité nationale américaine. ©Getty Images

« Le conseiller à la sécurité nationale américaine, John Bolton, lui aussi s’est entretenu avec l’Égypte de l’envoi de forces militaires en Syrie. Il a demandé à l’Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis et au Qatar des aides financières. L’Arabie saoudite a accepté de participer à une action militaire », a précisé al-Jubeir.

Un ancien haut responsable des services de renseignement égyptiens, Mohammad Rashad, a réagi à la demande de John Bolton en s’exprimant en ces termes : « l’Égypte ne rejoindra jamais à cette coalition », a rapporté Euronews.

« Les forces armées égyptiennes ne sont pas des mercenaires. La stratégie optée par Le Caire envers la Syrie repose sur un soutien à l’intégrité territoriale syrienne et à l’armée nationale de ce pays », a souligné Rashad.

Stephen Cook, expert américain des questions du Moyen-Orient a écrit sur sa page Twitter : « Il semble que M. Bolton ignore que le gouvernement égyptien soutient Assad ».

Les médias israéliens et britanniques diffusent une image satellite de Téhéran et la font passer pour une base iranienne en Syrie.

Les médias israéliens ont diffusé plusieurs photographies aériennes en prétendant qu’il s’agirait de preuves de la présence militaire de l’Iran sur le territoire syrien. Ils n’ont cependant pas révélé la source de ces images.

Une semaine après le raid des avions de combat israéliens contre l’aéroport T4 en Syrie dans lequel quatorze personnes, dont sept conseillers iraniens, ont été tuées, les dirigeants du régime israélien ont lancé une campagne médiatique, de peur d’une opération de représailles de la part de la République islamique d’Iran.

C’est dans ce cadre que les médias israéliens ont diffusé une carte et plusieurs photographies aériennes en prétendant pouvoir repérer sur ces images le déploiement des drones du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ainsi qu’un avion civil iranien qui auraient été utilisé pour transférer des soldats et des équipements militaires vers la Syrie.

Plusieurs médias occidentaux disent que ces images et les informations qui y sont liées proviennent de sources à l’intérieur de l’armée du régime israélienne. Or, cette dernière n’a publié aucune information à ce sujet.

Dans le même temps, les médias du régime israélien rapportent que l’armée de ce régime se prépare à contrer toute action de représailles de la part de l’Iran. Ces médias prétendent que la publication de ces informations laisserait croire que le renseignement militaire israélien contrôle la situation.

Le quotidien Jerusalem Post a cité un porte-parole de l’armée israélien selon lequel les forces militaires d’Israël seront prêtes à contrer toute action militaire depuis le territoire syrien.

D’autres sources comme le site d’information Ynet font entendre que l’armée d’Israël serait en état d’alerte depuis la frappe de la semaine dernière contre la base aérienne T4 dans la province syrienne de Homs.

Il y a une semaine, le président russe Vladimir Poutine a demandé, lors d’une conversation téléphonique, au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu d’éviter tout acte qui risquerait de déstabiliser davantage la Syrie.

Par ailleurs, des sources israéliennes, qui citaient un porte-parole de l’armée du régime israélien, ont de nouveau diffusé des images satellite et des informations en prétendant qu’il s’agirait toujours d’une base aérienne et d’un centre de contrôle de drones des forces iraniennes en Syrie. Aussitôt, plusieurs médias occidentaux, dont la chaîne BBC, ont retransmis ces images et informations.

Cependant, il est curieux de savoir que l’image diffusée par le quotidien Jerusalem Post, censée présenter « une base aérienne des forces militaires iraniennes en Syrie », n’est en réalité qu’une image « Google Map » de l’aéroport international de Mehrabad, dans l’ouest de Téhéran, à laquelle il ont appliqué un effet miroir pour en inverser le sens.

Légende du Jerusalem Post : Photo intelligence released by the IDF on April 17, 2018 proving Iranian involvement in Syria. (photo credit : IDF SPOKESMAN’S UNIT)

La légende du Jerusalem Post présente cette image de cette manière : « Photo réalisée par l’Armée de défense d’Israël, prise le 17 avril 2018, prouvant l’implication iranienne en Syrie (Source : porte-parole de l’Armée de défense d’Israël). »

Sur cette soi-disant image du renseignement militaire israélien, la place Azadi de Téhéran est bien visible, pas très loin des pistes d’atterrissage de l’aéroport civil de Mehrabad.

La place Azadi a été supprimée dans cette version de la photo reprise par la chaîne BBC.

Après cette première gaffe du Jerusalem Post et de l’armée israélienne, c’est la chaîne BBC qui en commet une deuxième en recadrant l’image de sorte que l’emblématique place Azadi n’apparaisse plus sur cette image Google Map, de sorte que les gens croient plus facilement que ce n’est pas une image satellite de Téhéran mais d’ailleurs. Et pourquoi pas quelque part en Syrie ?

Le ministre iranien de la Défense a déclaré que l’Iran et l’Irak avaient identifié leurs ennemis au cours des combats contre les terroristes de Daech.

En visite à Bagdad, le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Amir Hatami, s’est entretenu, ce mercredi 18 avril, avec le ministre irakien des Communications avec qui il a discuté des récentes évolutions du Moyen-Orient.   

Le ministre iranien de la Défense a évoqué les attentats sanglants, perpétrés par le groupe terroriste Daech en Irak, disant que les Irakiens avaient enduré pas mal de souffrance pendant les combats contre les groupes takfiristes et terroristes.

Le général de brigade Hatami s’est ensuite réjoui du rétablissement de la sécurité en Irak, ajoutant que le groupe terroriste Daech avait pratiquement subi un échec cuisant en Irak.

« Nous avons acquis beaucoup d’expérience au cours des combats contre Daech, d’autant plus que l’Iran et l’Irak ont réussi à identifier leurs vrais ennemis et amis ainsi que ceux prétendant lutter contre Daech », a souligné le ministre iranien de la Défense.

Et d’ajouter : « Nombreux sont les États qui prétendent lutter contre le terrorisme, mais qui l’instrumentalisent en effet pour réaliser leurs propres objectifs. »

Amir Hatami a réaffirmé que la République islamique d’Iran ne voulait que du bien aux nations de la région, malgré la campagne d’iranophobie qui la prenait pour cible.

De son côté, le ministre irakien des Communications, Hassan Kadhim al-Rachid, a rendu hommage aux efforts de la République islamique d’Iran et à sa contribution dans la lutte contre les terroristes.

« La position de Téhéran envers l’Irak est une position de principe et stratégique et la nation et le gouvernement irakiens n’oublieront jamais l’aide et l’assistance des Iraniens », a déclaré Hassan Kadhim al-Rachid.

Le ministre irakien des Communications a ajouté que la sécurité de l’Irak et de l’Iran revêtait d’une importance particulière pour celle de la région.

Il a ensuite prôné l’essor du niveau des coopérations irano-irakiennes dans les domaines techniques et ceux relatifs à la défense.

À la fin de cette rencontre, un accord de coopération a été signé entre le ministère iranien de la Défense et le ministère des Communications en présence des deux ministres.

La police judiciaire du Maroc a ouvert une enquête sur les activités d’un centre international israélien à Meknès.

La Brigade nationale de police judiciaire (BNPJ) du Maroc a ouvert, ce mercredi 18 avril, une enquête pour faire toute la lumière sur les activités d’un centre international israélien dont le siège est à Meknès, suite aux plaintes portées par deux associations juridiques anti-israéliennes : le Groupe d’action national pour le soutien à la Palestine et l’Observatoire marocain contre la normalisation avec Israël.

L’enquête vise à clarifier tout lien éventuel entre le centre israélien et les organismes marocains, à l’intérieur aussi bien qu’à l’extérieur du pays. La Brigade nationale de police judiciaire est également chargée de découvrir si le centre international israélien est impliqué dans des projets dont l’objectif est de nuire à la sécurité et à l’ordre publics au Maroc.

Dans la foulée, le parquet général de la cour d’appel de Meknès a également retenu un certain nombre de chefs d’inculpation contre le centre israélien.

Les enquêtes judiciaires sont en cours à ce propos et des opérations de fouille ont été accomplies aux alentours de Midlet en vue de faire toute la lumière sur la vraie nature des programmes de formation du centre israélien.  

Ce mercredi 18 avril, une voiture piégée a pris pour cible le convoi du chef d’état-major de l’Armée nationale libyenne (ANL) à l’extérieur de la ville de Benghazi.

Au moins 3 personnes ont été blessées lors de l’attaque du convoi d’Abdelrazak al-Nadhouri, chef d’état-major de l’Armée nationale libyenne, près de la ville de Benghazi.

Le général Abdelrazak al-Nadhouri « est sorti indemne d’une tentative d’assassinat terroriste, après l’explosion d’une voiture piégée au passage de son convoi », a indiqué le bureau d’information du commandement de l’Armée nationale libyenne (ANL).

Le service secret de renseignements d’Israël (Mossad) a suivi, tout au long de ces dernières décennies, une politique immuable fondée sur l’assassinat des scientifiques arabes et égyptiens de renom ; tous ceux aptes à engendrer des plans scientifiques ou militaires pouvant représenter une quelconque menace pour Israël.

Selon la chaîne de télévision Russia Today, depuis sa création, le régime israélien a fait capoter tout effort des Égyptiens consacré à l’innovation, l’invention et le progrès scientifique. Sur cette voie, il a profité de l’aide de son service d’espionnage (Mossad) qui a une réputation dans l’assassinat de savants égyptiens à l’étranger.

Les activités terroristes du Mossad ne se limitent pas seulement aux scientifiques allemands qui aidaient l’Égypte. Les espions israéliens sont allés plus loin et ont visé une équipe de scientifiques nucléaires égyptiens résidant à l’étranger dans l’objectif de saboter les efforts du Caire pour avoir une centrale nucléaire.

Dès 1948 (l’année où fut créé Israël, ndlr), le Mossad s’est focalisé sur les activités de l’Égypte. L’espionnage israélien des Égyptiens s’est intensifié après que Le Caire a lancé en 1963 les travaux de construction d’une centrale nucléaire.  

Le projet de centrale nucléaire d'El-Dabaa, à 300 km à l'ouest du Caire. ©Wikipédia

Le scientifique nucléaire égyptien Samir Najib a été assassiné en 1967 à Detroit par les agents du Mossad alors qu'il souhaitait regagner son pays après la guerre arabo-israélienne de 1967. C’est à la même année que le projet de lancement de la première centrale nucléaire d’Égypte a été annulé.

Israël se trouve aussi derrière l'affaire du meurtre du scientifique égyptien, expert en télécommunications, Saïd Badir, tué en 1980. 

En 1980, Israël a également assassiné le Dr Yahya Al-Mashad, un éminent scientifique égyptien à l’hôtel Le Méridien de Paris.

Sameera Moussa, une scientifique nucléaire, pionnière dans la recherche nucléaire est morte dans un accident de voiture commandité par le Mossad, durant une visite scientifique aux États-Unis. Elle participait activement à la recherche sur l’énergie atomique.

Israël est le seul régime dans le monde qui élimine les scientifiques nucléaires des pays arabo-musulmans pour entraver leurs projets et, dans ce sens, il se sert parfois d'éléments indigènes. 

Presque dans toutes ses opérations durant les 4 dernières décennies Israël a utilisé des éléments indigènes et on peut en trouver facilement les signes en Égypte, en Syrie, au Liban, en Irak, en Iran, en Europe et aux États-Unis. 

 

Pour le président français, Emmanuel Macron qui se trouve en ligne de mire en raison de son intervention militaire en Syrie sans mandat onusien, l'heure est à l'autodéfense. Ceci dit, son plaidoyer, mardi, devant le Parlement européen n'a fait qu'amplifier la confusion et lui faire davantage de tort.

Alors que les ténors politiques français tout comme l'opinion publique ne comprennent pas l'alignement aveugle de la "macronie" sur Donald Trump et Theresa May dans un dossier qui constitue une occasion en or pour consacrer le retour de la France sur la scène moyen-orientale à titre d'une puissance indépendante et modératrice, Macron continue à défendre l'indéfendable. C'est ainsi qu'il s'est posé lundi devant l'europarlement en juge et en partie et a affirmé avoir attaqué la Syrie, non pas pour régler quoi que ce soit ( «Ces frappes en elles-mêmes ne règlent rien»), mais pour "l'honneur de la communauté internationale !». En d’autres termes, il fallait sauver la face des oligarchies dans cette affaire. À croire M. Macron, la communauté internationale se réduirait aux États-Unis, à l’Angleterre, à la France et à quelques riches pétromonarchies arabes… 

Le Washington Post a fait part d’une visite secrète du directeur de la CIA à Pyongyang et de sa rencontre avec le leader nord-coréen Kim Jong-un.

Le président américain Donald Trump a confirmé, mardi 17 avril, que les pourparlers entre les États-Unis et la Corée du Nord se déroulaient à des "niveaux très élevés", quelques heures avant que le directeur de la CIA, Mike Pompeo, rencontre personnellement le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un.

  Cha‘bân est un mois noble et qualifié comme étant le « mois du Prophète (P) » le quel y jeûnait et reliait le jeûne de ce mois à celui du mois de Ramadhân (c’est-à-dire qu’il jeûnait deux mois d’affilée). En effet le noble Prophète disait: «Chabân est mon mois; quiconque jeûne un jour de mon mois aura obligatoirement droit au Paradis».

L’Imam al-Sâdiq (p)le 6em imam de descendant du prophete psl dit : «Lorsque le mois de Cha‘bân arrivait, l’Imam Zainol abedine (p)(le fils de Imam Hussein ) réunissait ses compagnons et leur déclarait : « O mes compagnons! Savez-vous ce qu’est ce mois? C’est le mois de Cha‘bân dont le Prophète (P) disait: « C’est mon mois ». Jeûnez donc pendant ce mois par amour pour votre Prophète (P) et pour vous rapprocher de votre Seigneur. Je jure, par Celui qui détient mon âme, que j’ai entendu l’Imam al-Hussain (p) dire : « Quiconque jeûne le mois de Chabân par amour pour le Prophète (P) et pour se rapprocher d’Allah, Allah l’aimera, le rapprochera de Sa Grâce le Jour du Jugement et le destinera  au Paradis » ».

: “ L’Imam Ali (p) disait:  «Depuis que j’ai entendu le crieur du Prophète (P) proclamer (le jeûne) au mois de Cha‘bân, je n’ai jamais manqué de jeûner pendant ce mois et je ne manquerai jamais, inchâ’Allah (si Dieu le veut) de le faire le restant de ma vie. Car le Messager d’Allah (P) disait : “Le jeûne pendant deux mois consécutifs est une repentance auprès d’Allah ”»

Si on ne peut pas faire le jeûne tous les jours du mois, on pourrait se contenter de trois jours de jeûne avec l’accomplissement de deux rakah de prière la nuit. Dans chaque rakah on doit réciter la sourate al-Hamd une fois et la sourate al-Tawhîd onze fois.

Les actes communs à tous les jours du mois

1- Dire chaque jour 70 fois :

« Astagh-fir-ullâha wa as’aluhu-t-tawba-ta »

اَسْتَغْفِر اللهَ وَاَسْئَلُهُ التَّوْبَةَ

(Je demande pardon à Allah et je me repens auprès de Lui)

2-Dire chaque jour 70 fois:

« Astagh-fir-ullah-al-lathî lâ Ilâha illâ Huwa-r-Rahmân-u-Rahîmu-l-Hayy-ul-Qayyûmu wa atûbu ilayhi »

اَسْتَغْفِرُ اللهَ الَّذي لا اِلـهَ اِلاَّ هُوَ الرَّحْمنُ الرَّحيمِ الْحَيُّ الْقَيُّومُ وَاَتُوبُ اِلَيْه

(Je demande pardon à Allah, point de Dieu que Lui, le Miséricordieux, le Clément, le Vivant, l’Absolu, et je me repens auprès de Lui).

Il est à noter que l’istighfâr (la demande de pardon à Allah) est le meilleur des du‘â’et des actes d’adoration au mois de Chabân.

3-Faire l’aumône, ne serait-ce qu’avec la moitié d’une datte (si l’on n’a pas les moyens) pour qu’Allah interdise l’Enfer à son corps.

4- Dire « Allâhu lâ Ilâha illallâh-u, wa lâ na‘budu illâ iyyâh-u, mukhliçîna lahu-d-dîn-a wa law kariha-l-muchrikûn-a »

لا اِلـهَ اِلاَّ اللهُ وَلا نَعْبُدُ اِلاّ اِيّاهُ مُخلِصينَ لَهُ الدّينَ وَلَوْ كَرِهَ الْمُشْرِكُون

(Allah, il n’y a de Dieu qu’Allah. Nous n’adorons que Lui en étant sincères dans notre culte, et ce même si cela déplaît aux polythéistes).

5-Accomplir deux rak‘ah de prière chaque jeudi de Cha‘bân. Dans chaque rak‘ah, il faut réciter une fois la Sourate al-Hamd (Fâtihah) et cent fois la sourate al-Tawhîd (Ikhlâç). Et au terme de la Prière on doit réciter cent fois 

« Allâhumma çalli ‘alâ Muhammadin wa Âle Muhammad-in »

 (اَللّـهُمَّ صَلِّ عَلى مُحَمَّد وَآلِ مُحَمَّد)

(O Allah ! Prie sur Mohammad et sur sa Famille)

afin de pouvoir espérer qu’Allah subvienne à tous nos besoins dans ce bas-monde et dans l’autre monde.

De même, il est très recommandé d’accomplir le jeûne les jeudis de ce mois, faute de pouvoir le faire tous les jours. En effet, selon le Hadith, le ciel est orné chaque jeudi du mois de Cha‘bân et les Anges disent alors à Allah : “O Notre Seigneur! Pardonne à celui qui jeûne aujourd’hui et exauce ses prières ”.

Enfin, selon un autre Hadith, il est fortement recommandé, de faire le jeûne les lundis et les jeudis de ce mois béni, cela appellera la satisfaction des besoins

6- Multiplier la récitation de la prière sur le Prophète (P) : « Allâhumma çalli ‘alâ Muhammadin wa âle Muhammad-in ».